Togo : La Chine et le Togo renforcent leur coopération pour l’action sociale

Lomé, le 5 novembre 2024 Dans le cadre des efforts continus pour améliorer les conditions de vie des populations vulnérables au Togo, une nouvelle étape vient d’être franchie dans la coopération entre le Togo et la Chine. À cet effet, la Ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et de la Promotion de la Femme, Prof. Kossiwa ZINSOU-KLASSOU a eu une réunion avec l’Ambassadeur de Chine, M. Chao Weidong, afin de discuter des initiatives visant à renforcer l’action sociale et la protection des groupes défavorisés au Togo.

Les deux parties ont convenu de travailler ensemble pour améliorer les conditions de vie des populations vulnérables, notamment les enfants et les personnes en situation de précarité. L’ambassade de Chine a promis de mettre en œuvre des projets d’envergure avant la fin de l’année, démontrant ainsi son engagement à soutenir les initiatives du gouvernement togolais dans ce domaine.

Cette collaboration s’inscrit dans une dynamique de partenariat gagnant-gagnant entre les deux pays. Le Togo et la Chine ont su développer des relations solides, fondées sur le respect mutuel et la solidarité. Ce nouveau partenariat dans le domaine de l’action sociale vient renforcer ces liens et concrétiser la volonté commune de construire un meilleur avenir pour les populations les plus vulnérables.

Le Ministre ZINSOU-KLASSOU se réjouit de cette collaboration, soulignant l’importance de l’appui de la Chine pour atteindre les objectifs du gouvernement en matière de protection sociale. L’Ambassadeur Chao Weidong a quant à lui affirmé que cette coopération est une illustration parfaite de la diplomatie humanitaire en action.

Les enjeux de cette coopération Chine-Togo

La collaboration sino-togolaise est cruciale pour le développement social du Togo. Elle vise à améliorer l’accès aux services essentiels pour les communautés défavorisées, contribuant ainsi à atténuer la pauvreté et les disparités sociales. De plus, cette coopération favorise un transfert de connaissances et de compétences entre les experts des deux nations, renforçant l’efficacité des initiatives sociales au Togo.

En somme, cette coopération entre le Togo et la Chine ouvre de nouvelles perspectives pour le développement social du pays. La complémentarité des compétences entre le Togo et la Chine est un atout majeur dans ce partenariat. Les expertises respectives des deux pays permettront de mettre en œuvre des projets innovants et adaptés aux besoins spécifiques des populations togolaises. Elle démontre que la solidarité internationale peut être un levier puissant pour améliorer les conditions de vie des populations les plus vulnérables.

Afriland First Group : Un pari gagnant sur le Togo

Lomé, le 2 novembre 2024 – Le Togo vient de remporter une nouvelle victoire économique. Le groupe bancaire panafricain Afriland First Group, dirigé par le charismatique Dr Paul Kammogne Fokam, a annoncé hier, lors de son audience avec le président de la République Faure Essozimna Gnassingbé, son intention de créer un holding régional au cœur de Lomé. Une décision qui vient confirmer l’attractivité du Togo et qui s’inscrit pleinement dans la stratégie de développement du Président Faure Gnassingbé.

En choisissant le Togo, Afriland First Group ne fait pas seulement un choix stratégique, mais un pari sur l’avenir. Le pays, sous l’impulsion de son chef d’État, a engagé ces dernières années des réformes profondes pour améliorer son climat des affaires et attirer les investissements. Les efforts du gouvernement semblent porter leurs fruits, puisque de grandes entreprises internationales choisissent désormais de s’implanter au Togo.

« La dynamique économique du Togo et la vision ambitieuse du président Gnassingbé pour transformer son pays en un pays de cocagne, où l’on a tout en abondance, nous ont séduits », a déclaré Dr Paul Kammogne Fokam, président du Conseil d’Administration d’Afriland First Group. « Nous croyons fermement en l’avenir de ce pays et souhaitons y participer en favorisant une meilleure répartition des richesses. »

Les avantages de l’implantation de Afriland First Group seront multiples pour le Togo

  • Création d’emplois : la création de ce nouveau holding va générer de nombreux emplois directs et indirects, stimulant ainsi l’économie locale.
  • Transfert de compétences : l’expertise du Groupe Afriland va permettre de renforcer les capacités des acteurs locaux et de développer de nouveaux services financiers.
  • Rayonnement international : le choix du Togo par une telle institution va aussi renforcer l’attractivité du pays sur la scène internationale et attirer d’autres investisseurs.

En choisissant le Togo pour implanter sa nouvelle holding, Afriland First Group ne fait pas seulement un choix stratégique, il place également son pari sur un pays en pleine mutation et qui ambitionne de devenir un hub financier de premier plan en Afrique de l’Ouest.

Le FMI réaffirme son soutien au développement du Togo

Lomé, le 1ᵉʳ novembre 2024 – Le Togo a reçu une nouvelle marque de confiance de la part de la communauté internationale. En effet, le Directeur du département Afrique du Fonds monétaire international (FMI), Abebe Aemro Selassie, actuellement en tournée dans la sous-région, a réaffirmé l’engagement de l’institution à accompagner le pays dans sa dynamique de développement.

Lors d’une audience avec le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, M. Selassie a évoqué les défis auxquels le Togo est confronté et les perspectives économiques du pays. Il a également  salué les réformes engagées par le gouvernement et a souligné l’importance de poursuivre sur cette lancée.

Le Togo et le FMI s'engagent à travailler ensemble pour accélérer la croissance économique, réduire la pauvreté et améliorer les conditions de vie de la population.Le FMI et le Togo solidifient leur collaboration pour un développement soutenu

Par ailleurs, le FMI et le Togo entretiennent depuis plusieurs années une étroite collaboration. L’accord conclu le 8 octobre dernier sur la première revue du programme de 42 mois appuyé par la Facilité élargie de crédit (FEC) en témoigne. En plus, cet accord, d’un montant de 293,60 millions de DTS (environ 390 millions de dollars), permettra au Togo de bénéficier d’un nouveau décaissement d’environ 58,7 millions de dollars, soit près de 35 435 000 000 de FCFA.

Ces fonds serviront à financer des projets de développement prioritaires pour le Togo, tels que l’amélioration des infrastructures, le renforcement du secteur financier et la promotion de la croissance inclusive.

Les enjeux de la visite

La visite de M. Selassie au Togo intervient dans un contexte marqué par les défis économiques mondiaux et régionaux. Les discussions ont porté sur les moyens de renforcer la résilience de l’économie togolaise face aux chocs externes, de promouvoir la croissance inclusive et de réduire la pauvreté.

En somme, cette rencontre entre le Président Gnassingbé et M. Selassie marque un nouveau chapitre dans la coopération entre le Togo et le FMI. Avec le soutien financier et technique de l’institution, le Togo dispose ainsi de tous les atouts pour accélérer sa croissance économique et améliorer aussi le bien-être de sa population.

CHOGM 2024 : Une nouvelle ère de collaboration

Apia (Samoa), le 25 octobre 2024 – Le coup d’envoi de la réunion des chefs de gouvernement du Commonwealth (CHOGM) a été donné ce vendredi, dans un climat de renouveau et d’anticipation. Pour la première fois, le Togo rejoint la table des discussions, marquant ainsi un élargissement significatif de l’organisation. Sous la présidence du Roi Charles III, ce sommet bisannuel s’annonce comme un carrefour d’idées progressistes et de stratégies de développement partagé.

Par ailleurs, la participation du Premier ministre togolais, Victoire Dogbé, souligne l’importance croissante de l’Afrique dans les affaires du Commonwealth. L’agenda de cette année se concentre sur l’exploration de nouvelles voies de collaboration multilatérale, essentielles pour relever les défis mondiaux et promouvoir la prospérité commune.

En outre, les discussions prévues s’étendront sur des sujets variés, allant de l’économie et du commerce à la durabilité environnementale, en passant par l’éducation et la santé. L’objectif est clair : renforcer les liens entre les 56 États membres et forger un avenir dans lequel le développement mutuel est au cœur des priorités.

En marge de l’événement, le souverain britannique a honoré la cheffe du gouvernement togolais par une audience, ce qui marque la reconnaissance de l’importance du Togo sur la scène internationale. Cette rencontre fait suite à des échanges fructueux avec le Conseil d’entreprise et d’investissement du Commonwealth, jetant les bases d’une coopération économique renforcée.

En somme, le CHOGM 2024 s’inscrit dans une dynamique de changement, où chaque membre apporte sa pierre à l’édifice commun. Avec l’arrivée de nouveaux pays membres et la volonté affirmée de travailler ensemble, le Commonwealth se positionne comme un acteur clé sur la scène internationale, prêt à relever les défis de notre époque.

L’UE réaffirme son engagement envers le Togo

Lomé, le 17 octobre 2024. – Le nouvel ambassadeur de l’Union Européenne( UE )au Togo, Gwilym Ceri Jones, poursuit activement sa mission de représentation. En effet, après avoir présenté ses lettres de créance au Président de la République, il a entamé une série de rencontres avec les plus hautes autorités du pays.

Ces derniers jours, l’ambassadeur Jones a eu des entretiens fructueux avec la Première ministre, Victoire Dogbé, et le président de l’Assemblée nationale, Kodjo Adedze. Ainsi, ces rencontres ont permis de renforcer les liens entre le Togo et l’UE et de discuter des perspectives de coopération.

Au cours de ces échanges, les priorités du Togo en matière de développement et la transition vers la Vème République ont été au cœur des discussions. Le représentant de l’UE a réaffirmé l’engagement de l’Union Européenne à accompagner le Togo dans ces défis.

L’UE -Togo: Un partenariat renforcé

« Notre objectif est de renforcer notre partenariat avec le Togo et d’augmenter l’impact de nos programmes », a déclaré l’ambassadeur Jones. Il a souligné l’importance d’adapter les projets aux besoins spécifiques du pays et, de ce fait, s’est montré disposé à ajuster les stratégies en fonction des besoins du pays.

L’ambassadeur a également évoqué le projet phare de l’Union Européenne, le Global Gateway. Ce programme ambitieux vise à mobiliser des investissements publics et privés pour soutenir le développement durable dans les pays partenaires. « C’est une opportunité que nous souhaitons explorer avec dynamisme », a-t-il déclaré lors de son entretien avec le Président de l’Assemblée nationale.

Un partenariat consolidé

Il est important de rappeler que le Togo et l’UE ont signé en 2022 un nouveau cadre de partenariat qui définit les axes de coopération pour les prochaines années. Ce partenariat couvre des domaines variés tels que la gouvernance, le développement économique, la sécurité et la migration. En plus, cet accord témoigne de la volonté commune de renforcer les relations bilatérales et de travailler ensemble pour relever les défis du développement.

En bref, avec l’arrivée du nouvel ambassadeur, les relations entre le Togo et l’UE entrent dans une nouvelle phase. Les échanges de ces derniers jours témoignent de la volonté commune de renforcer cette coopération et de relever conjointement les défis du développement.

 

 

Amen Tohouede Dzonke porte la voix du Togo à la Contre-COP des peuples africains

Saly, Sénégal, 10 octobre 2024 – Amen Tohouede Dzonke, directrice générale de la Société des Jeunes Créateurs au Togo, représente fièrement son pays à la Contre-COP des peuples africains, qui se tient actuellement à Saly, au Sénégal. Cette rencontre panafricaine, regroupant des délégués de plus de vingt pays, vise à mettre en lumière les défis climatiques auxquels fait face le continent et à proposer des solutions concrètes.

Placée sous le thème « Les Africains unis contre l’oppression systématique et l’injustice climatique », cette édition de la Contre-COP offre une plateforme d’échange aux acteurs de la société civile africaine. Amen Tohouede Dzonke, aux côtés de Thierry Abiabal Kparaki (représentant des femmes de la Commune du golfe 2 au Togo) et d’autres militants, participe à des tables rondes pour discuter de questions cruciales telles que l’aménagement des terres et l’injustice environnementale.

« C’est un honneur pour moi d’être la représentante du Togo lors de cette rencontre », a exprimé Amen Tohouede Dzonke. « Les résolutions de cette réunion doivent servir de catalyseur pour que les responsables politiques prennent des mesures urgentes en faveur des communautés les plus vulnérables face au changement climatique. »

Contre-COP : Un engagement pour l’environnement et l’autonomisation des femmes

Au Togo, Amen Tohouede Dzonke est déjà engagée dans des actions concrètes pour promouvoir le développement durable et l’autonomisation des femmes. En collaboration avec la Commune du Golfe 2, elle a mis en œuvre des programmes de formation au recyclage et à la fabrication de compost, permettant ainsi aux femmes de générer des revenus tout en contribuant à la protection de l’environnement.

Des voix qui s’élèvent

Les participants à la Contre-COP appellent à une plus grande justice climatique en Afrique. Ils soulignent l’importance d’écouter la voix des communautés locales et de trouver des solutions durables pour faire face aux défis environnementaux.

Rumbidzai Mphalo, coordinatrice du Collectif Africain pour la Justice Climatique, a rappelé que l’objectif de cet événement est de « se battre pour la justice afin d’apporter des solutions à la crise en Afrique ». Aly Marie Sagne, directrice exécutive de Lumière Synergie pour le Développement, a quant à elle invité les organisations à maintenir leur engagement et à défendre le droit à un environnement sain.

Jusqu’au 11 octobre, des discussions et des échanges permettront de proposer des solutions concrètes pour lutter contre la crise climatique, en particulier en matière d’adaptation des terres et de souveraineté alimentaire.

En bref, le changement climatique est un défi mondial qui touche particulièrement l’Afrique. Les pays africains, bien que peu responsables du réchauffement climatique, sont parmi les plus vulnérables à ses impacts. La Contre-COP des peuples africains est une occasion importante de renforcer la solidarité entre les pays africains et de trouver des solutions adaptées à leurs réalités.

 

Coumba Dieng Sow, nouvelle ambassadrice de l’ONU au Togo

Lomé, 9 octobre 2024  – Un nouveau chapitre s’ouvre pour les Nations Unies au Togo avec la nomination de Coumba Dieng Sow en tant que représentante résidente. Cette nomination officielle depuis hier, mais effective depuis le 5 octobre 2024, marque une nouvelle étape dans la carrière de cette figure emblématique du développement en Afrique. Cette économiste sénégalaise, reconnue pour son expertise en développement durable et son engagement en faveur des populations vulnérables, apporte une riche expérience au service de notre pays.

Coumba Dieng Sow: Un parcours riche au service de l’humanité

Avant de rejoindre le Togo, Coumba Dieng Sow a occupé des postes clés au sein de la FAO, notamment au Rwanda et à Djibouti. Elle a ainsi acquis une solide expérience dans la gestion de crises alimentaires et la coordination de programmes d’aide humanitaire dans des contextes complexes. Au Rwanda et à Djibouti, elle a dirigé des projets d’envergure visant à améliorer la sécurité alimentaire et à renforcer la résilience des populations face aux chocs. Son expertise en matière de résilience des communautés face aux chocs, qu’ils soient climatiques ou liés à des conflits, sera un atout précieux pour le Togo.

Coumba Dieng  Sow: Un engagement fort pour l’environnement et le développement durable

Au Sénégal, son pays d’origine, Coumba Sow s’est distinguée par son militantisme en faveur de l’environnement. Elle a mené de nombreuses initiatives pour promouvoir l’agriculture durable et la sécurité alimentaire, deux enjeux cruciaux pour l’Afrique. Ses actions ont contribué à sensibiliser les populations aux enjeux environnementaux et à encourager l’adoption de pratiques agricoles plus respectueuses de l’environnement. Son expertise en matière de politiques publiques et son engagement pour le développement durable font d’elle une alliée de choix pour relever les défis environnementaux auxquels fait face le Togo.

Au-delà de son expertise technique, Coumba Dieng Sow est reconnue pour ses qualités de leader et sa capacité à mobiliser les acteurs autour de projets communs. Elle a notamment coordonné des programmes de résilience pour 18 pays d’Afrique de l’Ouest et du Sahel, démontrant ainsi son aptitude à travailler dans des contextes complexes et à nouer des partenariats solides.

Un parcours académique remarquable 

Son parcours académique, marqué par l’obtention d’une maîtrise en gestion des politiques publiques de Sciences Po et d’un DESS en économie agricole, lui confère une solide base théorique et méthodologique. Cette combinaison d’expérience pratique et de connaissances académiques fait d’elle une experte reconnue dans le domaine du développement.

Une nouvelle dynamique pour le développement du TOGO

La nomination de Coumba Sow marque une nouvelle étape dans la coopération entre le Togo et les Nations Unies. Son expertise et son engagement seront mis au service de la réalisation des Objectifs de développement durable (ODD) au Togo. On peut s’attendre à ce qu’elle joue un rôle moteur dans la mise en œuvre de projets visant à améliorer les conditions de vie des populations, à renforcer la résilience des communautés et à promouvoir un développement économique inclusif et durable.

L’arrivée de Coumba Dieng Sow au Togo témoigne de l’importance accordée par la communauté internationale au développement de notre pays. Cette nomination est une opportunité pour renforcer la coopération entre le Togo et les Nations Unies et de mobiliser davantage de ressources pour soutenir les actions en faveur du développement durable.

La CEDEAO se mobilise pour renforcer la lutte contre le VIH

Lomé, le 7 octobre 2024 –Un atelier régional de trois jours sur les politiques VIH en CEDEAO a débuté ce jour à Lomé. Réunissant une quinzaine de représentants de pays membres et de partenaires techniques, cet événement a pour objectif d’évaluer les progrès réalisés dans la lutte contre le VIH et de définir de nouvelles stratégies pour intensifier les interventions.

Un focus sur la mise en œuvre

En effet, l’objectif de cet atelier sera d’examiner la réalisation des politiques nationales de lutte contre le VIH. Les participants scruteront les avancées réalisées, les défis rencontrés et les bonnes pratiques mises en œuvre dans les différents pays de la région. Un accent particulier sera également mis sur les populations clés et les enfants, qui restent particulièrement vulnérables au VIH.

  Les pays de la CEDEAO mettent en avant les politiques de lutte contre le VIH et impliquent de nouvelles stratégies.VIH: Des enjeux politiques au cœur des débats

Les obstacles politiques qui entravent la mise en œuvre des politiques de lutte contre le VIH seront aussi au cœur des débats. Les participants cherchent à identifier les leviers d’action pour surmonter ces difficultés et renforcer l’engagement politique en faveur de la lutte contre l’épidémie.

Une feuille de route pour l’avenir

À l’issue de cet atelier, les participants définiront une feuille de route pour renforcer les politiques de lutte contre le VIH au sein de l’espace CEDEAO. Cette feuille de route visera à aligner les cadres nationaux sur les objectifs mondiaux de lutte contre le VIH, notamment les objectifs 95-95-95 (95 % des personnes vivantes avec le VIH connaissent leur statut, 95 % des personnes testées suivent un traitement antirétroviral et 95 % des personnes sous traitement ont une charge virale indétectable).

  Les pays de la CEDEAO mettent en avant les politiques de lutte contre le VIH et impliquent de nouvelles stratégies.Le soutien des partenaires

Cet atelier bénéficie du soutien de partenaires techniques tels que l’USAID et PROPEL Health Org, qui apportent leur expertise et leur financement pour renforcer les capacités des pays membres de la CEDEAO à lutter contre le VIH. Par ailleurs, les résultats de cet atelier seront déterminants pour l’avenir de la lutte contre le virus de l’immunodéficience humaine  en Afrique de l’Ouest. Les participants attendent avec impatience de voir les stratégies concrètes qui émergeront de ces discussions.

En bref, l’atelier régional sur les politiques VIH en CEDEAO mettra en lumière les progrès et les défis à relever pour stopper l’épidémie du VIH. Pour atteindre cet objectif ambitieux, il est nécessaire de renforcer les systèmes de santé, de promouvoir la prévention, de renforcer les partenariats et d’adapter les stratégies aux contextes locaux. L’avenir de la lutte contre le virus de l’immunodéficience humaine en Afrique de l’Ouest dépendra de notre habileté à relever ces défis et à mobiliser tous les acteurs.

Coopération Égypte-Togo : Un partenariat qui s’intensifie

Dans une cérémonie empreinte de formalité et de cordialité, l’Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de l’Égypte auprès du Togo, Ahmed Mohamed Eid Moustapha Ahmed, a officiellement remis ses lettres de créance au Président de la République togolaise, Faure Essozimna Gnassingbé, ce jeudi 03 octobre 2024. Cet événement marque le début d’une mission diplomatique où le dialogue et la coopération bilatérale seront au cœur des échanges entre les deux nations.

L'ambassadeur d'Égypte au Togo inaugure une mission diplomatique axée sur le développement, la paix et la coopération économique.Les fruits d’une collaboration fructueuse

Lors de leur première rencontre, l’ambassadeur Ahmed a mis en lumière les axes principaux de sa mission, soulignant l’importance du développement, de la paix et de la stabilité, ainsi que la nécessité de s’attaquer aux problématiques régionales et internationales. Il a exprimé sa reconnaissance pour le dynamisme des relations entre l’Égypte et le Togo, affirmant sa joie de pouvoir échanger avec le Président Gnassingbé et de partager une vision commune, notamment sur le règlement pacifique des conflits et l’alignement des intérêts des deux pays.

L’ambassadeur a également salué les conseils prodigués par le Président togolais, des conseils qu’il considère comme essentiels à la réussite de sa mission diplomatique. La coopération entre Lomé et le Caire, déjà exemplaire, se voit ainsi renforcée par cette nouvelle dynamique. Les deux capitales partagent une longue histoire d’amitié et de collaboration, une relation qui s’est étoffée au fil des années, notamment dans des secteurs clés tels que l’agro-business, l’éducation et l’économie.

En effet, l’Égypte a joué un rôle de soutien dans la politique togolaise de promotion de l’agro-business, illustré par la création de la ferme agricole d’Abatchang dans la région centrale du Togo. Cette initiative s’inscrit dans un cadre plus large d’échanges de savoir-faire et de formation, avec l’attribution de bourses en techniques agricoles aux citoyens togolais.

L'ambassadeur d'Égypte au Togo inaugure une mission diplomatique axée sur le développement, la paix et la coopération économique.Égypte-Togo : De nouveaux projets pour un avenir prometteur

Sur le plan économique et commercial, l’engagement des deux pays se traduit par la signature de multiples accords de partenariat, visant à consolider les liens dans les domaines de l’énergie, de l’urbanisme, de l’habitat, de l’assainissement et de la culture. Ces accords témoignent de la volonté mutuelle de bâtir un avenir prospère et durable pour les deux nations.

Dans le domaine de l’éducation, le Togo bénéficie de l’expertise égyptienne, avec des bourses d’études universitaires offertes à ses étudiants dans les disciplines scientifiques. De plus, des programmes de renforcement des capacités en langue arabe et en théologie sont mis à disposition, ouvrant la voie à un échange culturel et académique enrichissant.

Cette rencontre entre l’ambassadeur Ahmed Mohamed Eid Moustapha Ahmed et le Président Faure Essozimna Gnassingbé n’est pas seulement symbolique, elle est le reflet d’une volonté commune de renforcer les liens diplomatiques, économiques et culturels pour le bien-être des peuples égyptien et togolais. Elle annonce une ère de collaboration fructueuse, où le partage des connaissances et le soutien mutuel seront les piliers d’une relation bilatérale florissante.

L’Afrique de l’Ouest : vers une harmonisation de la formation médicale

Lomé, le 3 octobre 2024. –Les professionnels de la santé ouest-africains se sont réunis à Lomé pour une session cruciale visant à harmoniser la formation médicale dans la région. En effet, organisée par l’Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS), cette 8e session ordinaire du Conseil Régional pour la Formation des Professionnels de Santé (CRFPS) se tient du 30 septembre au 4 octobre 2024.

Par conséquent, au cœur des discussions, la révision des procédures et de la durée des formations médicales s’avère être un point central. En plus, l’objectif est clair : établir des normes communes pour garantir une meilleure qualité des soins de santé dans tous les pays de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO).

L'Afrique de l'Ouest fait un pas décisif vers une harmonisation de la formation médicale pour améliorer la qualité des soins de santé.Ainsi, le Ministre togolais de la Santé, Pr Tchin DARRE, et le Directeur Général de l’OOAS, Dr Melchior AÏSSI, ont souligné l’importance de cette initiative dans leur discours d’ouverture, affirmant : « Il est impératif d’harmoniser nos systèmes de formation pour répondre aux défis sanitaires de notre région », a déclaré le Professeur Tchin DARRE.

Pour Dr Melchior AÏSSI, « cet atelier permettra de mettre en place des procédures uniformes garantissant une meilleure qualité des soins de santé grâce à des normes communes dans tous les pays de la CEDEAO ».

L'Afrique de l'Ouest fait un pas décisif vers une harmonisation de la formation médicale pour améliorer la qualité des soins de santé.Des avancées concrètes jour après jour

La deuxième journée a été consacrée à un travail de groupe approfondi sur l’amélioration des programmes de formation médicale et spécialisée. Les participants ont échangé sur les meilleures pratiques et ont identifié les points à améliorer pour garantir une éducation aux soins de santé cohérente et de haute qualité dans toute la région.

Le troisième jour, les discussions se sont concentrées sur la finalisation des rapports de groupe. Les participants ont travaillé sans relâche pour s’assurer que toutes les recommandations formulées soient réalistes et réalisables.

L'Afrique de l'Ouest fait un pas décisif vers une harmonisation de la formation médicale pour améliorer la qualité des soins de santé.Vers un Système de formation unifié

Ce jeudi, lors de la quatrième journée de l’atelier, les participants se consacreront à l’examen final et adopteront les recommandations. Demain, vendredi, marquant le dernier jour de la rencontre, les participants présenteront leurs travaux et prendront les décisions finales. Ces actions viseront à établir un cadre harmonisé pour l’éducation à la santé dans la région, que les pays mettront ensuite en œuvre.

L'Afrique de l'Ouest fait un pas décisif vers une harmonisation de la formation médicale pour améliorer la qualité des soins de santé.Les enjeux de cette harmonisation

En alignant les codes de déontologie et les normes de formation, les pays de la CEDEAO visent à :

  • Améliorer la qualité des soins de santé : des professionnels de santé mieux formés et plus qualifiés pourront offrir avec sécurité des soins plus efficaces et plus à la population.
  • Faciliter la mobilité de la main-d’œuvre : Des diplômes reconnus mutuellement faciliteront la circulation des professionnels de santé dans la région et permettront de répondre aux besoins en personnel dans les zones les plus démunies.
  • Renforcer la coopération régionale : Une formation harmonisée contribuera à renforcer la coopération entre les pays de la CEDEAO dans le domaine de la santé.

En bref, à l’issue de cette session, les participants devraient adopter des recommandations concrètes pour mettre en œuvre les nouvelles normes de formation. Ces recommandations seront ensuite soumises aux autorités compétentes de chaque pays pour l’adoption. Cette initiative marque une nouvelle étape dans la construction d’un espace sanitaire ouest-africain plus intégré et plus performant.

Coup dur pour le Ghana : Le Togo refuse de prêter son stade

Lomé/Accra, 2octobre 2024  –La Fédération ghanéenne de football (GFA) se retrouve dans une situation délicate à quelques jours de son match contre le Soudan dans le cadre des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations 2025. En effet, le Togo a refusé de mettre son stade Kégué à la disposition des Black Stars, privant ainsi le Ghana d’une option de réponse.

Cette décision togolaise s’explique par la volonté du pays de préserver l’état de son stade en vue de son propre match à domicile contre l’Algérie. Les sportives togolaises estiment qu’accueillir deux matchs internationaux de haut niveau dans un laps de temps très court pourrait dégrader la pelouse et les installations du Stade Kégué.

Initialement, la GFA avait identifié le Togo et la Côte d’Ivoire comme des pays susceptibles d’accueillir le match contre le Soudan, en raison de la suspension du Stade Baba Yara de Kumasi par la CAF. Le choix s’était porté sur le Togo en raison de sa proximité géographique, mais le refus des autorités togolaises oblige désormais les Ghanéens à se tourner vers la Côte d’Ivoire, leur seule option restante.

Cette situation met en évidence la difficulté pour le GHANA de trouver un stade homologué pour disputer ses matchs à domicile. Les travaux de réhabilitation des stades nationaux étant en cours, aucun d’entre eux n’est actuellement en mesure d’accueillir des rencontres internationales.

Il est désormais crucial pour la Côte d’Ivoire d’accorder son autorisation afin de permettre au Ghana de disputer ce match décisif pour la qualification à la CAN 2025. L’avenir sportif du Ghana dépend en grande partie de la solidarité de ses voisins et de la rapidité avec laquelle les autorités ghanéennes parviendront à remettre en état leurs stades.

Lomé : Le coup d’envoi de l’atelier de la société civile du PO

Lomé, 1er octobre 2024- la capitale togolaise s’est animée avec le début de l’atelier de la société civile du Partenariat de Ouagadougou. Cet événement, qui se déroulera du 1er au 3 octobre, réunit des acteurs clés de la société civile et des leaders religieux issus des neuf pays membres du Partenariat de Ouagadougou.

Par ailleurs, son objectif est de créer un espace de dialogue et d’échange sur les enjeux cruciaux de la Planification Familiale (PF) et de la Santé Reproductive dans la région. Wendwaoga Compaore, Directeur Régional Access Collaborative pour les pays francophones de Jhpiego, est parmi les participants influents qui contribueront aux différentes sessions programmées.

 L'atelier de la société civile du Partenariat de Ouagadougou a ouvert ses portes à Lomé, au Togo, pour trois jours de débats animés Dynamisme et collaboration de la société civile  à Lomé

En plus, l’atelier vise à renforcer les liens et la collaboration entre les différents acteurs, afin d’aborder ensemble les défis et les perspectives liés à la Santé Reproductive et à la Planification Familiale. Les discussions porteront sur des sujets variés, allant de l’accessibilité des services de PF à l’intégration des pratiques traditionnelles et religieuses dans les programmes de santé. Ce rassemblement est une occasion unique pour les participants de partager leurs expériences, de discuter des meilleures pratiques et d’élaborer des stratégies communes pour l’avenir.

L’importance de cet atelier ne peut être sous-estimée, car il représente un pas en avant significatif dans la lutte pour l’amélioration de la santé reproductive et le bien-être des populations dans la région. Avec la participation de figures éminentes telles que Wendwaoga Compaore, l’événement promet d’être un carrefour d’idées innovantes et de solutions pratiques qui façonneront l’avenir de la Planification Familiale en Afrique de l’Ouest.

En somme, l’atelier de Lomé témoigne de la volonté des pays membres du Partenariat de Ouagadougou de renforcer leur collaboration pour améliorer la santé reproductive et la planification familiale dans la région.

Togo : Un plaidoyer pour une coalition anti-Daech plus cohérente

Washington, 1er octobre 2024 –Le ministre des Affaires étrangères du Togo, Robert Dussey, a marqué de sa présence la réunion ministérielle de la Coalition mondiale contre Daech, tenue le 30 septembre à Washington, D.C.

Cette rencontre, qui a réuni des représentants d’une quarantaine de pays, a été l’occasion de célébrer le dixième anniversaire de la Coalition et d’évaluer l’efficacité des efforts internationaux dans la lutte contre le Daech. Le ministre Dussey a profité de cette plateforme pour rappeler l’engagement du Togo, qui a rejoint la coalition l’année précédente, en faveur d’une action transnationale et internationale plus efficace contre l’État islamique.

Le Togo appelle à une fonte de la coalition anti-Daech pour une meilleure efficacité sur le terrain

Dans son discours, M. Dussey a mis l’accent sur la nécessité d’une plus grande cohérence et transparence dans les stratégies internationales, soulignant que le Togo, confronté à des attaques terroristes sporadiques dans sa région septentrionale depuis trois ans, compte sur ces principes pour renforcer la lutte.

Il a également exprimé une préoccupation partagée par de nombreuses populations de la région, qui doutent de la sincérité de certains partenaires internationaux dans la coopération contre le terrorisme. Selon lui, cette méfiance sape la légitimité de la lutte et appelle à une réflexion sur les principes de précaution, de prudence, de transparence et de responsabilité dans les interventions en Afrique.

Enfin, le ministre a insisté sur l’importance de l’Alliance des États du Sahel, composée de pays tels que le Mali, le Niger et le Burkina Faso, comme partenaires clés dans la lutte contre l’État islamique et le terrorisme international sur le continent africain.

Il a conclu en affirmant que l’efficacité de la riposte contre le Daech en Afrique de l’Ouest et au Sahel ne peut être assurée sans l’implication de ces nations, malgré les changements géopolitiques actuels. L’appel de M. Dussey pour une coalition plus unie et transparente résonne comme un message fort à l’adresse de la communauté internationale, à un moment où la solidarité mondiale est plus nécessaire que jamais pour combattre le fléau du terrorisme.

La Chine fête son anniversaire en grande pompe au Togo

Lomé, 27 septembre 2024 – L’ambassade de Chine au Togo a célébré en grande pompe, hier jeudi, le 75ème anniversaire de la fondation de la République populaire de Chine. En effet, cette célébration a été l’occasion pour l’ambassadeur de Chine, Chao Weidong, de réaffirmer l’engagement de son pays envers l’Afrique et de souligner les perspectives prometteuses de la coopération sino-togolaise.

Dans son discours, l’ambassadeur a mis en avant les réalisations de la Chine depuis sa fondation et a présenté les grandes lignes de la politique étrangère chinoise. Il a notamment souligné l’importance accordée par Pékin à la construction d’une communauté de destin pour l’humanité et à la promotion d’un ordre mondial plus juste et équitable.

Par ailleurs, il a affirmé son engagement envers les valeurs universelles partagées par tous, et sa détermination à réaliser trois projets clés liés au développement, à la sécurité et à la civilisation à l’échelle mondiale. M. Chao a exprimé la volonté de la Chine de soutenir un monde multipolaire caractérisé par l’égalité et l’ordre, et de promouvoir une globalisation économique inclusive qui tient compte des intérêts communs.

La Chine célèbre son 75ème anniversaire au Togo et renforce ses liens économiques et politiques avec le pays, marquant une nouvelle étape dans leur partenariat stratégique.Un partenariat stratégique renforcé entre la Chine et le Togo

Concernant les relations bilatérales entre la Chine et le Togo, Chao Weidong a rappelé la récente élévation de ces relations au rang de partenariat stratégique mondial. Il a souligné que cette nouvelle étape marquait le début d’une coopération plus étroite dans de nombreux domaines, tels que les infrastructures, l’agriculture et la connectivité.

Les échanges entre les deux chefs d’État lors du récent sommet sino-africain ont été évoqués, mettant en avant les nombreux accords signés et les projets de coopération en cours. L’ambassadeur a également insisté sur la volonté de la Chine de soutenir le développement économique et social du Togo.

Un avenir prometteur pour la coopération sino-togolaise

La réception s’est déroulée dans une ambiance festive, avec des discours, des projections et un toast à la santé des deux peuples. Les participants ont exprimé leur satisfaction quant à l’état des relations entre les deux pays et ont souligné les perspectives prometteuses de cette coopération.

En bref, cette célébration marque un nouveau chapitre dans l’histoire des relations entre la Chine et le Togo. Les deux pays semblent déterminés à renforcer leur partenariat et à relever ensemble les défis du XXIe siècle.

Togo: vers un développement durable avec le soutien de la MCC

NEW YORK – Lors de sa participation à la 79e Assemblée générale des Nations Unies, le président togolais Faure Essozimna Gnassingbé a réaffirmé l’importance du partenariat entre son pays et la Millennium Challenge Corporation (MCC).

Faure Gnassingbé et Alice Albright font le point sur les avancées du programme Compact MCC

Au cours d’une rencontre avec la directrice générale de l’agence, Alice Albright, les deux personnalités ont fait le point sur l’avancée du programme Compact, un investissement majeur du Congrès américain destiné également à soutenir le développement du Togo dans les secteurs de l’énergie et des technologies de l’information et de la communication (TIC).

« Le Togo est un partenaire de longue date de la MCC et nous sommes très satisfaits de l’évolution de notre collaboration », a déclaré Alice Albright. En effet, Ce partenariat, qui s’inscrit dans la continuité du programme Threshold, vise à améliorer les conditions de vie des Togolais en leur offrant un accès plus équitable à l’énergie et aux services numériques.

Dans le domaine de l’énergie, le programme Compact de la MCC se concentre sur le renforcement des infrastructures de production, de transport et de distribution d’électricité. L’objectif est double : garantir un accès universel et fiable à l’énergie pour une grande partie de la population et renforcer la résilience du réseau électrique pour réduire les coupures.

En parallèle, le volet TIC du programme vise à développer les infrastructures numériques à travers tout le pays, en particulier dans les zones rurales et éloignées. Il s’agit de promouvoir l’accès à internet, de stimuler l’innovation et de favoriser le développement de l’économie numérique.

En somme, cette rencontre entre Faure Gnassingbé et Alice Albright intervient quelques mois après la visite d’une délégation de la MCC à Lomé en juin dernier. Elle témoigne de la dynamique positive qui caractérise ce partenariat et de la détermination des deux parties à mettre en œuvre avec succès les projets prévus dans le cadre du programme Compact.

L’ONU soutient le Togo dans sa quête de paix et de développement

Lors d’une réunion bilatérale en marge de la 79e session de l’Assemblée générale des Nations unies, le Président togolais, Faure Essozimna Gnassingbé, a eu des entretiens approfondis avec le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, le 23 septembre 2024. En effet, cette rencontre, qui s’est tenue à New York, a été l’occasion pour les deux dirigeants de discuter des avancées significatives réalisées par le Togo dans la mise en œuvre des Objectifs de développement durable (ODD). Ils ont également examiné les défis actuels auxquels fait face l’Afrique de l’Ouest et la région du Sahel en termes de politique et de sécurité.

Paix et développement durable : Le Togo et l’ONU s’engagent à renforcer leur coopération pour un avenir meilleur

La diplomatie togolaise, connue pour son engagement en faveur de la paix et de la sécurité, a été au cœur des discussions. Le Président Gnassingbé a souligné l’importance du dialogue et de la concertation pour la consolidation de la stabilité dans ces régions stratégiques. De son côté, António Guterres a réaffirmé l’engagement des Nations Unies à soutenir le Togo dans ses initiatives pour promouvoir un développement durable et sécurisé.

Cette rencontre témoigne de l’importance que les Nations Unies accordent aux efforts des pays comme le Togo, qui jouent un rôle clé dans la promotion de la paix et dans l’atteinte des ODD. Elle souligne également la reconnaissance internationale des progrès accomplis par le Togo, notamment dans le cadre de sa politique étrangère axée sur la coopération et le développement mutuel.

L’entretien entre le Président Gnassingbé et le Secrétaire général Guterres a mis en lumière la volonté commune de renforcer les liens entre le Togo et les Nations Unies. Les discussions ont permis de tracer une feuille de route claire pour l’avenir, avec un accent particulier sur les initiatives de développement durable et les stratégies de maintien de la paix.

En conclusion, cette réunion de haut niveau entre le Togo et l’ONU ouvre des perspectives prometteuses pour la région ouest-africaine et le Sahel, en termes de développement et de sécurité. Elle confirme l’engagement des leaders mondiaux à travailler ensemble pour un avenir plus stable et prospère pour tous.

La CEDEAO se réunit à Lomé pour relever les défis de l’avenir

Lomé , le 25 septembre 2024-  Les parlementaires de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) se sont réunis à Lomé, au Togo, pour une session extraordinaire. En effet, les travaux, qui se sont ouverts le mardi 24 septembre, visent à renforcer l’intégration régionale et à relever les défis auxquels fait face la communauté.

La CEDEAO : Un agenda chargé

Pendant dix jours, les députés vont plancher sur des dossiers cruciaux pour l’avenir de la CEDEAO. Parmi les sujets abordés, on retrouve aussi  le projet de budget 2025, l’inclusion financière des femmes, et les réformes nécessaires pour atteindre la Vision 2050 de l’organisation. Parallèlement à ces travaux, un séminaire est organisé pour former les nouveaux députés.

Les parlementaires de la CEDEAO se réunissent à Lomé pour discuter du budget 2025, de l'inclusion financière des femmes Un appel à l’unité et à la réforme

Par ailleurs, la présidente du Parlement de la CEDEAO, Hadja Mémounatou Ibrahima, a souligné la nécessité d’accélérer les réformes au sein de l’organisation pour mieux répondre aux défis actuels. Elle a appelé à une consolidation des principes de démocratie et de bonne gouvernance dans tous les États membres.

De son côté, le président de l’Assemblée nationale togolaise, Kodjo Adedze, a rappelé les valeurs fondatrices de la CEDEAO et a souligné l’importance de préserver les acquis de l’intégration régionale. En plus, Il a invité les parlementaires à travailler ensemble pour construire un avenir meilleur pour les populations de la région.

Lomé, une capitale de l’intégration régionale

Le choix de Lomé pour accueillir cette session extraordinaire témoigne de l’engagement du Togo en faveur de l’intégration régionale. Le pays joue un rôle de plus en plus important au sein de la CEDEAO et s’est positionné comme un acteur clé dans la promotion de la paix, de la stabilité et du développement en Afrique de l’Ouest.

En conclusion, cette session extraordinaire du Parlement de la CEDEAO marque une nouvelle étape dans le processus d’intégration régionale. Les décideurs à Lomé prendront des décisions qui impacteront significativement l’avenir de la communauté et la vie de millions de citoyens ouest-africains.

Togo : Gnassingbé propose une vision africaine pour l’avenir

New York, 24 septembre 2024 – Le Président togolais, Faure Essozimna Gnassingbé, a appelé à une refonte profonde du système multilatéral lors du Sommet de l’Avenir des Nations Unies. Dans un discours prononcé devant ses paires, le chef de l’État a souligné l’urgence de trouver des solutions collectives aux défis mondiaux, notamment climatiques, économiques et sécuritaires.

« Face à des crises systémiques et complexes, il faut des réponses globales et collectives », a déclaré Faure Gnassingbé. Selon lui, le modèle actuel de gouvernance mondiale a montré ses limites et ne permet plus de faire face aux enjeux du XXIe siècle.

Le sommet de l'Avenir a été l'occasion pour le Président togolais de réaffirmer la nécessité d'un renouvellement profond du multilatéralisme. L’Afrique, un continent d’opportunités

Le Président togolais a mis en avant le potentiel de l’Afrique pour contribuer à la construction d’un monde plus juste et durable. « L’Afrique va continuer à abriter la plus grande partie de la jeunesse mondiale », a-t-il rappelé, rappelant ainsi le rôle essentiel du continent dans le développement économique mondial.

Pour le chef de l’État, l’Afrique dispose de nombreux atouts : un marché continental unique, des ressources naturelles abondantes et un dynamisme économique croissant. Il a appelé à des partenariats public-privé plus forts pour libérer ce potentiel et créer des emplois pour les jeunes générations.

Un rôle acquis pour les États africains

Faure Gnassingbé a également plaidé pour un renforcement du rôle des États africains dans la coopération internationale. « Nous ne pouvons construire un avenir meilleur que si toutes les voix sont entendues et respectées », a-t-il affirmé.

Le Président togolais a souligné la nécessité de bâtir des États forts et résilients, capables de répondre aux besoins de leurs populations et de travailler en partenariat avec les acteurs internationaux.

Un pacte pour l’avenir

À l’issue de ce sommet, les États membres des Nations Unies ont adopté un « Pacte pour l’avenir », un ensemble de documents visant à renforcer la coopération mondiale et à s’adapter aux défis actuels. Ce pacte marque une étape importante dans la réforme du multilatéralisme et témoigne de la volonté de la communauté internationale de bâtir un avenir plus juste et durable.

En somme, le discours de Faure Gnassingbé au sommet de l’Avenir a mis en lumière plusieurs enjeux clés : la nécessité d’un nouveau modèle de gouvernance mondiale, le rôle central de l’Afrique dans la construction de l’avenir, l’ importance des partenariats public-privé et le renforcement des États africains. Les propositions du Président togolais s’inscrivent dans une dynamique globale visant à bâtir un monde plus juste, plus durable et plus inclusif.

Coup de théâtre à Lomé : le congrès panafricain reporté

Lomé, 23 septembre 2024 – Surprise dans le monde du panafricanisme : le 9e Congrès panafricain, prévu à Lomé du 29 octobre au 2 novembre, est reporté sine die. En effet, cette annonce, faite par le ministère togolais des Affaires étrangères, a jeté un froid sur les attentes de nombreux acteurs du continent.

Initialement conçu comme un moment fort pour discuter du renouveau du panafricanisme et du rôle de l’Afrique dans la gouvernance mondiale, ce congrès s’inscrit aussi dans un contexte marqué par les aspirations de l’Afrique à une plus grande influence sur la scène internationale. Le thème retenu, « Renouveau du panafricanisme et rôle de l’Afrique dans la réforme des institutions multilatérales », soulignait l’importance de cette rencontre.

Un coup d’arrêt pour le dynamisme panafricain ?

Le communiqué officiel exprime les regrets du ministère pour le report et présente ses excuses pour les désagréments occasionnés aux personnes déjà inscrites ou invitées. Toutefois, Le ministère exprime sa gratitude aux participants pour leur intérêt et leur engagement envers le congrès, un événement crucial pour l’avenir du panafricanisme et l’engagement actif de l’Afrique sur la scène internationale.

Des sources proches du dossier ont évoqué des nécessités logistiques et organisationnelles comme raisons précises du report. Le ministère a assuré la continuation des travaux préparatoires et a promis de communiquer les nouvelles dates en temps voulu. Cette communication permettra aux participants de se préparer pour un congrès qui s’annonce historique.

L’annonce a suscité des réactions diverses au sein de la communauté panafricaine, certains exprimant leur compréhension face aux défis de l’organisation d’un tel événement, tandis que d’autres manifestent leur déception et leur impatience de voir le panafricanisme prendre un nouvel élan.

En attendant, le ministère invite tous les acteurs concernés à rester attentifs aux prochaines annonces et à maintenir leur engagement envers les objectifs du congrès. En attendant, la communauté panafricaine reste dans l’attente et espère que ce rapport ne sera pas synonyme d’un recul dans la dynamique de renouveau du continent.

 

Lomé, épicentre des échanges parlementaires

Togo, 23 septembre  2024 – Lomé, la capitale dynamique du Togo, se prépare à devenir le théâtre de délibérations parlementaires cruciales qui façonneront l’avenir de la gouvernance en Afrique de l’Ouest. Du 24 septembre au 4 octobre 2024, la ville accueillera la 3e session extraordinaire délocalisée du Parlement de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) ainsi que le 2e séminaire parlementaire d’orientation pour les députés de la 6e législature.

En effet, ces rencontres, qui suivent les sessions précédentes à Abuja, Banjul et Conakry, sont une preuve de l’engagement continu de la CEDEAO à promouvoir la démocratie et la bonne gouvernance à travers des échanges constructifs et une proximité accrue avec les citoyens.

Les parlementaires ouest-africains unis pour une meilleure représentation

L’Honorable Hadja Mémounatou Ibrahima, Présidente du Parlement de la CEDEAO, ainsi que plusieurs membres influents du gouvernement togolais, ouvriront  officiellement ces événements le 24 septembre. Sevon-Tépé Kodjo Adédzé, le Président de l’Assemblée nationale togolaise, donnera le discours inaugural, lançant ainsi une série de discussions sur des sujets cruciaux pour la région.

Les points à l’ordre du jour sont d’une importance stratégique, incluant l’examen et l’adoption du budget 2025 du parlement régional, la question de la pérennité financière de l’institution, l’inclusion économique des femmes, et la modernisation des procédures parlementaires. Ces discussions s’alignent avec la Vision 2050 de l’organisation, qui aspire à une Afrique de l’Ouest unie, prospère et pacifique. Les organisateurs soulignent que ces travaux constituent une étape clé dans la réalisation de cette vision ambitieuse.

Le Parlement de la CEDEAO, en tant qu’organe législatif régional, joue un rôle fondamental dans la consolidation de la gouvernance régionale, en promouvant la démocratie, la paix, la sécurité et l’intégration économique. La session à Lomé est donc perçue comme une occasion inestimable pour les parlementaires de la sous-région de renforcer la coopération et de prendre des décisions éclairées qui impacteront positivement la vie des citoyens de l’Afrique de l’Ouest.

En conclusion, ces assises parlementaires à Lomé ne sont pas seulement un événement politique de routine; elles représentent un moment charnière où les décideurs de la CEDEAO se réunissent pour établir un dialogue ouvert, réfléchir aux défis actuels et futurs, et tracer une voie vers une gouvernance plus efficace et inclusive. C’est un temps de réflexion, mais aussi d’action, pour une Afrique de l’Ouest plus forte et plus unie.

CEDEAO : L’éthique, le ciment d’une santé de qualité

Togo, le 23 septembre 2024 – Lomé, la capitale togolaise, est le théâtre d’un événement majeur pour l’avenir de la santé publique en Afrique de l’Ouest. En effet,  la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a lancé un atelier régional crucial pour l’harmonisation et la validation des codes d’éthique et des règlements d’exercice des professionnels de santé.

Un atelier régional de la CEDEAO a ouvert ses portes à Lomé pour harmoniser les codes d'éthique des professionnels de santé.CEDEAO : Vers une meilleure protection des patients grâce à un code d’éthique harmonisé

Par ailleurs, cette initiative, qui réunit des experts de toute la région, vise à établir des normes communes pour les médecins, infirmières, pharmaciens et sages-femmes, afin d’assurer une prestation de services de santé cohérente et de qualité à travers les différents États membres.

Le Dr Melchior AÏSSI, Directeur Général de l’Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS WAHO), accompagné du Dr. Josée APETSIANYI, représentant le Ministère de la Santé et de l’Hygiène Publique du Togo, a officiellement ouvert l’atelier. Dans son allocution, le Dr AÏSSI a mis en exergue l’importance de cet atelier pour le renforcement des systèmes de santé régionaux, soulignant que l’adoption de codes d’éthique harmonisés est essentielle pour garantir des soins de santé optimaux au sein de la CEDEAO.

Un atelier régional de la CEDEAO a ouvert ses portes à Lomé pour harmoniser les codes d'éthique des professionnels de santé.L’objectif de cet atelier est double : non seulement il cherche à assurer la cohérence dans la prestation des services de santé, mais il vise également à améliorer la mobilité des professionnels de santé dans toute la région, facilitant ainsi l’accès aux soins pour tous les citoyens. Les débats approfondis sur les principaux éléments des codes d’éthique et de pratique ont marqué la première journée, témoignant de l’engagement de la région à offrir des services de santé de qualité supérieure.

L’événement, qui se déroulera jusqu’au 27 septembre 2024, est un pas de plus vers l’intégration régionale en matière de santé publique, un domaine qui a pris une importance accrue à la suite des défis posés par les récentes crises sanitaires mondiales. Les conclusions de cet atelier sont cruciales, car elles pourraient ouvrir la voie à de nouvelles approches en matière de santé, répondant ainsi aux besoins spécifiques des populations de l’Afrique de l’Ouest.

Togo-Turquie : Un partenariat économique florissant

Lomé, le 20 septembre 2024 – Les relations entre le Togo et la Turquie continuent de se renforcer. C’est ce qu’a réaffirmé l’ambassadrice turque, Muteber Kılıç, lors de sa rencontre avec le président de l’Assemblée nationale, Kodjo Adedze.

Les deux personnalités ont salué la dynamique positive qui anime les relations bilatérales depuis la visite officielle du président turc, Recep Tayyip Erdoğan, au Togo en 2020. Cette visite avait marqué un tournant décisif, donnant lieu à la signature de plusieurs accords bilatéraux dans des domaines aussi variés que la politique, l’économie et le commerce.

Une coopération fructueuse

Grâce à ces accords, les échanges entre les deux pays se sont intensifiés. Les hommes d’affaires togolais et turcs coopèrent de plus en plus étroitement, stimulant ainsi le commerce bilatéral. De plus, les facilités de visa accordées aux détenteurs de passeport diplomatique ont renforcé les liens entre les élites des deux pays.

Des perspectives prometteuses

L’ambassadrice turque a réitéré la volonté de son pays de renforcer encore davantage cette coopération. De nouvelles perspectives s’ouvrent ainsi pour les deux nations, notamment dans les domaines de l’investissement, de la culture et de l’éducation, de la santé et du commerce.

Par ailleurs, les deux diplomates ont aussi échangé sur l’intensification des relations parlementaires entre le Togo et la Turquie.

En résumé, les relations entre le Togo et la Turquie sont en pleine expansion, offrant de nombreuses opportunités pour les deux pays. En renforçant leurs liens, le Togo et la Turquie peuvent non seulement stimuler leur développement économique mais également contribuer à la stabilité et à la prospérité de la région. « Quelles seront les prochaines étapes de ce partenariat ? L’avenir nous le dira. »

Les États-Unis renforcent leur soutien à la société civile togolaise

Lomé, 19 septembre 2024 – Les États-Unis viennent d’injecter une nouvelle dynamique dans le développement socio-économique du Togo. Vingt-quatre organismes de la société civile ont été sélectionnés pour bénéficier de subventions américaines, totalisant plus de 2,5 millions de francs CFA.

Cette initiative, fruit de plusieurs programmes américains, vise à autonomiser les communautés, prévenir l’extrémisme violent et renforcer la démocratie. Grâce à ces financements, des projets d’envergure vont voir le jour dans les domaines de l’agriculture, de l’eau potable, de la bonne gouvernance et de l’inclusion sociale.

Les États-Unis injectent plus de 2,5 millions pour soutenir des projets de développement en faveur de la société civile togolaise.Un coup de pouce pour les communautés rurales

Le Fonds de l’Ambassadeur pour la Résilience, doté de 300 mille dollars, bénéficiera à seize coopératives rurales issues des régions des Savanes, de la Kara et Centrale. Lancé en 2023, ce fonds a pour objectif de prévenir l’enrôlement de jeunes hommes et femmes vulnérables dans des organisations extrémistes violentes, en renforçant la résilience communautaire et la cohésion sociale.

Les États-Unis injectent plus de 2,5 millions pour soutenir des projets de développement en faveur de la société civile togolaise.Une démocratie renforcée par la société civile

Par ailleurs, le Fonds Régional pour la Démocratie en Afrique, d’une valeur 500 mille dollars  va soutenir trois organisations non gouvernementales dans leurs efforts pour promouvoir la participation citoyenne et renforcer les institutions démocratiques. Ces financements vont permettre d’améliorer l’accès à l’information et de renforcer les capacités des acteurs de la société civile.

En outre, l‘ambassade américaine a annoncé un nouveau programme de subventions visant à renforcer les communautés par le biais de l’amélioration des processus agro-alimentaires et du soutien aux petites entreprises. Cette initiative vise également à augmenter la production agricole, garantir l’accès à l’eau potable et encourager la préservation de l’environnement. 

Un partenariat durable

En bref, ces initiatives témoignent de l’engagement continu des États-Unis à accompagner le Togo dans sa quête de développement durable. En soutenant la société civile, les États-Unis contribuent à renforcer la résilience des communautés, à promouvoir la bonne gouvernance et à favoriser l’émergence d’une société plus juste et équitable.

L’ASECNA : Le Togo soutient la candidature gabonaise

Lomé, le 19 septembre 2024 – Dans un élan de coopération africaine, le Président de la République Togolaise, Faure Essozimna Gnassingbé, a accueilli une délégation de haut niveau du Gabon ce jeudi.  La rencontre, qui s’est tenue au palais présidentiel, a été l’occasion pour le ministre gabonais des Transports, Dieudonné Loïc Ndinga Moudouma, de solliciter officiellement le soutien du Togo à la candidature de son pays pour la direction générale de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA). Cette démarche diplomatique souligne l’importance des relations bilatérales et la volonté commune de promouvoir une gestion sécurisée et efficace de l’espace aérien africain.

L’ASECNA au cœur des enjeux : Renforcement des liens aériens entre le Togo et le Gabon 

Le Général Brice Nguema, Président de la République Gabonaise, a exprimé par l’intermédiaire de son émissaire, l’importance du soutien togolais, qualifiant le Togo de « pays ami et frère ». La gratitude envers le Togo pour son soutien continu au Gabon a été clairement manifestée, renforçant ainsi les liens historiques et la solidarité entre les deux nations.

Le Président a reçu une délégation du Gabon pour discuter du soutien du Togo à la candidature gabonaise à la tête de l'ASECNA, Le ministre Ndinga Moudouma a également profité de cette occasion pour remercier le Président Gnassingbé pour l’accueil chaleureux et pour la qualité du partenariat stratégique qui unit le Togo et le Gabon, deux pays qui partagent non seulement des frontières géographiques mais aussi des aspirations communes pour le développement et la prospérité de l’Afrique.

L’ASECNA, créée en 1959, représente un pilier essentiel pour la sécurité de la navigation aérienne sur le continent africain. Elle est un exemple remarquable d’intégration économique et de coopération interétatique, gérant de manière coopérative les espaces aériens de ses États membres. Le Togo, membre depuis 1964, a toujours été un acteur clé dans les efforts visant à améliorer l’organisation et la sécurisation de la navigation aérienne, contribuant ainsi à la stabilité et à la sécurité régionales.

Cette réunion entre les représentants togolais et gabonais marque un pas de plus vers une collaboration accrue dans le domaine de l’aviation civile, un secteur vital pour le développement économique et l’intégration du continent. Elle témoigne de la volonté des deux pays de travailler ensemble pour relever les défis de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar, et de leur engagement envers une vision partagée d’un ciel africain plus sûr et plus accessible pour tous.

La Chine investit dans l’avenir du Togo

Pékin, Septembre 2024 – Sous le haut patronage de Son Excellence M. Faure Essozimna Gnassingbé, Président de la République Togolaise, le Ministère de la promotion de l’investissement a marqué sa présence au Forum sino-africain (FOCAC2024), un événement clé pour les relations économiques entre l’Afrique et la Chine.

Le forum, qui s’est tenu du 4 au 6 septembre, a été le théâtre de Conversations concluantes et de rencontres stratégiques, notamment lors d’une table ronde organisée avec la China Overseas Development Association (CODA), l’entité en charge de la promotion des investissements chinois à l’international.

Le Togo et la Chine renforcent leur partenariat économique en signant un protocole d'accord lors du Forum sino-africain de 2024.Des investissements chinois pour booster l’économie togolaise

La signature d’un protocole d’accord entre l’Agence de Promotion de l’Investissement en Zone Franche (API-ZF) du Togo et CODA a  couronné l’événement . Cet accord vise à faciliter la mobilisation d’investisseurs chinois vers le Togo et à établir des connexions solides avec le secteur privé togolais, dans le but de développer des projets de joint-venture industriels durables. Cette initiative s’inscrit dans une démarche de renforcement des capacités industrielles du Togo et de création d’emplois, tout en ouvrant la voie à une augmentation significative des échanges commerciaux entre les deux nations.

La participation togolaise à ce forum illustre l’engagement du pays envers une politique d’ouverture économique et de partenariat stratégique. Elle témoigne également de la volonté du Togo de s’insérer dans la dynamique globale de coopération Sud-Sud et de tirer parti des opportunités offertes par le gigantesque marché chinois. Avec cet accord, le Togo espère attirer des investissements dans des secteurs clés tels que l’agro-industrie, les infrastructures, l’énergie et les technologies de l’information et de la communication.

Le Togo et la Chine renforcent leur partenariat économique en signant un protocole d'accord lors du Forum sino-africain de 2024.Un partenariat d’avenir pour un Togo émergent

L’accord entre l’API-ZF et CODA est perçu comme un jalon important dans la consolidation des relations économiques sino-togolaises. Il reflète une vision commune de développement et de prospérité partagée, et pose les bases d’une collaboration mutuellement avantageuse pour les années à venir. Les observateurs internationaux saluent cette initiative, qui pourrait servir de modèle pour d’autres partenariats entre la Chine et les pays africains, dans le cadre de la nouvelle route de la soie économique que la Chine est en train de tisser à travers le continent.

En somme, la signature de ce protocole d’accord au FOCAC2024 n’est pas seulement un succès pour le Togo et la Chine, mais aussi un signal fort pour l’ensemble des acteurs économiques africains et internationaux, soulignant l’importance de la coopération et de l’intégration économique dans un monde de plus en plus interconnecté.

Le Commonwealth investit dans la jeunesse togolaise

Lomé , le 12 septembre 2024- La Commission des bourses du Commonwealth (CSC) a annoncé l’attribution de bourses d’études pour les niveaux Master et Doctorat aux étudiants togolais pour l’année universitaire 2025-2026. En effet, ces bourses, disponibles dans diverses universités du Royaume-Uni, représentent une opportunité exceptionnelle pour les jeunes aspirants à poursuivre une éducation de haut niveau dans des domaines clés.

La Direction des bourses et stages du Togo a ouvert la campagne de candidature, qui se tiendra jusqu’au 15 octobre, soulignant l’importance de cette initiative pour le développement des compétences avancées au sein de la nation.

 La Commission des bourses du Commonwealth offre une nouvelle perspective aux étudiants togolais en leur permettant de poursuivre des études Bourses Commonwealth : Une opportunité à saisir,

Le processus de candidature est structuré en deux phases essentielles. La première étape requiert des candidats de remplir leurs informations sur le site dédié de la CSC, tandis que la seconde les engage à sélectionner et postuler à deux ou trois universités de leur choix au Royaume-Uni, où ils souhaiteraient entreprendre leurs études. Cette démarche vise à simplifier le parcours des postulants et à assurer une adéquation entre leurs aspirations académiques et les offres disponibles.

La direction a également mis l’accent sur l’orientation des candidatures vers des secteurs prioritaires pour le Togo, notamment les sciences, la technologie, l’ingénierie et les mathématiques (STEM). Elle encourage vivement ces secteurs, essentiels pour le développement technologique et l’innovation, afin de satisfaire les besoins grandissants du marché du travail et de contribuer au développement durable du pays.

La Commission des bourses du Commonwealth offre une nouvelle perspective aux étudiants togolais en leur permettant de poursuivre des étudesLe ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, Kanka-Malik Natchaba, a affirmé l’engagement du gouvernement à promouvoir ces bourses, en mettant en place des actions de sensibilisation spécifiques. Il a souligné l’importance de ces bourses dans l’élargissement des horizons des étudiants togolais et dans la création d’une main-d’œuvre hautement qualifiée, capable de relever les défis de demain.

En conclusion, cette initiative de la CSC, en collaboration avec la Direction des bourses et stages du Togo, est un pas en avant significatif dans l’encouragement de l’excellence académique et professionnelle. Elle ouvre des portes à une nouvelle génération de leaders togolais, prêts à apporter leur contribution significative à la scène mondiale. Les étudiants intéressés doivent saisir cette chance unique pour façonner leur avenir et contribuer activement au développement de leur pays.

Togo : Un nouveau souffle économique grâce à la Chine

Lomé, le 12 septembre 2024  – Dans le cadre du prestigieux forum de la Coopération Sino-Africaine, l’État togolais a franchi une étape significative en organisant des tables rondes sur l’investissement, réunissant des acteurs clés du secteur privé national.

Ces discussions stratégiques ont été présidées par Manuella M. Santos, Ministre de la Promotion de l’Investissement togolais, qui a souligné l’importance de ces échanges pour le développement économique du pays. Par ailleurs, l’événement a été l’occasion de démontrer la solidité et la qualité de la relation entre l’État et le secteur privé, un partenariat essentiel pour l’essor économique du Togo.

En signant de nouveaux accords avec la Chine, le Togo a renforcé sa position sur la scène économique africaine.Accord économique : Les secteurs privés togolais et chinois s’unissent

L’un des moments forts de ce forum a été la signature de deux protocoles d’accord entre le Togo et deux institutions chinoises de premier plan : le China Africa Business Council et la China Chamber of Commerce for Import and Export of Machinery and Electronics Products. Ces accords visent à établir des partenariats durables et mutuellement bénéfiques, et à encourager l’investissement chinois dans des secteurs clés de l’économie togolaise.

Ces initiatives s’inscrivent dans une volonté plus large de l’État togolais de diversifier ses partenariats économiques et de s’ouvrir davantage au commerce international. En collaborant étroitement avec le secteur privé chinois, le Togo espère attirer des investissements qui contribueront à la modernisation de ses infrastructures, à l’innovation technologique et au développement de compétences locales.

En signant de nouveaux accords avec la Chine, le Togo a renforcé sa position sur la scène économique africaine.Les protocoles d’accord signés promettent de stimuler l’activité économique et de créer de nouvelles opportunités pour les entrepreneurs togolais. Ils représentent également un signal fort envoyé à la communauté internationale, témoignant de l’engagement du Togo envers une croissance économique inclusive et durable.

En conclusion, le forum de la Coopération Sino-Africaine a été un véritable succès pour le Togo, qui a su se positionner comme un acteur économique dynamique et ouvert sur le monde. Les accords signés avec les organisations chinoises ouvrent la voie à une ère de prospérité renouvelée, où l’investissement étranger jouera un rôle clé dans la réalisation des ambitions économiques du pays.

FOCAC : Impulsion présidentielle pour un partenariat sino-africain

Au cœur de l’effervescence du Forum sur la Coopération Sino-Africaine (FOCAC) 2024, une figure se distingue par son dynamisme : le Président Faure Essozimna Gnassingbé. Sa journée du 4 septembre ne fut pas de tout repos, ponctuée de rencontres stratégiques avec des leaders économiques et politiques. Parmi eux, le Directeur général de la CRBC togolaise, le président du CABC, ainsi que des figures de proue du Parti communiste chinois et de Greenroad International Logistics. Ces échanges, symboles d’une diplomatie active et d’une volonté de renforcer les liens sino-togolais, pourraient bien être le prélude à de nouvelles avenues de coopération et de développement pour le Togo.

Ces échanges prometteurs visent à renforcer les liens de partenariat entre le Togo et la Chine, ouvrant ainsi la voie à une ère de coopération économique florissante.CRBC et CABC : vers un nouvel Horizon pour le développement togolais

Par ailleurs, lors de la rencontre entre Monsieur Du Fei, président de la China Road and Bridge Corporation (CRBC), et le chef de l’État togolais, les deux hommes ont discuté de l’expansion de leur collaboration dans le domaine du développement des infrastructures. La CRBC, géant de l’ingénierie et de la construction avec une présence mondiale, est implantée au Togo depuis 2008 et a déjà réalisé d’importants projets, tels que la construction de routes, de ponts et de bâtiments administratifs.

Cette rencontre coïncide avec les discussions entre le Président Faure Gnassingbé et une délégation du China Africa Business Council (CABC), dirigée par son président, Monsieur Wang Wiaoyon. Le CABC, qui représente 3000 entreprises chinoises de premier plan, envisage de renforcer les partenariats avec le Togo dans plusieurs secteurs clés, notamment les infrastructures, l’énergie, la biotechnologie, l’agriculture et l’industrie manufacturière. Ces initiatives  promettent de catalyser le développement économique du Togo et de renforcer les liens sino-africains, ouvrant la voie à une ère de prospérité partagée.

Ces échanges prometteurs visent à renforcer les liens de partenariat entre le Togo et la Chine, ouvrant ainsi la voie à une ère de coopération économique florissante.Un demi-siècle de coopération sino-togolaise et d’ambitions futures

Dans cette même dynamique de visite diplomatique de haut niveau, le ministre de la coopération internationale du Parti communiste chinois, Liu Jianchao, a également eu un entretien avec le président de la République du Togo. Ils ont échangé sur les avancées et les perspectives du partenariat sino-togolais.  Ce partenariat, qui s’étend sur plus de cinquante ans, couvre une multitude de domaines tels que la politique, l’économie et le social, tout en abordant des enjeux cruciaux comme la paix, la sécurité et le changement climatique.

L’entretien a également été l’occasion pour le chef de l’État de souligner l’importance de la mobilisation des partenaires privés dans le développement du secteur aérien togolais. Dans cette optique, des discussions fructueuses ont eu lieu avec Madame Anny Xu, PDG de Greenroad International Logistics, une entreprise leader dans le domaine du transport de fret. Madame Xu a exprimé son désir d’intensifier les investissements au Togo, notamment par la création de centres logistiques stratégiques pour le transport aérien, maritime et terrestre, et par la contribution à l’autonomisation numérique du pays.

Cette initiative s’inscrit dans la continuité des efforts de Greenroad International Logistics, reconnue comme l’une des cent plus grandes entreprises de transport de fret en Chine. Avec des représentations dans plus de soixante-dix pays, dont le Togo, la société affirme son engagement à soutenir le développement économique togolais et à renforcer la compétitivité nationale sur la scène internationale.

Ces échanges prometteurs visent à renforcer les liens de partenariat entre le Togo et la Chine, ouvrant ainsi la voie à une ère de coopération économique florissante.Partenariat renforcé pour la sécurité ouest-africaine : le chef de l’État visite la CATIC

Dans la continuité de sa visite de consolidation des relations bilatérales et de renforcement de la sécurité dans la région ouest-africaine, le chef de l’État a honoré de sa présence la Société nationale d’import-export des technologies aéronautiques (CATIC).

Lors de cette visite, il a été témoin des avancées technologiques notables de la société, notamment dans la fabrication d’équipements militaires et d’aéronefs, ainsi que dans la formation d’officiers qualifiés. Reconnaissant le professionnalisme des agents de la CATIC, le chef de l’État a exprimé son intention de renforcer le partenariat avec la Chine, un acteur clé dans le développement de solutions face aux menaces sécuritaires régionales.

Les responsables de la CATIC ont accueilli avec gratitude la visite du chef de l’État, y voyant un présage favorable pour l’avenir des relations de partenariat. Cette rencontre souligne l’engagement du Togo envers une stratégie de sécurité holistique, qui intègre prévention, anticipation et projets de développement socioéconomique.

En consolidant ses efforts avec ceux de ses partenaires, le Togo illustre l’importance de la collaboration internationale pour le progrès économique durable. Cette démarche proactive renforce non seulement son développement, mais contribue également à la paix et à la stabilité régionale, démontrant ainsi que l’unité et la coopération sont des piliers essentiels pour bâtir un avenir meilleur pour tous.

L’Expansion des liens entre Haier Group et le Togo en Chine

Dans le cadre des efforts continus pour renforcer les liens économiques et commerciaux entre le Togo et la Chine, le Président Faure Essozimna Gnassingbé, lors de sa visite dans la province de Shandong, a exploré les opérations de Haier Group, un géant mondial de l’électroménager et de la technologie. Cette visite s’inscrit dans le contexte du Forum sur la Coopération Chine-Afrique (FOCAC) 2024, un événement clé pour le développement des relations sino-africaines.

Engagement de Haier Group, leader mondial dans l'électroménager et la transformation numérique, pour une vie meilleure. Haier Group: Un Leader Mondial Innovant

Haier Group, reconnu comme le deuxième plus grand fabricant mondial d’appareils audiovisuels, informatiques, de télécommunication et d’équipements électroménagers, est un exemple éminent de l’innovation et de l’expansion chinoises. Avec une branche dédiée à la santé, Haier Biomedical, le groupe se positionne comme un fournisseur de solutions pour une vie meilleure et un acteur majeur de la transformation numérique.

Une présence globale et des partenariats stratégiques

Avec une présence dans 160 pays, 117 usines, 34 parcs industriels, 10 centres de recherche et développement, et un réseau de 230 000 points de vente, Haier Group illustre la portée mondiale de l’industrie chinoise. En 2023, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires impressionnant de 32,6 milliards d’euros, grâce à ses 100 000 collaborateurs. En Afrique, Haier  est présent dans plusieurs pays, dont le Nigéria, l’Égypte, l’Afrique du Sud, le Rwanda, le Maroc, le Sénégal, le Ghana, le Burkina-Faso et le Togo, soulignant son engagement envers le continent.

Engagement de Haier Group, leader mondial dans l'électroménager et la transformation numérique, pour une vie meilleure. Des accords significatifs pour l’avenir

La signature de mémorandums d’entente (MOU) dans les domaines de la santé et de l’énergie a marqué la visite, démontrant ainsi la volonté de collaboration entre Haier et le Togo. Le président Gnassingbé a assisté à la signature de ces accords par la ministre de l’industrie et de la promotion des investissements, Manuella Santos, et le ministre de l’énergie et des mines, Robert Koffi Eklo.

renforcement des relations bilatérales

Le président togolais, Faure Gnassingbé, a mené également des pourparlers fructueux avec Zhou Naixiang, gouverneur de la province de Shandong. Cette rencontre a permis de consolider les liens bilatéraux et d’explorer de nouvelles avenues de coopération entre le Togo et la province chinoise.

Ces discussions stratégiques, axées sur le renforcement des partenariats économiques, pourraient bientôt aboutir à l’accueil d’investisseurs chinois au Togo, marquant ainsi une étape significative dans le développement économique du pays et l’approfondissement de ses relations diplomatiques avec la Chine.

En conclusion, la visite de Faure Essozimna Gnassingbé en Chine, marquée par la signature de mémorandums avec Haier Group , souligne une étape significative dans le renforcement des liens économiques entre la province de Shandong et la République de Togo.

Cette immersion dans l’univers de l’innovation et de la technologie de pointe, ainsi que les discussions fructueuses avec les hauts responsables chinois, ouvrent la voie à de nouvelles opportunités d’investissement et à une collaboration accrue dans les secteurs vitaux de la santé et de l’énergie.  L’engagement de partenaires internationaux tels que Haier Group illustre l’importance croissante de l’Afrique sur la scène mondiale et promet un avenir prometteur pour le développement économique et technologique du continent.

 

FOCAC : dynamisme et synergie pour le partenariat Togo-Shandong

Dans une ère où la collaboration internationale est la clé du progrès économique, le Président togolais, Faure Essozimna Gnassingbé, a entrepris une visite significative en Chine précisément dans la province de Shandong . En effet, cette démarche s’inscrit dans le cadre du neuvième Forum économique sino-africain (FOCAC 2024), un événement qui souligne l’importance croissante des relations sino-africaines.

La visite du Président togolais dans la province de Shandong en marge des FOCAC2024 offre de nouvelles perspectives de collaborationUn pont entre l’Afrique et l’Asie : Le Togo au cœur des échanges sino-africains

Au second jour de sa visite en Chine , le chef de l’État a été accueilli avec les honneurs dans la province de Shandong  à plus de 500 km de la capitale Pékin, reconnue pour sa robuste économie. Cette étape a permis au Président Gnassingbé de s’immerger dans le tissu industriel et socio-économique chinois, et de rencontrer des acteurs économiques majeurs.

La province de Shandong,  l’une des plus prospères de Chine, a offert au président togolais un aperçu de son statut de hub financier, naval, logistique et agricole. Le président a notamment visité le port de Qingdao, classé parmi les ports à conteneurs les plus performants au monde, où il a rencontré des investisseurs et opérateurs économiques désireux d’établir des partenariats avec le Togo.

La visite du Président togolais dans la province de Shandong en marge des FOCAC2024 offre de nouvelles perspectives de collaborationInnovation et développement : Les accords de Shandong 

Ces rencontres ont abouti à la signature de plusieurs mémorandums d’entente, jetant les bases de partenariats à long terme et soulignant l’engagement des deux nations pour un développement mutuel. Ces accords promettent de stimuler l’économie togolaise et de renforcer sa position en tant que partenaire commercial stratégique en Afrique.

Lors d’un déjeuner officiel, le président Gnassingbé a pu apprécier les potentialités de la province de Shandong et a exprimé son intérêt pour les initiatives de développement durable et d’innovation technologique présentées par les autorités locales.

Qingdao : Un modèle de développement portuaire

Le point d’orgue de la visite a été la découverte du terminal automatisé de Shandong Port Group à Qingdao. Le Président a pu apprécier les avancées technologiques et l’engagement de la Chine dans la construction de ports intelligents, qui jouent un rôle crucial dans la logistique internationale et le commerce.

La visite a également mis en lumière les liens étroits entre le port de Qingdao et celui de Lomé, illustrant l’importance de la collaboration portuaire dans le renforcement des échanges commerciaux et économiques entre la Chine et le Togo.

En en bref, cette visite présidentielle marque une étape significative dans le renforcement des relations sino-africaines et ouvre la voie à de nouvelles opportunités de coopération, dans l’espoir d’un avenir prospère partagé entre les deux régions.