Deux ans après l’accession au pouvoir de Félix Tshisekedi, la société civile ainsi que l’ONU s’inquiètent du recul des droits humains et des libertés publiques en RD Congo. Malgré des avancées en 2019, des dizaines de militants politiques, des journalistes ainsi que des personnalités critiques du pouvoir ont été intimidées, arrêtées ou détenues en 2020. Le chef de l’État a pourtant fait du respect des libertés l’une des priorités de son mandat.
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