Candidat déclaré à l’élection présidentielle ivoirienne prévue en octobre, Guillaume Soro faisait l’objet depuis fin décembre 2019 d’un mandat d’arrêt émis par la justice ivoirienne pour une tentative présumée d’« insurrection », et des « détournements de fonds publics », toutes accusations démenties par l’ex-chef de la rébellion des années 2000.
LA SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ