À l’ONU, le Togo et les Philippines scellent un pacte de dialogue : une alliance diplomatique inédite entre Lomé et Manille pour promouvoir la paix et le développement durable.
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New York, 29 septembre 2025 – Au milieu du tourbillon diplomatique de la 80ᵉ Assemblée générale des Nations Unies, une étincelle de convivialité illumine les couloirs du pouvoir mondial. Son Excellence Robert Dussey, Ministre togolais des Affaires étrangères, a partagé un moment d’une rare chaleur avec son homologue philippine, Maria Theresa Lazaro, lors de la cérémonie de signature d’un protocole d’accord sur les consultations politiques bilatérales.
Ce geste, survenu en marge de l’UNGA80, n’est pas qu’un protocole formel : c’est un hymne au dialogue, un fil tendu entre l’Afrique de l’Ouest et l’Archipel du Pacifique, pour tisser ensemble paix et développement durable. Dans un monde où les tensions géopolitiques grondent, cette alliance surprenante rappelle aussi que la diplomatie vraie naît de rencontres humaines, sincères et visionnaires.
Une rencontre emblématique : la signature d’un accord historique
Sous les lumières tamisées d’une salle discrète des Nations Unies, Dussey et Lazaro ont apposé leur plume sur les pages d’un document vert et or, symbole d’engagement partagé. Vêtue d’une robe fleurie aux tons vifs, évoquant les jardins tropicaux de Manille, la Secrétaire philippine aux Affaires étrangères a serré la main du Ministre togolais, impeccablement en tailleur bleu, un sourire radieux illuminant son visage.
Autour d’eux, les drapeaux des deux nations – le vert-jaune-rouge du Togo et le bleu-blanc-rouge des Philippines – flottaient en harmonie sur une table bleue. Cette scène, capturée en images vibrantes, capture l’essence d’une diplomatie vivante : non des discours lointains, mais des gestes concrets qui rapprochent Lomé et Manille comme jamais auparavant.
Le cœur du protocole entre le Togo et les Philippines : des consultations politiques pour un monde connecté
Au-delà de la solennité de la signature, cet accord institutionnalise des consultations régulières, un cadre fluide pour échanger sur les défis globaux qui touchent les deux nations.
Pour le Togo, pilier de la résilience africaine sous la vision du Président du Conseil Faure Gnassingbé, c’est une ouverture vers l’Asie du Sud-Est, riche en expériences de croissance inclusive et de gestion des catastrophes naturelles. Par ailleurs, du côté philippin, représenté par une Lazaro engagée dans les forums maritimes, il s’agit d’un pont vers l’Afrique, continent émergent où le dialogue Sud-Sud peut amplifier les voix marginalisées. Ensemble, ils forgent un mécanisme où les questions de sécurité, de commerce et de droits humains sont tissées en une tapisserie commune.
Un message fondamental : le dialogue comme clé de la paix et du développement
De fait, Dussey l’a dit avec cette éloquence philosophique qui le caractérise : cet accord porte « un message fondamental : l’importance du dialogue pour promouvoir la paix et le développement ».
Dans l’effervescence de l’UNGA80, où les leaders plaident pour une ONU plus juste et efficace, cette initiative togolo-philippine résonne comme un contrepoint attachant aux grandes batailles idéologiques. Elle nous rappelle que la paix n’est pas un slogan, mais une pratique quotidienne : des échanges qui apaisent les tensions, des idées qui irriguent l’innovation. Pour des pays comme le Togo, en pleine renaissance économique avec une croissance visée à 7 % en 2025, ce dialogue est un levier persuasif pour un développement partagé.
Un horizon d’opportunités : vers une coopération renforcée et inclusive entre le Togo et les Philippines
Enfin, cette signature n’est qu’un premier pas, mais quel pas ! Elle ouvre la porte à des collaborations futures – échanges culturels entre Lomé la vibrante et Manille la cosmopolite, partenariats en agriculture durable ou en formation diplomatique.
Lazaro trouve en Dussey un allié naturel pour aborder les flux migratoires et climatiques qui lient océan Indien et Pacifique. Par ailleurs, le Togo infuse dans ce pacte son esprit de pont entre continents. Et si cette alliance inspirait d’autres ? Elle le fera, car dans la danse des nations, chaque poignée de main est une note d’espoir, un appel attachant à ce que le monde choisisse enfin le chemin du dialogue. Lomé et Manille, main dans la main, illustrent une leçon essentielle : la véritable puissance naît du dialogue et du rapprochement, socles d’un avenir où la paix et le progrès sont en fait indissociables de la proximité.