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BAC II au Togo : tolérance zéro pour des examens impeccables !

Une sélection irréprochable pour un baccalauréat d’excellence : le Togo affine ses critères d’évaluation Lomé, 23 mai 2025 — À l’approche…

Le Togo renforce l'intégrité de son BAC II 2025 en sélectionnant rigoureusement ses examinateurs, garantissant ainsi équité et excellence pour les futurs bacheliers.

Une sélection irréprochable pour un baccalauréat d’excellence : le Togo affine ses critères d’évaluation

Lomé, 23 mai 2025 — À l’approche des épreuves du baccalauréat de seconde partie (BAC II), prévues du 17 au 21 juin 2025, le Togo démontre une ambition sans faille pour garantir l’intégrité et la rigueur de cet examen décisif. Sous l’égide du professeur Minlipe Martin Gangue, directeur général de l’Office togolais du baccalauréat, les autorités ont méticuleusement sélectionné les examinateurs chargés de corriger les copies , selon des critères d’une exigence rare. Cette démarche, loin d’être anodine, reflète la volonté des autorités éducatives de hisser le BAC II à un standard d’équité et de cohérence, pilier d’un système éducatif en quête de crédibilité et d’excellence.

Des correcteurs d’élite : les critères stricts du BAC II Togolais

Le processus de sélection, achevé récemment, s’est distingué par sa minutie exemplaire. En effet, les enseignants retenus pour évaluer les épreuves doivent répondre à des conditions draconiennes : être activement en poste dans une classe de terminale, n’être rattachés qu’à un seul établissement scolaire et justifier d’au moins trois années d’expérience dans l’enseignement aux niveaux de première ou de terminale. Ces exigences, énoncées dans une note officielle datée du 5 mai, visent à garantir une expertise pédagogique irréprochable tout en éliminant tout risque de partialité ou de conflit d’intérêts. Les listes définitives, transmises à l’Office avant le 16 mai, incarnent cet engagement envers une évaluation juste et homogène.

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Rigueur et humanité : L’Office du Bac ne laisse rien au hasard

Cependant, la rigueur ne s’arrête pas là. Conscient que des circonstances exceptionnelles pourraient entraver la participation de certains enseignants qualifiés, le professeur Gangue a prévu des dispositions spécifiques. Ainsi , les cas d’insubordination, de problèmes de santé ou d’autres motifs légitimes doivent être signalés par une correspondance confidentielle adressée directement à sa direction. Cette approche, à la fois stricte et humaine, témoigne d’une volonté de concilier l’exigence académique avec une certaine souplesse, afin que le processus reste irréprochable sans être rigide.

L’excellence éducative en ligne de mire : le BAC II, symbole de crédibilité

Cette initiative s’inscrit dans un contexte plus large où le système éducatif togolais cherche à consolider sa réputation. Le baccalauréat, rite de passage pour des milliers de jeunes, est bien plus qu’un examen : il est le sésame vers l’enseignement supérieur et un marqueur de la qualité de la formation dispensée. Par conséquent, en imposant des critères aussi pointus pour les examinateurs, L’Office du baccalauréat affirme avec force : l’avenir des candidats repose uniquement entre les mains d’experts compétents et impartiaux.

Vers un Baccalauréat sans faille : le Togo vise l’excellence

À quelques semaines du grand rendez-vous de juin, l’Office du baccalauréat orchestre une sélection méticuleuse qui inspire confiance et suscite l’admiration. Il établit les fondations d’un examen où la justice et la compétence triomphent, assurant aux candidats que leurs efforts bénéficieront d’une évaluation d’une équité irréprochable. Ainsi, alors que le Togo continue d’investir dans l’éducation comme levier de développement, cette démarche illustre une ambition plus vaste : faire de l’école un creuset d’excellence, où chaque diplôme obtenu est le fruit d’un mérite incontestable.

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