GRCRO 2025 : Lomé monte au front contre les flux financiers illicites

GRCRO 2025: Lomé, forteresse panafricaine dans la lutte contre le blanchiment de capitaux

Lomé, 11 juillet 2025 Dans l’arène de la gouvernance financière mondiale, Lomé s’affirme comme un bastion de la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LBC/FT). En effet, du 8 au 9 juillet 2025, la capitale togolaise a accueilli la deuxième édition de la Grande Rencontre des Compliance et Risk Officers (GRCRO), un sommet d’envergure réunissant plus de 600 experts en conformité issus de 42 pays. Porté par l’Association Togolaise des Compliance Officers (ATCO) et soutenu par les plus hautes autorités, cet événement positionne le Togo comme un acteur incontournable dans la construction d’un écosystème financier africain éthique et résilient. Face à une hémorragie de 90 milliards de dollars de flux financiers illicites drainant le continent chaque année, Lomé trace ainsi une voie audacieuse vers un avenir de transparence et de prospérité.

GRCRO 2025 propulse Lomé en pôle stratégique de la finance éthique, où transparence et régulation deviennent les piliers de l’attractivité

GRCRO 2025 à Lomé : L’Afrique unie contre le blanchiment de capitaux

 

Réunis dans la vibrante capitale togolaise, les participants – banquiers, régulateurs, juristes et responsables de la conformité – ont exploré des stratégies pour contrer les menaces financières transnationales. D’ailleurs, ce sommet se distingue par son ambition audacieuse : renforcer les cadres réglementaires et promouvoir une gouvernance éthique à l’échelle continentale. En accueillant un tel événement, le Togo consolide son rôle de plaque tournante régionale, où les idées et les solutions convergent pour répondre aux défis d’un monde financier complexe.

En plus, le choix de Lomé n’est pas anodin. Sous l’impulsion du gouvernement togolais, le pays s’est engagé dans une réforme ambitieuse de son système financier, alignée sur les standards internationaux. L’ATCO, en orchestrant cette rencontre, incarne cette vision, appuyée par une collaboration étroite avec des institutions comme la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM), qui joue un rôle clé dans l’intégration financière ouest-africaine. Les discussions, riches et pragmatiques, ont abordé des thématiques cruciales : l’application des normes ESG (environnementales, sociales et de gouvernance), la digitalisation des processus de conformité et la coopération régionale pour endiguer les flux illicites.

GRCRO 2025 propulse Lomé en pôle stratégique de la finance éthique, où transparence et régulation deviennent les piliers de l’attractivité

90 milliards de dollars en jeu : L’Afrique déclare la guerre aux flux financiers illicites

 

Le constat est alarmant : chaque année, l’Afrique perd environ 90 milliards de dollars en flux financiers illicites, selon les estimations des Nations Unies. Ces fuites, alimentées par le blanchiment de capitaux, la corruption et l’évasion fiscale, privent les États de ressources vitales pour le développement. Au Togo, cette réalité est prise à bras-le-corps. D’ailleurs, les autorités, conscientes que la lutte contre la LBC/FT est un levier pour attirer les investisseurs, ont multiplié les initiatives : renforcement des capacités des institutions financières, sensibilisation du secteur privé et adoption de cadres réglementaires robustes.

Les retombées de ces efforts sont palpables. En sécurisant son climat d’investissement, le Togo attire des capitaux étrangers tout en protégeant son économie des pratiques frauduleuses. Les citoyens en bénéficient directement : des institutions plus transparentes, une gouvernance renforcée et des opportunités économiques accrues. Comme l’a souligné un participant au sommet, « Lomé montre qu’un petit pays peut avoir une grande ambition, en devenant aussi un modèle de conformité pour le continent ».

Lomé 2030 : Cap sur la capitale africaine de la conformité financière

 

À l’horizon du troisième cycle d’évaluation mutuelle du Groupe d’Action Financière (GAFI) en 2030, le Togo ambitionne de s’imposer comme la capitale africaine de la conformité. Cette vision, loin d’être utopique, repose sur des avancées concrètes. Par ailleurs, la GRCRO 2025 illustre cette détermination, en réunissant des experts pour partager les meilleures pratiques et harmoniser les approches régionales. La collaboration avec la BRVM, qui facilite l’accès aux marchés financiers ouest-africains, et l’engagement du secteur privé renforcent cette dynamique.

Les discussions ont également mis en lumière le rôle croissant des technologies dans la lutte contre la criminalité financière. De l’intelligence artificielle pour détecter les transactions suspectes aux plateformes numériques pour assurer la traçabilité des flux, le Togo investit dans l’innovation pour rester à la pointe. Ces avancées, combinées à une mobilisation régionale, positionnent l’UEMOA comme un acteur crédible face aux défis mondiaux.

GRCRO 2025 propulse Lomé en pôle stratégique de la finance éthique, où transparence et régulation deviennent les piliers de l’attractivité

Lomé, symbole de résilience économique : un phare de transparence pour l’Afrique

 

En somme, La GRCRO à Lomé transcende le cadre d’un simple sommet et incarne une ambition panafricaine : faire de l’Afrique un continent où l’intégrité financière devient une norme concrète. En plaçant la conformité au cœur de sa stratégie économique, le Togo affirme avec force que la transparence alimente la prospérité. Les experts approfondissent leurs échanges, et Lomé s’impose comme un phare de la gouvernance éthique, guidant ainsi l’Afrique de l’Ouest vers un futur où chaque investissement sert pleinement l’intérêt collectif.

Dans les salles de conférence comme sur la scène internationale, le Togo prouve qu’un engagement résolu peut transformer les défis en opportunités. À l’aube de 2030, Lomé ne se contente pas de suivre : elle ouvre également la voie.

Comment cette intensification de la lutte contre les flux financiers illicites pourrait-elle stimuler l’investissement direct étranger et le développement économique durable dans la région de l’UEMOA ?

VaRRIWA : Quatre ans d’innovation au service du Togo

Togo : VaRRIWA, quatre ans d’innovation qui redessinent les ponts entre science et marché

Lomé, 4 juillet 2025 – Pari tenu pour VaRRIWA ! Quatre ans après son lancement, ce projet ouest-africain de valorisation des résultats de recherche affiche un bilan qui dépasse les attentes et s’ancre désormais dans la durée. En effet, grâce à cette initiative, le Togo a vu des dizaines d’innovateurs accompagnés, des entreprises créées, et une pluie de brevets déposés. Le projet VaRRIWA est, par conséquent, en train de redessiner le paysage de l’innovation scientifique dans le pays.

C’est dans ce contexte qu’un atelier Business to Business (B2B), organisé le 3 juillet à Lomé, a réuni innovateurs, chercheurs, investisseurs et décideurs publics autour d’une ambition commune : rendre durable la synergie entre innovation scientifique et dynamisme économique.

le projet VaRRIWA a transformé l'innovation scientifique au Togo en quatre ans, favorisant la création d'entreprises, l'emploi et le dépôt de brevets, et inspirant un nouveau modèle de valorisation de la recherche en Afrique de l'Ouest.Un écosystème dopé par la mise en réseau

Financé par l’Union européenne à hauteur de près de 5 millions d’euros via le 11e Fonds Européen de Développement, VaRRIWA n’est pas un simple programme académique. Au contraire, c’est une véritable fabrique de synergies entre science, marché et entrepreneuriat, pilotée par l’Agence universitaire de la Francophonie (AUF). Durant ces quatre années, le projet a accompagné 60 porteurs de solutions innovantes, généré 25 entreprises et 322 emplois, et conduit au dépôt de 23 brevets – un record national souligné avec fierté par les acteurs.

« On reprochait aux chercheurs d’enfermer leurs travaux dans les tiroirs. Avec VaRRIWA, au contraire, ces tiroirs se sont ouverts, et le dialogue avec le monde économique s’est installé », s’est félicité Gnon Baba, représentant de l’AUF-Togo.

Ainsi, VaRRIWA s’est imposé comme une passerelle solide entre laboratoires et entreprises. Le B2B de Lomé a donc servi de tremplin pour ouvrir l’ère « post-projet », en consolidant les alliances public-privé et en explorant des voies de financement alternatives à la seule ressource publique.

Un nouveau souffle pour la recherche appliquée

Deux structures emblématiques ont cristallisé cette dynamique : le FabLab de Kara (CAVRIS) et l’Unité de valorisation des innovations agricoles et agroalimentaires (UVI2A). Grâce à elles, les porteurs de projets bénéficient d’un accompagnement technique, de conseils juridiques et, dans certains cas, de financements d’amorçage.

Cependant, l’heure est désormais à l’après-projet. Comme l’a rappelé le Dr Kossi Sénamé Dodzi, directeur de la Recherche scientifique et technique au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, « les ressources publiques seules ne suffisent plus. Il faut attirer des capitaux privés, structurer les partenariats, professionnaliser les filières ».

Des impacts tangibles sur le terrain togolais

Les résultats concrets du projet VaRRIWA sont éloquents :

  • Incubation structurée : Création de centres tels que le CAVRIS à Kara et l’UVI2A, catalyseurs de 60 projets innovants, dont plusieurs ont décroché des financements d’amorçage.
  • Économie réelle dynamisée : En quatre ans, 25 entreprises ont émergé et 322 emplois ont été créés grâce à l’appui de VaRRIWA.
  • Propriété intellectuelle valorisée : 23 demandes de brevets déposées – un record national – dont trois portées par des femmes, trois innovations officiellement certifiées, et une marque désormais protégée.

Un bond dans les classements mondiaux et une rupture culturelle saluée

L’événement du jeudi n’avait donc rien d’anecdotique. Il a permis de faire émerger de nouvelles alliances entre investisseurs et innovateurs, tout en réfléchissant à des modèles durables de valorisation. Stands d’exposition, réseautage ciblé, panels sur le financement de la recherche : chaque séquence visait à décloisonner les savoirs et faciliter leur circulation.

La reconnaissance du Togo au classement mondial de l’innovation, avec un bond de 11 places, témoigne de cette effervescence nouvelle. Le Togo récolte aujourd’hui les fruits de cette dynamique qui consacre la montée en puissance de la valorisation scientifique dans les politiques de développement du pays. Les décideurs y voient par conséquent une opportunité à consolider.

« Ce que nous voyons aujourd’hui était inimaginable il y a encore quelques années : des chercheurs qui sortent de leurs laboratoires pour dialoguer avec des innovateurs et des investisseurs », s’enthousiasme Gnon Baba, représentant de l’AUF-Togo. L’atelier a également servi de cadre pour poser les jalons d’une institutionnalisation des pratiques de valorisation, notamment via des partenariats pérennes avec le secteur privé.

le projet VaRRIWA a transformé l'innovation scientifique au Togo en quatre ans, favorisant la création d'entreprises, l'emploi et le dépôt de brevets, et inspirant un nouveau modèle de valorisation de la recherche en Afrique de l'Ouest.VaRRIWA : Une synergie régionale inédite

Conçu comme un projet à vocation régionale, VaRRIWA s’est appuyé sur la coopération entre institutions sœurs du Togo, du Bénin, du Burkina Faso, du Sénégal et même de la Sorbonne (France). Une architecture partenariale qui confère à cette initiative une portée qui dépasse les frontières nationales.

Plus précisément, VaRRIWA s’est articulé autour d’un réseau régional avec l’ANRSA du Sénégal, l’ABeVRIT du Bénin, l’ANVAR du Burkina Faso, ainsi que l’Université de la Sorbonne. Cette approche transversale fait du projet une expérience pilote en matière de codéveloppement scientifique et de diplomatie de la connaissance.

En conclusion, VaRRIWA laisse entrevoir ce que peut accomplir une politique cohérente de valorisation scientifique : un socle d’innovation, un levier d’inclusion, et un pari assumé sur l’intelligence collective. Un modèle qui, bien au-delà du Togo, inspire et appelle à essaimer.

 

 

Le Togo se prépare à briller à l’Expo 2025 d’Osaka

Lomé, le 29 novembre 2024 – Le Togo s’apprête à faire rayonner ses couleurs sur la scène internationale. En effet, le pays a officiellement lancé jeudi la campagne de promotion pour l’Exposition universelle d’Osaka 2025 qui rassemblera plusieurs pays en marge de la 19ᵉ Foire internationale de Lomé.

Placée sous le thème ambitieux « Concevoir la société du futur, imaginer notre vie de demain », cette exposition mondiale sera l’occasion pour le Togo de mettre en avant ses atouts et ses projets innovants. Le pays disposera d’un pavillon spécialement aménagé pour présenter ses richesses culturelles, ses produits locaux et ses potentialités économiques.

« C’est une véritable opportunité pour le Togo de se positionner sur la scène internationale et de renforcer sa visibilité », a souligné Alexandre De Souza, directeur général du CETEF et commissaire général du Togo pour cette édition. « Cette exposition nous permettra de nouer de nouveaux partenariats, d’attirer des investisseurs et de promouvoir notre image de pays dynamique et tourné vers l’avenir. »

Cette participation à l’Expo 2025 s’inscrit dans la continuité de celle à Dubaï. Le Togo entend ainsi confirmer sa volonté de se positionner comme un acteur incontournable du développement durable et de l’innovation en Afrique.

En outre, la participation du Togo à l’Expo 2025 d’Osaka s’annonce comme un tournant majeur dans sa stratégie de développement. En mettant en lumière ses potentialités et en nouant de nouveaux partenariats, le pays compte bien saisir cette opportunité pour accélérer sa transformation économique et sociale. L’avenir s’annonce prometteur pour le Togo, qui se positionne de plus en plus comme un acteur dynamique sur la scène internationale.

Sud du Cameroun : Un projet majeur de 37 milliards FCFA pour désenclaver la région

Le 1er juillet 2024, un évènement important a marqué le développement des infrastructures au Cameroun : la signature d’un contrat entre l’État camerounais et l’entreprise togolaise Ceco pour la construction de la route Ebolowa-Efoulan-Mbango. Ce projet d’envergure, long de 60 kilomètres, vise à désenclaver la région du Sud et à stimuler son développement économique.

Un investissement crucial pour la connectivité et la croissance au Sud du Cameroun

D’un coût total de 37 milliards FCFA, la construction de cette route représente un investissement important pour le Cameroun. Elle permettra d’améliorer considérablement la connectivité entre les localités de la région, facilitant ainsi le transport des personnes et des biens. Ce désenclavement devrait favoriser le développement des activités économiques locales, notamment agricoles et commerciales.

Ceco s’engage à mobiliser les financements et à respecter les délais

L’entreprise togolaise Ceco s’engage à mobiliser les financements nécessaires à la réalisation du projet. Les travaux devraient débuter dans un délai maximal de 24 à 33 mois, selon l’avancement des discussions en cours avec les partenaires financiers internationaux. La finalisation du montage financier est attendue dans les prochaines semaines.

Une infrastructure durable et moderne

La route Ebolowa-Efoulan-Mbango sera conçue avec des matériaux de qualité garantissant sa durabilité et sa sécurité. Elle aura une largeur totale de 10 mètres, avec deux voies de circulation de 3,5 mètres chacune et des aménagements de 1,5 mètre. Des ouvrages d’art seront également construits pour renforcer la longévité de l’infrastructure.

Un projet d’envergure aux retombés positives

La construction de la route Ebolowa-Efoulan-Mbango s’inscrit dans une vision plus large de développement des infrastructures au Cameroun. Ce projet ambitieux devrait non seulement améliorer la mobilité des populations et stimuler la croissance économique dans la région du Sud, mais également servir de modèle pour de futures initiatives d’infrastructures dans le pays et au-delà.

En résumé, la construction de la route Ebolowa-Efoulan-Mbango dans le Sud du Cameroun constitue une étape importante pour le développement du pays. Ce projet majeur permettra de désenclaver la région du Sud, de stimuler son économie et d’améliorer la qualité de vie de ses habitants.

Une vague d’investisseurs dynamise la PIA

Adétikopé, Togo – La Plateforme Industrielle d’Adétikopé (PIA) continue d’attirer l’attention des investisseurs, renforçant ainsi sa position en tant que pôle d’attractivité dans le pays. Malgré des attentes élevées, la PIA a récemment accueilli près d’une dizaine de nouveaux acteurs industriels, témoignant de son dynamisme croissant.

Nouveaux venus et diversification des activités

Parmi les récents arrivants, Brilante Industrie Togo se lance dans la fabrication de chaussures, tandis que General & DOP Park Industries prévoit la production de sacs en plastique. New Huasha Company Limited introduira la fabrication de vaisselle en plastique, incluant des gobelets et des assiettes. One Dollar International Limited (ODIL) se spécialisera quant à elle dans la production de boissons. Le recyclage de coton sera entrepris par Smarcoft Recycle Tech, tandis que ST2A se consacrera à l’agroalimentaire. Enfin, Viavce Group se positionne dans la fabrication d’aluminium et de tuyaux en plastique.

Ces nouvelles entreprises rejoignent des acteurs déjà en production, tels que Togo Soja et Nutrisource, ainsi que des projets en cours, comme l’embouteillage des produits Coca-Cola par Dongaco et d’autres installations en construction.

 PIA :Un potentiel de croissance encore sous-exploité

Malgré cette progression, la PIA dispose encore d’un vaste potentiel de croissance. Actuellement, seuls 46,6 hectares sur les 150 hectares disponibles sont occupés. Florent Dikoumé, responsable de la communication, souligne que cette réserve foncière représente une opportunité tangible pour les futurs investisseurs. La PIA offre une infrastructure industrielle prête à accueillir diverses activités manufacturières et commerciales.

Avantages Fiscaux et Engagement Local

Esther Kampor, assistante marketing à la PIA, précise que les entreprises s’installant dans la zone peuvent bénéficier de facilités fiscales, notamment des réductions sur les taxes corporates et des exonérations sur l’importation d’équipements. La PIA accueille des entreprises conformes au code de la Zone franche ou au code des investissements.

En outre, pour encourager l’engagement des acteurs togolais, la PIA a récemment réduit le prix du bail foncier à 2 500 FCFA par mètre carré pour un an. Cette politique vise à rendre la plateforme encore plus accessible aux entreprises locales, favorisant ainsi une croissance économique endogène.

La PIA, en constante évolution, continue de jouer un rôle clé dans le développement industriel du Togo, attirant des investisseurs nationaux et internationaux vers un avenir prometteur.

Dialogue constructif pour un commerce florissant

Madame Kayi MIVEDOR-SAMBIANI, éminente Ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale, a honoré de sa présence les marchés de Hédzranawoé, Attiégou, et autres, ce mercredi 27 mars 2024. L’objectif était d’engager un dialogue fructueux avec les commerçants, afin de discuter des initiatives gouvernementales bénéfiques à leur secteur.

Commerce: prévention et sécurité au cœur des échanges

Les discussions se sont articulées autour de deux axes majeurs au Marché de Hédzranawoé et à la Maison des Jeunes d’Amadahomé. Le premier concernait les mesures prises par le Gouvernement pour soutenir les commerçants, tandis que le second portait sur les pratiques préventives contre les incendies dévastateurs dans les marchés.

Cette initiative s’inscrit dans la continuité des efforts de Madame la Ministre pour établir un dialogue permanent et inclusif, essentiel à l’épanouissement du commerce local et de l’artisanat.

Dans son allocution, Madame MIVEDOR-SAMBIANI a mis en lumière les réformes significatives entreprises par le Gouvernement, sous l’égide du Chef de l’État, visant à dynamiser le commerce et à promouvoir l’autonomisation des femmes.

Elle a exhorté les commerçantes à appuyer résolument les actions gouvernementales, dans l’intérêt supérieur du bien-être collectif.

Une session informative sur les comportements à adopter pour prévenir les incendies a conduit les participants à renouveler leur engagement envers la sécurité des marchés et leur responsabilité citoyenne.

En conclusion, les participants ont exprimé leur gratitude envers Madame la Ministre pour cette initiative louable, manifestant le désir de voir ces rencontres devenir une tradition pérenne.

La Ministre du Commerce dialogue avec les commerçantes

Dans une démarche de communication ouverte et de collaboration renforcée, Le 25 mars 2024 dernier, Madame la Ministre du commerce, de l’artisanat et de la consommation locale a poursuivi sa tournée de sensibilisation à Lomé. Cette initiative s’inscrit dans une série de dialogues avec les commerçantes des marchés de la capitale togolaise, visant à promouvoir le développement économique et la prévention des risques.

Dialogue constructif pour le progrès économique : la Ministre du Commerce à l'écoute des commerçantes de LoméLa Ministre du commerce renforce les liens avec le Secteur Marchand

La visite de Madame la Ministre Kayi MIVEDOR-SAMBIANI au Port de pêche de Lomé et au marché d’Agoè a marqué une étape clé dans la consolidation des relations entre le ministère et les acteurs du commerce local. En effet, les discussions ont mis en lumière les efforts du gouvernement pour soutenir l’activité économique et ont souligné l’importance de l’adoption de comportements sécuritaires pour prévenir les incendies dans les espaces marchands.

Dialogue constructif pour le progrès économique : la Ministre du Commerce à l'écoute des commerçantes de LoméUne rencontre axée sur l’inclusion et l’échange

Le dialogue a débuté au Port de pêche, impliquant les représentantes des associations et groupements des marchés environnants, et s’est conclu au Centre culturel Loyola d’Agoè. L’objectif affirmé par la Ministre est de forger un partenariat durable et d’établir un cadre d’échanges inclusif pour aborder les questions cruciales touchant au commerce, à l’artisanat et à la consommation locale.

Dialogue constructif pour le progrès économique : la Ministre du Commerce à l'écoute des commerçantes de LoméÉtape cruciale vers l’empowerment des femmes Commerçantes

Par ailleurs, Madame la Ministre a souligné l’importance de cette tournée pour comprendre les réalités des commerçantes et pour discuter des programmes gouvernementaux bénéfiques pour ces dernières. Elle a également  mis en exergue les discussions autour du Fonds national de la finance inclusive, de l’assurance maladie universelle, et de la formalisation des activités commerciales, tout en rappelant le devoir citoyen de contribuer aux taxes et impôts.

Résonance positive des initiatives Gouvernementales

Les participantes ont aussi  exprimé leurs préoccupations et ont accueilli favorablement cette initiative qui reflète la vision du Président de la République, Son Excellence Monsieur Faure Essozimna GNASSINGBÉ, visant à rapprocher l’administration des citoyens et à encourager une participation active dans la gestion des affaires publiques.

En résumé, ces rencontres témoignent de la volonté du ministère de dialoguer directement avec les acteurs clés du commerce local, afin de mieux comprendre leurs besoins et de collaborer étroitement pour le bien-être économique et social de la communauté.