Plus de 500 civils ont été tués par les forces de sécurité depuis le coup d’État du 1er février en Birmanie, selon l’Association d’assistance aux prisonniers politiques. La France a dénoncé « la violence aveugle et meurtrière » du régime et exigé la libération de « tous les prisonniers politiques », notamment Aung San Suu Kyi.
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