Une Vision Économique pour l’huile de Palme en Afrique de l’Ouest

Dans la capitale nigériane, Abuja, du 12 au 14 mars 2024, les éminents spécialistes et industriels de l’or vert de…

Abuja, du 12 au 14 mars 2024, les spécialistes et industriels de l'huile de palme en Afrique de l’Ouest échangent sous l’égide de la CEDEAO

Dans la capitale nigériane, Abuja, du 12 au 14 mars 2024, les éminents spécialistes et industriels de l’or vert de l’Afrique de l’Ouest échangent sous l’égide de la CEDEAO. Leur objectif  est de  Forger un consensus sur la régulation de la production et du commerce de l’huile de palme, pierre angulaire de l’économie régionale, dans le cadre du Schéma de Libéralisation des Echanges (SLE).

Un pas vers l’autosuffisance économique grâce à l’Huile de Palme

En effet, la réunion a été l’occasion de débattre des seuils métriques, ces indicateurs essentiels à l’évaluation de la capacité de production d’huile de palme. Ces seuils, véritables balises de la performance économique, doivent refléter les réalités des États membres pour favoriser une exportation avantageuse sous le régime préférentiel.

M. Yakubu A. DADU, PhD, figure de proue de la CEDEAO au Nigeria, a salué la présence des experts venus des quatre coins de la région. Il a également exhorté les participants à une réflexion approfondie sur la capacité de production, l’analyse des flux commerciaux et la compréhension des défis inhérents au secteur.

Abuja, du 12 au 14 mars 2024, les spécialistes et industriels de l'huile de palme en Afrique de l’Ouest échangent  sous l’égide de la CEDEAO

Plaidoyer de la Commissaire aux Affaires Economiques et à l’Agriculture de la CEDEAO pour un secteur fortifié

Madame Massandjé Touré-Litsé, Commissaire aux Affaires Economiques et à l’Agriculture de la CEDEAO, a souligné l’importance cruciale du secteur de l’huile de palme. Elle a aussi appelé à un renforcement du secteur pour assurer la compétitivité internationale des opérateurs économiques ouest-africains.

La réunion a également mis en lumière les frictions liées à l’origine des produits et leur libre circulation transfrontalière. Ces discussions visent à harmoniser les positions et à consolider le secteur face aux défis présents et futurs.

Pour conclure, rappelons que le SLE est un instrument vital pour la libre circulation des biens au sein de la CEDEAO, favorisant ainsi l’épanouissement du marché commun ouest-africain et stimulant la croissance économique régionale.

 

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