Élections au Togo : Un modèle de transparence et de paix

L’envoyée spéciale de la CEDEAO, Madame Fatoumata Jallow-Tambajang, a transmis au Président Faure Essozimna Gnassingbé, ce 30 avril 2024, les résultats de l’observation des élections législatives et régionales au Togo. La mission a été marquée par une atmosphère de calme et d’ouverture, et les procédures se sont déroulées avec une clarté exemplaire.

La CEDEAO a mobilisé  41 observateurs répartis à travers les cinq régions du Togo, afin de veiller à ce que les élections se déroulent bien« Les scrutins se sont distingués par leur clarté et leur accessibilité dans l’ensemble des cinq régions observées. La mission  a noté la présence de toutes les entités concernées. La Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI) s’est distinguée par son efficacité et sa communication fluide. L’assiduité des citoyens aux urnes s’est faite dans le respect des normes établies. La CEDAO a également observé une participation juvénile remarquable. La satisfaction générale prévalait, et plus essentiellement, tout s’est accompli dans un esprit de tranquillité et de concorde, sous la vigilance des forces de l’ordre », a souligné la cheffe de la mission.

L’ex-vice-présidente gambienne a exprimé sa reconnaissance envers le dirigeant togolais pour avoir ménagé un cadre propice à la tenue d’un scrutin démocratique.

« Nous exprimons notre gratitude à Son Excellence, le Président de la République, pour son rôle déterminant dans la création d’un cadre serein et stable, essentiel à la réalisation d’élections sereines, ouvertes et limpides », a-t-elle déclaré.

Il est à noter que la CEDEAO a mobilisé une délégation de 41 observateurs répartis à travers les cinq régions du Togo, afin de veiller à ce que les élections se déroulent conformément aux directives de l’organisation régionale, comme stipulé dans son Protocole additionnel.

Élections togolaises: Un pas vers la stabilité démocratique

En ce jour solennel du 30 avril 2024, le chef de l’État togolais, Son Excellence Faure Essozimna Gnassingbé, a honoré de sa présence une assemblée éminente de la Mission d’observation électorale de l’Union africaine, présidée par l’éminent Ambassadeur Calixte Aristide Mbari. Depuis le 21 avril, cette illustre délégation foule le sol togolais, témoignant de la vitalité démocratique à travers leur surveillance des joutes législatives et régionales qui se sont achevées la veille.

L’Union africaine a exprimé sa satisfaction quant à la participation croissante des femmes dans ces élections togolaisesLe rapport de l’Union africaine sur les élections togolaises

En outre, l’Ambassadeur Mbari, en tant que représentant de cette vénérable institution panafricaine, a exposé au dirigeant suprême un compte rendu détaillé de leur mission, nourrissant l’espoir que le dénouement de ces scrutins puisse renforcer les assises démocratiques, la sérénité et l’équilibre de la nation. « Après avoir scruté avec minutie le déroulement des élections, il nous est apparu impératif de rencontrer le dirigeant suprême afin de lui faire part de nos observations sur la gestion du scrutin et de discuter avec Sa Majesté de diverses préoccupations essentielles pour le renforcement de la démocratie. Les entretiens se sont avérés fructueux, et nous aspirons à ce que les résultats électoraux favorisent l’enracinement démocratique, la pérennisation de la paix et la stabilité », a-t-il affirmé.

L’éloge de l’inclusivité et de l’organisation des scrutins

De surcroît, la délégation a loué l’excellente tenue et l’inclusivité du processus électoral. « Ce qui nous a particulièrement frappés, c’est la participation de tous les partis politiques à cette épreuve électorale. Cela constitue un pilier essentiel. Il est donc impératif de saluer l’engagement de la classe politique togolaise qui a pris part à cette compétition démocratique, synonyme de cohésion nationale », a insisté l’Ambassadeur.

Finalement, l’Union africaine a exprimé sa satisfaction quant à la participation croissante des femmes dans ces élections togolaises et leur présence notable sur les listes électorales. L’organisation continentale incite vivement la nation à redoubler d’efforts pour assurer une représentation féminine encore plus significative au sein de l’Assemblée nationale et des autorités gouvernementales régionales.

Togo: L’électrification pour tous avec le Fonds Tinga

Inauguré en avril 2022, le Fonds Tinga se déploie avec vigueur pour démocratiser l’accès à l’électricité dans les contrées défavorisées du Togo. En effet, après avoir illuminé les régions septentrionales, centrales et des plateaux, le projet éclaire désormais la région Maritime. Par ailleurs, la ministre de l’Énergie et des Mines, Mila Aziablé, a célébré cette expansion avec une cérémonie inaugurale à Tsévié récemment.

Élaboré en collaboration avec la Compagnie Énergie Électrique du Togo (CEET), le Fonds Tinga est une stratégie innovante pour surmonter les obstacles financiers à l’électrification pour les communautés à faible revenu. Ainsi, il offre la possibilité aux familles de s’affilier au réseau électrique pour une contribution initiale modique de 1 000 FCFA, une somme bien moindre que les 100 000 FCFA habituellement exigés, et prévoit un échelonnement du paiement restant sur 4 à 10 ans, adapté aux ressources des foyers.

« De plus, nous visons à étendre ce fonds à chaque district de la région Maritime. À cet égard, à Tsévié, nous planifions l’installation de 240 km de lignes électriques », a promis la ministre.

En l’espace de deux ans, le Fonds Tinga a raccordé près de 42 000 domiciles, impactant positivement la vie d’environ 300 000 habitants des Savanes, de la Kara, de la Centrale et des Plateaux. Enfin, porté par une ambition résolue de faire de l’énergie un levier de progrès social et économique, le gouvernement togolais aspire à connecter 1,2 million de foyers à travers le pays d’ici 2030.

Intégration régionale en Afrique : Un nouveau chapitre à Kasane

Kasane, Botswana – La Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) se trouve actuellement au premier plan d’un événement d’envergure internationale, l’“Atelier de Haut Niveau sur l’Intégration Régionale”. Ce rassemblement prestigieux, qui se déroule du 28 au 30 avril 2024, est le théâtre de discussions cruciales sur le thème “43 ans d’Intégration Régionale : Où en sommes-nous et perspectives d’avenir ?”.

Un objectif commun pour l’Afrique

D’emblée, l’atelier s’est donné pour mission de parvenir à une compréhension plus approfondie et à une collaboration renforcée, afin de propulser l’Agenda d’Intégration Régionale de la Communauté de Développement de l’Afrique Australe (SADC) vers de nouveaux horizons.

La CEDEAO se trouve au premier plan d’un événement d’envergure internationale, l’“Atelier de Haut Niveau sur l’Intégration Régionale”.Les acteurs clés de l’intégration

Par ailleurs, les participants, parmi lesquels figurent des hauts fonctionnaires de la SADC, de l’Union Africaine, de la Commission Économique pour l’Afrique (CEA), de la CEDEAO et de la Banque Mondiale, s’attellent à une mission quadruple :

  1. Évaluer l’importance et les progrès de l’agenda d’intégration de la SADC et envisager les futures étapes.
  2. Proposer des réformes politiques et des améliorations réglementaires et institutionnelles pour consolider la coopération régionale.
  3. Identifier des projets prioritaires et des collaborations pour stimuler l’intégration régionale et le développement durable.
  4. Documenter les opportunités, les défis, les enseignements et les bonnes pratiques en matière d’intégration régionale.

La CEDEAO : Un modèle d’expérience

En outre, la présence de la CEDEAO est d’une importance capitale, offrant à la SADC une occasion unique de bénéficier de l’expérience de la CEDEAO en matière d’intégration régionale, expérience qui pourrait s’avérer cruciale pour renforcer les initiatives de la SADC.

Enfin, la délégation de la CEDEAO est menée par l’éminent Ambassadeur Francis OKE, Représentant permanent auprès de l’Union africaine, et M. Albert SIAW-BOATENG, Directeur de la libre circulation des personnes et de la migration, représentant S.E. Dr. Alieu Omar TOURAY, Président de la Commission de la CEDEAO, et Mme Massandjé TOURE-LITSE, Commissaire aux affaires économiques et à l’agriculture.

En somme, cet atelier est un jalon significatif dans le parcours de l’intégration régionale, marquant à la fois une rétrospective des 43 années écoulées et une projection vers un avenir prometteur d’unité et de prospérité partagée.

CEDEAO: Mobilisation pour la Gouvernance et la Sécurité

Dans une démarche proactive, la Commission de la CEDEAO orchestre une session de réflexion de deux jours, du 29 au 30 Avril 2024, à Abidjan, Côte d’Ivoire. Cette initiative stratégique vise à évaluer et renforcer les mécanismes de gouvernance, de paix et de sécurité dans la région.

Enjeux critiques et délibérations sur la gouvernance et de sécurité en Afrique

Ensuite, les discussions se concentreront sur plusieurs problématiques cruciales : la recrudescence des coups d’État, les reculs démocratiques, la baisse de l’engagement politique, l’escalade de la violence politique, et les répercussions du chômage des jeunes. Ces sujets, au cœur des préoccupations de la Commission, appellent à des solutions innovantes pour encourager la stabilité et la démocratie.

Engagements et ouverture officielle

Par ailleurs, lors de l’inauguration, S.E. l’Ambassadeur Abdel-Fatau Musah a réitéré l’engagement de la Commission à collaborer étroitement avec le Conseil des Sages pour adresser ces crises. L’ex-Président nigérian, Son Excellence Goodluck Ebele Jonathan, a souligné l’importance du soutien continu du Conseil par la Commission.

Des messages de soutien ont été également  exprimés par les représentants du GiZ et de l’Union Européenne. La présence des experts régionaux et des représentants du Président de la Commission témoigne de l’importance accordée à cette session.

Finalement, le Conseil des Sages, fort de son expérience et de sa sagesse, joue un rôle déterminant dans l’analyse des enjeux régionaux et dans la formulation de recommandations éclairées, contribuant ainsi à façonner un avenir plus pacifique et sécurisé pour l’Afrique de l’Ouest.

Changement de garde à la Cour constitutionnelle togolaise

Djobo-Babakane Coulibaley a solennellement embrassé le leadership de la Cour Constitutionnelle le dernier dimanche d’avril, peu de temps après avoir été désigné par la voie d’un décret présidentiel. La transition officielle des pouvoirs, orchestrée par le ministre des Droits de l’homme, Pacôme Adjourouvi, signale un tournant décisif dans la pérennité des institutions nationales.

Transmission de pouvoir dans la haute institution

Lors de la cérémonie empreinte de gravité, Kouami Amados-Djoko, qui occupait jusqu’alors la présidence par intérim de l’éminente institution, a cédé sa place à Djobo-Babakane Coulibaley, qui succède à Abdou Assouma, dont le décès est récent. « En prenant possession de mon poste, je suis conscient des devoirs et des charges qui m’incombent, car une juridiction constitutionnelle est naturellement le théâtre de défis majeurs, étant donné son implication directe dans la gestion et la transmission du pouvoir politique », a admis le président entrant lors de son discours.

Un contexte électoral crucial

Par ailleurs, l’investiture de Djobo-Babakane Coulibaley coïncide avec une période charnière, précédant un scrutin législatif et régional imminents. En ce début de semaine, environ 4,2 millions de citoyens togolais convoquent leurs représentants pour l’élection de 113 députés et, pour la première fois dans l’histoire de la nation, pour élire 179 conseillers régionaux qui siégeront au Sénat.

La Cour constitutionnelle : pilier de l’intégrité électorale

La Cour, composée de neuf membres et renouvelable une fois tous les six ans, reste le bastion de la Constitution et joue un rôle prépondérant dans le déroulement des élections. Chargée de veiller à la régularité du scrutin, d’arbitrer les contestations électorales et de confirmer les résultats, ses prérogatives sont essentielles pour garantir la légitimité des élus et l’adéquation des procédures avec les lois en vigueur.

Enfin, Djobo-Babakane Coulibaley assume ses responsabilités à un moment où l’anticipation est palpable, alors que la nouvelle constitution, ratifiée par les législateurs, attend sa promulgation par le Chef de l’État, suite à un renvoi pour une seconde lecture.

Vote et vision: L’UFC en quête d’unité

Le lundi 29 avril 2024, une nouvelle page s’écrit dans l’histoire politique de la nation avec le déroulement des scrutins législatifs et régionaux. Dès l’aube, Isaac Tchiakpe, le porte-étendard de l’Union des Forces du Changement (UFC) pour la zone d’Agoè-Nyivé, a franchi les portes du lycée de Zanguéra pour voter, marquant ainsi sa participation à l’exercice démocratique.

« Voter est un acte citoyen essentiel. La tranquillité et l’ordre caractérisent le processus jusqu’à présent. Notre aspiration est que cette atmosphère paisible perdure tout au long du dépouillement et de la communication des résultats », a exprimé M. Tchiakpe après avoir voté.

Profitant de cette occasion, M. Tchiakpe a renouvelé son engagement envers la paix et l’unité nationale durant cette période électorale.

« Il est impératif que chaque candidat et dirigeant de parti politique cultive une conduite exemplaire, en incitant leurs partisans à la retenue et à éviter toute déclaration pouvant engendrer des discordes. Face à d’éventuels litiges, il convient de se référer à la décision de la Cour suprême pour les élections régionales et de la Cour constitutionnelle pour les législatives. Nous restons optimistes, car notre vision pour le développement du pays a rencontré un écho favorable durant la campagne », a-t-il conclu.

Ces élections interviennent dans un contexte de réformes constitutionnelles controversées, transformant le Togo d’un régime présidentiel à un régime parlementaire. La participation de l’opposition, après avoir décidé de ne pas boycotter ces élections, est un signe de la vitalité démocratique du pays malgré les défis et les réserves exprimées par certains observateurs.

 

Togo 2024: Un vote pour l’avenir démocratique

Le Togo a franchi une étape décisive dans son parcours démocratique avec la réalisation des élections législatives et régionales le 29 avril 2024, un événement qui s’inscrit dans le cadre d’une réforme constitutionnelle majeure. Le président de la République a pris part au vote dans la préfecture de la Kozah, à Pya, son village natal, marquant ainsi son engagement personnel envers la démocratie et le développement politique du pays.

Le président de la République a pris part au vote dans la préfecture de la Kozah, à Pya, son village natal,Dans son message sur son compte X, le président a non seulement annoncé son vote mais a également mis en exergue la tranquillité et la paix qui ont caractérisé le déroulement du scrutin sur tout le territoire national. Il a encouragé ses concitoyens à voter dans le calme et la sérénité, soulignant l’importance de leur participation pour la consolidation des acquis démocratiques du Togo.

Ces élections sont particulièrement notables car elles se déroulent après une période de transformation constitutionnelle, où le pays a adopté une nouvelle constitution et proclamé une nouvelle République. Ce changement représente un moment charnière, reflétant les aspirations du peuple togolais à une gouvernance plus inclusive et représentative.

Le scrutin de 2024 est donc un test crucial pour la stabilité politique et l’avenir démocratique du Togo. Il offre une occasion unique pour les citoyens de façonner le paysage politique et de participer activement à la direction de leur nation. Avec ces élections, le Togo espère ouvrir un nouveau chapitre de son histoire, un chapitre où la démocratie est non seulement préservée mais également renforcée.

Victoire Tomegah-Dogbé a exercé son droit de vote à Badougbé

Les centres électoraux ont entamé le processus de vote pour les scrutins législatifs et régionaux en ce jour, le 29 avril 2024. Mme Victoire Tomegah-Dogbé, en lice pour les législatives sous la bannière du parti UNIR, a exercé son droit de vote à Badougbé, son bastion électoral.  Par ailleurs, elle a exprimé son admiration pour l’engagement pacifique des votants.

« J’ai été témoin d’une remarquable affluence ce matin, suite à l’exercice de mon droit de vote. La foule s’est déplacée en masse pour participer au vote. L’atmosphère est paisible, empreinte de tranquillité et de sérénité. La démocratie togolaise progresse », a-t-elle partagé avec les médias après avoir quitté le bureau de vote.

Mme Victoire Tomegah-Dogbé, en lice pour les législatives sous la bannière du parti UNIR, a exercé son droit de vote à BadougbéMme Dogbé a également loué l’atmosphère sereine prévalant dans les centres de vote qu’elle a visités.

« Je tiens à remercier le Seigneur pour ces instants exceptionnels de campagne que nous avons vécus, deux semaines d’échanges avec nos concitoyens. Ce fut une mobilisation impressionnante, emblématique de l’esprit civique et républicain », a souligné Mme Dogbé.

Mme Victoire Tomegah-Dogbé, en lice pour les législatives sous la bannière du parti UNIR, a exercé son droit de vote à BadougbéLes élections actuelles visent à désigner 113 parlementaires pour la nouvelle législature de l’Assemblée nationale ainsi que 179 conseillers régionaux, marquant la première occurrence d’élections régionales au Togo.

En outre, Les conseillers régionaux, conjointement avec les conseillers municipaux, nommeront les membres du Sénat récemment institué.

Ce vote simultané fait suite à la ratification d’une nouvelle Constitution par l’Assemblée nationale le 19 avril, transitionnant le Togo d’un système présidentiel vers un système parlementaire.

D’après cette réforme, unanimement approuvée par les parlementaires, le président sera désormais élu pour un mandat de quatre ans, renouvelable une seule fois, et ce, par les parlementaires plutôt que directement par la population.

Scrutin togolais: Un tournant démocratique

Ce lundi, le Togo vit une journée historique avec la tenue de ses élections législatives et régionales. Plus de quatre millions de citoyens togolais sont appelés à exprimer leur voix dans les isoloirs, sélectionnant parmi un large éventail de 2 352 prétendants pour désigner 113 législateurs et, une première dans l’histoire du pays, 179 représentants régionaux pour le Sénat, d’après les données de la Commission électorale nationale autonome (CENI).

La période de propagande électorale, qui s’est déployée du 13 au 27 avril, s’est achevée dans une atmosphère majoritairement tranquille, en dépit des enjeux de sûreté qui demeurent dans la partie septentrionale de la nation.

L’exécutif togolais a consacré une enveloppe de 650 millions de francs CFA pour épauler les formations politiques tout au long de cette conjoncture électorale, manifestant de la sorte sa détermination pour une procédure démocratique limpide et juste. Les centres de suffrage, au total de 14 271, accueilleront les votants de l’aube jusqu’à la fin de l’après-midi.

La Force de sécurité pour les élections législatives et régionales de 2024 (FOSELR 2024), composée de 12 000 gendarmes et policiers, mobilise ses membres pour garantir la protection des votants. Elle s’engage à maintenir une atmosphère paisible, cruciale pour le bon déroulement du vote. Parallèlement, elle assure que les frontières terrestres demeureront fermées de la nuit jusqu’à la clôture du jour de scrutin, afin de préserver l’ordre public.

En outre, des délégations d’observateurs de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao), de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) et de l’Union africaine (UA) sont présentes pour veiller au processus électoral. Divers acteurs de la société civile, tous engagés, secondent ces délégations d’observateurs pour garantir l’intégrité des procédures de vote et de comptage. Au cours de la semaine, les organisateurs divulgueront progressivement les résultats préliminaires.