Le Togo et le Kazakhstan renforcent leur coopération maritime

Le ministre de l’Economie Maritime, de la Pêche et de la Protection Côtière du Togo, Kokou Edem TENGUÉ, a reçu ce matin à Lomé une délégation kazakhe, venue découvrir le port de Lomé et ses infrastructures.  Cette visite marque le début d’une nouvelle ère de collaboration maritime entre les deux pays.

Un port moderne et performant

Le port de Lomé, situé sur la côte ouest-africaine, est le seul port en eau profonde de la région, capable d’accueillir des navires de grande taille. En effet,  Il dispose d’un terminal à conteneurs, d’un terminal pétrolier, d’un terminal minéralier et d’un terminal polyvalent.  Il offre également des services de transbordement, de logistique, de réparation navale et de pêche.

Par ailleurs , le port de Lomé est un atout stratégique pour le Togo, qui en fait un levier de développement économique et social.  Il contribue à la création d’emplois, à la diversification des exportations, à la réduction des coûts de transport et à l’intégration régionale.  Il attire de nombreux opérateurs et investisseurs, tant nationaux qu’internationaux.

Une coopération mutuellement bénéfique

La délégation kazakhe, composée de représentants du gouvernement, du secteur privé et du monde académique, a été accueillie par le ministre TENGUÉ et ses collaborateurs.  Elle a visité les différents terminaux du port de Lomé et a assisté à une présentation des projets et des perspectives du secteur maritime togolais.

Les deux parties ont ensuite échangé sur les opportunités de coopération maritime entre le Togo et le Kazakhstan, un pays enclavé d’Asie centrale, qui dispose d’un accès à la mer Caspienne et qui ambitionne de développer son potentiel maritime.  Ils ont aussi  identifié des domaines d’intérêt commun, tels que la formation, la sécurité, la pêche, le commerce, la logistique et l’environnement.

Le ministre TENGUÉ a salué l’initiative de la délégation kazakhe, qui témoigne de la reconnaissance du savoir-faire togolais et de la volonté de renforcer les liens entre les deux pays.  Il a exprimé sa disponibilité à accompagner cette coopération, qui sera bénéfique pour les deux peuples.  Il a également invité les opérateurs kazakhs à investir dans le secteur maritime togolais, qui offre de nombreuses opportunités.

 

Togo partage son expérience du numérique au Digital Almaty 2024

Du 1er au 3 février 2024, la ville d’Almaty, au Kazakhstan, a accueilli le Digital Almaty, un événement international dédié à la transformation numérique. Parmi les invités de marque, Cina Lawson, la ministre de l’économie numérique et de la transformation numérique du Togo, a représenté son pays et partagé son expérience.

Une occasion de valoriser le savoir-faire togolais

Cina Lawson a profité de cette tribune pour évoquer les avancées et les défis du Togo en termes de transformation numérique. Elle a notamment présenté les projets innovants mis en œuvre par son ministère, tels que le déploiement de la fibre optique, la création de centres numériques communautaires ou encore le lancement de la plateforme E-gouvernement.

La ministre a également souligné l’importance de la coopération internationale pour renforcer les capacités numériques du Togo et favoriser l’inclusion sociale. Elle a participé à des réunions bilatérales avec des représentants de différents pays et organisations, afin de nouer des relations fructueuses et d’explorer des opportunités de partenariat.

Une reconnaissance du Kazakhstan et de la communauté internationale

Le Digital Almaty 2024 a été l’occasion pour le Kazakhstan de mettre en avant son ambition de devenir un leader régional et mondial dans le domaine du numérique. Le pays a invité des personnalités de haut rang, issues de plus de 50 pays, pour échanger sur les enjeux et les perspectives de la transformation numérique.

En invitant Cina Lawson, le Kazakhstan a témoigné de sa reconnaissance du savoir-faire togolais et des liens forts entre les deux pays. La ministre a exprimé sa gratitude pour cette invitation et pour l’accueil chaleureux qui lui a été réservé. Elle a également salué la réussite de l’événement, qui a permis de partager des expériences et des bonnes pratiques en matière de numérique.

 

Koster Keunen : la success story togolaise

Lomé, le13 février 2024 –La ministre de la promotion de l’investissement togolais, Manuella M. Santos, accompagnée de l’ambassadeur des États-Unis d’Amérique au Togo, Elizabeth Fitzsimmons, a effectué vendredi 09 février une visite au siège du groupe Koster Keunen West Africa, situé à Lomé. Le groupe est un leader international du marché de la cire biologique de première qualité, qui approvisionne les grandes marques internationales, notamment L’Oréal, Estée Lauder et Burt’s Bees.

La visite a permis de constater le progrès de la société, qui a enregistré une croissance de 66 % de sa production en quatre ans, grâce à l’environnement des affaires de qualité du Togo, associé à son avantage compétitif de hub logistique. La ministre et l’ambassadeur ont salué le succès de Koster Keunen West Africa, qui contribue à créer des emplois durables, notamment pour les femmes, et à impliquer activement les communautés rurales dans les chaînes de valeur, à travers le dialogue et le renforcement des capacités.

La ministre de l’Investissement a déclaré que le Togo est une destination d’investissement attractive, qui offre des opportunités dans divers secteurs, tels que l’agro-industrie, les énergies renouvelables, le numérique et le tourisme. Elle a invité les investisseurs nationaux et internationaux à saisir ces opportunités et à accompagner le développement économique et social du pays.

L’ambassadeur des États-Unis a affirmé que son pays soutient le Togo dans ses efforts de réformes et de diversification économique. Elle a souligné que les États-Unis sont un partenaire stratégique du Togo, qui partagent des valeurs communes, telles que la démocratie, les droits de l’homme et la lutte contre le terrorisme. Elle a également annoncé que les États-Unis vont renforcer leur coopération avec le Togo dans le cadre de l’initiative Prosper Africa, qui vise à stimuler le commerce et les investissements entre les deux pays.

Le Hadj 2024 : un pèlerinage plus abordable

Dans une réunion tenue à Lomé, la Commission nationale du Hadj (CNH) a annoncé une nouvelle qui a ravi les futurs pèlerins : le coût du Hadj 2024 a été réduit à 3.270.000 FCFA, soit une baisse significative par rapport au coût de l’année précédente qui était de 3 495 000 FCFA. Cette réduction est le résultat d’une subvention de 30 000 FCFA par pèlerin, grâce à une bonne gestion des recettes du Hadj 2023.

Le Hadj 2024 : une expérience enrichissante et plus accessible

Le président de la CNH, le Colonel Hodabalo Awaté, a également annoncé que le Hadj 2024 se déroulera en juin, avec les départs prévus du 1er au 6 juin et les retours du 29 juin au 3 juillet 2024.  Les compagnies Asky et Ethiopian Airlines  assureront Les transports des pèlerins.

La CNH a fixé la date limite des inscriptions au 25 février 2024. Déjà 1.300 pèlerins se sont inscrits sur les 2.400 places disponibles, limitant ainsi les places. Par conséquent, nous invitons les futurs pèlerins à respecter la date limite d’inscription pour s’assurer une place pour le pèlerinage de 2024.

Le président de l’Ensemble des agences de voyages du Togo pour le Hadj (ENAVOTH), El Hadj Abodji Moustapha, a remercié la CNH pour la réduction des frais de voyages. Il a rappelé que  l’Arabie fixent ces dates saoudite et que les pèlerins doivent les respecter.

Le Colonel Awaté a profité de cette occasion pour féliciter tous les membres de la commission nationale du Hadj pour leur travail acharné. Il a exhorté les pèlerins à se comporter de manière exemplaire lors du pèlerinage, rappelant qu’ils sont les ambassadeurs du peuple togolais sur la terre sainte. Il a également demandé aux pèlerins de prier pour le Togo, pour le président de la République et toutes les autorités, et pour tout le peuple togolais, en particulier pour les forces de défense et de sécurité.

Avec ces nouvelles mesures, le Hadj 2024 s’annonce comme une expérience enrichissante et plus accessible pour les pèlerins togolais.

Crise sous-régionale : la CEDEAO cherche des solutions à Abuja

Une réunion extraordinaire des ministres de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) se tient ce jeudi à Abuja, la capitale du Nigeria, pour examiner les crises qui secouent la sous-région. Parmi les sujets brûlants, la situation politique au Sénégal, où le président Macky Sall fait face à une contestation populaire, et la décision de trois pays membres, le Mali, le Niger et le Burkina Faso, de se retirer de l’organisation régionale pour des raisons de sécurité et de souveraineté.

La CEDEAO en quête de solutions pour résoudre les crises qui secourent la sous-région

La réunion, qui verra la participation du commissaire à la Paix et à la Sécurité de l’Union africaine (UA), Smaïl Chergui, a pour objectif de trouver des solutions communes et concertées aux problèmes qui affectent la stabilité et le développement de la sous-région. Les ministres présenteront ensuite leurs recommandations aux chefs d’État lors du prochain sommet de l’UA à Addis-Abeba, en Éthiopie.

Le cas du Sénégal, considéré comme un modèle de démocratie en Afrique, sera au centre des discussions. Le pays est confronté à une crise politique et sociale depuis l’arrestation de l’opposant Ousmane Sonko, accusé de viol, ce qui a déclenché des manifestations violentes dans tout le pays. La CEDEAO a appelé le Sénégal à respecter le calendrier électoral et à garantir la participation de tous les acteurs politiques aux prochaines élections. Le ministre des Affaires étrangères sénégalais, Aïssata Tall Sall, a répondu que le Sénégal suivra sa propre voie, tout en tenant compte des avis de ses partenaires régionaux.

La réunion abordera également la question des pays sortant de la CEDEAO, qui ont annoncé leur départ de l’organisation sans respecter le préavis de six mois prévu par les textes. Le Mali, le Niger et le Burkina Faso ont invoqué des raisons de sécurité nationale et de souveraineté pour justifier leur décision, qui intervient dans un contexte de menace terroriste croissante dans le Sahel. La CEDEAO a exprimé son regret face à ces départs et a affirmé qu’elle maintiendra le dialogue et la coopération avec ces pays, qui restent des partenaires stratégiques pour la paix et le développement de la sous-région.

Kpalimé: une ONG saoudienne soutient 125 personnes vulnérables

L’ONG Centre de charité pour l’appel, l’orientation et le développement social (CCAODS), en partenariat avec son bailleur saoudien, Abou Abdou-Rahmane 2, a distribué le mercredi 7 février à Kpalimé des dons en espèces à 125 personnes vulnérables, dont des veuves et des veufs. Chaque bénéficiaire a reçu une enveloppe de 16.000 FCFA pour améliorer ses conditions de vie.

Cette action s’inscrit dans le cadre du volet social de l’ONG, qui vise à appuyer les efforts du gouvernement togolais dans la réduction de la pauvreté extrême. L’ONG CCAODS œuvre également dans le domaine de l’éducation islamique, de la santé, de l’eau potable et de la construction de mosquées.

Le préfet de Kloto, Assan Koku Bertin, a salué cette initiative et a appelé la population à soutenir le chef de l’État et le gouvernement dans la consolidation de la paix et de la cohésion sociale. Il a également demandé aux citoyens de dénoncer toute personne suspecte aux autorités et aux forces de sécurité.

Le président fondateur de l’ONG CCAODS, Malam Akanga Abdoulaye Abdoul Baki, a remercié Allah pour la réussite de cette opération et a exprimé sa gratitude envers son partenaire saoudien. Il a aussi souligné l’importance de la paix pour le développement du pays.

La cérémonie de remise des dons a eu lieu en présence du conseiller municipal, Alfasa Kondo El Hadj Tafa.

 

Sénégal : report de la présidentielle 2024

L’élection présidentielle sénégalaise, initialement prévue le 25 février 2024, a été repoussée par le président sénégalais Macky Sall, invoquant des raisons logistiques. Cette décision a provoqué la colère de l’opposition, qui dénonce un coup d’État du pouvoir en place et appelle à la mobilisation populaire. Le pays, considéré comme un modèle de démocratie en Afrique, est plongé dans une crise politique et sociale sans précédent.

Un contexte historique et économique favorable 

Le Sénégal est un pays d’Afrique de l’Ouest, ancienne colonie française, qui a accédé à l’indépendance en 1960. Depuis lors, le pays a connu une stabilité politique remarquable, sans aucune tentative de coup d’État et a organisé des élections régulières et transparentes. Le Sénégal est également l’un des pays les plus dynamiques économiquement de la région subsaharienne, avec un taux de croissance moyen de 6 % entre 2014 et 2019.

Il est par ailleurs un acteur majeur de l’intégration régionale, en tant que membre fondateur de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), qui regroupe 15 pays et représente un marché de plus de 300 millions d’habitants. Le Sénégal contribue à hauteur de 15 % au produit intérieur brut (PIB) de la CEDEAO, derrière le Nigeria et la Côte d’Ivoire. Toutefois, la CEDEAO traverse actuellement une crise profonde, suite au départ annoncé du Mali, du Burkina Faso et du Niger, qui souhaitent rejoindre la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA).

Une élection présidentielle à haut risque au Sénégal

L’élection présidentielle de 2024 devait être un moment historique pour le Sénégal, avec le retrait du président sortant Macky Sall, au pouvoir depuis 2012, qui a respecté la limitation constitutionnelle à deux mandats. Au total, 93 candidats se sont déclarés pour briguer la magistrature suprême, mais seuls 20 ont obtenu les parrainages nécessaires pour participer à la campagne électorale. Parmi les rejetés, un nom suscite toutes les attentions : Ousmane Sonko.

Ousmane Sonko, 46 ans, est le leader du parti Pastef-Les Patriotes et le principal opposant au régime de Macky Sall. Ancien inspecteur des impôts, il s’est fait connaître du grand public en 2016 lorsqu’il a publié un livre intitulé Pétrole et gaz au Sénégal : chronique d’une spoliation, dans lequel il dénonce la corruption et le clientélisme du pouvoir en place, notamment dans la gestion des ressources naturelles. Il se présente comme le candidat de la rupture, porteur d’un projet de refondation nationale basé sur la souveraineté économique, la justice sociale et la démocratie participative.

Ousmane Sonko, également connu pour ses positions très critiques envers la France, l’ancienne puissance coloniale, qu’il accuse d’ingérence et de pillage. Il réclame notamment la sortie du franc CFA, la monnaie commune à 14 pays africains, qu’il considère comme un instrument de domination néocoloniale. Ce discours séduit une partie de la jeunesse sénégalaise, qui représente plus de 60 % de la population et qui souffre du chômage, de la pauvreté et du manque de perspectives. Par la suite, Sonko a été la cible de plusieurs attaques et intimidations de la part du pouvoir et de ses alliés.

Un report contesté et contestable

Le samedi 03 février 2024, le président Macky Sall a annoncé le report de l’élection présidentielle du 25 février 2024, invoquant des raisons logistiques. Selon le président, des difficultés techniques liées à la révision des listes électorales, à la distribution des cartes d’électeur et à l’acheminement du matériel de vote rendent impossible le respect des mesures barrières lors du scrutin. Depuis 1963, c’est la première fois qu’une présidentielle au suffrage universel direct est reportée au Sénégal.

L’opposition voit en cette décision une manœuvre du pouvoir pour se maintenir en place et empêcher l’alternance démocratique ; par conséquent, elle la rejette. L’opposition affirme que le report de l’élection viole la Constitution, qui stipule que le mandat du président expire le 2 avril 2024 et que le scrutin doit se dérouler entre 90 et 60 jours avant cette date. Elle accuse aussi le Conseil constitutionnel d’être sous l’influence du pouvoir et de ne pas assurer l’indépendance et l’impartialité du processus électoral.

L’opposition a appelé à une mobilisation populaire pour exiger le respect du calendrier électoral et le départ du président Macky Sall. Des manifestations ont éclaté dans plusieurs villes du pays, notamment à Dakar, la capitale, où des affrontements ont eu lieu entre les forces de l’ordre et les manifestants. Des organisations de la société civile, des syndicats, des médias et des personnalités religieuses ont également exprimé leur soutien à l’opposition et leur inquiétude face à la dégradation de la situation.

Un avenir incertain pour le Sénégal

Le report de l’élection présidentielle plonge le Sénégal dans une crise politique et sociale sans précédent, qui menace la stabilité et la démocratie du pays. Le dialogue entre le pouvoir et l’opposition semble rompu, et aucun compromis ne se dessine à l’horizon. Le risque d’une escalade de la violence est réel et pourrait avoir des conséquences dramatiques pour la population et pour la région. Longtemps considéré comme un exemple de démocratie en Afrique, aujourd’hui, le Sénégal fait face à un défi majeur pour préserver son héritage et son avenir.

 

 

 

Ferraille : le Togo stimule la transformation locale

Le Togo continue de renforcer son secteur de la ferraille. Depuis avril 2021, l’exportation de ferraille et de sous-produits ferreux est arrêtée. Cette mesure demeure inchangée, selon les dires de la ministre du commerce, Rose Kayi Mivedor-Sambiani. Cette décision s’inscrit dans le cadre d’une série de nouvelles mesures visant à encourager la transformation des matières premières locales.

Selon une note de rappel du ministère du commerce, désormais, les exportations concernent seuls les métaux ferreux et non ferreux transformés par les industries locales. De plus, le ministère a fixé les prix de livraison des métaux non ferreux aux unités industrielles locales : 910 FCFA le kilo pour l’aluminium et 640 FCFA le kilo pour les batteries.

En parallèle, une réorganisation du secteur de la ferraille est en cours avec la mise en place d’un comité de suivi et la soumission des exportations à la délivrance d’un agrément.

Ces mesures devraient renforcer le circuit d’approvisionnement du marché local, notamment l’usine de production de fer à béton à Kara, lancée en 2019. Dotée d’une capacité de production estimée à 3 000 tonnes par mois, cette usine devrait bénéficier de ces nouvelles dispositions.

Ces initiatives témoignent de l’engagement du Togo à stimuler la transformation locale et à renforcer son secteur de la ferraille.

 

Hommage national : Le Togo se souvient d’Eyadema

Le dimanche 4 février, le Togo a fait  en prélude au  19e anniversaire du décès de son père de la nation, le feu Président Gnassingbé Eyadema, des cérémonies religieuses à travers le pays. À Dapaong et Atakpamé, les autorités religieuses ont célèbres des messes catholiques et des cultes protestants en son honneur, tandis que la communauté musulmane a également tenu des prières pour le repos de son âme.

Celebration religieuse pour feu président Gnassingbé Eyadema

À Dapaong, l’abbé Dieudonne Douti Banlenane et le pasteur Mawumetia Sabla ont dirigé les prières en présence des autorités politiques, administratives et militaires, dont le préfet de Tone, Tchimbiandja Douti Yendoukoi et les maires des communes de Tone. Les officiants ont rendu hommage à l’engagement du feu Président pour la paix, la justice et le bien-être des populations togolaises.

À Atakpamé, le vicaire général Thimotée Kpenu et le pasteur Mawuena Etsè Simon ont dirigées les prières à la cathédrale Notre-Dame de Trinité et au temple protestant  . Ils ont également prié pour le repos éternel de l’âme de feu Président Gnassingbé Eyadema, qui a démontré un dévouement sans faille pour sa nation et son peuple.

Le président Faure Gnassingbé et son gouvernement sollicite la bénédiction de Dieu pour sa mission.

Par ailleurs, Ces cérémonies ont été l’occasion de prier pour le Togo, le chef de l’État, Faure Gnassingbé et les membres du gouvernement, sollicitant la grâce et la bénédiction de Dieu pour les guider dans leurs missions pour le bonheur du peuple togolais. Les officiants ont également prié pour le renforcement de l’unité nationale, la paix, le pardon et la tolérance entre les fils et filles du Togo, afin de bâtir un Togo uni et prospère pour le bonheur des générations futures.

Ces offices religieux se sont déroulés en présence des autres préfets, maires et autorités politiques, traditionnelles et militaires de la région des Plateaux. Le vendredi 2 février, une prière musulmane dirigée par l’adjoint de l’imam de la mosquée centrale d’Atakpamé, Awali Akondo, a été dite pour les mêmes intentions en présence des autorités politiques, administratives, militaires et traditionnelles.

Ces cérémonies ont témoigné de l’impact durable du feu président Gnassingbé Eyadema sur le Togo et de l’engagement continu du pays à honorer sa mémoire et à poursuivre son œuvre pour le développement du Togo.

l’ONG Ossara : Un nouveau souffle pour l’éducation à Kpalassi

L’ONG internationale Ossara a lancé ce mercredi 01 février 2024 un projet de construction d’infrastructures scolaires à l’EPP Kpalassi, dans le canton d’Awanjèlo, commune de Kozah 3. Ce projet, qui s’inscrit dans le cadre de la promotion de l’éducation, de la formation, de la santé et de la diversité culturelle, vise à offrir aux élèves de la localité un cadre d’apprentissage plus adapté et plus attrayant.

La cérémonie de lancement a reçu la participation de plusieurs personnalités, dont le chef de village, le représentant du maire, le représentant du directeur régional de l’éducation et le chargé de projets de l’ONG Ossara. Tous ont salué l’initiative de l’ONG qui répond à une demande longtemps formulée par la population de Kpalassi et ont appelé à la mobilisation de tous les acteurs pour la réussite du projet.

Le projet comprend la construction d’un bâtiment de trois salles de classes, d’un bureau et d’un magasin, ainsi que l’installation d’un bloc sanitaire, d’un forage et d’un espace de jeu. Financé par l’ONG Ossara, qui accompagne le gouvernement togolais dans la réalisation de ses objectifs de développement, le coût total de ce projet  reste toujours inconnu.

L’entreprise M2B BTP est le maître d’œuvre de ses travaux ; elle a reçu le site de construction lors de la cérémonie. La M2B BTP n’a donné aucun délai de livraison pour le projet ; mais les habitants de Kpalassi espèrent pouvoir bénéficier de ces nouvelles infrastructures dès la prochaine rentrée scolaire.

 

Planification marine : Le Togo se tourne vers l’avenir

Le Togo a récemment accueilli une formation pour les experts en recherche et gestion marine, mettant l’accent sur les bonnes pratiques de planification de l’espace marin. Cette initiative, soutenue par le Haut Conseil pour la mer (HCM) et la Commission océanographique intergouvernementale (CIO-UNESCO), fait partie du projet PSM global qui vise à renforcer les processus nationaux de planification de l’environnement marin.

Les participants à la formation, qui a débuté hier pour prendre fin aujourd’hui , ont eu l’occasion d’échanger des connaissances sur les étapes nécessaires à l’élaboration et à la mise en œuvre de la planification spatiale marine (PSM). Les discussions ont également porté sur la conception du processus de planification de l’espace marin, la restauration marine et les opérations transfrontalières en matière de planification.

Abra Afanvi, directrice de l’économie bleue, a souligné que ce projet permettra au Togo de planifier son espace marin et de dédier des zones à des activités spécifiques. En outre ,cette initiative s’inscrit dans le cadre des efforts récents du TOGO pour renforcer le contrôle de son espace maritime, notamment par la création d’une unité spéciale de garde-côtes.

En somme, cette formation est un signe clair de l’engagement du TOGO à investir dans l’avenir de son économie maritime et à renforcer sa capacité à gérer et à protéger ses ressources marines.

Hommage à Feu Professeur Messanvi Gbéassor

Dans une cérémonie émouvante, le mercredi 31 janvier 2024, la communauté académique a rendu un hommage poignant à feu le professeur Messanvi Gbéassor. Les professeurs et chercheurs, vêtus de leur toge, ont observé une minute de silence et déposé une gerbe de fleurs en son honneur. Une vidéo retraçant sa vie et son œuvre a été projetée, suivie de témoignages élogieux sur sa personnalité et ses réalisations.

 Un Pionnier de la Recherche sur les Plantes Médicinales

Des personnalités de divers horizons ont partagé leurs souvenirs de feu Gbéassor . Ils ont salué son travail acharné, son humilité et son dévouement à la formation de jeunes scientifiques. Ils ont également souligné son rôle de pionnier dans la création de laboratoires de recherche sur les plantes médicinales. Pour eux, la disparition de Gbéassor est une tragédie et la perte d’un génie dont le destin reste inachevé.

Le Professeur Messanvi Gbéassor : Une Vie au Service des Autres

Le père Marc Folivi, curé de la paroisse universitaire, a rassuré l’assistance en affirmant que feu Gbéassor a été rappelé par Dieu pour demeurer éternellement dans le royaume céleste. Il a souligné que Gbéassor avait répondu à l’appel à servir les autres, toujours attentif aux besoins de ses semblables.

Le ministre Ihou Wateba a rappelé une citation d’Abraham Lincoln, soulignant que ce qui compte au final, ce n’est pas le nombre d’années passées sur Terre, mais la vie qu’on a vécue dans chaque année passée. Il a présenté les condoléances du Gouvernement à la famille éplorée.

In Memoriam : Le Professeur Messanvi Gbéassor et Son Héritage Durable

Feu le professeur Messanvi Gbéassor, né le 30 novembre 1953 à Lomé au Togo, a eu une carrière académique exemplaire. Après des études au Canada, il est devenu professeur titulaire du CAMES en juillet 1991 et a occupé le poste de doyen de la faculté des sciences de 1992 à 2007. Il a également joué un rôle de premier plan en tant que directeur national de la recherche scientifique au ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche.

Pr ailleurs, le regretté  a joué un rôle de premier plan en tant que directeur du centre de recherche et de formation sur les plantes médicinales (CERFOPLAM) en 1995. Il a été également président de l’Académie nationale des sciences, arts et lettres en 2012 et a occupé le poste de ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche de 2010 à 2011. De 2014 à 2016, il a présidé l’université de Lomé, contribuant ainsi de manière significative à l’avancement de l’éducation et de la recherche au TOGO.

En fin,  l’inhumation de feu  Gbéassor François se fera le 2 février 2024 à Agbodrafo, après une messe d’enterrement en l’église catholique Notre-Dame sous la croix d’Agbalépédogan à Lomé. Sa disparition est une grande perte pour la communauté académique et scientifique, mais son héritage perdurera à travers ses nombreuses contributions à la science et à l’éducation. Sa vie et son œuvre continueront d’inspirer les générations futures d’étudiants et de chercheurs.

 

Atelier Artistique à Atakpamé

Dans un effort pour renforcer les droits et les privilèges des artistes locaux, l’association Culture et Développement (CUL.DEV), avec le soutien de l’UNESCO et du ministère de la Culture et du Tourisme, a organisé un atelier de formation à Atakpamé les 31 janvier et 1er février. Cet atelier rassemble des artistes de la région des Plateaux pour une formation approfondie sur la Loi n°2016-012 portant sur le statut de l’artiste.

Atelier de formation sur la loi n° 2016-012 portant sur le statut de l’artiste

L’atelier a attiré un public diversifié de 32 artistes, dont 16 femmes, provenant des 32 communes des douze préfectures des Plateaux. Les participants comprennent des artistes en herbe, des amateurs, des artistes traditionnels, des artisans des accessoires de musique et de danse, des arts plastiques et autres. Sous la direction du Dr Alowou Kokouvi, ces artistes suivent des informations détaillées sur la loi portant sur le statut de l’artiste.

L’objectif principal de l’atelier est de renforcer les capacités des artistes sur la loi portant sur le statut de l’artiste, afin qu’ils puissent mieux comprendre et exercer leurs droits et privilèges, tant au niveau national qu’international. Les thèmes abordés sont la qualification professionnelle, les droits et devoirs de l’artiste, les sanctions, ainsi que l’étude de cas pratiques ou d’expériences tirées des artistes des pays voisins.

Le président de l’association Cul-Dev, Zohou Comlanvi, a souligné l’importance de cette formation, notant que malgré l’adoption de la loi par l’Assemblée nationale en 2016 et son décret d’application en 2017, de nombreux artistes ne maîtrisent pas encore pleinement cette loi. Il a ajouté que cette loi offre un cadre législatif et réglementaire idéal pour gérer la condition de l’artiste.

Par ailleurs, le directeur régional des arts et de la culture des Plateaux, Kokou Monkli, et la représentante du maire de l’Ogou 1, Mme Otou Amétobé, ont félicité les initiateurs de ce projet et ont encouragé les participants à prendre activement part aux travaux et à poser des questions pour éclaircir les zones d’ombre relatives à cette loi.

En somme, cet atelier représente une étape importante dans la promotion de la culture et du bien-être des artistes, un objectif que l’association Culture et Développement (CUL-DEV) s’est fixé depuis sa création en 2012.

La pêche et l’aquaculture au cœur du budget 2024 au Togo

Le gouvernement togolais a décidé de miser sur le secteur de la pêche et de l’aquaculture pour booster son économie et créer des emplois. Il a ainsi alloué 2 milliards FCFA à ce secteur, soit près de 70% du budget du ministère de l’économie maritime, qui s’élève à 3,1 milliards FCFA.

Cet investissement vise à soutenir le projet “Développement de l’aquaculture au Togo” (PDAT), lancé en 2022, qui ambitionne de renforcer les capacités des acteurs de la filière, d’améliorer les infrastructures et les équipements, et de diversifier les espèces aquacoles.

Le ministre de l’économie maritime et de la pêche, Edem Kokou Tengué, a souligné que 2024 sera une année des défis importants, tels que l’expérimentation du dispositif de concentration de poissons, qui permet de créer des zones de pêche artificielles, ou encore le développement de l’aquaculture dans la région des Savanes, où les conditions climatiques sont plus difficiles.

Il a également affirmé sa volonté de favoriser l’insertion des jeunes dans le secteur, en s’appuyant sur l’IFAD, un organisme international qui finance des projets de développement rural.

Le secteur de la pêche et de l’aquaculture représente un enjeu stratégique pour le Togo, qui compte plus de 20 000 personnes employées dans ce domaine, et qui contribue à hauteur de 4,5% au PIB national, selon les chiffres du ministère de l’économie maritime.

MCC : 20 ans d’impact sur la pauvreté mondiale

Le 23 janvier 2004, le président Bush signa la loi créant la Millennium Challenge Corporation (MCC), une agence de développement international qui se distingue par son approche basée sur les données, les partenariats et les résultats. Vingt ans plus tard, le MCC célèbre les succès de son modèle unique et les bénéfices qu’il a apportés à des millions de personnes à travers le monde.

MCC : création, mission et action

Le MCC est né d’une vision : celle de transformer la lutte contre la pauvreté mondiale en s’appuyant sur des méthodes efficaces et rentables. Au lieu de fournir de l’aide aux pays sans condition, le MCC sélectionne les pays éligibles selon des critères rigoureux de bonne gouvernance, de démocratie et d’investissement dans le capital humain. Par ailleurs, la Millennium Challenge Corporation n’impose aucunes solutions, mais il soutient les priorités définies par les pays eux-mêmes, en fonction de leurs contraintes à la croissance économique. En plus du décaissement des fonds, le MCC suit de près les performances et les impacts de ses programmes, en utilisant des données fiables et transparentes.

« Le MCC est une agence spéciale », affirme Alice Albright, PDG du MCC. La Millennium Challenge Corporation voit des opportunités là où d’autres voient des défis ; il offre des dons quand d’autres prêtent ; et il croit au potentiel d’un avenir meilleur, même quand les temps sont durs. Aucune autre agence de développement international n’incarne les valeurs de sélectivité, de transparence et d’appropriation nationale comme le fait le MCC, et les résultats de l’agence au cours des vingt dernières années montrent à quel point ce modèle est puissant dans la pratique.

 Bilan du MCC en 20ans

Depuis 2004, le MCC a octroyé environ 17 milliards de dollars d’aide à 47 pays à faible revenu et à revenu intermédiaire inférieur sur six continents. Il a permis de sortir plus de 300 millions de personnes de la pauvreté avec la conception de programmes tels que :

  • La formation d’un demi-million d’agriculteurs
  • L’aide apportée à des milliers d’entreprises commerciales et civiques
  • Le décaissement de près de 100 millions de dollars en prêts agricoles et ruraux ;
  • L’achèvement Des milliers de kilomètres de routes

Il a également œuvré dans les secteurs de l’éducatif, de la sanitaire, hydraulique et bien d’autres.

En somme, la Millennium Challenge Corporation améliore les conditions de vie et réduit la pauvreté dans le monde entier grâce à ces nombreuses actions en faveur de l’innovation et du changement mondial.

Faure Gnassingbé en visite dans les Savanes

Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, était le dimanche 21 janvier 2024, dans la région des Savanes. Il a rencontré les forces vives de la préfecture de Cinkassé et du Grand Kpendjal. Il a réaffirmé son engagement à lutter contre le terrorisme et à soutenir les projets socioéconomiques dans cette zone stratégique.

Le président en visite dans la région des savane

La région des Savanes, située à l’extrême nord du Togo, est confrontée à une double problématique : la menace sécuritaire liée à la présence de groupes armés dans la sous-région et au Sahel, et le besoin de développement économique et social pour réduire la pauvreté et les inégalités. C’est dans ce contexte que le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, accompagné de plusieurs membres du gouvernement, s’est rendu sur place pour échanger avec les populations et les rassurer sur l’action de l’Etat.

sécurité et développement 

Le chef de l’Etat a d’abord salué le courage et le professionnalisme des Forces de défense et de sécurité (FDS) déployées dans la région, dans le cadre de l’opération Koundjouaré, qui vise à sécuriser le territoire et à prévenir les attaques terroristes. Il a ensuite appelé les populations à collaborer avec les FDS et les autorités administratives et politiques, en leur fournissant des informations utiles et en restant vigilants. “Si Mandouri n’est pas en paix, le Togo n’est pas en paix, si Cinkassé n’est pas en paix, le Togo n’est pas en paix. Nous ferons tout pour vous protéger”, a-t-il déclaré.

Le Président de la République a également réaffirmé son engagement à poursuivre la dynamique des projets et programmes socio-économiques engagés dans la région, notamment dans le cadre du Programme d’urgence de relance sociale (PURS), lancé en 2020 pour faire face aux conséquences de la pandémie de Covid-19. Il a cité les domaines des pistes rurales, de la santé, de l’éducation, de l’agriculture, des infrastructures et bien d’autres, où des efforts se poursuivront pour accélérer la mise en œuvre des projets. “Ces mécanismes contribueront à préserver la sécurité et à lutter contre le terrorisme”, a-t-il souligné.

Le Président de la République a ainsi réitéré sa volonté de faire de la région des Savanes un pôle de développement et de stabilité, dans le cadre de sa vision de faire du Togo un hub régional dans les domaines de l’énergie, du numérique et du transport.

 

Le Togo séduit les investisseurs turcs

Le 17 janvier 2023, le ministère de la Promotion de l’Investissement du Togo a reçu une délégation d’investisseurs turcs, conduite par l’ambassadrice de la Turquie au Togo, Mme Muteber Kiliç. Cette visite s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coopération économique entre les deux pays, qui ont signé plusieurs accords bilatéraux ces dernières années.

Présenter aux entrepreneurs turcs les opportunités d’investissement offertes par le Togo, notamment dans les domaines de l’énergie, de l’agriculture et de l’industrie manufacturière était l’objectif de la rencontre . Ces secteurs sont prioritaires dans la feuille de route gouvernementale Togo 2025, qui vise à faire du pays un pôle de croissance et d’innovation en Afrique de l’Ouest.

La ministre de la Promotion de l’Investissement, Mme Manuella M. Santos, a salué l’intérêt manifesté par les investisseurs turcs pour le Togo, et les a invités à saisir les avantages comparatifs du pays, tels que sa stabilité politique, sa position géographique stratégique, son potentiel humain et ses réformes favorables au climat des affaires. Elle a également remercié l’ambassadrice Kiliç pour sa disponibilité et sa volonté de collaborer avec son ministère pour promouvoir le Togo comme une destination privilégiée par les investisseurs de la Turquie.

La Turquie est l’un des principaux partenaires économiques du Togo, avec un volume d’échanges commerciaux de plus de 200 millions de dollars en 2022. Plusieurs entreprises turques sont déjà implantées au Togo, notamment dans les secteurs du BTP, de la santé, de l’éducation et du tourisme. Selon la Banque mondiale, la Turquie est également l’un des pays les plus dynamiques en termes d’activité de démarrage, avec plus de 90 investisseurs providentiels et plus de 300 startups financées en 2023. Le Togo espère ainsi bénéficier de l’expérience et du savoir-faire turcs pour développer son écosystème entrepreneurial et accélérer sa transformation économique.

 

Sokodé : UNIR se prépare aux élections

Le ministre des transports routiers, aériens et ferroviaires, Affoh Atcha-Dedji, vice-président du parti Union pour la République (UNIR) de la région centrale, a animé une réunion avec les militants de son parti à l’hôtel NASSAM’S, Sokodé, le lundi 22 janvier 2024.En compagnie de  plusieurs cadres du parti, dont Drama Drama, Payadowa Boukpessi, Katari Foli-Bazi et Atessim Assih, le ministre a exprimé sa joie pour le choix de sa personne pour présider le rassemblement   .

Cette rencontre politique avait pour objectif de sensibiliser les militants et les responsables des structures de base du parti UNIR sur la discipline du parti, les enjeux des élections législatives et régionales prévues cette année, ainsi que le contexte sécuritaire marqué par la lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent.

UNIR se prépare aux élections
les partisans de l’UNIR

Les participants ont réaffirmé leur engagement collectif à soutenir la politique de développement du pays conduite par le Distingué militant SEM le président Faure Essozimna Gnassingbé, réélu pour un quatrième mandat en 2020. Ils ont également salué sa diplomatie discrète et efficace qui a favorisé la résolution de plusieurs conflits dans la sous-région et sur le continent.

Le ministre Affoh Atcha-Dedji a invité les militants à se mobiliser massivement pour les prochaines échéances électorales, en faisant preuve de civisme, de loyauté et de solidarité. Il a également appelé à la vigilance face aux menaces sécuritaires, en exhortant les militants à dénoncer tout acte suspect ou subversif.

Le parti UNIR, qui détient la majorité à l’Assemblée nationale et dans les conseils régionaux, espère renforcer sa position lors des prochaines élections, en s’appuyant sur son bilan et son programme. Le parti UNIR se présente comme le parti de la paix, de la stabilité et du progrès.