Alors que le pouvoir fédéral éthiopien dit être en mesure de lancer la bataille de Mekele pour en chasser les dirigeants dissidents du Tigré, Amnesty International et l’ONU appellent à protéger les civils. La première réunion du Conseil de sécurité sur la situation dans la région, mardi, n’a pas donné lieu à une déclaration commune.
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