Togo: une symphonie de fierté pour le 65 ans d’indépendance

Jour de fierté nationale : le Togo commémore ses 65 ans par un grand défilé à Lomé, sous le regard du Président

Lomé s’est parée hier de mille feux pour célébrer, dans une exultation collective, les 65 ans d’Indépendance du Togo. Soixante-cinq ans après que Sylvanus Olympio eut proclamé la souveraineté de la nation, le peuple togolais a renoué avec cette ferveur originelle, transformant la Place des Fêtes de Lomé en un théâtre vibrant d’unité et de patriotisme. Sous le regard inspiré du président Faure Essozimna Gnassingbé, un défilé militaire, paramilitaire et civil d’une majesté rare a incarné l’âme d’un pays résolu à honorer son passé tout en sculptant un avenir radieux. Cette célébration, véritable ode à la cohésion nationale, a en effet fait palpiter les cœurs et éveillé une soif d’appartenance, invitant chaque Togolais à danser au rythme de sa propre histoire.

Togo : 65 ans d'Indépendance (27 avril 2025). Revivez le grand défilé à Lomé, la ferveur populaire et l'unité qui ont marqué la nation Ouverture majestueuse : du salut au drapeau à la revue des troupes, le défilé commence en grande pompe

Point d’orgue de cette journée de célébration nationale, une parade éblouissante sous le signe de l’unité s’est déroulée. Dès les premières lueurs du matin, la capitale s’est drapée des couleurs nationales – vert, jaune, rouge, frappées de l’étoile blanche – tandis qu’une foule immense convergeait vers la place des Fêtes. En outre, à l’arrivée du président Gnassingbé, accueilli par les honneurs militaires et la solennité de l’hymne Terre de nos aïeux, un frisson d’émotion a parcouru l’assemblée. Entouré des membres du gouvernement, des présidents des institutions, des dignitaires diplomatiques, militaires, traditionnels et religieux, le chef des armées a présidé une revue des troupes, symbole de la loyauté indéfectible des Forces armées togolaises (FAT) et des corps de sécurité.

Fière armée togolaise : discipline et détermination affichées pour la fête de l’Indépendance

D’ailleurs, une fois les honneurs rendus et les troupes passées en revue, le défilé militaire et paramilitaire a véritablement pris son envol. Le défilé, véritable fresque vivante, a vu défiler les régiments de terre, d’air et de mer, suivis par la gendarmerie, la police, les douanes, les eaux et forêts, les sapeurs-pompiers et les écoles de formation militaire. Chaque pas cadencé, chaque uniforme rutilant, chaque mouvement précis semblait ainsi  scander un serment de fidélité à la nation. Les ovations de la foule, portées par un vent de fierté, ont salué cette démonstration de discipline et d’élégance, que le président a chaleureusement félicitée, louant «  la parfaite organisation et la tenue irréprochable  » des troupes.

Togo : 65 ans d'Indépendance (27 avril 2025). Revivez le grand défilé à Lomé, la ferveur populaire et l'unité qui ont marqué la nation L’âme du Togo défile : des écoliers aux groupes folkloriques, la nation s’anime dans un spectacle de diversité

Passé le tableau de force et de discipline des corps constitués, la magie du 65ᵉ anniversaire ne s’est pas arrêtée aux corps armés. Au contraire, les groupes civils, représentant les cinq régions du Togo, ont offert un spectacle d’une richesse inouïe. Des artisans de Tandjouaré aux pêcheurs de Zio, des étudiants des universités de Lomé et de Kara aux élèves des écoles primaires, en passant par les formations folkloriques aux costumes chamarrés, chaque délégation a également incarné une facette de l’âme togolaise. Les danses traditionnelles, rythmées par les tambours et les balafons, ont transformé la Place des Fêtes en un creuset dans lequel se fondaient les identités ewé, kabyè, tem et moba, célébrant une diversité harmonieuse.

Une fête nationale totale : l’indépendance se célèbre de Lomé aux villages, symbole d’une nation mobilisée

Si la Place des Fêtes de Lomé était le cœur battant de l’événement central, une nation en fête, des régions aux capitales, a vibré au même diapason. À Kara, un défilé régional a réuni des milliers de citoyens autour des valeurs républicaines, tandis qu’à Dapaong, la pose de la première pierre d’une centrale solaire de 25 MWp, financée par la Banque mondiale, a marqué un pas audacieux vers l’autonomie énergétique. À Tsévié, Sokodé et Atakpamé, des manifestations culturelles et sportives ont enflammé les cœurs, des concours de danses traditionnelles aux matchs de football communautaires, tissant ainsi des liens indéfectibles entre générations.

Togo : 65 ans d'Indépendance (27 avril 2025). Revivez le grand défilé à Lomé, la ferveur populaire et l'unité qui ont marqué la nation L’Élan citoyen : la fête des 65 ans d’Indépendance, catalyseur de fierté et d’engagement pour la jeunesse togolaise

Au-delà des manifestations officielles en régions, l’adhésion populaire était manifeste. Cette mobilisation nationale, reflet d’une adhésion profonde aux idéaux de paix et de progrès portés par le président Gnassingbé, a transcendé les frontières géographiques. Comme l’a twitté un citoyen enthousiaste  : «  65 ans d’indépendance, 65 ans de fierté  !  » « Togolais, bâtissons la cité  ! » Cette exhortation, reprise par des milliers de voix sur les réseaux sociaux, a donné à la célébration une résonance moderne, où la jeunesse s’empare de l’héritage pour rêver plus grand.

La Flamme éternelle : le 27 avril, symbole d’unité, d’ambition et de l’engagement du Togo pour un avenir radieux

Ainsi s’est exprimée la fierté d’un peuple, manifestant un engagement envers la nation. En cette journée mémorable, le Togo a célébré bien plus qu’une date  : il a exalté un esprit, celui d’un peuple uni par son histoire et galvanisé par ses ambitions. Par ailleurs, le défilé du 27 avril, avec ses régiments impeccables et ses groupes folkloriques enflammés, a été un miroir tendu à la nation, reflétant sa force et sa diversité. Comme l’a proclamé un message présidentiel  : «  65 ans jour pour jour, le Togo accède à la souveraineté internationale.  » « Que cette fête soit un catalyseur de progrès ! »

Dans les rues de Lomé, où les drapeaux flottaient au vent et les rires fusaient, une vérité s’est imposée  : l’indépendance du Togo n’est pas un simple jalon historique, mais une flamme vivante, entretenue par chaque citoyen. En cette année, la flamme brûle plus fort que jamais, éclairant le chemin d’un Togo prospère, uni et résolument tourné vers l’avenir. Par conséquent, à l’aube de nouveaux horizons, la nation invite le monde à contempler sa grandeur et à danser, elle aussi, au rythme de sa liberté retrouvée.

65ᵉ anniversaire : La Flamme de l’Indépendance s’embrase à Lomé

Togo  : La flamme de l’indépendance rallumée, un hymne à la mémoire et à l’espoir

Sous un ciel étoilé de Lomé, le samedi 26 avril, le président Faure Essozimna Gnassingbé a ravivé la flamme de l’indépendance, un geste empreint de gravité et de ferveur qui a donné le coup d’envoi des célébrations du 65ᵉ anniversaire de la souveraineté togolaise. Face au monument de l’Indépendance, ce rituel solennel a rassemblé une nation entière autour de ses racines, de ses héros et de ses aspirations. Plus qu’un symbole, cet acte a réaffirmé la volonté d’un peuple de chérir son passé tout en sculptant un avenir de paix et d’unité. Dans une atmosphère vibrante, où les chants patriotiques des groupes folkloriques ont résonné comme un écho des luttes d’antan, le Togo a célébré sa liberté avec une dignité rayonnante.

À Lomé, le président Faure Gnassingbé a rallumé la flamme de l'Indépendance pour marquer le 65e anniversaire, un geste symbolisant l'unité Rituel sacré au monument : honorer 1960, unir les générations présentes

Ancré dans l’histoire, ce geste se répète chaque année à la veille du 27 avril. La flamme de l’indépendance s’embrase ainsi pour rappeler le sacrifice des pères fondateurs qui, en 1960, ont brisé les chaînes du joug colonial. En effet, ce 26 avril, le président Gnassingbé, entouré des plus hautes autorités de la République – présidents des institutions, membres du gouvernement, chefs militaires, figures politiques, administratives et traditionnelles, ainsi que diplomates étrangers – a renouvelé ce pacte mémoriel. La cérémonie, d’une solennité poignante, s’est déroulée au pied du monument de l’Indépendance, lieu sacré où bat le cœur de la nation. La sonnerie aux morts, suivie de l’hymne national, Terre de nos aïeux, a enveloppé l’assemblée d’une émotion palpable, comme un pont jeté entre les générations.

Chants, danses et fierté : les groupes folkloriques, battements de cœur de la nation en fête

Les groupes folkloriques, parés de costumes aux couleurs éclatantes, ont fait vibrer la foule immense avec des chants patriotiques et des danses ancestrales. Ces mélodies, mêlant rythmes ewé, kabyè et tem, ont ravivé le souvenir des combats pour la liberté, tout en insufflant une énergie collective. « Ce moment nous rappelle d’où nous venons et nous pousse à construire un Togo encore plus fort », a murmuré une spectatrice, les yeux brillants, parmi les milliers de citoyens venus communier dans cet instant historique.

Identité et résilience : le message puissant de la flamme ravivée pour un Togo uni

Au-delà de sa portée rituelle et émotionnelle, le rallumage de la flamme n’est pas un simple rituel ; c’est une affirmation de l’identité togolaise, forgée dans les luttes et portée par une vision d’avenir. En accomplissant ce geste, Faure Gnassingbé a réitéré son engagement à ancrer le Togo dans son histoire tout en le projetant vers un horizon d’ouverture et de concorde. Ce devoir de mémoire, dédié aux héros nationaux, est donc aussi un appel à chaque Togolais pour contribuer à la construction d’une nation unie et résiliente.

Cohésion face aux menaces : la flamme, un signal de stabilité qui résonne au-delà des frontières

Par ailleurs, le contexte de cette 65ᵉ célébration ajoute une profondeur particulière à l’événement. Alors que le Togo fait face à des défis régionaux, notamment les menaces terroristes dans le Sahel et les tensions économiques, cette cérémonie incarne un message de cohésion. La présence du corps diplomatique, aux côtés des autorités traditionnelles, témoigne également du rayonnement du Togo sur la scène internationale, un pays qui, sous le leadership de Gnassingbé, s’affirme comme un acteur de stabilité en Afrique de l’Ouest.

Les couleurs de la Nation en fête : la flamme, prélude au défilé grandiose et aux célébrations régionales

Cette cérémonie inaugurale n’est, en réalité, que le point de départ d’une série de festivités marquant le 65ᵉ anniversaire de l’indépendance. Le lendemain, un grandiose défilé militaire, paramilitaire et civil a enflammé la place des fêtes de Lomé, présidé par le chef de l’État. Les Forces armées togolaises, suivies par des corps de police, de douanes et de jeunes écoliers brandissant fièrement le drapeau vert, or et rouge, ont offert un spectacle de discipline et de patriotisme. Dans le même temps, dans les régions, des parades similaires ont uni les communautés, tandis que des manifestations culturelles – concerts, danses traditionnelles et expositions artisanales – ont célébré la richesse du patrimoine togolais.

Nuit magique au Palais de Lomé : L’héritage togolais sublimé par la lumière et le son

Pour compléter cette journée mémorable, la soirée du 26 avril s’est prolongée par un spectacle numérique au Palais de Lomé, où sons, lumières et projections vidéo ont mis en valeur l’architecture, les danses et la faune du Togo. Cette ode au patrimoine, mêlant modernité et tradition, a captivé les spectateurs, renforçant le sentiment d’appartenance à une nation en perpétuelle réinvention.

Leadership et avenir : dépasser les épreuves pour bâtir un Togo uni et prospère

Ce renouveau des célébrations s’inscrit, en effet, dans une vision plus large. Depuis son accession au pouvoir en 2005, Faure Gnassingbé a fait de la célébration de l’indépendance un moment clé pour fédérer les Togolais. Sous sa présidence, le Togo a réhabilité cette fête, autrefois éclipsée par d’autres commémorations, pour en faire un symbole d’unité nationale. Des projets comme la Plateforme industrielle d’Adétikopé, inaugurée en partie lors de ces festivités, ou l’hôpital de référence récemment ouvert témoignent d’un élan vers le progrès tout en honorant l’héritage des aïeux.

Pourtant, le chemin n’a pas été sans embûches. Les crises politiques, notamment les tensions électorales de 2005 et les manifestations de 2017, ont parfois mis à l’épreuve la cohésion nationale. Mais, en ce 65ᵉ anniversaire, le Togo semble résolu à tourner la page des divisions, porté par une jeunesse dynamique et des institutions en quête de renforcement.

Un flambeau pour l’avenir : la flamme de l’indépendance, symbole d’un Togo debout, fier et ambitieux

C’est précisément dans cet esprit de résilience et de dépassement qu’en rallumant la flamme de l’indépendance, Faure Gnassingbé a non seulement honoré les héros du passé, mais aussi allumé une lueur d’espoir pour l’avenir. Cette cérémonie, par sa portée symbolique et sa capacité à rassembler, incarne l’esprit d’un Togo qui refuse de plier face aux défis.

Alors que les échos des chants patriotiques s’estompent et que la flamme continue de danser dans la nuit loméenne, le Togo se tient debout, fier de son passé, confiant en son avenir. Ce 65ᵉ anniversaire n’est pas seulement une commémoration ; c’est une invitation à écrire, ensemble, les prochaines pages d’une histoire qui brille de résilience et d’ambition.

65 ans d’Indépendance : Le Togo distingue ses héros

Togo  : une cérémonie de distinction vibrante pour saluer 65 ans de souveraineté

Dans une ambiance où se conjuguent solennité et exaltation, le président togolais Faure Essozimna Gnassingbé a orchestré, samedi 26 avril, une cérémonie mémorable de décoration au Palais des Congrès de Lomé. À la veille du 65ᵉ anniversaire de l’indépendance du Togo, cet événement a en effet  couronné de gloire plusieurs compatriotes, militaires et civils, dont l’engagement exemplaire a façonné les contours d’une nation résiliente. Sous les regards admiratifs de personnalités administratives, politiques, militaires, traditionnelles et de représentants du corps diplomatique, cette célébration a transcendé le simple protocole pour devenir un hymne vibrant à l’unité et à la reconnaissance nationale.

À la veille du 65e anniversaire de son indépendance, le président Faure Gnassingbé a distingué militaires et civils, symboles de résilience Du Mono au Mérite : la Nation honore ses artisans de paix et de progrès

Au cœur de cette cérémonie, le chef de l’État a décerné des distinctions parmi les plus prestigieuses du Togo : Commandeurs, Officiers et Chevaliers de l’Ordre du Mono, ainsi que de l’Ordre national du Mérite. En outre , ces titres, véritables sceaux de la gratitude étatique, ont récompensé des femmes et des hommes dont le dévouement a renforcé la paix, la sécurité et la stabilité du pays. En amont, d’autres citoyens avaient reçu des honneurs pour leur rôle dans le développement, la cohésion sociale et la défense des valeurs républicaines, élargissant ainsi le cercle des héros célébrés.

Voix tremblantes et regards fiers : quand l’honneur parle au cœur des togolais 

L’émotion était palpable lorsque les récipiendaires, certains à la voix tremblante de fierté, ont partagé leur ressenti. « Être distingué par le président est une consécration qui dépasse mes espérances. » « Cela galvanise mon ardeur à servir davantage notre cher Togo », a confié un officier décoré, le regard brillant d’une détermination renouvelée. Ces témoignages, empreints d’humanité, ont donné une résonance intime à un événement par ailleurs empreint de grandeur.

Les honneurs ouvrent le ban : le Togo célèbre son indépendance entre faste et mémoire

Cette remise de décorations n’était qu’un prélude fastueux aux célébrations du 65ᵉ anniversaire de l’indépendance, conquise le 27 avril 1960. Le lendemain, Lomé a vibré au rythme d’un grand défilé militaire et civil, orchestré sous la présidence de Faure Gnassingbé, où la discipline des troupes et l’enthousiasme populaire ont peint un tableau saisissant de la vitalité togolaise. Parallèlement, une conférence hommage aux figures emblématiques – politiques, coutumières et culturelles – a ravivé la flamme de la mémoire collective, tandis que des manifestations culturelles dans les régions ont rappelé la richesse d’un patrimoine forgé dans la diversité.

Cap sur 2025 : quand l’honneur national renforce la vision d’un Togo stable et prospère.

Ce 65ᵉ anniversaire intervient dans un contexte dans lequel le Togo, sous la conduite de Faure Gnassingbé, poursuit une ambitieuse trajectoire de développement. La Feuille de route Togo 2025, qui guide les politiques nationales, ambitionne de faire du pays un bastion de stabilité et de prospérité en Afrique de l’Ouest, malgré les menaces régionales comme le terrorisme et les crises économiques. La cérémonie de décoration s’inscrit ainsi comme un jalon symbolique, célébrant à la fois le passé glorieux et les promesses d’un avenir audacieux.

À la veille du 65e anniversaire de son indépendance, le président Faure Gnassingbé a distingué militaires et civils, symboles de résilience De 1960 à aujourd’hui, ces honneurs ancrent l’indépendance dans la résilience et l’engagement citoyen

L’histoire du Togo, depuis son émancipation des chaînes coloniales en 1960, est celle d’un peuple qui a su transformer les épreuves en tremplins. Des tumultes politiques aux défis sécuritaires, le pays a cultivé une résilience qui trouve aujourd’hui son écho dans ces distinctions. En honorant ceux qui incarnent la paix et le progrès, le président Gnassingbé a réaffirmé une vérité fondamentale : la grandeur d’une nation repose sur les épaules de ses citoyens dévoués.

Le Togo rayonne : les ambassadeurs témoignent de la portée internationale de l’événement

La présence du corps diplomatique, aux côtés des dignitaires togolais, a souligné la portée internationale de cet événement. Elle témoigne de la place croissante du Togo sur l’échiquier régional, un pays qui, tout en chérissant son héritage, se tourne résolument vers des nouveaux horizons.

Au-delà des médailles : un appel à l’engagement pour forger la légende du Togo de demain

Plus qu’une simple remise de médailles, la cérémonie du samedi a été une célébration de l’esprit togolais : un mélange d’humilité, de courage et d’aspiration collective. Dans le sillage des festivités, elle a rappelé que chaque acte de bravoure, chaque geste de solidarité, tisse la trame d’une histoire partagée. Alors que le Togo s’élance vers son prochain chapitre, ces distinctions ne sont pas seulement des récompenses, mais des flambeaux transmis aux générations futures, les invitant à porter haut les idéaux de paix et de prospérité.

En ce jubilé d’indépendance, le Togo ne se contente pas de regarder en arrière avec fierté ; il pose les fondations d’un avenir dans lequel chaque citoyen, par son engagement, devient un artisan de la légende nationale.

Le Togo exalte son passé héroïque avec Gnassingbé Eyadéma

Lomé, le 26 mars 2025 – Dans la journée mémorable d’hier, la capitale togolaise s’est parée d’une solennité empreinte de révérence pour accueillir une cérémonie d’une portée exceptionnelle. Sous les auspices éclairés de Son Excellence Faure Essozimna Gnassingbé, président de la République, Lomé a vibré au rythme d’un hommage vibrant rendu au Général Gnassingbé Eyadéma, père de la nation, dont le souvenir illumine encore les consciences nationales.

Par ailleurs, cet événement, mêlant conférence savante et distinctions honorifiques, s’est tenu dans un écrin de dignité, rassemblant un parterre prestigieux où se côtoyaient présidents des institutions républicaines, membres du gouvernement, parlementaires, universitaires, chefs traditionnels et figures militaires.

Le Togo honore le Général Eyadéma lors d’une conférence et d’une cérémonie de décoration présidées par Faure Gnassingbé, Une plongée érudite dans l’héritage d’un géant

En effet, cette journée s’est ouverte sur une conférence scientifique, joyau intellectuel marquant le vingtième anniversaire de la disparition du Général Eyadéma. Deux exposés, d’une richesse rare, ont captivé l’assistance. Le premier, intitulé « Gnassingbé Eyadéma : du soldat de rang au Général », a retracé l’ascension d’un homme parti des échelons modestes pour s’élever au pinacle du commandement, incarnation d’une résilience forgée dans l’épreuve.

Le second, « Gnassingbé Eyadéma, bâtisseur de l’armée togolaise », a dévoilé l’architecte visionnaire d’une force armée moderne, pilier de la souveraineté nationale. Ces réflexions, distillées avec une clarté limpide, ont mis en lumière trois vertus cardinales : la ténacité du Général, la fidélité indéfectible de ses troupes et l’élan de son fils, Faure Gnassingbé, pour perpétuer la paix et l’unité.

En outre, chaque orateur a salué l’initiative du président, louant cette opportunité de raviver la mémoire d’un chef d’État dont le dévouement a façonné le destin du Togo. Hodabalo Awaté, ministre de l’Administration territoriale et président du comité d’organisation, a exprimé une gratitude profonde envers Faure Gnassingbé, artisan de ce devoir de mémoire qui conduit les Togolais à honorer leur histoire tout en se tournant vers demain.

Le Togo honore le Général Eyadéma lors d’une conférence et d’une cérémonie de décoration présidées par Faure Gnassingbé, Une reconnaissance solennelle des gardiens de la nation

Avant que les esprits ne s’abreuvent de savoir, une cérémonie de décoration a illuminé la matinée. Sous le regard bienveillant du chef de l’État, des officiers supérieurs, subalternes, sous-officiers et soldats ont reçu des distinctions prestigieuses : Commandeurs, Officiers et Chevaliers de l’Ordre du Mono ou de l’Ordre national du mérite, ainsi que des médailles du mérite militaire.

Ces honneurs, décernés avec une précision protocolaire, ont célébré l’abnégation des forces de défense et de sécurité, rempart vivant contre les périls qui guettent la nation. Cet acte, inscrit dans le trente-deuxième anniversaire de l’attaque du Camp du Régiment interarmes en 1993, a ravivé le souvenir d’une nuit tragique où le Général Eyadéma, sous une pluie de feu, avait orchestré une riposte héroïque, sauvant le Togo d’une chute dans le chaos au prix de pertes cruelles parmi ses fidèles.

Les Forces armées togolaises (FAT), dans un hommage vibrant, ont exalté l’héritage de leur fondateur. « C’est à lui que nous devons cette armée disciplinée, rempart contre les forces obscures », ont-elles proclamé, soulignant combien cette institution, façonnée par des décennies de sacrifices, demeure un socle de fierté nationale.

Un legs d’Eyadema  à transmettre, un présent à consolider

D’ailleurs, cette journée a esquissé les contours d’un avenir à bâtir. Le président Faure Gnassingbé, chef des armées, a été salué pour sa détermination à doter les FAT des moyens modernes nécessaires à la sauvegarde du territoire. Dans un Togo où la paix sociale et le développement économique s’entrelacent comme les fils d’une même étoffe, son engagement résonne aussi comme une promesse de continuité, ancrée dans les valeurs de courage et de patriotisme léguées par son père.

Une mémoire qui ouvre des horizons

Au terme de cette célébration, le Togo se tient à un carrefour sur lequel l’écho des exploits d’hier se mêle aux défis de demain. La figure tutélaire du Général Eyadéma, magnifiée par cette journée, invite chaque citoyen à cultiver la concorde et la vigilance. Quant à Faure Gnassingbé, il incarne un pont entre ce legs et les aspirations d’une nation en marche. Cependant, cette mémoire, si précieusement honorée, saura-t-elle inspirer les nouvelles générations à écrire, à leur tour, une page aussi glorieuse dans le grand livre du Togo ?

 

Togo : une pluie d’honneurs s’est abattue sur huit éminentes personnalités

Lomé, le 5 février 2025 –Dans une cérémonie empreinte de solennité, le Président Faure Essozimna Gnassingbé a distingué, hier mardi, des personnalités ayant marqué de leur empreinte le paysage sociopolitique et culturel du Togo. En effet, cette distinction, intervenue à l’occasion du 20ᵉ anniversaire du décès du Président Eyadéma, fondateur de la Nation, vient saluer leur dévouement inlassable au service de la patrie.

Barry Moussa Barqué, une loyauté récompensée

D’ailleurs, C’est avec une émotion palpable que Barry Moussa Barqué a reçu les insignes de Grand-Croix de l’Ordre du Mono. L’ancien ministre d’État, figure emblématique du régime, a été célébré pour sa constance et sa fidélité envers le père de la Nation. Sa carrière, jalonnée de hautes responsabilités, témoigne d’un attachement indéfectible aux valeurs républicaines.

Une reconnaissance plurielle

Au-delà de cette distinction honorifique, le Président a élevé d’autres personnalités au rang de Commandeur de l’Ordre du Mono. Parmi elles, Cina Lawson, ministre de l’Économie numérique, et les généraux Dimini Allaharé et Kassawa Kolemagah, respectivement chef d’État-major général et ancien chef d’État-major général des Forces armées togolaises. Le chef de l’État a aussi apprécié leurs actions remarquables dans leurs domaines respectifs.

En plus, les chefs traditionnels n’ont pas été en reste. Le Président a fait Chevaliers de l’Ordre du Mono quatre d’entre eux, reconnus pour leur rôle essentiel dans le maintien de la cohésion sociale et la promotion des valeurs ancestrales. Cette distinction vient souligner ainsi l’importance accordée par les pouvoirs publics au rôle des autorités coutumières dans la construction nationale.

Une cérémonie empreinte d’émotion

En somme, la cérémonie, rehaussée par la présence des plus hautes autorités de l’État, a été l’occasion de célébrer l’excellence et l’explication de ces personnalités. Les discours prononcés à cette occasion ont mis en exergue les qualités humaines et professionnelles des récipiendaires, tout en rappelant l’héritage du Président Eyadéma.

Lomé : un colloque éclaire l’héritage polymorphe d’Eyadéma

Lomé, le 4 février 2024 –La capitale togolaise s’est érigée hier en sanctuaire de la réflexion historique, accueillant un colloque international dédié à la figure tutélaire du Général Gnassingbé Eyadéma. Vingt ans après sa disparition, cet hommage, tissé de discours académiques et de témoignages panafricains, a transcendé les frontières, réunissant penseurs et acteurs politiques d’une dizaine de nations africaines et européennes. En effet, sous les lambris d’un lieu symbolique, les participants ont déployé une tapisserie de réflexions autour de l’homme qui incarna, pendant près de quatre décennies, l’âme et les contradictions d’un Togo en quête d’équilibre.

Vingt ans après la disparition du Général Gnassingbé Eyadéma, un colloque international à Lomé a réuni des personnalités africaines Une commémoration à la croisée des mémoires  

Victoire Dogbé, Premier Ministre et cheffe du gouvernement, a ouvert le bal des allocutions d’un ton solennel, saluant un événement nécessaire pour ressusciter l’esprit d’un bâtisseur. Elle a exalté les vertus cardinales d’Eyadéma : l’unité dans le pluralisme, la paix comme socle, et un patriotisme viscéral. « Ce colloque n’est pas un simple exercice de nostalgie, mais une boussole pour les générations futures », a-t-elle affirmé, insufflant une dimension prophétique à la commémoration.

L’homme derrière le mythe : un portrait en clair-obscur

Par ailleurs, Kanka-Malik Natchaba, ministre de l’Enseignement supérieur, a ciselé un portrait nuancé de l’ancien dirigeant. Décrit comme un Janus aux multiples facettes, Eyadéma fut tour à tour stratège militaire, architecte de la concorde nationale et pilier d’une Afrique en turbulence. « Son courage, teinté d’une rigueur spartiate, a forgé un Togo debout, mais son héritage reste un chantier ouvert », a-t-il souligné, évoquant les cicatrices et les lauriers d’un règne marqué par des ombres et des lumières.

Vingt ans après la disparition du Général Gnassingbé Eyadéma, un colloque international à Lomé a réuni des personnalités africaines L’œuvre d’Eyadéma : une fresque aux couleurs contradictoires

En plus, les débats ont illuminé le rôle d’Eyadéma comme médiateur-inquiet dans les crises ouest-africaines. Des intervenants ont rappelé son implication dans la résolution de conflits au Liberia et en Sierra Leone, où il joua les funambules de la diplomatie, mêlant realpolitik et idéal panafricain. « Il croyait en une Afrique forteresse, mais ouverte », a résumé un chercheur béninois, évoquant sa vision d’une intégration « ancrée dans le concret, pas dans les slogans ».

L’économie et le social : entre ambitions et écueils

Cependant, si les allocutions ont célébré des projets structurants (routes, barrages, écoles), certains panels ont osé aborder les angles morts : une industrialisation timide, une jeunesse en quête d’emplois. Un économiste togolais a parlé d’un « développement en dentelle, beau de loin, fragile de près », appelant à « réinventer, sans renier ».

Vingt ans après la disparition du Général Gnassingbé Eyadéma, un colloque international à Lomé a réuni des personnalités africaines L’intégration continentale : un rêve en patchwork 

L’héritage sous-régional d’Eyadéma a été disséqué comme un « puzzle inachevé ». Son soutien à la CEDEAO, perçu comme un « laboratoire de souverainetés partagées », contraste avec des relations tendues avec certains voisins. « Il naviguait entre fraternité et méfiance, reflet d’une Afrique en gestation », a analysé une historienne française, soulignant son rôle dans l’UA naissante comme « un chantre discret, mais tenace ».

Au-delà des discours : les séquelles d’une époque

En marge des cérémonies, des voix anonymes rappellent que la commémoration n’efface pas les controverses. « Un colloque ne guérit pas les plaies, mais peut semer des graines de dialogue », confie un militant des droits humains, souhaitant que « les livres d’histoire ne soient ni des autels ni des tribunaux ».

D’autres hommages sont prévus : expositions, pèlerinages sur les lieux emblématiques et historiques et aussi un projet de fondation dédié à l’étude critique des leaderships africains. Pour les organisateurs, il s’agit de transformer la mémoire en dynamite créatrice, loin des commémorations momifiées.

Eyadema, miroir d’une Afrique en métamorphose

Finalement, comme l’a murmuré un participant, « commémorer Eyadéma, c’est interroger l’ADN politique de l’Afrique postcoloniale ». Entre panégyriques et silences éloquents, ce colloque aura révélé combien l’homme demeure un symbole biface : à la fois repère et repoussoir, incarnation d’un passé qui refuse de passer. Vingt ans après, son spectre plane encore, invitant le Togo et le continent à danser avec leurs fantômes pour mieux inventer demain.

Cérémonie d’hommage aux héros de Koundjoaré : un acte de reconnaissance éternelle

Lomé, le 14 janvier 2025 Sous le ciel lourd de Lomé, le camp général Gnassingbé Eyadéma a résonné hier des échos d’un hommage solennel et bouleversant aux héros de la patrie. En effet, le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, chef des armées, a présidé une cérémonie d’une grande charge émotionnelle pour honorer les victimes de l’opération Koundjoaré, une opération militaire déterminante dans la lutte contre le terrorisme au nord du pays.

Par ailleurs, la tristesse se lisait dans les yeux des nombreux présents : responsables des institutions, membres du gouvernement, députés, officiers et familles endeuillées, tous unis dans une même douleur, une même reconnaissance.

Le Président Faure Gnassingbé honore les héros de l'opération Koundjoaré, soulignant le sacrifice national pour la lutte contre le terrorismeOpération Koundjoaré : un sacrifice national incommensurable

En plus, la cérémonie, empreinte de dignité et de respect, a commencé par un geste symbolique : le dépôt de gerbes de fleurs en mémoire des Togolais tombés au champ d’honneur, sur le théâtre des opérations dans la région des Savanes. Ce moment de recueillement a permis de rendre hommage à ceux qui ont sacrifié leurs vies dans la lutte contre les menaces terroristes, un combat incessant pour garantir la sécurité des populations et préserver l’intégrité du territoire national.

C’est dans un silence lourd de respect que le Président Gnassingbé a décoré à titre posthume ces braves soldats tombés sur le front. Par décret, il les a élevés au rang de chevaliers de l’Ordre du Mono, un honneur suprême réservé à ceux dont la bravoure et le sacrifice incarnent les valeurs profondes de la nation.

Une reconnaissance nationale et indivisible

Mais l’hommage ne s’est pas limité à ceux qui ont perdu la vie. Le Président de la République a également salué le courage des blessés et de ceux ayant fait preuve d’une remarquable bravoure lors de l’opération. Pour leur audace et leur engagement, ces vaillants soldats ont été décorés de la Croix de la vaillance, avec étoiles en argent et en bronze, ainsi que de la médaille en bronze, des distinctions témoignant de leur esprit de sacrifice et de leur dévouement absolu à la défense de la nation.

Dans son allocution, le Président Gnassingbé a exprimé toute sa compassion envers les familles des disparus, qui ont reçu des drapeaux et des médailles en hommage à leurs proches. Un geste poignant qui traduit l’admiration et la gratitude d’une nation envers ceux qui ont payé de leur vie pour la préserver.

Le Président Faure Gnassingbé honore les héros de l'opération Koundjoaré, soulignant le sacrifice national pour la lutte contre le terrorismeHéros de Koundjoaré : l’éloge funèbre et le souvenir vivant

Un autre moment émouvant de la cérémonie fut l’éloge funèbre prononcé par le Colonel Kilimou Mazama-Esso, chef d’État-major de l’Armée de Terre. Ce dernier, dans un discours empreint de solennité, a souligné que la mort de ces soldats n’était pas vaine. Leur sacrifice, leur engagement sur le front de la sécurité nationale nourrit aujourd’hui l’espoir d’un avenir pacifié, un avenir dans lequel la nation togolaise restera debout, unie face à l’adversité.

Le sacrifice de ces héros, qui ont payé de leur vie pour la défense de l’intégrité du territoire, reste gravé dans la mémoire collective comme un symbole de résistance et de résilience face à l’invasion terroriste. Ces hommes et ces femmes ont œuvré sans relâche, risquant tout pour assurer la tranquillité des populations et stopper l’avancée du fléau terroriste dans la région des Savanes.

Le Président Faure Gnassingbé honore les héros de l'opération Koundjoaré, soulignant le sacrifice national pour la lutte contre le terrorismeUne lutte contre l’injustice et les menaces persistantes

L’opération Koundjoaré, lancée en 2018, fut l’un des piliers de cette lutte acharnée contre le terrorisme dans le nord du Togo. Le Président Faure Gnassingbé, conscient de l’ampleur des menaces sécuritaires qui pèsent sur la sous-région, a pris l’initiative d’un déploiement stratégique des forces de défense et de sécurité pour stopper les terroristes à la frontière. Cette opération est devenue un bouclier essentiel pour garantir la paix et la stabilité du pays.

Le chef de l’État a réaffirmé son engagement inébranlable à doter les forces de défense et de sécurité des moyens nécessaires pour contrer ce fléau, tout en leur demandant de demeurer vigilantes et déterminées à ne céder aucun centimètre de territoire. « Nous ne céderons jamais face aux ennemis de la paix », a-t-il martelé, insistant sur l’importance de l’unité et de la résilience nationale face à cette menace globale.

Le Président Faure Gnassingbé honore les héros de l'opération Koundjoaré, soulignant le sacrifice national pour la lutte contre le terrorismeUne nation solidaire et résolue

La cérémonie s’est clôturée par un défilé militaire, dans une démonstration éclatante de force et de discipline des troupes des différents corps de l’armée, de la gendarmerie et de la police. Le Président de la République a chaleureusement félicité ses troupes pour la qualité de leurs prestations et leur engagement sans faille.

En somme, cet hommage national, bien plus qu’un simple acte de reconnaissance, incarne la volonté collective du peuple togolais de se tenir fermement dans la lutte contre l’injustice, le terrorisme et toutes les formes de violence. La mémoire des héros de l’opération Koundjoaré ne sera jamais effacée. Leur sacrifice inspire, à chaque Togolais, le courage de défendre la paix, la liberté et la dignité, au péril de sa propre vie. Ce sont des héros de la liberté, des sentinelles de la République, et leur sacrifice marquera à jamais l’histoire du Togo.

 

Togo : Un hommage solennel rendu aux soldats tombés à Wahala

Lomé, 12 novembre 2024 – Le cimetière de Wahala a vibré hier sous le poids de l’histoire. À l’occasion de la commémoration de l’armistice de 1918, une cérémonie solennelle orchestrée par La Mission de Défense de Lomé, en coordination avec les autorités togolaises, a rassemblé des représentants de plusieurs nations pour rendre hommage aux soldats africains et européens tombés au combat loin de leur patrie.

Un devoir de mémoire

Dans un climat de recueillement, les participants ont déposé des gerbes de fleurs sur les tombes de ces soldats, marquant ainsi leur respect et leur gratitude. Les discours prononcés ont souligné l’importance de se souvenir de ces hommes qui ont sacrifié leur vie pour la paix. Cette journée a été aussi l’occasion de rappeler que la paix est un bien précieux, fruit de nombreux sacrifices.

Une coopération internationale renforcée

Par ailleurs, la présence de représentants de l’Union européenne, de l’Allemagne, du Sénégal et du Royaume-Uni a souligné l’importance de la coopération internationale dans la préservation de la paix. Les autorités présentes à cette cérémonie ont réitéré leur engagement à travailler ensemble pour un monde plus juste où la guerre ne serait plus qu’un lointain souvenir.

Un message d’espoir

En somme, le cimetière de Wahala s’est transformé en un lieu de recueillement et de partage. Au-delà des frontières et des cultures, les participants ont uni leurs voix pour honorer la mémoire de ceux qui se sont sacrifiés. Cette cérémonie rappelle aussi que la paix est un bien précieux, fruit de la mémoire collective et de l’engagement de chacun à œuvrer pour un monde plus juste et plus fraternel. En se réunissant pour rendre hommage aux soldats tombés, les participants ont démontré leur volonté de construire un environnement fondé sur la paix et la solidarité.

38 ans après : Le Togo se souvient de ses martyrs

Lomé, le 23 septembre 2024 – le Togo a marqué le 38ème anniversaire de l’une des journées les plus sombres de son histoire récente avec une série de commémorations à travers le pays. En 1986, un acte de violence inouïe a secoué la nation lorsque des terroristes armés ont attaqué la capitale, Lomé, entraînant la perte tragique de vies tant militaires que civiles.

Togo uni dans le souvenir : Commémoration de l’attentat de 1986

En effet, Des décennies plus tard, la mémoire de cet événement reste gravée dans le cœur des Togolais, qui se sont réunis en ce jour de souvenir pour rendre hommage à ceux qui ont été touchés par la tragédie.

À Lomé, une cérémonie poignante a eu lieu à la Place des Martyrs, où le ministre de l’administration territoriale, de la décentralisation et de la chefferie coutumière, Hodabalo Awate, a déposé des gerbes au nom du Président de la République. Cette commémoration a vu la participation de plusieurs membres du gouvernement, ainsi que des autorités politiques, administratives, militaires, religieuses et locales, tous unis dans un moment de recueillement solennel.

Le 23 septembre, le Togo se recueille en mémoire des victimes de l'attaque terroriste et renouvelle son combat contre ce fléau.Le contexte actuel de lutte contre le terrorisme confère à cette journée une résonance particulière, rappelant à la nation et au monde l’importance de la vigilance et de la solidarité face à de telles menaces. Le souvenir de l’attaque de 1986 sert d’avertissement et de motivation pour continuer à combattre l’extrémisme sous toutes ses formes.

Il y a 38 ans, les Forces Armées Togolaises (FAT), qui avaient réussi à neutraliser le commando terroriste, ont reçu un honneur pour leur courage et leur dévouement à la défense de la patrie.Les cérémonies d’aujourd’hui ne sont pas seulement un acte de souvenir, mais aussi une affirmation de la force et de la résilience du peuple togolais.

Alors que la journée touche à sa fin, les Togolais restent unis dans le deuil, mais aussi dans l’espoir. L’espoir que de tels actes de violence ne se reproduisent jamais et que la paix et la sécurité prévaudront. La mémoire des victimes reste vivante, et leur héritage inspire les générations actuelles et futures à œuvrer pour un monde plus sûr et plus juste.

Lutte contre la drogue : Dossou-d’Almeida sonne la mobilisation pour sauver la jeunesse togolaise

Lomé, 26 juin 2024 – A l’occasion de la Journée internationale contre l’abus et le trafic de drogues célébrée ce 26 juin, Mme Myriam Dossou-d’Almeida, Ministre du Développement à la Base, de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes du Togo, a prononcé un discours poignant pour sensibiliser sur la lutte contre ce fléau qui affecte gravement les sociétés.

Soulignant l’engagement ferme du Togo sous le leadership du Président Faure Essozimna Gnassingbé, la ministre a mis en lumière les efforts nationaux déployés pour préserver la jeunesse des dangers de la toxicomanie. Elle a notamment insisté sur la nécessité d’une prise de conscience collective et d’une action coordonnée impliquant tous les acteurs de la société, notamment les jeunes, les parents, les éducateurs et les organisations civiles, pour éradiquer l’abus de substances nocives.

Un message de  la Ministre  Dossou-d’Almeida  fort adressé aux jeunes

Par ailleurs, Mme Dossou-d’Almeida a exhorté les jeunes à reconnaître leur valeur intrinsèque et à se détourner des tentations des drogues. Elle a souligné que si ces substances peuvent procurer un soulagement illusoire et temporaire, elles entraînent des conséquences dévastatrices à long terme sur la santé, le bien-être et l’avenir des jeunes.

La ministre a mis en avant le potentiel immense des jeunes comme ressource essentielle pour le développement du pays. Elle les a encouragés à exploiter leur atout pour contribuer positivement à la société et à construire un avenir meilleur. Elle les a également appelés à faire preuve de résilience face à la pression sociale et à rejeter les choix destructeurs qui pourraient compromettre leur avenir.

Un appel à la collaboration de tous les acteurs

Mme Dossou-d’Almeida a également souligné le rôle crucial des parents, des éducateurs et des organisations de la société civile dans la lutte contre la toxicomanie. Elle a appelé ces acteurs à jouer un rôle actif dans l’éducation des jeunes sur les risques liés à la drogue et à soutenir leurs ambitions pour les aider à s’épanouir et à réaliser leur plein potentiel.

La ministre a aussi rendu hommage aux organisations telles que le CNAD et l’ONG RAPAA pour leur travail acharné dans la prévention de la toxicomanie et la promotion de modes de vie sains auprès des jeunes.

Un engagement ferme du Togo

Dans un élan d’unité et de résilience, le Togo se dresse contre l’abus de drogues, un combat porté par la conviction que la victoire est à portée de main. La ministre, porte-voix de cette lutte, souligne l’importance cruciale de la solidarité et de l’action collective pour sauvegarder la jeunesse, véritable pilier d’un avenir prometteur. C’est dans cet esprit de mobilisation que chaque citoyen est appelé à contribuer à l’édification d’un Togo sécurisé, sain et propice à l’épanouissement de tous.

Célébration des droits des femmes : un engagement renouvelé

 Dans le cadre de la célébration de la Journée Internationale des Droits des Femmes, la Ministre et Secrétaire Générale de la Présidence de la République Togolaise, Sandra Ablamba Johnson, a souligné l’importance de la cohésion sociale lors d’une rencontre émouvante avec l’association Femmes Natives de Bè de la Commune du Golfe 1.

“Sans la cohésion, nous ne pouvons rien,” a affirmé Mme Johnson, exprimant son immense plaisir à échanger avec les membres de l’association. Elle a salué leur dévouement et leur engagement envers la promotion des droits des femmes et le développement de leur communauté, les qualifiant de source d’inspiration.

Sandra Ablamba Johnson, a souligné l’importance de la cohésion sociale lors d’une rencontre émouvante avec l’association Femmes Natives de Bè de la Commune du Golfe 1.

La Ministre a également exprimé sa profonde gratitude envers le Chef de l’État, SEM Faure Gnassingbé, pour sa politique priorisant la promotion de la femme. Elle a remercié le Maire de la Commune du Golfe 1, les chefs cantons et religieux, ainsi que les femmes de l’association pour leur accueil chaleureux et pour les échanges enrichissants sur le leadership féminin.

Cette rencontre marque un moment significatif dans la lutte pour l’égalité des sexes et le renforcement du rôle des femmes dans la société togolaise. Elle reflète l’engagement continu du gouvernement et des communautés locales à œuvrer pour l’autonomisation des femmes et la reconnaissance de leurs droits fondamentaux.

Le Togo célèbre les femmes et leurs droits

Le 08 mars est une date symbolique pour les femmes du monde entier, qui se mobilisent chaque année pour faire valoir leurs droits et revendiquer leur place dans la société. Cette journée, instaurée par l’ONU en 1977, vise à promouvoir l’autonomisation socioéconomique des femmes et à sensibiliser aux inégalités et aux discriminations qu’elles subissent encore. Le thème choisi cette année au niveau mondial pour cette célébration  est : « Investir en faveur des femmes, accélérer le rythme ».

Le Togo, un pays engagé pour la promotion de la femme et de l’équité genre

Au Togo, la Journée internationale des droits des femmes a été célébrée sous le thème : « Investir en faveur des femmes : renforcer l’inclusion financière et la représentation la gente féminine dans la vie publique et politique ». Ce thème reflète les nombreuses réformes initiées par le pays sous l’impulsion du Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Faure Essozimna Gnassingbé, en faveur de l’épanouissement et de l’émancipation des femmes togolaises.

En effet, le Togo a mis en œuvre des stratégies diversifiées dans les domaines politique, technique, économique, juridique, afin de garantir l’égalité entre les femmes et les hommes et de construire une société plus juste et plus équitable, conformément à la Feuille de route gouvernementale 2020-2025.

Ainsi, le Togo affiche aujourd’hui des progrès remarquables en matière de participation et de leadership des femmes dans les sphères de décision. On peut citer, entre autres, la présence de 17 femmes députés sur les 91 à l’Assemblée nationale, de 14 femmes ministres sur les 34 au Gouvernement, de 12 femmes sur 117 maires élus, sans oublier la coordination du Gouvernement et la présidence de l’Assemblée nationale assurées par des femmes.

Une causerie-débat pour inciter les femmes du Ministère du commerce à s’impliquer davantage dans la vie publique et politique

Pour marquer cette Journée, la Cellule Focale Genre du Ministère du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale, a organisé ce vendredi 08 mars 2024, une causerie-débat sur le thème de l’année, à l’intention de la gente féminine du Ministère. L’objectif était de les encourager à renforcer leur inclusion financière et à se mobiliser pour la vie publique et politique de leur pays.

Madame Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, Ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale, a présidée La cérémonie d’ouverture en présence du Directeur de Cabinet, du Secrétaire Général, des directeurs et des femmes du ministère.

Dans son mot de bienvenue, le Secrétaire Général, Président de la Cellule genre, a rappelé le contexte et l’enjeu de cette Journée, avant d’insister sur la nécessité pour la gente féminine de s’engager dans la vie publique et politique de leur pays.

Le 08 mars est une date symbolique pour les femmes du monde entier, qui se mobilisent chaque année pour faire valoir leurs droits

Le Togo travaille pour l’accession de la gente féminine à des places de noblesse

« Notre pays poursuit des politiques efficaces pour que les femmes accèdent à la place noble qu’elles méritent dans tous les domaines et pour éradiquer la violence à leur égard. La poursuite des actions dans ce domaine doit être notre priorité.

La Journée internationale des femmes nous appelle à agir. Agir pour appuyer les femmes qui réclament leurs droits fondamentaux, agir pour renforcer la protection contre l’exploitation et les violences sexuelles, agir pour accélérer la pleine participation et le leadership féminin. » a-t-il déclaré.

Dans son discours d’ouverture, Madame Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, Ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale, a exprimé sa reconnaissance au Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Faure Essozimna Gnassingbé, pour sa vision éclairée et sa volonté politique en faveur de la gente féminine.

Stratégies dans les domaines politique, technique, économique, juridique pour l’Egalite du genre

« Au Togo, l’objectif de réalisation de l’égalité entre les femmes et les hommes se traduit par la mise en œuvre de multiples stratégies dans les domaines politique, technique, économique, juridique en vue d’instaurer une société juste et équitable, en lien avec la Feuille de route gouvernementale 2020-2025. En effet, à ce jour, le Togo compte 17 femmes députés sur les 91 à l’Assemblée nationale, 14 dames ministres sur les 34 et 12 femmes sur 117 maires élus. De même, le Gouvernement est placé sous la coordination d’une femme et l’Assemblée nationale, sous la présidence d’une femme. »

Par ailleurs, elle a souligné que « L’égalité entre les femmes et les hommes reste l’un des principaux soubassements d’une société juste et viable. Elle constitue non seulement une exigence des droits humains mais aussi une condition indispensable pour un développement économique harmonieux, durable et inclusif. »

Il faut noter que les différentes communications au programme de cette causerie-débat ont porté notamment sur les thématiques suivantes : « Investir en faveur des femmes : renforcer l’inclusion financière » et « Renforcer la représentation de la gente féminine dans la vie publique et politique » avec des échanges fructueux et des perspectives encourageantes d’un engagement féminin au service d’une nation togolaise.