Campagne promotionnelle de la 19e foire internationale de Lomé

Lomé, le 16 mai 2024 – Une nouvelle ère s’annonce pour l’économie togolaise avec le démarrage officiel de la campagne de promotion de la 19e édition de la Foire Internationale de Lomé (FIL) et de la 5e édition de la Foire Made in Togo. La Ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale, Madame Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, a marqué de sa présence l’événement qui a eu lieu le 14 mai au Centre Togolais des Expositions et Foires (CETEF).

La 19e Foire Internationale de Lomé et la 5e Foire Made in Togo lancent une dynamique économique inclusive, axée sur les normesUne cérémonie prestigieuse : Vision et Objectifs de la 19e FIL

La cérémonie a réuni des personnalités de marque, incluant des membres du gouvernement, des autorités traditionnelles et des partenaires institutionnels, ainsi que des exposants et des journalistes. Dans une ambiance solennelle, Madame la Ministre a inauguré la campagne, annonçant une série d’initiatives visant à propulser la visibilité et le succès des foires à venir.

Par ailleurs, Le Directeur du CETEF, Monsieur Alexandre De Souza, a souligné l’importance de cette édition qui se tiendra du 22 novembre au 8 décembre 2024. Le thème choisi, « Normes et qualité des produits et services : outils de compétitivité et d’accès aux marchés connectés », met aussi l’accent sur l’impératif d’adhérer aux standards internationaux pour conquérir de nouveaux horizons commerciaux. Cette édition promet d’être un carrefour d’opportunités, unifiant les acteurs économiques locaux et internationaux dans un esprit d’inclusion et de qualité.

Hommage et stratégies : vers une nouvelle ère d’expansion économique et commerciale

Madame MIVEDOR-SAMBIANI a rendu hommage au Président de la République, Monsieur Faure Essozimna GNASSINGBE, pour son engagement envers la paix et la prospérité du Togo. Elle a également mis en lumière le rôle crucial de la FIL dans l’expansion économique du pays, la qualifiant de catalyseur de croissance et de plateforme d’échange privilégiée.

En outre , La Ministre a réitéré l’engagement du gouvernement à soutenir les entreprises locales dans leur quête de compétitivité internationale. elle a insisté sur la conformité aux normes globales, essentielle pour l’intégration des marchés et la pérennité des échanges commerciaux.

La République du Mali à l’honneur de la 19e Foire

La 19e FIL accueillera la République du Mali en tant qu’invité d’honneur, soulignant les liens forts entre les deux nations. Par ailleurs, la Foire Made in Togo, prévue du 26 juillet au 4 août 2024, mettra en avant les produits locaux, encourageant ainsi leur consommation et leur rayonnement.

En conclusion, ces événements s’annoncent comme des rendez-vous incontournables pour les acteurs économiques désireux de s’inscrire dans une dynamique de croissance et d’ouverture sur le monde.

Lomé s’illumine aux saveurs de l’Afrique lors du prestigieux FESMA

Lomé, la capitale togolaise, s’est transformée en un épicentre de délices culinaires avec le lancement du prestigieux Festival la Marmite (FESMA), qui se tient pour la troisième année consécutive.

Le 15 mai 2024, l’esplanade du Palais des Congrès s’est parée de ses plus beaux atours pour accueillir cet événement sous le haut patronage de Madame Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, Ministre du Commerce, de l’Artisanat et de la Consommation Locale. Placé sous le signe de la transformation agricole et de l’exaltation des produits du terroir, le festival a ouvert ses portes dans une ambiance festive et colorée.

Le cœur culinaire de l'Afrique à travers le FESMA, où Lomé célèbre la richesse gastronomique togolaise et africaine,Palette de Goûts : Un voyage culinaire togolais avec le FESMA

En effet, Depuis sa création en 2021 par l’Agence de communication Focus Yakou, le FESMA est devenu un rendez-vous incontournable, rassemblant une pléiade d’exposants et de chefs cuisiniers de renom, venus des quatre coins du Togo et d’Afrique. Les visiteurs ont l’opportunité unique de goûter à une variété de plats traditionnels, tels que l’Alele, l’Ayimolu, le Djenkoumé, ou encore le Gboma accompagné d’Akumè, sans oublier les liqueurs artisanales à base de souchet et de gingembre.

Jean-Paul AGBOH AHOUELETE, Commissaire général du festival, a souligné lors de la cérémonie d’ouverture que le FESMA est désormais un point de rencontre essentiel pour les cultures culinaires africaines. Il a mis en lumière l’importance du festival non seulement comme un événement artistique et touristique, mais aussi comme une célébration des professionnels de l’alimentation.

Le FESMA s’inscrit dans les initiatives de soutien à la politique de consommation locale du gouvernement togolais, avec l’ambition de faire de Lomé la capitale de la gastronomie africaine et de promouvoir l’inscription de la cuisine togolaise au patrimoine mondial de l’UNESCO.

L’édition de cette année, qui se déroulera jusqu’au 20 mai 2024, promet une riche programmation incluant des colloques, des formations, des masterclasses, des ateliers, des concours, ainsi que des rencontres professionnelles et des animations culturelles, couronnées par une soirée de gala. Un festin pour les sens, le FESMA continue de tisser des liens entre les gourmets et les traditions culinaires, tout en mettant en valeur le patrimoine gastronomique du Togo.

Togo : Innovation et Inclusion financière à l’ère numérique

Lomé, Togo – Dans une démarche résolument tournée vers l’avenir, le Togo, sous l’égide de la Ministre Mazamesso Assih, a accueilli la troisième édition du Forum International de l’Intermédiation, du Numérique et de l’Innovation (Foni Afrique). Ce sommet, qui s’est tenu au nom du Président de la République, SEM Faure Essozimna Gnassingbé, a mis en lumière les avancées significatives du pays en matière d’inclusion financière.

Les avancées du Togo en inclusion financière et transformation numérique, ce récit met en lumière les efforts du pays pour l'économieUn forum axé sur l’innovation et l’inclusion

En effet, le thème de cette année, « Intermédiation et financement des PME/PMI pour une inclusion sociale, numérique, économique et financière », a mis en exergue l’importance cruciale de soutenir les PME/PMI en tant que levier de croissance inclusive. Par ailleurs, la Ministre Assih a souligné les réformes profondes entreprises par le Togo afin de promouvoir une transformation numérique, redéfinissant ainsi le paysage financier du continent.

En outre, le Togo a initié des réformes sans précédent visant à intégrer les progrès technologiques dans son système financier, ce qui a facilité l’apparition de nouveaux acteurs, tels que les fintechs, et la mise en place de canaux innovants pour la distribution des produits et services financiers.

Les avancées du Togo en inclusion financière et transformation numérique, ce récit met en lumière les efforts du pays pour l'économieVers une inclusion financière durable

La Ministre Assih a exprimé son désir de voir émerger des solutions innovantes pour une inclusion financière durable. Elle a souligné l’engagement du Togo à créer un environnement propice au développement des PME/PMI, essentielles à l’économie du pays et à l’inclusion financière de ses citoyens.

En somme , Le Togo, avec le soutien de ses dirigeants et la collaboration internationale, se positionne comme un leader dans le domaine de l’inclusion financière en Afrique. Le Foni Afrique est un témoignage de cet engagement et de la volonté du pays de partager son expérience et de collaborer pour un avenir prospère et inclusif.

La PIA Togo dynamise le commerce régional

Dans une démarche proactive visant à renforcer l’intégration économique régionale, la Plateforme Industrielle d’Adétikopé Togo (PIA) a accueilli le mercredi 15 mai 2024 une prestigieuse délégation des directeurs généraux des conseils de chargeurs des pays enclavés. Cette initiative stratégique avait pour objectif principal d’explorer les opportunités logistiques qu’offre la PIA pour optimiser les transferts et l’évacuation des conteneurs.

La PIA renforce le commerce intrarégional en accueillant une délégation des pays enclavés, explorant des solutions logistiques innovantesAu cours de cette visite, les discussions ont porté sur les défis majeurs auxquels sont confrontés les pays enclavés en matière de logistique. Dans cet esprit, la PIA a présenté ses solutions innovantes conçues pour améliorer significativement l’efficacité des opérations de transport.

Les participants ont également eu l’occasion de visiter les infrastructures clés de la PIA, y compris les entrepôts modernes, le port sec fonctionnel et l’usine de textile de pointe, témoignant ainsi de la capacité de l’agence à répondre aux besoins logistiques complexes.

La PIA renforce le commerce intrarégional en accueillant une délégation des pays enclavés, explorant des solutions logistiques innovantesCette journée, qualifiée de fructueuse par tous les participants, a non seulement renforcé les liens de coopération existants, mais a également ouvert de nouvelles perspectives pour le commerce intrarégional. En facilitant les échanges commerciaux et en soutenant les économies des pays enclavés, la PIA s’affirme comme un acteur clé dans le développement économique de la région.

Avec ces efforts continus, la PIA Togo s’engage à être un catalyseur de croissance, promettant un avenir prospère pour le commerce intrarégional en Afrique de l’Ouest.

Le Togo brille à la 108e Session du Comité de la Sécurité Maritime

Lomé, le 16 mai 2024 – La participation active du Togo à la 108e session du comité de la sécurité maritime (MSC108) est un signe éloquent de l’engagement du pays dans la gouvernance des mers. La session, qui a débuté hier, le 15 mai 2024, au siège de l’Organisation Maritime Internationale (OMI), réunit les délégués du monde entier pour huit jours de délibérations intensives.

Le Togo s'illustre à la 108e session de l'OMI, où il contribue activement à l'adoption de réglementations pour renforcer la sécurité maritimeL’appel de l’OMI pour la libération du Galaxy Leader résonne à la 108e Session du Comité de la Sécurité Maritime

Les travaux de cette session sont cruciaux, car ils visent à adopter des réglementations renforcées pour la sécurité et la sûreté maritime, des enjeux de plus en plus prégnants dans un contexte global d’insécurité croissante en mer. Le secrétaire général de l’OMI, M. Arsenio Dominguez, a mis en exergue la situation alarmante dans la mer Rouge, où le navire “Galaxy Leader” et son équipage sont retenus en otage depuis le 19 novembre 2023. Il a lancé un appel pressant pour leur libération immédiate.

Au programme de la MSC108, des amendements aux instruments obligatoires sont à l’ordre du jour, notamment les conventions internationales pour la sauvegarde de la vie humaine en mer (SOLAS) et sur les normes de formation, de certification et de veille pour les pêcheurs (STCW-F). Les réviseurs mettront à jour les codes International Maritime Dangerous Goods (IMDG) et Standards of Training, Certification, and Watchkeeping (STCW), ainsi que divers recueils. Cette révision active garantira que les normes restent pertinentes et efficaces pour la sécurité maritime internationale.

Le Togo, en tant que membre actif de l’OMI, joue un rôle déterminant dans l’élaboration de ces réglementations essentielles. La délégation togolaise, dirigée par des experts en sécurité maritime, contribue avec expertise et détermination aux discussions, reflétant l’importance que le pays accorde à la sécurité des voies maritimes et à la protection de l’environnement marin.

En somme, cette session est une opportunité pour le Togo de renforcer sa position sur la scène internationale et de collaborer avec ses partenaires pour assurer un avenir plus sûr et plus durable pour la navigation maritime.

 

Rencontre clé pour l’avenir de la jeunesse burundaise

Dans une réunion importante cet après-midi, le bureau du Conseil National de la Jeunesse Burundaise (CNJB), sous la direction de Dr. Ingabire et son équipe, a chaleureusement accueilli la nouvelle ambassadrice de l’East African Community Youth Ambassadors Platform (EAC-YAP), Belyse Nia, accompagnée de ses collègues. En effet,  Cette rencontre a été l’occasion d’échanger sur les perspectives de collaborations futures visant à soutenir le développement de la jeunesse au Burundi.

Par ailleurs , les discussions ont porté sur des initiatives prometteuses qui pourraient servir à renforcer les capacités des jeunes Burundais et leur permettre de jouer un rôle plus actif dans la société. Le président du CNJB s’est engagé à travailler main dans la main avec la nouvelle équipe diplomatique tout au long de son mandat, en mettant l’accent sur des projets tant au niveau national qu’international.

Le CNJB et l’EAC-YAP forment une alliance stratégique, un pas en avant significatif pour le développement de la jeunesse burundaise, qui ouvre la voie à de nouvelles opportunités et annonce un avenir plus prometteur. Les parties prenantes expriment un optimisme prudent et sont résolues à transformer cet engagement en actions concrètes bénéficiant à la jeunesse du pays.

En somme, le partenariat envisagé entre ces deux entités est un témoignage de la volonté commune de voir la jeunesse burundaise prospérer et devenir un pilier de développement durable pour la nation.

PADC : Impulsion du développement communautaire au Niger

Niamey, Niger – La représentante résidente par intérim, Mme. Jaye Eyebah, a inauguré l’atelier de validation de l’étude de base du Programme Accéléré de Développement Communautaire (PADC) pour le Niger. Cet événement marque une étape cruciale dans la quête du pays pour un développement communautaire rapide et efficace.

En effet, l’atelier vise à rassembler divers acteurs pour une réflexion approfondie et des contributions méticuleuses afin d’examiner et d’enrichir le rapport initial. Mme. Eyebah a souligné l’importance de cette collaboration, invitant les participants à apporter leur expertise et leur connaissance locale pour affiner la stratégie du programme.

L'initiative PADC au Niger, visant à stimuler le développement communautaire en s'inspirant des succès régionauxLe Niger s’inspire des expériences réussies de programmes similaires en Afrique, notamment au Sénégal, au Togo, au Ghana et en République Démocratique du Congo. Ces modèles serviront de guide pour identifier les meilleures pratiques et les leçons apprises, essentielles pour accélérer le développement communautaire dans le contexte nigérien.

Le PADC est une initiative ambitieuse qui vise à transformer les communautés à travers le Niger en catalysant le développement socio-économique et en renforçant la résilience des populations locales. Avec l’appui de partenaires internationaux et l’engagement du gouvernement nigérien, le programme aspire à devenir un modèle de développement communautaire réussi en Afrique.

La représentante résidente par intérim a conclu en exprimant son optimisme quant à l’impact positif du PADC sur le bien-être des Nigériens, tout en reconnaissant les défis à venir. L’atelier de validation est donc un pas de plus vers la réalisation des objectifs de développement durable du Niger.

Révolution STEM en Afrique : Financer l’éducation pour l’avenir

Dans le cadre de la série de dialogues sur l’Afrique 2024, le Secrétaire exécutif Claver Gatete a mis en lumière un défi crucial pour le développement du continent : la nécessité d’une éducation en science, technologie, ingénierie et mathématiques (STEM). Avec seulement 25 % des étudiants de l’enseignement supérieur en Afrique engagés dans les disciplines STEM et les femmes ne représentant que 30 % de cette population, l’appel à l’action est clair et urgent.

L’Afrique se trouve à un carrefour. Pour naviguer dans l’économie mondiale en rapide évolution, marquée par l’automatisation et l’intelligence artificielle, l’investissement dans l’éducation STEM et la recherche et développement (R&D) est impératif. Les plateformes numériques et l’IA ne sont pas seulement des outils de progrès, mais des catalyseurs essentiels pour améliorer les résultats éducatifs et l’accès à l’apprentissage.

Cependant, un obstacle majeur demeure : un déficit de financement de l’éducation de plus de 70 milliards de dollars. Ce gouffre financier représente un frein significatif à la réalisation des objectifs nationaux d’éducation et à la promotion d’opportunités d’apprentissage tout au long de la vie. Sans une action immédiate, les pays risquent de ne pas atteindre leurs cibles éducatives pour 2030, comme le souligne le rapport de l’UNESCO.

La solution réside dans une collaboration transnationale et un engagement renouvelé des gouvernements africains, des partenaires du secteur privé et des organisations internationales telles que l’Union Internationale des Télécommunications et la Banque mondiale. Ensemble, ils doivent combler ce déficit et libérer le potentiel de millions de jeunes Africains.

En cette année de l’Union africaine dédiée à l’éducation, il est temps d’agir. L’avenir de l’Afrique dépend de sa jeunesse et de sa capacité à innover. L’éducation STEM n’est pas seulement un choix, mais une nécessité pour un continent prêt à façonner son propre avenir.

La vision de GNASSINGBÉ pour une cuisson propre

Paris, le 14 mai 2024 – Dans un élan progressiste pour l’Afrique, le Président du Togo, Faure Essozimna GNASSINGBÉ, a marqué sa présence au premier sommet dédié à la problématique de la cuisson propre sur le continent. En effet, ce sommet historique, qui se tient aujourd’hui à Paris , voit la collaboration du Groupe de la Banque Africaine de Développement (BAD) et de l’Agence internationale de l’énergie.

L’Appel du Président GNASSINGBÉ pour l’action environnementale

Le Président GNASSINGBÉ, dans son discours, a souligné l’urgence de s’attaquer à la pollution de l’air résultant de l’utilisation de combustibles inappropriés pour la cuisson. Un problème qui touche profondément la santé des populations africaines, en particulier celle des femmes dans les zones rurales.

“La cuisson propre n’est pas seulement une question de santé publique, c’est aussi une question de dignité humaine et d’égalité des sexes,” a déclaré le Président GNASSINGBÉ. Il a insisté sur la nécessité d’une action politique et financière concertée pour relever ces défis majeurs, qui doivent converger vers la protection de l’environnement et l’amélioration significative de la qualité de vie en Afrique.

Le Président du Togo, Faure Essozimna GNASSINGBÉ, participe au premier sommet sur la cuisson propre en Afrique à Paris ,Vers des solutions durables : Les alternatives de cuisson non polluantes

Par ailleurs, le sommet vise à catalyser un changement, en promouvant des solutions de cuisson non polluantes qui sont à la fois abordables et accessibles. Les discussions porteront sur des stratégies pour réduire la dépendance aux combustibles traditionnels et explorer des alternatives durables, telles que les cuisinières à gaz et solaires.

En outre , Les participants, comprenant des chefs d’État, des experts en énergie et des représentants de la société civile, exploreront des voies pour intégrer ces technologies dans les politiques nationales et régionales. L’objectif est clair : faire de la cuisson propre une réalité pour tous les Africains, et ce, dans un avenir proche.

En somme, Ce sommet est un pas de géant vers un avenir où chaque foyer africain pourra préparer ses repas dans un environnement sain, contribuant ainsi à la vision d’une Afrique plus verte et plus prospère.

Accra : Un pas de plus vers l’intégration africaine avec la ZLECAf

ACCRA, Ghana – Dans une démarche visant à consolider les efforts d’intégration continentale, le Secrétaire général de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), Wamkele Mené, a organisé un déjeuner de travail avec les chefs de mission africains accrédités au Ghana.

L’événement, qui s’est tenu aujourd’hui à Accra, a offert une plateforme pour renouveler l’engagement mutuel envers l’objectif d’« un continent intégré, prospère et pacifique ». Mené a saisi cette opportunité pour mettre en lumière les avancées significatives dans la mise en œuvre de l’AfCFTA, soulignant les progrès réalisés malgré les défis persistants.

Accra accueille un déjeuner de travail clé entre Wamkele Mené et les chefs de mission africains pour dynamiser l'intégration continentaleLa rencontre a également été l’occasion d’une session d’échanges fructueux sur les stratégies à adopter au sein des différents États membres afin de garantir le succès du marché unique. Les discussions ont porté sur l’importance de la collaboration et de l’adoption de mesures concrètes pour surmonter les obstacles au commerce intra-africain.

En somme, ce déjeuner de travail marque une étape importante dans le renforcement des relations diplomatiques et commerciales entre les nations africaines, et illustre l’engagement continu du Secrétariat de la ZLECAf à travailler de concert avec les représentants africains pour réaliser la vision d’une Afrique unie et florissante. C’est à travers de telles initiatives que l’Afrique peut progresser vers la réalisation de son potentiel économique et renforcer sa position sur la scène mondiale.