Révolution textile au Togo : l’ usine colossale Star Garments lance le « Made in Togo » et crée des milliers d’emplois
Lomé, 19 juin 2025 – Hier, sous un ciel éclatant, le Togo a franchi une étape mémorable avec l’inauguration en grande pompe de l’usine textile Star Garments, située au cœur de la Plateforme Industrielle d’Adétikopé (PIA). Orchestrée par le président Faure Gnassingbé, cette cérémonie a en effet résonné comme un hymne à l’ambition, un prélude à une ère de prospérité et d’autonomie pour une nation résolue à tisser son avenir avec audace. Préparez-vous à découvrir comment ce géant industriel va transformer l’économie togolaise !
Star Garments : un investissement de 13 milliards pour un coton transformé
Fruit d’un investissement colossal de 13 milliards de FCFA – soit près de 20 millions d’euros –, cette usine marque l’incursion inaugurale de Star Garments, émanation sri-lankaise du groupe américain Charles Komar & Sons, hors de ses terres natales. Sur 3,7 hectares, cette enceinte flambant neuve métamorphosera le coton togolais, fierté agricole de l’Afrique de l’Ouest, en vêtements estampillés « Made in Togo ». De la découpe méticuleuse à l’assemblage raffiné, en passant par une finition irréprochable, chaque étape exalte la richesse locale, promettant ainsi une manne économique autant qu’un sursaut d’orgueil national.
LA SUITE APRÈS LA PUBLICITÉ
Emploi record : 4 500 postes, surtout pour les femmes togolaises
L’impact de cette entreprise transcende les murs de l’usine. D’ici à la fin de l’année, 2 000 personnes, majoritairement des femmes et des jeunes, y trouveront un emploi stable.Par ailleurs, ce chiffre est destiné à s’épanouir jusqu’à 4 520 d’ici à 2030, en comptant les retombées indirectes. En plus, avec plus de 60 % des postes réservés aux femmes, Star Garments s’érige en étendard d’une émancipation tangible, un rempart contre la précarité et un tremplin pour une jeunesse avide de nouveaux horizons.
Textile vert : le Togo, pionnier mondial du vêtement neutre en carbone
Pionnier mondial des vêtements neutres en carbone, Star Garments insuffle au Togo une philosophie résolument verte. Certifiée LEED, l’usine conjugue modernité et respect de l’environnement, minimisant ainsi son empreinte écologique tout en hissant le pays au rang des nations industrielles responsables. Ce mariage entre progrès et préservation illustre une volonté farouche de conjuguer croissance et héritage pour les générations futures.
PIA : le cœur battant de la renaissance industrielle togolaise
Depuis son lancement en 2021, la Plateforme Industrielle d’Adétikopé s’impose comme un phare d’attractivité, un creuset où convergent les aspirations togolaises et les capitaux étrangers. D’ailleurs, l’arrivée de Star Garments y ravive la flamme d’une filière textile jadis florissante, aujourd’hui appelée à renaître de ses cendres. Soutenu par un prêt de 15 millions de dollars de la Société Financière Internationale (SFI), ce projet consacre le Togo comme un acteur incontournable dans les chaînes de valeur régionales et mondiales.
Autonomie économique : le Togo tisse son avenir avec son propre coton
Plus qu’une usine, Star Garments incarne un rêve éveillé : celui d’un Togo maître de ses ressources, transformant son coton brut en trésors cousus main, loin des chaînes d’exportation passives. Hier, la nation a posé une pierre angulaire dans son édifice économique, un acte de foi en un avenir où la valeur ajoutée s’écrit en lettres togolaises. Entre durabilité, inclusion et innovation, ce jalon éclaire la voie d’une renaissance industrielle portée par une ambition sans faille.
Le Togo, artisan de son destin : un avenir industriel prometteur
Ainsi s’ouvre un chapitre exaltant, où le fil du coton devient celui d’une histoire collective, tissée avec soin et audace, pour un Togo tourné résolument vers demain. Cette inauguration de Star Garments n’est pas seulement un événement industriel ; c’est un symbole fort de l’autonomie et du potentiel économique du Togo qui s’affirme de plus en plus sur la scène internationale. Le pays est-il en train de redéfinir son rôle en Afrique de l’Ouest ? L’avenir nous le dira, mais les bases d’une transformation profonde sont déjà posées !