Une Convergence de Solidarité : L’atelier de la CEDEAO à Abuja

Dans la capitale nigériane, un événement d’une importance capitale pour l’avenir humanitaire de l’Afrique de l’Ouest a pris son envol. L’atelier de consultation régionale de la CEDEAO, une initiative louable, a ouvert ses portes avec la noble ambition de surmonter les épreuves humanitaires qui pèsent sur les épaules des populations vulnérables de la région.

En effet, du 26 au 28 mars 2024, les esprits les plus éclairés se réunissent pour établir un consensus sur les besoins humanitaires critiques, embrassant dans leur sillage les déplacés, les réfugiés, et autres figures de la détresse humaine.

Madame Sintiki T. Ugbe : une voix pour l’unité et l’action lors de l’atelier

Madame Sintiki T. Ugbe, éminente Directrice des Affaires Humanitaires et Sociales à la Commission de la CEDEAO, a pris la parole pour insister sur l’impératif d’une synergie régionale face aux crises qui secouent l’humanité dans nos contrées. Elle a également mis en exergue l’objectif primordial de l’atelier : une analyse approfondie des priorités et des défis, érigée sur le socle des données collectées, et une attention particulière portée aux mouvements de population engendrés par les conflits et les aléas du climat. En conclusion, Madame Ugbe a réitéré l’engagement indéfectible de la CEDEAO à alléger les souffrances des communautés éprouvées.

Le Nigeria en Première Ligne : l’appel de M. Ezulu Valentine

Par ailleurs, M. Ezulu Valentine, représentant le gouvernement du Nigeria et Directeur des affaires humanitaires, a exprimé avec véhémence la nécessité pressante de valider les données humanitaires fondamentales. Il a affirmé la détermination du Nigeria à affronter les défis des déplacements internes et à garantir une protection sans faille à ceux qui se trouvent dans le besoin. Par ses mots, il a invité à une mobilisation collective pour une assistance humanitaire efficiente, veillant à ce que l’ombre de l’oubli ne recouvre aucun individu vulnérable de notre région.

En résumé , Cet atelier est un phare d’espoir, guidant les nations vers une solidarité sans faille et une humanité partagée.

La Ministre du Commerce dialogue avec les commerçantes

Dans une démarche de communication ouverte et de collaboration renforcée, Le 25 mars 2024 dernier, Madame la Ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale a poursuivi sa tournée de sensibilisation à Lomé. Cette initiative s’inscrit dans une série de dialogues avec les commerçantes des marchés de la capitale togolaise, visant à promouvoir le développement économique et la prévention des risques.

Dialogue constructif pour le progrès économique : la Ministre du Commerce à l'écoute des commerçantes de LoméLa Ministre du commerce renforce les liens avec le Secteur Marchand

La visite de Madame la Ministre Kayi MIVEDOR-SAMBIANI au Port de pêche de Lomé et au marché d’Agoè a marqué une étape clé dans la consolidation des relations entre le ministère et les acteurs du commerce local. En effet, les discussions ont mis en lumière les efforts du gouvernement pour soutenir l’activité économique et ont souligné l’importance de l’adoption de comportements sécuritaires pour prévenir les incendies dans les espaces marchands.

Dialogue constructif pour le progrès économique : la Ministre du Commerce à l'écoute des commerçantes de LoméUne rencontre axée sur l’inclusion et l’échange

Le dialogue a débuté au Port de pêche, impliquant les représentantes des associations et groupements des marchés environnants, et s’est conclu au Centre culturel Loyola d’Agoè. L’objectif affirmé par la Ministre est de forger un partenariat durable et d’établir un cadre d’échanges inclusif pour aborder les questions cruciales touchant au commerce, à l’artisanat et à la consommation locale.

Dialogue constructif pour le progrès économique : la Ministre du Commerce à l'écoute des commerçantes de LoméÉtape cruciale vers l’empowerment des femmes Commerçantes

Par ailleurs, Madame la Ministre a souligné l’importance de cette tournée pour comprendre les réalités des commerçantes et pour discuter des programmes gouvernementaux bénéfiques pour ces dernières. Elle a également  mis en exergue les discussions autour du Fonds national de la finance inclusive, de l’assurance maladie universelle, et de la formalisation des activités commerciales, tout en rappelant le devoir citoyen de contribuer aux taxes et impôts.

Résonance positive des initiatives Gouvernementales

Les participantes ont aussi  exprimé leurs préoccupations et ont accueilli favorablement cette initiative qui reflète la vision du Président de la République, Son Excellence Monsieur Faure Essozimna GNASSINGBÉ, visant à rapprocher l’administration des citoyens et à encourager une participation active dans la gestion des affaires publiques.

En résumé, ces rencontres témoignent de la volonté du ministère de dialoguer directement avec les acteurs clés du commerce local, afin de mieux comprendre leurs besoins et de collaborer étroitement pour le bien-être économique et social de la communauté.

Émancipation féminine : reconnaissance internationale pour le Togo

Dans une cérémonie empreinte de solennité et de reconnaissance internationale, le Togo s’est vu attribuer une distinction prestigieuse qui honore son engagement envers l’émancipation féminine.

En effet, lors des récents African Governance Awards, les initiatives progressistes de la nation ouest-africaine ont couronné celle-ci, lui valant le titre élogieux de « Meilleur ministère de la promotion de la femme et de l’alphabétisation » pour l’année 2023.

Cette consécration, remise dans l’écrin paradisiaque de l’Île Maurice entre le 7 et le 10 février, vient mettre en lumière les efforts soutenus du Togo pour propulser les femmes aux avant-postes du leadership. Une avancée qui n’a pas manqué de susciter l’admiration bien au-delà de ses frontières.

La ministre Adjovi Lolonyo Apedoh-Anakoma, porte-parole de cette réussite, a tenu à dédier ce triomphe au Président Faure Essozimna Gnassingbé, soulignant que c’est grâce à la politique volontariste de l’État que le Togo s’érige désormais en modèle de réforme en Afrique, se classant premier sur cinquante-trois nations du continent, et dix-neuvième à l’échelle mondiale parmi cent quatre-vingt-dix pays.

Les African Governance Awards, orchestrés par le groupe médiatique The Business Executive Group basé à Accra, visent à saluer les réalisations exceptionnelles des entités gouvernementales, des organisations internationales et de la société civile, reconnaissant ainsi leur contribution significative dans leurs sphères d’action respectives. Une initiative qui, année après année, continue de mettre en exergue les avancées notables dans le domaine de la gouvernance sur le continent africain.

Réforme Constitutionnelle : une transition vers la Ve République

La révision de la Constitution togolaise, un processus de transformation politique majeur, a franchi une étape décisive. Le 25 mars 2024, sous l’égide de Mme Yawa Djigbodi Tsègan, l’Assemblée nationale a approuvé, avec une majorité écrasante, la réforme de la loi fondamentale de la nation.

Depuis son adoption en 1992, la Constitution de la IVe République a subi des modifications significatives pour s’adapter aux défis sociopolitiques et technologiques. Ces ajustements ont permis de refléter les aspirations contemporaines du peuple togolais.

La Présidente de l’Assemblée nationale, Mme Yawa Djigbodi TsèganVers la Ve République 

En effet, la révision actuelle marque un tournant historique : le passage à la Ve République et la transition d’un régime présidentialiste à un système parlementaire. Cette réforme introduit un Président du conseil des ministres élu par l’Assemblée nationale, une déclaration solennelle des droits et devoirs fondamentaux, et établit des institutions clés pour la transparence et l’intégrité publique.

Malgré les progrès, il reste essentiel de revoir continuellement la Constitution pour assurer la stabilité juridique, renforcer l’état de droit, et encourager la participation citoyenne.

Le Pouvoir au Peuple 

Par ailleurs , l’adoption de cette révision constitutionnelle met en lumière le rôle central de l’Assemblée nationale et du Sénat dans la vie politique. Avec des mandats de six ans pour le Président de la République et le Président du Conseil, ainsi que pour les députés et sénateurs, le Togo s’engage vers une gouvernance plus inclusive et responsable.

En outre , l’instauration du régime parlementaire promet un contrôle citoyen accru sur les dirigeants et une participation directe dans la prise de décision politique, ouvrant la voie à une démocratie plus dynamique et participative au Togo.

La Présidente de l’Assemblée nationale, Mme Yawa Djigbodi TsèganLa Réforme Constitutionnelle Togolaise : une vision renouvelée

Le ministre Pacôme Yawovi Missiamé Amenyo Adjourouvi souligne l’importance de l’article 144 alinéa 1 de la Constitution togolaise, qui confère au Président de la République et à un cinquième des députés de l’Assemblée nationale le pouvoir de proposer des révisions constitutionnelles. Cette démarche vise également  à adapter la Constitution aux évolutions sociologiques et politiques, en passant d’un régime présidentiel à un régime parlementaire, et à insuffler un nouvel élan dans la gestion des affaires publiques.

La Légitimité Constitutionnelle : un pilier de la démocratie 

La proposition de loi initiée par un groupe de députés s’appuie sur la légitimité dérivée de la Constitution, qui est la source de tout pouvoir politique. L’article 146 de la Constitution établit que la légitimité découle du respect des lois et des traditions, justifiant ainsi l’action de tout détenteur de pouvoir.

La Constitution togolaise reconnaît le droit inaliénable du peuple à réviser sa loi fondamentale. Ce principe garantit que toute révision reste fidèle aux valeurs universelles et aux engagements internationaux du pays.

Le Processus de révision : une procédure rigoureuse 

La commission des lois constitutionnelles a examiné la proposition de révision. Elle a scrupuleusement respecté les normes de fond et de procédure tout au long du processus, conformément aux articles pertinents du Règlement intérieur de l’Assemblée nationale.

Le gouvernement promulguera la Constitution révisée dans les quinze jours suivant son adoption, établissant ainsi la loi fondamentale de la Ve République. La Présidente de l’Assemblée nationale, Mme Yawa Djigbodi Tsègan, s’engage à transmettre la proposition adoptée avec diligence au Président de la République.

Un Parlement renforcé par de nouveaux membres

Deux nouveaux députés ont rejoint l’Assemblée nationale le 25 mars 2024, suite aux décisions de la Cour constitutionnelle. Aziabou Kodjo Alexandre et Kokouvi Soedji apportent de nouvelles perspectives à l’hémicycle, succédant respectivement à Pacôme Yawovi Missiamé Amenyo Adjourouvi et à feu Assoupi Amélé Adjé.

En somme, cette réforme constitutionnelle togolaise incarne une avancée démocratique majeure, promettant une gouvernance plus inclusive et une participation citoyenne renforcée dans la Ve République.

Togo : Vers une nouvelle ère Constitutionnelle

Lomé, Togo – Le Parlement togolais a adopté, le 25 mars 2024, une proposition de loi cruciale pour la révision de la Constitution de la République Togolaise, marquant un tournant décisif vers un régime parlementaire. Cette révision, soutenue par plus de quatre cinquièmes des membres du Parlement, s’inscrit dans une démarche de consolidation démocratique et de gouvernance efficace.

La réforme constitutionnelle s’appuie sur trois piliers fondamentaux : la consolidation d’une démocratie moderne respectant l’équilibre des pouvoirs, la préservation de la stabilité gouvernementale et l’adaptation de la gouvernance du Togo aux changements sociopolitiques actuels.

Cette série de modifications vise à établir une nouvelle identité républicaine pour le Togo, permettant une représentation plus efficace de la nation par les pouvoirs publics constitutionnels.

La proposition de révision constitutionnelle adoptée devra maintenant obtenir l’approbation du Président de la République, garant de l’unité nationale, du respect de la Constitution, ainsi que de la continuité de l’État et des institutions de la République, conformément à l’article 58 de la Constitution togolaise.

Cette réforme est comme une avancée majeure dans le processus démocratique du Togo et pourrait définir le paysage politique du pays pour les générations à venir.

Kpalimé, un nouveau chapitre pour la jeunesse togolaise

Dans l’écrin verdoyant de la commune Kloto 1, la ville de Kpalimé s’illustre désormais par une avancée significative pour sa jeunesse : l’inauguration d’une Maison des jeunes. Cette initiative, fruit d’une collaboration entre l’Agence Nationale d’Appui au Développement à la Base (ANADEB) et le Programme d’appui aux populations vulnérables (PAPV), marque un tournant dans l’engagement communautaire et le soutien aux microprojets d’infrastructures.

Avec un investissement de 65 millions de francs CFA, ce projet ambitieux s’étend sur deux hectares et se dote d’un bâtiment polyvalent, ainsi que d’un forage photovoltaïque, témoignant de l’engagement écologique de la ville. La Maison des jeunes de Kpalimé est une réponse concrète aux aspirations des jeunes, leur offrant un espace dédié à l’échange, à la formation et au divertissement, essentiels à leur épanouissement.

Ce centre, qui vient enrichir le réseau des maisons de jeunes déjà présentes à Lomé, Tsévié et Kara, est un symbole d’espoir et d’innovation, promettant de nourrir les ambitions et de catalyser le potentiel de la jeunesse togolaise.

L’essor de l’aquaculture togolaise : un plan ambitieux pour l’avenir

Le Togo, face à une demande croissante en produits halieutiques, a élaboré un plan d’investissement quinquennal pour dynamiser sa filière poisson.  Au cœur de l’Afrique de l’Ouest, le Togo se confronte à un défi de taille : répondre à une demande en poissons qui a grimpé de 86 905 tonnes en 2012 à 105 235 tonnes en 2022. Pour relever ce défi, le gouvernement togolais a lancé le « Plan d’action d’investissement de la filière poisson 2024-2028 », un projet de 20 milliards FCFA destiné à accroître la production nationale de 25 % d’ici à 2028.

Innovation et développement : les piliers du plan d’action

En effet, ce plan d’action, structuré autour de cinq axes majeurs, vise à moderniser la filière poisson. Il s’articule autour de l’amélioration des conditions de production, de transformation et de commercialisation, avec un accent particulier sur la formation des acteurs et le soutien à la recherche halieutique. L’objectif est de valoriser les produits de la mer et d’optimiser leur contribution à l’économie nationale.

Financement et perspectives d’avenir

Par ailleurs, le financement de ce plan ambitieux sera partagé entre l’État togolais, le Conseil Interprofessionnel de la Filière Poisson (CIFP), et surtout, les partenaires techniques et financiers (PTF), qui joueront un rôle prépondérant avec une contribution de 18,69 milliards de francs CFA. Cette initiative est un pas en avant vers l’autosuffisance alimentaire et la prospérité économique, dans un contexte où la production actuelle ne suffit pas à satisfaire les besoins grandissants de la population togolaise.

En résumé, le Togo se positionne en précurseur dans la valorisation de ses ressources maritimes, en adoptant une approche proactive pour garantir la sécurité alimentaire et stimuler le développement économique du pays.

Renforcement des liens bilatéraux entre le Ghana et le Gabon

Dans un effort continu pour renforcer les relations bilatérales, la Ministre des Affaires étrangères et de l’Intégration régionale du Ghana, Shirley Ayorkor Botchwey, a tenu une réunion productive avec M. Senge Romuald ONGALA, le Chargé d’Affaires par intérim du Haut-Commissariat du Gabon au Togo.

La rencontre, qui s’est déroulée dans une atmosphère cordiale, a permis aux deux représentants de discuter des stratégies visant à consolider la coopération entre le Ghana et le Gabon dans divers domaines. Les discussions ont porté sur des sujets d’intérêt mutuel, notamment le commerce, l’investissement, l’éducation et la sécurité.

Mme Botchwey a souligné l’importance de tels dialogues, affirmant qu’ils sont essentiels pour bâtir des ponts solides entre les nations africaines. Elle a exprimé son optimisme quant à l’avenir des relations entre les deux pays, en mettant l’accent sur la nécessité d’une collaboration accrue pour relever les défis régionaux et promouvoir la prospérité commune.

M. ONGALA a réitéré cet esprit de collaboration, en mettant en lumière les opportunités abondantes que les deux pays peuvent exploiter grâce à une coopération renforcée. Il a également remercié la ministre pour son accueil chaleureux et pour l’engagement du Ghana envers le renforcement des liens avec le Gabon.

Cette réunion marque une étape importante dans le renforcement des relations diplomatiques et économiques entre le Ghana et le Gabon, et ouvre la voie à de futures initiatives conjointes bénéfiques pour les deux nations.

L’Aube d’une nouvelle ère démocratique au Sénégal

Durant  le jour solennel du 24 mars 2024, l’aurore s’est levée sur une nation en effervescence, où près de 7,3 millions d’âmes se sont éveillées avec un dessein commun : façonner l’avenir de leur pays. Le Sénégal, berceau de démocratie florissante, a vu ses citoyens converger vers les urnes pour élire un nouveau leader parmi une pléthore de 18 prétendants, succédant ainsi à l’ère du Président Macky Sall.

Le Zèle de la CEDEAO dans l’Observation du Processus Électoral

Dès l’aube, le Professeur Ibrahim Gambari, illustre chef de la Mission d’Observation Électorale (MOE) de la CEDEAO, a entamé une tournée méticuleuse à travers Dakar, la capitale sénégalaise, pour témoigner de l’entame des opérations électorales. En effet, la délégation, dans son périple, a marqué sa présence dans des lieux emblématiques tels que l’école BERTHE MAUBERT et le groupe scolaire privé de Pikine-Guediawaye, scrutant avec minutie le bon déroulement du vote.

Une Cohorte de Dignitaires pour Garantir la Transparence

Accompagné de personnalités éminentes telles que Dr Abdel-Fatau Musah et l’Ambassadeur SEM MUSA SANI NUHU, le Professeur Gambari a incarné l’engagement de la CEDEAO à assurer une élection libre et équitable. Ensemble, ils ont également inspecté les salles de situation stratégiques, où s’affairaient les équipes techniques à compiler les rapports des observateurs déployés, témoignant de l’intégrité du scrutin.

Le Professeur Ibrahim Gambari, illustre chef de la MOE de la CEDEAO, a entamé une tournée méticuleuse à travers DakarUn Verdict Préliminaire de Satisfaction et d’Espoir

Le Professeur Gambari, fort des observations accumulées, a exprimé une satisfaction prudente, saluant l’absence d’incidents notables et louant l’atmosphère sereine qui a prévalu. Il a exhorté les Sénégalais à maintenir cette quiétude et à honorer les résultats proclamés, tout en prônant la voie du consensus et de la légalité face à toute contestation.

En outre, la veille du scrutin, la Commission électorale nationale autonome (CENA) a lancé un vibrant appel à la population, invitant chacun à démontrer sa maturité politique et à participer activement au vote dans un esprit de paix et de choix éclairé.

Vers une Proclamation Officielle des Résultats

Après l’analyse approfondie des rapports de la centaine d’observateurs de la CEDEAO, le Professeur Gambari prendra la parole lors d’une conférence de presse le 26 mars 2024, pour partager une déclaration préliminaire sur le déroulement de cette journée historique pour la démocratie sénégalaise.

Célébration des droits des femmes : un engagement renouvelé

 Dans le cadre de la célébration de la Journée Internationale des Droits des Femmes, la Ministre et Secrétaire Générale de la Présidence de la République Togolaise, Sandra Ablamba Johnson, a souligné l’importance de la cohésion sociale lors d’une rencontre émouvante avec l’association Femmes Natives de Bè de la Commune du Golfe 1.

“Sans la cohésion, nous ne pouvons rien,” a affirmé Mme Johnson, exprimant son immense plaisir à échanger avec les membres de l’association. Elle a salué leur dévouement et leur engagement envers la promotion des droits des femmes et le développement de leur communauté, les qualifiant de source d’inspiration.

Sandra Ablamba Johnson, a souligné l’importance de la cohésion sociale lors d’une rencontre émouvante avec l’association Femmes Natives de Bè de la Commune du Golfe 1.

La Ministre a également exprimé sa profonde gratitude envers le Chef de l’État, SEM Faure Gnassingbé, pour sa politique priorisant la promotion de la femme. Elle a remercié le Maire de la Commune du Golfe 1, les chefs cantons et religieux, ainsi que les femmes de l’association pour leur accueil chaleureux et pour les échanges enrichissants sur le leadership féminin.

Cette rencontre marque un moment significatif dans la lutte pour l’égalité des sexes et le renforcement du rôle des femmes dans la société togolaise. Elle reflète l’engagement continu du gouvernement et des communautés locales à œuvrer pour l’autonomisation des femmes et la reconnaissance de leurs droits fondamentaux.