Liberté en Péril: L’Université de Lomé face à la censure

Lomé, Togo - Dans un développement récent à l’Université de Lomé, un étudiant nommé Bandiagou Bertin a publié une lettre…

La lettre a conduit le  président de l’université de Lomé  à la convocation de l’étudiant devant la commission des affaires disciplinairesLomé, Togo – Dans un développement récent à l’Université de Lomé, un étudiant nommé Bandiagou Bertin a publié une lettre critiquant la révision constitutionnelle adoptée par le parlement togolais et, en conséquence, il a fait face à des menaces de sanctions disciplinaires. La lettre a conduit le  président de l’université  à la convocation de l’étudiant devant la commission des affaires disciplinaires.

Par ailleurs, le président de l’université a annulé la convocation prévue pour le 22 avril 2024 sans fournir d’explication officielle, ce qui soulève des questions sur les raisons de cette décision inattendue et sur la liberté d’expression dans l’établissement. Selon la perception, cette annulation peut représenter soit un geste de tolérance, soit une concession à la pression publique.

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L’affaire suscite des inquiétudes concernant l’état des droits civiques au Togo, un pays où les autorités restreignent sévèrement la liberté d’expression et de réunion. Les mesures prises par l’université reflètent des tensions plus vastes, dans une nation où l’on réprime souvent le militantisme étudiant et la critique ouverte du gouvernement.

À l’Université de Lomé, les étudiants et les militants au Togo affrontent un microcosme de défis, luttant pour préserver leur liberté d’expression dans un environnement politique de plus en plus restreint. Ils se battent activement pour maintenir ce droit fondamental, malgré les pressions croissantes. Cette lutte reflète la résilience et la détermination des jeunes voix dans le pays, cherchant à faire entendre leur message et à influencer positivement l’avenir de leur nation.

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