Togo : La GIZ et le METFPA scellent un pacte numérique

 Togo : un tremplin numérique pour la jeunesse, Don Allemand propulse la formation professionnelle vers l’avenir

Dans les couloirs feutrés du ministère de l’Enseignement Technique, de la Formation Professionnelle et de l’Apprentissage (METFPA) à Lomé, le 12 juin 2025 a marqué l’arrivée d’une vague d’optimisme. Un généreux don d’équipements informatiques, offert par la coopération allemande à travers la GIZ, a sonné comme le coup d’envoi prometteur de la deuxième phase des formations de courte durée (FCD). Cet ambitieux programme, véritable clé pour l’avenir, est spécialement conçu pour doter la jeunesse togolaise de compétences pointues, indispensables pour s’épanouir dans un monde en constante évolution. Ce geste, loin d’être une simple donation matérielle, s’inscrit dans une vision audacieuse et profondément transformatrice : faire de l’éducation professionnelle un puissant levier d’émancipation et d’innovation pour tout un pays.

Le Togo reçoit un important don d'équipements informatiques de l'Allemagne (GIZ) pour propulser la deuxième phase de ses formations professionnelles, offrant ainsi de nouvelles opportunités à la jeunesse togolaise.Pont vers la modernité : L’Allemagne offre des outils numériques à la formation togolaise

Composé d’ordinateurs portables et de bureau performants, d’onduleurs essentiels, de rallonges électriques pratiques et de livrets pédagogiques bien conçus, ce lot de matériel incarne un véritable pont jeté vers la modernité. Il vise à doter les centres de formation togolais d’outils numériques performants, qui sont essentiels pour répondre aux exigences d’un marché du travail en pleine mutation. « Ce don est une manne providentielle », a déclaré avec enthousiasme Assedi Kossi Ikélé, directeur de cabinet du METFPA, dans une allocution empreinte de ferveur et d’espoir. « Il catalyse notre ambition profonde de tisser un écosystème éducatif dynamique où le savoir, la technologie de pointe et l’inclusion se rencontrent et convergent harmonieusement pour sculpter un avenir radieux pour notre jeunesse. »

 Partenariat durable : L’Allemagne et le Togo unis pour l’employabilité des jeunes

Ce partenariat fructueux, fruit d’une collaboration de longue date et profondément ancrée entre le Togo et la GIZ, s’aligne parfaitement sur la feuille de route gouvernementale 2020-2025. En effet, cette dernière place l’employabilité des jeunes, et en particulier celle des femmes et des groupes les plus vulnérables, au cœur des priorités nationales. Depuis 2013, la GIZ accompagne le Togo dans la mise en œuvre de projets structurants et à fort impact, à l’image du Programme de Développement Économique Durable (ProDED), qui a déjà permis de former des milliers de jeunes à des métiers porteurs et essentiels tels que la mécanique automobile, la couture de qualité ou encore l’agroalimentaire innovant.

De plus, la première phase des FCD, lancée avec succès en 2021 à Kara, avait déjà permis à 100 apprenants d’acquérir des compétences précieuses dans des secteurs aussi diversifiés que le maraîchage moderne, la coiffure créative ou les technologies numériques en plein essor.

Horizon élargi : le numérique au service de nouvelles filières professionnelles

Cette deuxième phase ambitieuse ambitionne d’élargir considérablement l’horizon des opportunités pour les jeunes Togolais. Ainsi, en équipant les centres de formation avec des ressources technologiques de pointe, le METFPA entend non seulement renforcer significativement les capacités pédagogiques des formateurs, mais aussi ancrer l’apprentissage au cœur de l’ère numérique. Par conséquent, des métiers émergents et porteurs d’avenir, tels que le développement d’applications mobiles innovantes ou la maintenance informatique spécialisée, s’ajoutent désormais aux filières traditionnelles bien établies, répondant ainsi de manière pertinente aux besoins croissants et spécifiques du secteur privé togolais en pleine croissance.

En outre, cette dynamique positive s’inscrit dans la continuité d’initiatives importantes telles que la réforme de la formation duale, également soutenue activement par la GIZ, qui a déjà introduit des cursus en alternance dans six villes clés du pays, formant efficacement des jeunes à des métiers essentiels comme l’électricité du bâtiment performante ou la menuiserie moderne.

Le Togo reçoit un important don d'équipements informatiques de l'Allemagne (GIZ) pour propulser la deuxième phase de ses formations professionnelles, offrant ainsi de nouvelles opportunités à la jeunesse togolaise.Togo-Allemagne : l’éducation, fer de lance d’un avenir prometteur pour la jeunesse

Au-delà des machines et des manuels, ce don précieux de l’Allemagne symbolise avant tout une alliance de valeurs fortes et partagées : celle d’une coopération germano-togolaise exemplaire qui mise résolument sur l’éducation de qualité comme vecteur essentiel de cohésion sociale durable et de développement économique pérenne. En dotant ainsi les apprenants d’outils modernes et adaptés aux défis de demain, le METFPA et la GIZ tracent ensemble une voie lumineuse où chaque jeune Togolais, qu’il soit issu des quartiers populaires de Lomé ou des contrées rurales les plus reculées, peut légitimement prétendre à un avenir où ses talents uniques pourront s’épanouir pleinement.

Alors que le Togo s’engage avec détermination sur la voie de la modernisation de son système éducatif, le 12 juin 2025 restera à jamais gravé dans les mémoires comme une étape décisive et significative dans la quête d’une nation où la jeunesse, armée d’un savoir solide et d’une audace créative, façonne activement son propre destin et contribue au rayonnement de tout un pays.

Togo : Une jeunesse à l’épreuve du BEPC, un pas vers l’avenir

Top départ pour le BEPC au Togo : des milliers de collégiens à l’assaut de leur avenir !

Ce 10 juin 2025, une effervescence studieuse a saisi le Togo tout entier. Dès l’aube, des milliers de collégiens, cartable au dos et cœur battant, ont convergé vers les centres d’examen pour affronter les épreuves du Brevet d’Études du Premier Cycle (BEPC). Cet examen, jalon crucial du parcours scolaire, ouvre les portes du lycée et incarne, pour une jeunesse togolaise vibrante d’ambition, un tremplin essentiel vers des horizons plus vastes. C’est un moment clé pour l’avenir de toute une génération.

Un défi national sous haute surveillance : l’égalité des chances au cœur de l’examen

En effet, du 10 au 12 juin, près de 140 000 candidats, selon les estimations des autorités éducatives, se mesurent à des épreuves écrites couvrant sept matières obligatoires et deux facultatives. Ce ballet rigoureusement orchestré se déroule à travers tout le pays. De Lomé à Dapaong, les salles d’examen bourdonnent d’une tension palpable, mêlée d’espoir. Par ailleurs, les directeurs régionaux de l’éducation, accompagnés de préfets, sillonnent les centres pour veiller à la régularité des épreuves, garantissant un cadre équitable pour tous. En outre, cette année, la part des filles, frôlant les 48 % des inscrits, témoigne d’une dynamique d’inclusion qui redessine positivement le paysage éducatif togolais.

Révolution numérique : le BEPC s’adapte à l’ère connectée !

Dans une volonté de s’ancrer dans l’ère numérique, le Togo a poursuivi la dématérialisation des inscriptions au BEPC, initiée il y a deux ans. Les candidats ont pu s’enregistrer via une plateforme en ligne, simplifiant ainsi un processus jadis laborieux. Cette modernisation, portée par le ministère de l’Éducation, s’accompagne d’une ambition plus large : rendre les résultats accessibles en ligne sur resultats.gouv.tg, par SMS ou même via WhatsApp. Cette dernière innovation représente une première saluée par une génération connectée. Bien que perfectibles, ces avancées traduisent l’élan du pays vers une éducation plus fluide et accessible.

La jeunesse togolaise, symbole de l’espoir national

Dans les ruelles animées de Lomé ou les villages paisibles des Savanes, les candidats, souvent accompagnés de leurs familles, portent en eux les rêves d’une nation en devenir. D’ailleurs, le BEPC, plus qu’un diplôme, est un véritable rite de passage, un sésame pour accéder à l’enseignement secondaire supérieur et, pour beaucoup, un premier pas vers l’université ou une carrière professionnelle. Les enseignants, mobilisés pour préparer leurs élèves, insistent sur l’importance de cette étape cruciale. « C’est un moment où se forgent les destins, où l’effort d’aujourd’hui dessine aussi le Togo de demain », confie une professeure de mathématiques à Tsévié.

Une organisation sous haute pression : fiabilité et rapidité, les maîtres mots !

Si l’enthousiasme est de mise, l’organisation du BEPC n’échappe pas aux défis. La logistique, dans un pays où les infrastructures éducatives restent inégales, exige une mobilisation sans faille. En plus, les correcteurs, triés sur des critères stricts – licence minimum et trois ans d’expérience pour le BEPC – sont déjà prêts à entamer la phase de correction dès le 17 juin, avec un objectif clair : des résultats fiables et rapides, attendus d’ici fin juin. Cette rigueur, martelée par le ministre de l’Enseignement , vise à garantir l’intégrité d’un examen dont dépend l’avenir de milliers d’adolescents.

Un élan collectif : le Togo soutient sa jeunesse pour un avenir prometteur !

Au-delà des salles d’examen, c’est tout un pays qui se mobilise. Les familles, conscientes des enjeux, veillent dans l’attente, tandis que les candidats, entre stress et détermination, écrivent les premières lignes de leur avenir. En définitive, dans ce Togo en mouvement, le BEPC 2025 n’est pas seulement un examen : il est le reflet d’une jeunesse qui, page après page, trace le destin d’une nation pleine d’espoir et de promesses.« Bonne chance à nos jeunes frères et sœurs qui affrontent le BEPC 2025 ! »

Éducation : Lomé, capitale de l’avenir scolaire togolais

Togo : une ambition éducative à l’épreuve de la 10e revue sectorielle conjointe

À Lomé, le mercredi 4 juin 2025, un vent d’engagement collectif a soufflé sur l’ouverture de la 10ᵉ revue sectorielle conjointe du Plan sectoriel de l’éducation (PSE) 2020-2030. Orchestrée par le ministère des Enseignements primaire et secondaire, en synergie avec le Secrétariat technique permanent du PSE, cette rencontre, qui s’étend jusqu’au 6 juin, incarne un moment charnière pour le système éducatif togolais. En effet, réunissant les artisans de l’éducation – ministères, partenaires techniques et financiers tels que l’Unicef et acteurs de la société civile –, elle ambitionne de scruter les avancées, d’ausculter les failles et de tracer les sillons d’un avenir éducatif plus robuste et inclusif.

Le PSE 2020-2030 : une feuille de route pour l’excellence éducative

Sous les lustres de la capitale togolaise, les discussions s’annoncent denses et fécondes. Pendant trois jours, les participants dissèquent l’exécution des actions entreprises en 2023 et 2024, évaluant avec minutie les performances financières et opérationnelles. De l’éducation de base à l’enseignement supérieur, en passant par la formation professionnelle et l’alphabétisation, chaque sous-secteur est passé au crible. Par ailleurs, l’objectif est de  mesurer les progrès, identifier les écueils et affiner les stratégies pour aligner le système éducatif sur les ambitions du PSE, un document phare qui, depuis 2010, guide le Togo vers une éducation équitable et de qualité.

« Le PSE transcende le simple cadre d’un plan ; il est le socle d’un pacte collectif pour faire de l’éducation le levier de notre essor national », a proclamé le professeur Dodzi Kokoroko, ministre des Enseignements primaire et secondaire, dans une allocution vibrante. Ainsi, ses mots, empreints d’une ferveur résolue, ont donné le ton : cette revue n’est pas une simple formalité, mais une agora dans laquelle convergent les volontés pour redessiner l’avenir éducatif du pays.

Éducation : Une évaluation cruciale pour un sursaut pédagogique national

Les travaux de cette 10ᵉ édition s’articulent autour de plusieurs axes cruciaux. Les participants scrutent les indicateurs de performance : taux de scolarisation, équité d’accès, qualité des apprentissages et gouvernance du système. En outre, ils examinent la mobilisation des ressources financières, un enjeu vital dans un contexte où les besoins éducatifs croissent plus vite que les budgets. L’enseignement technique et la formation professionnelle, piliers de l’employabilité des jeunes, occupent aussi une place de choix dans les débats, reflétant la volonté du Togo de conjuguer éducation et développement économique.

À l’issue de ces échanges, un aide-mémoire verra le jour, fruit d’une concertation entre le gouvernement et ses partenaires. Ce document, véritable feuille de route, cristallisera les engagements pour amplifier l’impact du PSE. Par ailleurs, il précisera les ajustements nécessaires pour surmonter les défis persistants, comme les disparités régionales ou le manque d’infrastructures, tout en consolidant les acquis, tels que l’augmentation des taux de scolarisation primaire, qui avoisinent désormais les 94 % dans certaines régions.

Le PSE : un pilier stratégique du développement national togolais

Adopté en 2020, le PSE 2020-2030 se veut un compas stratégique, structuré en cinq chapitres fondamentaux : une vision sectorielle ambitieuse, un cadre de financement innovant, une estimation rigoureuse des coûts, des prévisions de contributions des partenaires et un plan d’action opérationnel. Ce cadre, salué par des partenaires comme le Partenariat mondial pour l’éducation (GPE), vise à répondre aux défis structurels du système éducatif togolais, marqués par une forte croissance démographique et des ressources limitées.

Le Togo, à l’instar d’autres nations africaines, s’inspire des bonnes pratiques régionales. Des revues similaires, comme celle menée en Éthiopie en 2019, ont démontré l’importance d’un dialogue inclusif pour prioriser les réformes. En outre, au Togo, l’accent mis sur l’enseignement technique et l’alphabétisation s’aligne sur les priorités du GPE, notamment l’inclusion des filles et des enfants vulnérables, un enjeu crucial dans un pays où plus de la moitié de la population est confrontée à l’illettrisme.

Vers une éducation résiliente : le Togo bâtit son avenir

Cette 10ᵉ revue sectorielle conjointe n’est pas qu’un exercice d’évaluation ; elle est un acte de foi en un système éducatif capable de transformer le Togo. En conjuguant rigueur analytique et ambition collective, elle pose les jalons d’une éducation qui ne se contente pas d’instruire, mais qui émancipe et propulse. Alors que les travaux se poursuivent, Lomé devient, pour trois jours, le creuset d’une réflexion qui pourrait redéfinir le destin éducatif d’une nation.

Togo : le Bac 1 (2025), un jalon décisif sous le signe de l’exigence

Bac 1 au Togo : des milliers de candidats face à leur destin académique

Ce 26 mai 2025, les salles d’examen du Togo se sont emplies d’une tension palpable, alors que des milliers de jeunes candidats ont entamé les épreuves du Baccalauréat première partie (Bac 1), marquant le coup d’envoi d’une semaine cruciale pour leur avenir académique. Dans un silence studieux, ponctué par le froissement des copies et le crissement des stylos, l’épreuve de français a ouvert cette session 2025, première étape d’un parcours exigeant vers l’enseignement supérieur. À travers le pays, ce rituel annuel incarne à la fois l’espoir d’une jeunesse ambitieuse et les défis d’un système éducatif en quête de renouveau.

Le Bac 1 2025 a débuté au Togo pour des milliers de lycéens, marquant une étape clé de leur parcours scolaire et reflétant les enjeux Une mobilisation nationale pour un examen clé

Dès l’aube, les centres d’examen, tels que le LETP-Lomé, René Martine, LETP-Attiégou et VIC Intelligentsia, ont vu converger élèves, surveillants et officiels dans une chorégraphie bien rodée. Le ministre de l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Apprentissage, Isaac Tchiakpe, a sillonné quatre établissements de la capitale pour s’assurer de la fluidité des opérations. « Notre devoir est de garantir des épreuves irréprochables, où chaque candidat peut donner le meilleur de lui-même », a-t-il déclaré, insistant sur l’équité et la transparence, piliers d’un système éducatif en quête de crédibilité.

Cette année, le Bac 1 mobilise 76 549 candidats dans l’enseignement général, un chiffre en nette baisse par rapport aux 106 704 inscrits de 2024, qui incluaient les filières techniques. La série A4, axée sur les lettres, domine avec 45 176 candidats (52,14 %), suivie de la série D (sciences) avec 30 362 (44,27 %) et de la série C4 (mathématiques) avec 1 011 (30,56 %). La parité de genre est presque atteinte, avec 51 % d’hommes (39 242) et 49 % de femmes (37 307), un équilibre salué comme un signe de progrès dans l’accès à l’éducation. Cette diminution du nombre de candidats, attribuable à des facteurs comme la réduction des redoublements et une meilleure orientation scolaire, reflète une volonté de rationaliser le système éducatif togolais, selon des sources ministérielles.

Bac 1: Un marathon intellectuel sous haute surveillance

Le calendrier de cette semaine, minutieusement orchestré, place les candidats face à un éventail d’épreuves exigeantes. Après le français, l’éducation civique et morale (ECM) a occupé l’après-midi du 26 mai, tandis que le vendredi 30 mai verra se déployer des matières optionnelles telles que les langues vivantes, l’économie domestique et le dessin. Ces disciplines, souvent perçues comme secondaires, jouent un rôle crucial pour départager les candidats dans un système où chaque point compte. Le Bac 1, en filtrant les élèves aptes à accéder à la classe de terminale et au Bac 2, reste une épreuve redoutable, dont l’issue conditionne l’entrée dans l’enseignement supérieur.

Cette session 2025 s’inscrit dans un contexte de réformes ambitieuses, notamment l’harmonisation progressive du baccalauréat togolais avec les standards de l’UEMOA, prévue pour 2026. L’introduction, l’an dernier, d’un plafonnement des points des matières facultatives illustre cette transition vers une évaluation plus rigoureuse, visant à aligner le Togo sur les normes régionales. Cependant, la baisse du taux de réussite en 2024 (71,73 % contre 78,5 % en 2023) suscite des interrogations sur les défis persistants : qualité de l’enseignement, accès aux ressources pédagogiques et pression accrue sur les candidats.

Le Bac 1 2025 a débuté au Togo pour des milliers de lycéens, marquant une étape clé de leur parcours scolaire et reflétant les enjeux

Bac 1 : Une jeunesse à l’épreuve de l’avenir

Au-delà des chiffres, le Bac 1 2025 est un miroir des aspirations d’une jeunesse togolaise confrontée à un double défi : exceller dans un système scolaire compétitif tout en naviguant dans un contexte socio-économique complexe. Les candidates, qui représentent près de la moitié des inscrits, incarnent un espoir tangible de parité dans l’éducation, mais aussi une responsabilité accrue pour les autorités de garantir des conditions d’examen équitables. Les témoignages recueillis dans les centres de Lomé évoquent une tension palpable, mêlée de détermination : « C’est notre avenir qui se joue ici », confie une lycéenne de la série A4, son cahier de révision encore à la main.

Alors que les épreuves se poursuivent, les regards se tournent déjà vers les résultats, attendus mi-juin, avec une session orale pour les candidats admissibles prévue le 24 juin. Ce rituel, qui verra plus de 76 000 destins se dessiner, rappelle l’importance cruciale de l’éducation comme levier de transformation. À Lomé, Sokodé ou Dapaong, le Bac 1 n’est pas qu’un examen : c’est une promesse d’avenir, un défi collectif où la persévérance des élèves rencontre l’ambition d’une nation.

BAC II au Togo : tolérance zéro pour des examens impeccables !

Une sélection irréprochable pour un baccalauréat d’excellence : le Togo affine ses critères d’évaluation

Lomé, 23 mai 2025 — À l’approche des épreuves du baccalauréat de seconde partie (BAC II), prévues du 17 au 21 juin 2025, le Togo démontre une ambition sans faille pour garantir l’intégrité et la rigueur de cet examen décisif. Sous l’égide du professeur Minlipe Martin Gangue, directeur général de l’Office togolais du baccalauréat, les autorités ont méticuleusement sélectionné les examinateurs chargés de corriger les copies , selon des critères d’une exigence rare. Cette démarche, loin d’être anodine, reflète la volonté des autorités éducatives de hisser le BAC II à un standard d’équité et de cohérence, pilier d’un système éducatif en quête de crédibilité et d’excellence.

Des correcteurs d’élite : les critères stricts du BAC II Togolais

Le processus de sélection, achevé récemment, s’est distingué par sa minutie exemplaire. En effet, les enseignants retenus pour évaluer les épreuves doivent répondre à des conditions draconiennes : être activement en poste dans une classe de terminale, n’être rattachés qu’à un seul établissement scolaire et justifier d’au moins trois années d’expérience dans l’enseignement aux niveaux de première ou de terminale. Ces exigences, énoncées dans une note officielle datée du 5 mai, visent à garantir une expertise pédagogique irréprochable tout en éliminant tout risque de partialité ou de conflit d’intérêts. Les listes définitives, transmises à l’Office avant le 16 mai, incarnent cet engagement envers une évaluation juste et homogène.

Rigueur et humanité : L’Office du Bac ne laisse rien au hasard

Cependant, la rigueur ne s’arrête pas là. Conscient que des circonstances exceptionnelles pourraient entraver la participation de certains enseignants qualifiés, le professeur Gangue a prévu des dispositions spécifiques. Ainsi , les cas d’insubordination, de problèmes de santé ou d’autres motifs légitimes doivent être signalés par une correspondance confidentielle adressée directement à sa direction. Cette approche, à la fois stricte et humaine, témoigne d’une volonté de concilier l’exigence académique avec une certaine souplesse, afin que le processus reste irréprochable sans être rigide.

L’excellence éducative en ligne de mire : le BAC II, symbole de crédibilité

Cette initiative s’inscrit dans un contexte plus large où le système éducatif togolais cherche à consolider sa réputation. Le baccalauréat, rite de passage pour des milliers de jeunes, est bien plus qu’un examen : il est le sésame vers l’enseignement supérieur et un marqueur de la qualité de la formation dispensée. Par conséquent, en imposant des critères aussi pointus pour les examinateurs, L’Office du baccalauréat affirme avec force : l’avenir des candidats repose uniquement entre les mains d’experts compétents et impartiaux.

Vers un Baccalauréat sans faille : le Togo vise l’excellence

À quelques semaines du grand rendez-vous de juin, l’Office du baccalauréat orchestre une sélection méticuleuse qui inspire confiance et suscite l’admiration. Il établit les fondations d’un examen où la justice et la compétence triomphent, assurant aux candidats que leurs efforts bénéficieront d’une évaluation d’une équité irréprochable. Ainsi, alors que le Togo continue d’investir dans l’éducation comme levier de développement, cette démarche illustre une ambition plus vaste : faire de l’école un creuset d’excellence, où chaque diplôme obtenu est le fruit d’un mérite incontestable.

Togo : une ambition éducative sous l’égide de PASEC 2024

Éducation au Togo : la grande radiographie du système par le PASEC 2024 Est Lancée !

Lomé, 19 mai 2025 – Dans les salles de classe vibrantes des sept régions éducatives du Togo, une révolution silencieuse prend forme. Du 5 au 23 mai, le ministère de l’Enseignement primaire et secondaire orchestre une évaluation d’envergure nationale, portée par le Programme d’analyse des systèmes éducatifs (PASEC) de la CONFEMEN. Cette initiative, véritable boussole pour l’avenir de l’éducation togolaise, scrute les compétences fondamentales des élèves en lecture et en mathématiques, tout en sondant les rouages pédagogiques et les conditions d’apprentissage. Avec un budget éducatif gonflé de plus de 50 % depuis 2020, le Togo affiche une ambition claire : transformer son système scolaire en un modèle d’efficacité et d’inclusion, où chaque enfant, qu’il vienne des plateaux ruraux ou des faubourgs de Lomé, trouve les clés de son épanouissement.

Au-delà des notes : Le PASEC, boussole stratégique pour des réformes éducatives ciblées

Cette initiative d’envergure n’est pas qu’une simple mesure des acquis. Lancée dans le cadre du PASEC 2024, cette évaluation mobilise des écoles soigneusement sélectionnées à travers le pays, de Dapaong à Aného. Bien plus qu’un simple contrôle, elle ausculte la santé du système éducatif dans ses moindres détails : pratiques pédagogiques, état des infrastructures, bien-être des élèves et des enseignants. Les données récoltées, riches et standardisées, offriront aux décideurs une radiographie précise des forces et des fragilités du système, permettant de tailler des politiques sur mesure pour combler les écarts et amplifier les réussites.

Par conséquent, « cette évaluation n’est pas une fin, mais un levier », affirme un haut responsable du ministère, soulignant l’objectif de faire du PASEC un outil de pilotage stratégique indispensable. En effet, les résultats, attendus d’ici à la fin de l’année, nourriront des réformes ciblées, notamment pour les élèves issus de milieux défavorisés, où les disparités en lecture et en mathématiques restent marquées. Cette démarche fondamentale s’inscrit, d’ailleurs, dans la continuité des efforts togolais pour aligner l’éducation sur les exigences du cadre mondial Éducation 2030, qui prône une qualité et une équité sans compromis.

Budget éducation : Le Togo met les moyens pour bâtir l’avenir en classes et en compétences

Cet engagement se traduit concrètement par un investissement massif pour un avenir prometteur dans le secteur éducatif. Depuis 2020, le Togo a opéré un virage décisif en augmentant de plus de 50 % le budget alloué à l’éducation, une manne qui irrigue des projets structurants. Ainsi, entre 2023 et 2024, 1 526 salles de classe ont vu le jour, dotant des milliers d’élèves d’espaces d’apprentissage modernes et fonctionnels. La formation des enseignants, pilier central de la réforme, bénéficie d’un élan renouvelé : des programmes intensifs, soutenus par des partenaires comme la Banque Mondiale et le Partenariat mondial pour l’éducation (GPE), équipent les éducateurs de méthodes pédagogiques innovantes.

À cela s’ajoutent également des initiatives numériques, comme l’intégration de plateformes de gestion scolaire, pour renforcer la transparence et l’efficacité administrative. Ces investissements ne se limitent pas à des briques et des écrans. Ils traduisent une vision ambitieuse : celle d’un système éducatif où l’inclusion n’est pas un slogan, mais une réalité vécue au quotidien.

Les filles, les enfants en situation de handicap et ceux des zones rurales, souvent laissés en marge, sont, par conséquent, au cœur des priorités. Des campagnes de sensibilisation communautaire, menées avec des partenaires comme l’UNICEF, encouragent activement la scolarisation des filles, tandis que des infrastructures adaptées facilitent l’accès des élèves à mobilité réduite.

Les Zones d’Ombre : disparités régionales et défis de mise en œuvre persistent

Malgré cet élan considérable, cependant, des obstacles subsistent, propres à une transformation ambitieuse d’un système complexe. Les disparités régionales, exacerbées par des facteurs socio-économiques, continuent de freiner l’équité des chances. Dans les régions des Savanes et de la Kara, par exemple, le manque persistant d’enseignants qualifiés et d’infrastructures modernes pèse lourdement sur les performances scolaires des élèves. De plus, la collecte de données, bien que rigoureuse et scientifiquement fondée, devra être suivie d’une mise en œuvre efficace et rapide des recommandations, un défi majeur qui a parfois entravé les réformes passées.

Atouts et optimisme : Le Togo trace son chemin vers une éducation plus juste et performante

Pourtant, le Togo ne manque pas d’atouts majeurs pour surmonter ces défis. Le Centre national d’évaluation des apprentissages (CNEA), récemment renforcé, joue un rôle clé dans l’harmonisation des évaluations nationales, tandis que la collaboration étroite avec la CONFEMEN garantit une approche scientifiquement robuste et culturellement ancrée.

Le PASEC 2024, avec ses innovations majeures – comme l’inclusion des collégiens et l’analyse du bien-être scolaire – promet, de ce fait, des données plus riches que jamais, capables d’éclairer des politiques audacieuses et transformatrices. À l’heure où les évaluateurs sillonnent les écoles togolaises, un sentiment d’optimisme prudent gagne les acteurs de l’éducation sur le terrain.

Enseignants, parents et élèves perçoivent dans cette initiative un engagement sincère pour un système scolaire plus juste et performant. « Nous construisons l’avenir de nos enfants, et cet avenir commence aujourd’hui », confie, avec émotion, une institutrice de Sokodé, les yeux brillants d’espoir. Le Togo, à travers le PASEC 2024, ne se contente pas d’évaluer : il rêve grand pour sa jeunesse.

En posant les bases d’une éducation inclusive et de qualité pour tous, le pays s’affirme comme un acteur déterminé à façonner une génération capable de relever les défis du XXIe siècle. En effet, dans les salles de classe, où les craies dansent sur les tableaux, une promesse se dessine : celle d’un Togo où chaque enfant, armé de savoir, écrit son propre destin.

Lomé : Les journées scientifiques de la FSS éclairent l’avenir de la santé togolaise

Lomé- les journées scientifiques : L’Université de Lomé au chevet du système de santé togolais

Lomé, 16 mai 2025 – Dans l’écrin académique vibrant de l’Université de Lomé, la Faculté des Sciences de la Santé (FSS) a donné le coup d’envoi, le 14 mai, de ses toutes premières Journées Scientifiques. Placées sous le thème ambitieux et pertinent « La formation en sciences de la santé et l’offre de soins à l’ère de la couverture maladie universelle », ces assises, qui s’achèvent ce 16 mai après trois jours d’échanges intenses, réunissent étudiants, médecins, pharmaciens, chercheurs, décideurs et autres acteurs clés du secteur pour repenser collectivement l’avenir du système sanitaire togolais. Entre hommages émouvants rendus aux pionniers et débats prospectifs sur les défis actuels, l’événement marque indéniablement un tournant dans la quête d’une santé plus équitable et plus performante pour tous les Togolais.

Les premières Journées Scientifiques de la FSS à l'Université de Lomé abordent les défis de la formation et de l'offre de soins face à l'ambition togolaise de couverture maladie universelle, visant des solutions concrètes et l'équité.Les journées scientifiques : Hommage ému aux ‘bâtisseurs’ de la Faculté des Sciences de la Santé

La cérémonie d’ouverture de ces journées, tenue dans le grand amphithéâtre de 1 500 places de la FSS, a été empreinte d’une émotion palpable. Un hommage solennel et mérité a été rendu aux enseignants-chercheurs retraités de la faculté, véritables figures tutélaires ayant façonné l’excellence de cette institution depuis sa création en 1970 sous le nom d’École de médecine.

Ces « bâtisseurs », salués pour leur rigueur intellectuelle, leur dévouement sans faille et leur contribution inestimable, ont reçu des distinctions honorifiques, symboles d’une reconnaissance collective de la part de la communauté universitaire et des autorités. « Leur sens élevé du devoir et leur sacrifice nous inspirent aujourd’hui à relever les défis complexes de notre temps pour une meilleure santé », a déclaré le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Kanka Malik Natchaba, dans une allocution vibrante prononcée le 14 mai.

Les premières Journées Scientifiques de la FSS à l'Université de Lomé abordent les défis de la formation et de l'offre de soins face à l'ambition togolaise de couverture maladie universelle, visant des solutions concrètes et l'équité.La Couverture Maladie Universelle : ambition nationale face aux défis du terrain

Le Togo, engagé dans une réforme ambitieuse et nécessaire de son système de santé, place naturellement la couverture maladie universelle (AMU), instituée par la loi n°2021-022 du 18 octobre 2021, au centre de ses priorités stratégiques nationales. Avec un objectif de 60 % de couverture de la population d’ici fin 2025, le pays progresse certes, notamment grâce à l’action de l’Institut national d’assurance maladie (INAM), qui dessert efficacement les agents publics et assimilés depuis 2012.

Pourtant, des défis structurels majeurs subsistent : la pénurie persistante de personnel soignant qualifié dans les régions reculées, les inégalités criantes d’accès aux soins entre zones urbaines et rurales, et des programmes de formation des professionnels de santé parfois déconnectés des réalités et des besoins du terrain.

C’est précisément dans ce contexte complexe et stimulant que les Journées Scientifiques de la FSS, lancées en présence de hautes personnalités comme le ministre Natchaba, le doyen de la FSS également ministre de la Santé, le Pr Tchin Darré, et le ministre des Enseignements primaire et secondaire, ont pris tout leur sens.

Dans son discours d’ouverture, le ministre Natchaba a loué avec insistance les investissements massifs réalisés par le président Faure Essozimna Gnassingbé pour moderniser les infrastructures sanitaires à travers le pays et promouvoir l’inclusion sociale via l’accès aux soins. « La santé est le socle fondamental de l’harmonie nationale et du développement humain. » Ces assises scientifiques doivent impérativement accoucher de solutions concrètes et applicables pour répondre aux besoins de nos populations », a-t-il exhorté solennellement l’assistance.

Former mieux pour soigner mieux : Innovation et adaptation au cœur des ateliers lors des journées scientifiques 

Pendant ces trois jours consacrés à la science et à la réflexion, les nombreux participants – près de 800 selon les organisateurs – explorent activement des thématiques cruciales pour l’avenir de la santé au Togo : les technologies médicales innovantes et leur intégration, l’épidémiologie des maladies non transmissibles en progression, la prise en charge optimisée des pathologies infectieuses émergentes ou ré-émergentes, et la gestion efficace des maladies dégénératives liées au vieillissement.

Un atelier très suivi sur la simulation médicale, animé le 15 mai, a par exemple mis en lumière un projet ambitieux de création d’un centre de simulation de pointe au sein de la FSS, fruit d’un partenariat naissant avec des universités françaises reconnues comme Paris Descartes. Ce dispositif pédagogique innovant, une première dans l’espace CAMES (Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur), vise à renforcer significativement les compétences pratiques et techniques des étudiants avant leur immersion sur le terrain.

Le Pr Tchin Darré, doyen de la FSS et ministre de la Santé, a pour sa part insisté sur l’urgence absolue d’adapter continuellement la formation des professionnels de santé aux besoins réels et évolutifs du terrain et de la population. « Avec 900 étudiants admis en première année cette année, contre seulement 400 auparavant, nous formons quantitativement plus d’étudiants, mais nous devons surtout former qualitativement mieux pour garantir l’excellence des soins », a-t-il déclaré, soulignant ainsi le défi pédagogique.

La faculté, forte de ses 27 professeurs titulaires et 48 maîtres-assistants dévoués, ambitionne d’ailleurs de devenir l’une des cinq meilleures facultés de santé de tout l’espace CAMES d’ici à la fin de l’année 2025, un objectif ambitieux témoignant de sa volonté d’excellence.

Au-delà des débats : Un appel à l’action pour une santé équitable

L’événement, rythmé par des conférences magistrales, des présentations de recherche et des tables rondes interactives, a également été l’occasion de rappeler avec force les enjeux persistants d’équité dans l’accès aux soins. Une étude menée en 2023 sur le campus même de Lomé révélait ainsi que 72 % des étudiants interrogés déclaraient renoncer à se faire soigner, principalement par manque d’assurance ou de moyens financiers. Cette réalité alarmante, clairement soulignée lors d’un panel dédié à l’accès aux soins le 15 mai, interpelle fortement sur la nécessité d’étendre l’AMU rapidement aux jeunes, aux populations vulnérables et à l’ensemble du secteur informel.

En somme , à la clôture officielle des Journées Scientifiques, ce 16 mai, les organisateurs remettront solennellement aux autorités compétentes un recueil structuré de recommandations clés. « Ces journées ne se limitent pas à un simple exercice académique ou intellectuel ; elles incarnent un engagement fort et collectif pour la santé de tous les Togolais », a affirmé le Pr Adama Mawulé Kpodar, président de l’Université de Lomé, lors de l’ouverture de l’événement le 14 mai, ancrant ainsi la démarche dans une vocation sociale.

Dans une ville et un pays où l’aspiration légitime à une santé universelle et de qualité se heurte encore à des défis structurels importants, Lomé s’affirme néanmoins comme un carrefour essentiel de réflexion, d’innovation et d’action concrète. Ces assises scientifiques, par leur ambition, leur pertinence et la ferveur des participants, tracent ainsi la voie d’un Togo où chaque citoyen pourrait, demain, accéder à des soins de qualité à un coût abordable, réalisant ainsi l’idéal de la couverture maladie universelle.

Top départ du BAC 1 technique à Lomé : 13 513 Togolais en route vers l’excellence et l’emploi

Togo : 13 513 candidats à l’assaut du BAC 1, un vent d’ambition souffle sur Lomé

Ce mardi 14 mai, Lomé s’est éveillée sous le signe de l’effervescence et de la détermination. Dans les salles d’examen des lycées techniques, 13 513 jeunes Togolais, armés de stylos et de rêves, se sont lancés dans les épreuves du Baccalauréat de première partie (BAC 1), un jalon décisif vers leur avenir professionnel. Par ailleurs, du 14 au 23 mai, ces candidats, répartis dans les filières F1, F2, F3, F4, E, G1, G2, G3 et TI, affrontent des épreuves qui scelleront leur passage vers le BAC 2. En ce jour inaugural, le Ministre de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle, Isaac Tchiakpe, a sillonné trois centres d’examen à Lomé, insufflant un élan de courage aux élèves et veillant à la fluidité d’une organisation irréprochable. Dans un Togo résolument tourné vers la modernité, cette session du BAC 1 incarne l’espoir d’une jeunesse prête à façonner l’avenir.

Mobilisation nationale : le Ministre Tchiakpe encourage les 13 513 candidats

Zoom sur cette mobilisation nationale pour l’excellence. Les 13 513 candidats, issus de lycées techniques à travers le pays, représentent la diversité et la vitalité de la formation professionnelle togolaise. Selon les données du ministère, Lomé concentre une part significative des 47 centres d’examen nationaux, avec des établissements comme le Lycée Technique d’Adidogomé et le Lycée de Tokoin parmi les plus emblématiques.

Concrètement, les filières techniques (F1 à F4 pour la construction, l’électricité ou la mécanique) côtoient les séries économiques (E) et tertiaires (G1 à G3 pour la gestion et le commerce), tandis que la filière TI (Technologies de l’Information) reflète l’essor du numérique dans l’éducation. Cette diversité illustre l’ambition du Togo de former des techniciens polyvalents, capables de répondre aux besoins d’un marché en pleine mutation.

C’est dans ce contexte de diversité et d’ambition que le ministre Tchiakpe, figure clé de la réforme éducative sous la présidence de Faure Gnassingbé, a marqué cette première journée par une visite symbolique. À l’aube, il s’est rendu dans trois centres névralgiques de Lomé, saluant l’engagement des surveillants, des correcteurs et des responsables administratifs. « Ces examens sont une vitrine de notre engagement pour une éducation crédible et équitable », a-t-il déclaré, son regard empreint de fierté. Sa présence, relayée avec enthousiasme par les media , a galvanisé les candidats, nombreux à voir dans ces encouragements un gage de soutien national.

Le lancement du BAC 1 technique à Lomé pour 13 513 candidats marque une étape clé de la modernisation de l'enseignement professionnel au TogoAu cœur des réformes : Le baccalauréat 1 technique, jalon d’un système éducatif modernisé

D’ailleurs, cette session du BAC 1 n’est pas un événement isolé ; elle s’inscrit pleinement dans un contexte de réformes ambitieuses. Elle est portée par la « Vision Togo 2025 ». Depuis 2018, le gouvernement a multiplié les initiatives pour aligner la formation professionnelle sur les exigences du marché. L’introduction des « écoles de projets » en 2024, combinant théorie et pratique, et la construction de 263 nouvelles salles de classe, financées à hauteur de 36 milliards de FCFA par la Banque mondiale et le Partenariat mondial pour l’éducation, témoignent de cet élan continu de modernisation. La digitalisation des inscriptions au BAC 1, effective depuis 2023, a également simplifié les démarches, avec 75 % des procédures administratives désormais en ligne, selon le ministère.

Le BAC 1, ou probatoire, joue un rôle crucial dans ce système en évolution. Prévu du 12 au 23 mai 2025, il précède le BEPC (10-12 juin) et le BAC 2 (17-21 juin), selon le calendrier officiel. Cette anticipation, adoptée depuis 2024, vise à donner plus de temps afin de permettre aux candidats de mieux se préparer à la terminale, tout en réduisant la pression logistique sur les centres d’examen. Avec un taux de réussite au BAC 1 de 68 % en 2024, contre 62 % en 2023, les autorités espèrent confirmer cette progression, portée par une meilleure préparation, notamment via le BAC blanc national organisé du 24 au 27 mars 2025.

Entre espoir et réalités : La voix des candidats et les défis du BAC 1 technique

Dans les salles d’examen, l’atmosphère mêle concentration et détermination. Ces jeunes Togolais sont portés par l’espoir. À Adidogomé, Afi, 17 ans, candidate en filière G2, confie son rêve de devenir comptable : « Ce BAC, c’est ma porte vers l’université et un avenir stable. » À Tokoin, Koffi, en F3, aspire à rejoindre l’industrie électrique, inspiré par les projets d’électrification rurale du gouvernement. Ces témoignages, partagés sur X par des médias comme Afreepress, reflètent l’optimisme d’une jeunesse togolaise portée par les réformes éducatives et les opportunités économiques. Le PIB, en croissance de 5,3 % en 2024 et projeté à 5,1 % en 2025, selon le FMI, offre ainsi un horizon prometteur pour ces futurs techniciens.

Pourtant, les défis persistent. Certains candidats, issus de zones rurales, déplorent un accès inégal aux ressources pédagogiques, tandis que des enseignants appellent à renforcer la formation des formateurs. Conscient de ces enjeux, le ministre Tchiakpe a réaffirmé l’engagement du gouvernement à investir dans l’équité éducative, notamment via des bourses et des équipements pour les lycées techniques.

Le lancement du BAC 1 technique à Lomé pour 13 513 candidats marque une étape clé de la modernisation de l'enseignement professionnel au TogoJalon vers la modernité : le BAC 1 technique, symbole d’une jeunesse qui façonne l’avenir

En cette journée capitale, Lomé pulse au rythme des aspirations de ses 13 513 candidats. Le ministre Tchiakpe, en quittant le dernier centre visité, a laissé un message vibrant : « Votre succès est celui du Togo tout entier. » Cette session du BAC 1, par son organisation rigoureuse et son ancrage dans une vision de progrès, incarne un Togo en marche, où l’éducation technique devient un levier de transformation. Alors que les épreuves se poursuivent jusqu’au 23 mai, les regards se tournent vers ces jeunes, architectes d’un avenir où le savoir-faire togolais rayonnera au-delà des frontières. Que leurs stylos tracent la voie d’un triomphe collectif.

Lomé : Des centaines de candidats à l’assaut du concours EAMAU

Lomé : Le concours de l’EAMAU 2025 s’ouvre sous le signe de l’ambition et de l’excellence

Lomé, 13 mai 2025 – Dans l’enceinte vibrante de l’École Africaine des Métiers de l’Architecture et de l’Urbanisme (EAMAU), une effervescence studieuse a marqué ce mardi le début des épreuves du concours d’entrée pour l’édition 2025. En effet, pas moins de 351 candidats togolais, parmi des milliers à travers les 14 pays membres, ont pris place dans les salles d’examen, armés de crayons et d’espoirs, pour décrocher une place dans cette institution prestigieuse. Par ailleurs, à cette occasion, le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Kanka-Malik Natchaba, a fait le déplacement sur  le site du centre d’examen, insufflant un élan d’encouragement aux futurs architectes et urbanistes du continent. Ce concours, véritable sésame vers une formation d’élite, incarne la promesse d’un avenir dans lequel les villes africaines se réinventent avec audace et durabilité.

Des centaines de jeunes Africains passent le concours d'entrée de la prestigieuse EAMAU à Lomé, visant une formation d'élite Marathon intellectuel pour bâtir demain : la rigueur des épreuves du concours l’École Africaine des Métiers de l’Architecture et de l’Urbanisme

Dès les premières heures, l’EAMAU, nichée dans le quartier de Tokoin, s’est transformée en un théâtre d’aspirations. Les candidats, issus de toutes les séries du baccalauréat, auront à affronter un marathon intellectuel de deux jours, les 13 et 14 mai, avec des épreuves rigoureuses : mathématiques (coefficient 3), dessin, culture générale, français et physique (coefficient 2 chacun). D’ailleurs, ces tests, conçus pour évaluer à la fois la précision scientifique et la sensibilité créative, reflètent la mission de l’EAMAU : former des professionnels capables de façonner des espaces urbains adaptés aux réalités africaines, où croissance démographique et défis climatiques s’entrelacent.

Fondée en 1976 sous l’égide de l’Organisation Commune Africaine et Malgache (OCAM) et soutenue par l’UNESCO, l’EAMAU demeure une référence continentale. Ses filières – architecture, urbanisme et gestion urbaine – attirent chaque année des talents de pays comme le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire ou le Gabon. « Ce concours est une porte vers l’excellence, mais aussi vers la responsabilité de bâtir un avenir durable pour nos villes », a déclaré le ministre Natchaba lors de sa visite, saluant l’organisation irréprochable des épreuves.

Soutien officiel et sélection drastique : le Ministre Natchaba face aux candidats de l’École Africaine des Métiers de l’Architecture et de l’Urbanisme

Sous un ciel clément, le professeur Natchaba a parcouru les salles d’examen, échangeant avec les responsables du centre et les candidats. « Votre détermination est une force pour le Togo et pour l’Afrique », a-t-il lancé à un groupe de jeunes, dont certains, encore en classe de terminale, composent sous condition de réussite au baccalauréat. En outre, sa présence, loin d’être protocolaire, a galvanisé les esprits. « Voir le ministre ici, ça nous rappelle l’importance de ce que nous faisons », confie Afi, 19 ans, candidate en architecture, un compas à la main.

Le ministre a également vérifié les conditions d’examen, s’assurant que les mesures anti-fraude, comme l’intégration des brouillons aux copies, soient respectées. Cette rigueur, instaurée ces dernières années, garantit l’équité d’un concours où seuls 20 à 30 candidats par pays sont admis, sur des centaines de postulants.

Au cœur de l’urbanisation africaine : L’EAMAU forme les visionnaires des villes de demain

L’EAMAU, forte de ses 180 crédits pour la licence et 120 pour le master, ne se contente pas de former des techniciens. Elle forge des visionnaires capables de répondre aux défis de l’urbanisation galopante en Afrique, où 60 % de la population vivra en ville d’ici à 2050, selon l’ONU. Ses diplômés, architectes ou urbanistes, œuvrent dans des cabinets, des municipalités ou des ONG, redessinant des métropoles comme Lomé, où des projets comme le Plan de Développement Urbain 2030 prennent forme. La plateforme en ligne de l’école, modernisée en 2024, facilite par ailleurs l’accès à des cours à distance, renforçant son rayonnement.

Le concours, ouvert sans limite d’âge, impose toutefois une barrière pour les bourses : seuls les candidats de 23 ans maximum au 31 décembre 2025 y sont éligibles. Les admis non boursiers, eux, doivent s’acquitter de frais de scolarité de 2,5 millions de FCFA par an, un investissement lourd, mais gage d’une formation d’élite. Les dossiers, déposés jusqu’au 18 avril, ont mobilisé les ministères de tutelle dans chaque pays.

L’EAMAU, ‘l’École des possibles’ : un tremplin pour dessiner l’Afrique de demain

À Lomé, où les rues vibrent d’une énergie créative, ce concours est plus qu’une épreuve : c’est un symbole. Il incarne la foi en une jeunesse capable de transformer les défis en opportunités, de dessiner des villes dans lesquelles l’innovation dialogue avec la tradition. « L’EAMAU, c’est l’école des possibles », souffle un formateur, observant les candidats penchés sur leurs épreuves de dessin géométrique.

En somme, alors que les copies seront acheminées à Lomé pour une correction centralisée, avec des résultats attendus en juillet, les candidats repartent avec un mélange d’espoir et de fierté. Dans leurs regards, on lit la promesse d’un continent qui se construit, brique par brique, sous la plume de ses futurs bâtisseurs. Et à l’EAMAU, cette journée, c’est toute l’Afrique qui a composé pour son avenir.

Togo : formation US pour l’IFTS

TOGO-ÉTATS-UNIS : L’Ambassade US investit dans la jeunesse de l’IFTS pour ouvrir les portes de l’avenir

Dans un monde où les frontières s’effacent et les opportunités se multiplient, une initiative audacieuse a récemment illuminé le paysage éducatif togolais. En effet, trente étudiants de l’Institut de Formation Technique Supérieure (IFTS), spécialisés en génie civil et électrique, ont achevé avec brio une formation intensive en conversation anglaise orchestrée par l’Ambassade des États-Unis au Togo. Bien plus qu’un simple apprentissage linguistique, cet événement a été une fenêtre ouverte sur l’esprit entrepreneurial américain, un tremplin pour leurs compétences en communication et une passerelle vers un échange interculturel vibrant. Cette réussite éclatante, par conséquent, met en lumière l’engagement indéfectible des États-Unis envers la jeunesse togolaise et scelle une collaboration prometteuse entre les deux nations.

L'Ambassade des États-Unis au Togo a offert une formation intensive en anglais et entrepreneuriat à l'IFTS, ouvrant des portesL’IFTS et L’Ambassade US : un partenariat d’excellence pour former les leaders de demain

Niché au cœur de Lomé, l’IFTS s’impose comme un bastion de l’enseignement technique supérieur au Togo. Depuis sa création, cet établissement forme des esprits brillants, armés pour répondre aux défis d’un continent en pleine effervescence technologique. Ses filières phares, tels que le génie civil et électrique, attirent des étudiants ambitieux, prêts à bâtir l’avenir. Face à lui, l’Ambassade des États-Unis se dresse comme un partenaire stratégique, investissant dans des programmes qui transcendent les salles de classe pour façonner des leaders. Ensemble, ils ont uni leurs forces pour offrir à ces 30 jeunes une expérience hors du commun, mêlant rigueur académique et ouverture sur le monde.

Une immersion bien au-delà des mots : anglais, entrepreneuriat et échange culturel au menu

La formation, loin de se limiter à des leçons d’anglais, a été une véritable plongée dans un univers de possibles. Concrètement, les étudiants ont exploré l’âme entreprenante qui caractérise les États-Unis, un modèle dans lequel l’audace et la créativité pavent la voie du succès. De plus, à travers des sessions dynamiques, ils ont affûté leur éloquence, appris à s’exprimer avec assurance et découvert les subtilités d’une communication efficace – des atouts précieux dans un marché globalisé. L’échange interculturel, point d’orgue de l’expérience, leur a également permis de tisser des liens au-delà des frontières, enrichissant ainsi leur vision du monde. « C’est une porte qui s’ouvre sur l’international », aurait pu déclarer l’un d’eux, les yeux brillants d’espoir.

Un tremplin pour l’avenir : l’anglais, clé des carrières internationales et levier contre le chômage des jeunes

L’impact de cette initiative résonne déjà. Pour ces futurs ingénieurs, en effet, maîtriser l’anglais n’est pas qu’un détail : c’est une clé pour déverrouiller des carrières internationales, collaborer avec des experts mondiaux et innover sans limites. Cette formation, en outre, renforce aussi les ponts entre Lomé et Washington, posant les bases d’une coopération durable. Plus largement, elle s’inscrit dans un mouvement plus vaste au Togo, où la formation professionnelle devient un levier contre le chômage des jeunes, portée par des acteurs variés, des ONG aux institutions publiques. Ces efforts, finalement, convergent vers un objectif commun : faire de la jeunesse togolaise une force vive et compétitive.

Un symbole d’espoir et d’ambition : l’éducation alliée à la coopération internationale pour l’avenir togolais

En célébrant la réussite de ces 30 étudiants, cet événement dépasse le cadre d’une simple formation. Il incarne plutôt une promesse : celle d’un Togo où les talents s’épanouissent, soutenus par des partenariats visionnaires. L’Ambassade des États-Unis et l’IFTS, par conséquent, ont écrit une page inspirante, prouvant que l’éducation, alliée à la collaboration internationale, peut transformer des vies. Alors que ces jeunes ingénieurs s’apprêtent à conquérir le monde, leur parcours rappelle une vérité essentielle : l’avenir appartient à ceux qui osent apprendre, échanger et rêver grand.

Togo : diplomates en herbe à l’école du Quai d’Orsay Local !

Lomé, 17 avril 2025 – Dans un élan de professionnalisation, le ministère des Affaires étrangères, de l’Intégration régionale et des Togolais de l’extérieur a orchestré, les 15 et 16 avril, un séminaire de formation à l’intention de ses nouveaux fonctionnaires, fraîchement intégrés au département le 31 mars. Ainsi, cette initiative, tenue dans les locaux ministériels, a visé à doter ces recrues des clés indispensables pour naviguer dans les arcanes de la fonction publique et embrasser pleinement leurs responsabilités diplomatiques.

Tremplin diplomatique  : les coulisses du ministère révélées aux nouvelles forces  !

Conçu pour éclairer les néophytes sur les rouages de l’administration, ce séminaire a abordé des thématiques essentielles  : le statut général de la fonction publique, les perspectives d’évolution de carrière, ainsi que l’architecture et le fonctionnement du ministère. De plus, sous la houlette du directeur des affaires administratives et financières, les participants ont découvert les missions et l’organisation du département, tandis que les directeurs centraux ont détaillé les spécificités de leurs directions respectives, des affaires consulaires à la coopération régionale. En outre, les missions diplomatiques et les postes consulaires togolais à l’étranger ont également été passés en revue, offrant une vision globale des responsabilités qui incombent à ces nouveaux agents.

Diplomatie d’excellence  : immersion intensive pour les futures étoiles togolaises  !

Pendant deux jours, les échanges ont permis d’outiller ces fonctionnaires stagiaires, dont l’intégration marque une étape charnière dans leur parcours. Au-delà des aspects techniques, le séminaire a instillé un esprit de rigueur et de dévouement, valeurs cardinales pour servir la diplomatie togolaise. En effet, cette formation, loin d’être un simple rituel, s’inscrit dans la vision du ministre Robert Dussey, qui ambitionne de bâtir une diplomatie moderne, portée par un capital humain compétent et engagé. Par conséquent, les participants, à l’issue des sessions, ont été exhortés à faire preuve de loyauté et à tendre vers l’excellence dans leurs missions quotidiennes.

 

Le ministère togolais des Affaires étrangères forme ses nouvelles recrues pour une diplomatie d'excellence et un rayonnement accru du pays Le Togo investit dans sa diplomatie  : un capital humain renforcé pour un rayonnement accru  !

Cette initiative reflète l’engagement du ministère à accompagner ses agents dès leurs premiers pas, favorisant une intégration harmonieuse et une appropriation rapide des enjeux diplomatiques. En mettant l’accent sur la formation, le Togo renforce sa capacité à projeter une voix influente sur la scène régionale et internationale, notamment dans des dossiers comme l’intégration africaine et la défense des intérêts de sa diaspora. Selon des sources internes, cette première vague de formation, ciblant une trentaine de recrues, pourrait préfigurer d’autres sessions pour les futurs agents.

Nouvelle génération diplomatique  : le Togo prépare l’avenir de son influence mondiale  !

Ainsi, en équipant ses nouveaux fonctionnaires d’un bagage solide, le ministère pose les jalons d’une diplomatie togolaise plus affûtée. Cependant, si ce séminaire constitue une avancée prometteuse, son impact dépendra de la capacité des recrues à traduire ces enseignements en actions concrètes. Dans un monde dans lequel la diplomatie exige agilité et vision, ces jeunes agents portent désormais l’espoir d’un Togo acteur de son destin. La suite de leur parcours, encore à écrire, pourrait redéfinir les contours de l’influence togolaise sur l’échiquier continental.

Validation d’une étude cruciale pour la formation professionnelle au Togo

Lomé, 17 avril 2025 Dans une démarche résolument tournée vers l’avenir, le ministre togolais de l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Apprentissage, Isaac Tchiakpe, a présidé lundi une session décisive à l’Institut national de formation professionnelle et de perfectionnement (INFPP). En effet, l’objet principal de cette réunion était la validation du rapport final de l’étude de faisabilité d’un ambitieux projet soutenu par l’Agence française de développement (AFD). Ainsi, ce jalon important, loin d’être anodin, pave la voie à une réforme profonde de l’offre de formation professionnelle, en parfaite harmonie avec les aspirations du Togo à l’horizon 2025.

Le Togo réinvente sa formation  : une étude stratégique pour l’emploi de demain

Réunissant des experts de divers horizons, des partenaires techniques engagés et des acteurs clés du secteur, la session a permis d’entériner un document stratégique d’envergure, fruit d’une analyse minutieuse des besoins concrets du marché togolais. Ce rapport essentiel, élaboré avec le soutien précieux de l’AFD, identifie avec précision les filières prioritaires pour le développement du pays et propose des mécanismes innovants pour aligner les cursus professionnels existants sur les exigences économiques et sociales actuelles.

Parmi les secteurs ciblés, on retrouve notamment l’agriculture, le numérique, l’énergie verte et l’artisanat, avec un accent particulier mis sur l’amélioration de l’employabilité des jeunes diplômés et l’inclusion des populations vulnérables. Cette initiative ambitieuse s’inscrit pleinement dans la vision «  Togo 2025  », qui ambitionne de faire de la formation professionnelle un véritable levier de développement durable pour le pays.

Le Togo, avec le soutien de l'AFD, franchit une étape clé vers la réforme de sa formation professionnelle en validant une étude Partenariat renforcé avec l’AFD  : le Togo mise sur une éducation technique de qualité

La présence active de l’AFD, partenaire de longue date et engagé du Togo, témoigne d’une volonté commune et affirmée de bâtir un écosystème éducatif robuste et performant. Lors de son allocution, le ministre Tchiakpe a chaleureusement salué cette collaboration fructueuse, soulignant son rôle déterminant dans la modernisation des infrastructures essentielles et des programmes de formation proposés.

« Cette validation cruciale marque un tournant décisif, un véritable élan pour doter notre jeunesse de compétences pointues et adaptées à un monde en constante mutation », a-t-il déclaré avec conviction, insistant sur l’urgence d’adapter les savoir-faire aux réalités concrètes du terrain économique. De plus, les discussions constructives ont également permis d’esquisser les contours prometteurs du futur projet, dont le financement et les modalités d’exécution seront précisés et finalisés dans les mois à venir.

 

Un avenir prometteur se dessine  : le Togo prêt à transformer sa formation professionnelle

La validation de cette étude de faisabilité n’est pas une simple étape finale, mais plutôt une rampe de lancement stratégique vers un avenir ambitieux. En effet, en posant des bases solides pour une formation professionnelle plus pertinente, le Togo s’engage résolument dans une transformation structurelle profonde, où l’éducation devient un vecteur puissant d’autonomisation individuelle et de prospérité collective.

Cependant, le chemin à parcourir reste semé d’embûches et nécessitera une vigilance constante  : le financement adéquat du projet, une coordination intersectorielle efficace entre les différents acteurs impliqués et une intégration réussie des apprenants sur le marché du travail exigeront une mobilisation sans faille et un engagement continu de toutes les parties prenantes.

Ainsi, à l’heure où le pays se projette avec audace vers un avenir prometteur, cette étape importante suscite un espoir mesuré, dont la concrétisation dépendra de l’élan collectif et de la détermination de tous les acteurs impliqués dans cette transformation majeure.

Anglais et code obligatoires : le Togo forme sa jeunesse pour demain

À l’aube de la prochaine rentrée universitaire, les amphithéâtres des universités publiques togolaises s’apprêtent à résonner d’un élan novateur : l’anglais et la programmation, érigés en disciplines obligatoires, s’inviteront désormais dans le parcours de chaque étudiant, quelle que soit sa voie d’élection. Concrètement, dès cet automne 2025, entre cinq et six heures hebdomadaires seront consacrées à ces deux matières, une réforme portée par une ambition limpide : doter la jeunesse togolaise des armes nécessaires pour s’épanouir dans un monde dans lequel la technologie et la communication transnationale règnent en souveraines.

Le Togo révolutionne l’université : la stratégie double gagnante Anglais & numérique

Sous l’égide conjointe du ministère de l’Économie numérique et de celui de l’Enseignement supérieur, cette décision s’ancre dans une vision d’avenir où le Togo aspire à se hisser en carrefour régional des services. En effet, le ministre Kanka-Malik Natchaba, dans une déclaration empreinte de clairvoyance le lundi 7 avril dernier, a posé les termes d’une équation simple, mais cruciale : « Être brillant dans sa spécialité ne suffit plus ; il faut aussi dompter les outils numériques et s’exprimer au-delà des frontières. » Par conséquent, l’anglais, langue des échanges mondiaux, et le codage, clé des arcanes technologiques, deviennent des piliers incontournables pour une main-d’œuvre appelée à briller sur la scène internationale.

Cap sur le hub africain : le Togo mise sur une jeunesse bilingue et digitale

Le Togo ne se contente pas de suivre une tendance ; au contraire, il se projette en précurseur. Grâce à cette réforme, le gouvernement entend faire de la nation un pivot dans les secteurs du numérique, du transport et de la logistique. « Nous ambitionnons un Togo hub de services : aéroportuaire, logistique, mais aussi numérique et orienté vers le client », a poursuivi le ministre Natchaba. De fait, cette stratégie, d’une netteté éclatante, repose sur une conviction : une jeunesse agile, capable de coder une application ou de négocier en anglais avec un partenaire étranger, est le levier d’une compétitivité qui transcende les frontières. Ainsi, les diplômés togolais, armés de ces savoirs, pourront ainsi s’insérer dans des filières modernes où la demande ne cesse de croître.


Pas de surcharge, que de l’harmonie : l’université togolaise réinvente les emplois du temps.

L’introduction de ces cours, bien que obligatoire, ne vise pas à alourdir le fardeau des étudiants. Au contraire, le ministère, dans une démarche d’une sagacité rare, prévoit une refonte des emplois du temps afin d’insérer ces cinq à six heures hebdomadaires sans étirer la durée des cursus. De cette manière, chaque filière, qu’elle soit littéraire, scientifique ou artistique, verra son calendrier réajusté avec une précision d’horloger, préservant l’équilibre entre les disciplines traditionnelles et ces nouvelles exigences. Par conséquent, cette approche enseigne une leçon essentielle : le progrès ne doit pas écraser, mais s’harmoniser avec ce qui existe déjà.

L’anglais et le code : le Togo équipe sa jeunesse pour la bataille du 21ᵉ siècle

L’anglais, en raison de sa portée universelle, ouvre les portes des marchés mondiaux, tandis que la programmation, langue des machines, confère le pouvoir de façonner l’avenir numérique. En les rendant obligatoires, le Togo ne fait pas qu’équiper ses étudiants ; il leur offre une boussole pour naviguer dans un univers professionnel où l’interconnexion et la technologie dictent les règles. En effet, cette réforme, d’une audace mesurée, répond à un constat : les employeurs, qu’ils soient à Lomé, à Londres ou à Silicon Valley, recherchent des profils polyvalents, capables de coder un logiciel tout en rédigeant un courriel en anglais impeccable.

Togo, pionnier éducatif : L’Afrique prend-elle exemple de ce pari audacieux ?

Ce choix togolais, de par son caractère pionnier, pourrait inspirer d’autres nations africaines. En effet, en plaçant ces compétences au cœur de l’enseignement supérieur, le pays ne se borne pas à former des diplômés ; il façonne des citoyens du monde, prêts à rivaliser avec leurs pairs des grandes puissances. Ainsi, les universités de Lomé, Kara ou Atakpamé deviendront ainsi des creusets dans lesquels se forgera une génération apte à transformer les défis en opportunités.

En somme, par cette réforme, le Togo ne se contente pas d’ajouter deux cours à ses programmes ; il dispense une leçon de clairvoyance, alignant son enseignement sur les pulsations d’un monde en mutation. Par conséquent, l’anglais et la programmation, désormais piliers de chaque cursus, promettent d’élever une jeunesse togolaise à la hauteur des enjeux globaux. Reste à voir si cette graine, plantée avec soin, portera les fruits d’une nation qui, par l’éducation, s’affirme en acteur incontournable de demain.

 

Un jalon décisif pour l’enseignement supérieur togolais : l’harmonisation des licences professionnelles

Dans une dynamique résolue de revalorisation de l’enseignement supérieur, le Togo s’est engagé dans une entreprise d’envergure avec le lancement, hier, de l’Atelier National de Validation des Programmes Harmonisés de Licence Professionnelle. Organisé au Village du Bénin, niché au cœur du campus de l’Université de Lomé, cet événement se dresse comme une borne essentielle dans la quête d’une élévation significative de la qualité des formations professionnelles. Il s’agit là d’un pas audacieux vers une refonte systémique visant à doter le pays d’un dispositif éducatif à la hauteur des défis contemporains.

Atelier National de Validation : une inauguration empreinte de solennité

En effet, c’est sous la houlette de M. Kanka Malick Natchaba, Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, que les travaux ont été officiellement ouverts. Dans une allocution empreinte de gravité, il a mis en lumière la portée stratégique de cette initiative pour l’avenir de la nation. Autour de lui se sont réunis des protagonistes majeurs du paysage éducatif togolais : émissaires des universités publiques, responsables d’établissements privés, figures des ordres professionnels, ainsi que des partenaires internationaux de prestige, tels que le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF). Cette constellation d’expertises illustre l’ampleur et la légitimité de l’élan réformateur impulsé par le gouvernement.

Une ambition au service de la cohérence et de l’employabilité

Portée par la vision clairvoyante de SEM Faure Essozimna Gnassingbé, Président de la République, cette réforme se donne pour mission cardinale d’unifier les contenus pédagogiques des licences professionnelles. Par ailleurs, l’objectif est d’instaurer une évaluation nationale d’une rigueur irréprochable, tout en resserrant les liens entre les savoirs dispensés et les impératifs du marché du travail. Avec plus de 400 formations recensées à ce jour, la nécessité de discipliner cette profusion s’imposait comme une évidence. En harmonisant les curricula, le Togo aspire à forger des diplômés dont les compétences répondent avec acuité aux attentes des employeurs, tout en consolidant la crédibilité des titres décernés.

L'Atelier National de Validation des Programmes Harmonisés de Licence Professionnelle, a été lancé hier au Togo, pour révolutionner Atelier National de Validation : une révision minutieuse de soixante-neuf cursus

Dans cette vaste entreprise, pas moins de soixante-neuf programmes ont été passés au tamis d’une analyse exigeante. Ces parcours, triés parmi les plus déterminants, balayent un spectre impressionnant de disciplines : de l’agronomie à l’informatique, en passant par le génie industriel, le cinéma et l’audiovisuel. Cette pluralité traduit une volonté affirmée d’investir les secteurs névralgiques de l’économie togolaise, tout en les arrimant aux exigences d’un monde en perpétuelle mutation. Chaque programme a été réajusté avec soin, intégrant innovations technologiques et standards internationaux, pour offrir une formation à la fois robuste et visionnaire.

L’OEPS, pivot d’une révolution diplômante

À compter de l’année académique 2025-2026, une métamorphose d’ampleur bouleversera les usages : la délivrance des licences professionnelles sera confiée exclusivement à l’Office des Examens Professionnels du Supérieur (OEPS). Fini le temps où chaque institution forgeait ses propres parchemins ; désormais, cet organisme centralisé deviendra le gardien d’une homogénéité et d’une fiabilité sans faille. Cette évolution signe une rupture décisive avec les pratiques antérieures, posant les jalons d’un système où la transparence et l’excellence deviennent les maîtres-mots.

Des perspectives riches, mais semées d’embûches

Les retombées de cette réforme s’annoncent aussi vastes que prometteuses. Pour les étudiants, elle ouvre la voie à des parcours plus cohérents, taillés sur mesure pour une insertion professionnelle fluide et durable. Pour les recruteurs, elle garantit l’accès à une main-d’œuvre dûment qualifiée, apte à relever les défis du terrain. Pourtant, ce dessein ambitieux ne s’accomplira pas sans heurts. Sa réussite dépendra d’une orchestration sans faille entre les parties prenantes, d’un effort soutenu pour former les formateurs et d’une modernisation des outils pédagogiques. Autant de conditions sine qua non pour que l’édifice tienne ses promesses.

Un horizon en pointillés

En somme, l’Atelier National de Validation, en posant les premières pierres de cette refonte, ouvre un chapitre inédit pour l’enseignement supérieur togolais. Mais quelles empreintes laissera-t-il dans le temps ? Les institutions sauront-elles épouser avec agilité ces bouleversements ? Et cette harmonisation parviendra-t-elle à combler l’abîme entre les bancs de l’université et les réalités du monde professionnel ? Ces interrogations, laissées en suspens, invitent à une réflexion vigilante sur les lendemains de cette réforme. Le Togo, en s’élançant sur cette trajectoire audacieuse, joue une partition dont la résonance reste à écrire, entre espoirs fervents et défis à surmonter.

Une caravane scientifique pour éveiller les vocations féminines en sciences

Dans une société où les disciplines scientifiques peinent encore à attirer un public féminin, l’Université de Kara prend les devants avec une initiative audacieuse : une caravane scientifique itinérante à destination des lycéens de la région de la Kara. Du 10 au 15 mars 2025, cette expédition pédagogique, orchestrée par le Centre d’Accompagnement à la Valorisation des Résultats de recherche-Innovation en Sciences et Technologies (CAVRIS) et le Club Mathématique, se donne pour mission d’insuffler aux jeunes, et en particulier aux filles, une passion pour les sciences exactes.

La caravane scientifique de l’Université de Kara sensibilise les lycéennes aux filières scientifiques à travers des ateliers interactifs, Une approche dynamique pour démystifier les sciences

Bien plus qu’une simple tournée éducative, cette caravane scientifique est une immersion concrète dans l’univers des mathématiques, de la physique et des nouvelles technologies. En effet, soutenue par la Société Togolaise de Physique et la Société des Sciences Mathématiques du Togo, l’initiative repose sur une pédagogie interactive où la manipulation et l’expérimentation remplacent les discours théoriques.

Dès son lancement au Lycée Kara 1, la caravane a capté l’attention des élèves à travers une série de stands thématiques, animés par des étudiantes de l’Université de Kara. Par ailleurs, ces ateliers pratiques permettent d’explorer divers domaines scientifiques :

  • L’électronique : compréhension des circuits électriques de base et démonstration de leur utilité dans la vie courante.
  • L’optique : étude des phénomènes lumineux et découverte des principes fondamentaux de la vision et de l’énergie solaire.
  • Les jeux mathématiques : activités ludiques illustrant des concepts logiques et numériques de manière intuitive.
  • L’impression 3D : démonstration du processus de fabrication additive et de ses applications pratiques dans l’ingénierie et la conception.

Une immersion inspirante pour briser les stéréotypes

En plus, loin d’être une simple exposition de savoirs, cette initiative repose sur un modèle de transmission, par exemple. Plutôt que de se limiter à inciter les jeunes filles à embrasser des carrières scientifiques, les organisateurs ont opté pour une approche plus percutante : leur montrer que d’autres femmes ont déjà investi ce terrain et s’y illustrent avec brio.

Dr Dam-Bé Douti, enseignant-chercheur au département de physique et responsable du CAVRIS, souligne l’urgence d’une telle démarche : « Aujourd’hui, dans nos départements de mathématiques et de physique, les filles représentent à peine 5 % des effectifs. » « Ce chiffre alarmant nous a poussés à repenser notre stratégie. » « Plutôt que de leur demander de rejoindre ces filières, nous leur montrons concrètement que des étudiantes de l’Université de Kara y évoluent déjà avec succès.  L’effet de projection est immédiat. »

Pagdame Tiebekabe, coordinateur du Club Mathématique, abonde dans le même sens : « Cette initiative est un levier essentiel pour stimuler l’ambition des jeunes filles et déconstruire aussi les préjugés qui entourent les métiers scientifiques. »

La caravane scientifique de l’Université de Kara sensibilise les lycéennes aux filières scientifiques à travers des ateliers interactifs, Caravane scientifique : Une rencontre qui marque les esprits

En plus, l’impact de cette caravane scientifique s’est révélé palpable dès ses premières étapes. AMA Magnim Laure, élève en classe de Seconde S au Lycée Kara 1, exprime son enthousiasme après avoir découvert l’impression 3D :

« J’ai été fascinée par la démonstration de l’imprimante 3D. On nous a expliqué la méthode FDM (Fabrication par Dépôt de Matière), qui permet de créer un objet en quelques minutes. Avant, je pensais que ce genre de technologie était réservé aux pays étrangers. Maintenant, je réalise que nous pouvons aussi en bénéficier ici. »

Cette prise de conscience illustre parfaitement l’objectif de la caravane : éveiller des aspirations nouvelles et donner aux jeunes filles les clés pour envisager un avenir dans lequel elles joueront un rôle actif dans le progrès scientifique.

La caravane scientifique : Une initiative à pérenniser

Au-delà des six établissements ciblés cette année, cette caravane scientifique a vocation à s’étendre et à se structurer en un programme durable. Loin d’être un simple événement ponctuel, elle s’impose ainsi comme un véritable catalyseur de changement, un moyen de semer, dès le plus jeune âge, la graine de la curiosité scientifique.

En somme, en brisant les barrières psychologiques qui entravent encore l’accès des filles aux carrières scientifiques, cette initiative redéfinit les perspectives d’une génération. Loin d’être un luxe, l’intégration des femmes dans les sciences est une nécessité pour un développement inclusif et harmonieux. À travers ce projet, l’Université de Kara prouve qu’il ne suffit pas d’inviter les jeunes filles à rejoindre les filières scientifiques : il faut leur donner les moyens d’y croire.

 

UNIPOD-Togo : L’aube d’une révolution scientifique

Lomé, 28 février 2025 – Au cœur de l’effervescence intellectuelle de Lomé, une initiative novatrice vient de prendre son envol. Sous l’égide du Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, Kanka-Malik Natchaba, et en présence de Mme Binta Saneh, Représentante Résidente du PNUD Togo, l’Université de Lomé a inauguré l’UNIPOD-Togo, un espace dédié à l’innovation, à la recherche appliquée et à l’entrepreneuriat.

L'UNIPOD-Togo ouvre ses portes à Lomé, un espace d'innovation et d'entrepreneuriat pour stimuler la recherche appliquée Un écrin technologique et académique

De surcroît, l’UNIPOD-Togo se distingue par ses infrastructures à la pointe : des laboratoires ultramodernes, un espace d’incubation ingénieux et un bureau de transfert de technologie sophistiqué. Ce complexe, pensé pour catalyser l’effervescence créative des étudiants, des chercheurs et des entrepreneurs, promet d’être le creuset où se fusionneront savoir, technologie et ambition. La modernité de ces installations reflète l’engagement profond du Togo pour la valorisation du capital intellectuel et l’éclosion d’innovations disruptives.

Une synergie étatique et partenariale

Par ailleurs, la cérémonie de lancement, empreinte d’une solennité rare, a réuni des personnalités de premier plan du gouvernement togolais. Parmi elles, Mme Mazamesso ASSIH, Ministre chargée du Développement à la Base, de l’Inclusion Financière, de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes, et le Ministre délégué, Dr Abdul Fahd FOFANA. Leur présence, ainsi que celle des acteurs institutionnels et du PNUD, témoigne d’un consensus éclairé sur la nécessité de conjuguer les efforts étatiques et le dynamisme associatif pour ériger la science et la technologie en leviers de développement.

Dans cette optique, ce lieu novateur n’est pas une entité isolée : il se veut le reflet harmonieux de la complémentarité entre les initiatives existantes et les espaces d’innovation qui jalonnent le pays. En conjuguant les sphères de la jeunesse, de l’emploi des jeunes et de l’économie numérique, l’UNIPOD-Togo s’inscrit dans une dynamique transversale destinée à propulser le Togo vers un avenir où le savoir-faire et l’innovation sont les piliers d’une croissance inclusive.

Un futur radieux en filigrane

Qui plus est, dans une allocution empreinte de verve et d’optimisme, Kanka-Malik Natchaba a souligné que « la fusion de la recherche appliquée et de l’entrepreneuriat représente non seulement un vecteur de transformation, mais également la clé de voûte d’un écosystème économique résilient et novateur ». Il a ajouté que l’UNIPOD-Togo serait, dès aujourd’hui, le berceau de projets audacieux, capables de métamorphoser les idées en solutions tangibles, promouvant ainsi une culture d’innovation pérenne.

En d’autres termes, la cérémonie, qui se voulait à la fois une célébration et un engagement envers l’avenir, a vu les intervenants saluer la pertinence de cette initiative dans le contexte d’un Togo en pleine mutation. En offrant un cadre optimal à la recherche et à l’entrepreneuriat, l’UNIPOD-Togo devient le point d’ancrage d’une stratégie de développement intégré, où la technologie et la science se mettent au service de l’inclusion économique et du progrès social.

 La Genèse d’une nouvelle ère

À l’image d’un phénix renaissant de ses cendres, l’UNIPOD-Togo incarne l’aube d’une révolution scientifique et entrepreneuriale, où chaque idée innovante, chaque projet porteur de promesses, vient enrichir la tapisserie d’un avenir résolument tourné vers l’excellence. En cultivant l’alliance sacrée entre savoir, technologie et esprit entrepreneurial, le Togo se dresse en avant-garde d’un renouveau continental, ouvrant ainsi la voie à une ère où l’innovation se fait le sceau indéfectible d’une nation en perpétuelle ascension.

 

Érudite alliance entre Lomé et Kindia : quand les savoirs traversent les frontières

Sous les auspices d’une diplomatie intellectuelle inédite, l’Université de Lomé et son homologue guinéenne de Kindia ont scellé, vendredi dernier à Lomé, un pacte pédagogique aux ramifications prometteuses. En effet, paraphée par Adama Mawulé Kpodar, figure tutélaire de l’enseignement supérieur togolais, et Akoye Massa Zoumanigui, pilier académique guinéen, cette convention quinquennale dessine les contours d’une transhumance des savoirs entre deux pôles éducatifs d’Afrique de l’Ouest.

Lomé et Kindia : Les architectes de la connaissance transfrontalière

Par ailleurs, Adama Mawulé Kpodar, président de l’Université de Lomé, incarne une génération réformatrice. Ancien doyen de la faculté des Sciences Économiques, il a insufflé une dynamique d’excellence disruptive depuis sa prise de fonction en 2020 : numérisation des bibliothèques, création de laboratoires interdisciplinaires et partenariats avec 12 universités européennes. Son credo est que l’éducation est un écosystème, non un cloître.

Face à lui, Akoye Massa Zoumanigui, recteur de Kindia, porte l’héritage d’une institution née en 2015 pour répondre à l’explosion démographique estudiantine guinéenne. Géographe de renom, il a piloté la création de filières en agroécologie et gestion des ressources minières, alignées sur les défis locaux.

Les quatre piliers de l’accord : au-delà des mots

En plus, la convention paraphée par Adama Mawulé Kpodar, président de l’Université de Lomé, et Akoye Massa Zoumanigui, recteur de l’Université de Kindia, est loin de se limiter à un simple échange protocolaire. Elle déploie une feuille de route ambitieuse, structurée autour de plusieurs axes :

  1. Mobilité circulaire : un programme Erasmus sahélien permettant à enseignants, chercheurs et étudiants de migrer temporairement entre les deux institutions, avec validation mutuelle des crédits.
  2. Laboratoires jumelés : des unités de recherche verront le jour en biotechnologie et en sciences sociales, grâce à un financement binational.
  3. Archivage numérique collaboratif : une plateforme bilingue (français-anglais) sera mise en place pour faciliter l’accès aux publications des deux universités, y compris les thèses inédites portant sur les migrations en Afrique de l’Ouest.
  4. Événements hybrides : un cycle de conférences intitulé « Savoirs Décloisonnés » sera organisé en alternance à Lomé et à Kindia, avec une diffusion en réalité virtuelle pour un public élargi.

Mécanismes opératoires : le souffle derrière les engagements entre Lomé et Kindia 

D’ailleurs, pour transcender les vœux pieux, les signataires ont institué un comité de vigilance académique. Composé des directeurs de la coopération des deux universités, ce corps veillera à :

  • Désamorcer les lourdeurs bureaucratiques : visa académique accéléré, reconnaissance automatique des diplômes.
  • Évaluer par indices tangibles : nombre de co-publications indexées, taux de réussite des étudiants mobiles.
  • Adapter les axes : révision annuelle des priorités via des états généraux impliquant étudiants et société civile.

Enjeux sous-jacents : un pont au-dessus des stéréotypes

Derrière l’enthousiasme officiel entourant cet accord, des défis structurels importants se profilent :

  • Asymétrie des moyens : l’université de Lomé, qui bénéficie de 23 % du budget alloué à l’éducation au Togo, dispose de laboratoires à la pointe de la technologie. Ces équipements font défaut à l’Université de Kindia, ce qui pourrait créer un déséquilibre dans la mise en œuvre des projets de recherche.
  • Barrière linguistique : si le français demeure la langue véhiculaire dans les deux institutions, l’intégration des langues locales, telles que l’éwé au Togo et le soussou en Guinée, dans les échanges académiques et de recherche reste une question en suspens. Cette dimension pourrait entraver la participation de certains acteurs et limiter la portée des travaux.
  • Pressions politiques : des observateurs expriment des inquiétudes quant à une possible instrumentalisation politique des recherches entreprises en commun, particulièrement dans le domaine des sciences politiques. Ils soulignent la nécessité de garantir l’indépendance et l’intégrité des travaux pour préserver la crédibilité de cette collaboration.

Les universités de Lomé et de Kindia ont scellé un pacte pédagogique ambitieux, établissant une collaboration quinquennale pour renforcerPerspectives : vers un hub francophone ?

Ce partenariat pourrait catalyser une nouvelle géopolitique académique. En connectant Lomé, plaque tournante de l’UEMOA à Kindia, porte d’entrée de la CEDEAO anglophone, il esquisse ainsi un corridor de connaissances panafricain. Déjà, l’Université Félix-Houphouët-Boigny en Côte d’Ivoire a exprimé son intérêt à rejoindre ce réseau.

L’audace des semeurs d’idées

En somme, alors que le comité de suivi tiendra sa première réunion le mois prochain, cet accord rappelle une évidence trop souvent oubliée : les universités africaines, longtemps en rivalité mimétique avec l’Occident, détiennent les clés d’une renaissance par l’intelligence collective. Reste à voir si cette alliance saura résister aux vents contraires, bureaucratie, sous-financement, agendas politiques, pour incarner une nouvelle ère de pédagogie libérée.

 

Lycée d’Adidogomé : Kifema Capital impulse une dynamique d’excellence

Dans un élan visionnaire, le lycée d’Adidogomé, niché au cœur de la commune du Golfe 7, s’apprête à se doter d’un complexe sportif d’envergure. En effet, ce projet, fruit d’un partenariat audacieux avec Kifema Capital, s’érige en véritable promesse d’un avenir dans lequel l’éducation et le sport tissent une symbiose féconde.

Kifema Capital : Un projet structurant pour la jeunesse togolaise

Déployé avec une célérité exemplaire, le chantier lancé il y a quelques jours ambitionne une finalisation en un laps de temps de trois mois, témoignant d’une efficacité sans faille. Le futur complexe sportif se distinguera par la qualité et la diversité de ses infrastructures : des terrains de football aux standards A5 et A7, des espaces dédiés au basket-ball et au tennis, sans oublier des aires de jeux conçues pour l’épanouissement des plus jeunes. Pour parfaire cette oasis de dynamisme, un restaurant viendra agrémenter le site, créant ainsi un espace de vie propice aux échanges et à la convivialité.

Un engagement résolu en faveur du développement humain

Au-delà d’une simple initiative infrastructurelle, cette entreprise s’ancre dans une ambition sociétale profonde. Arthur Trimua, directeur général de Kifema Capital, souligne que cette initiative s’inscrit dans une stratégie globale visant à canaliser des capitaux vers des infrastructures à forte valeur ajoutée. L’objectif ne se limite pas à la mise en place d’équipements sportifs ; il s’agit avant tout d’une démarche émancipatrice, visant à offrir aux jeunes un cadre propice à leur épanouissement tout en les prémunissant des dérives liées à l’oisiveté et à la délinquance.

Une vision à grande échelle

Le projet ne saurait se cantonner aux limites du lycée d’Adidogomé. Son caractère novateur en fait un modèle destiné à être reproduit dans d’autres établissements scolaires du pays, insufflant ainsi une dynamique de transformation à l’échelle nationale. L’initiative, dont le montant de l’investissement reste confidentiel, illustre la volonté de Kifema Capital d’impulser une modernisation tangible du paysage éducatif et sportif togolais.

Kifema Capital, un acteur clé du développement national

Créée sous l’impulsion de l’État togolais, Kifema Capital SA s’impose comme un vecteur stratégique de développement, mobilisant des ressources financières au service de projets structurants. Rattachée à la holding Togo Invest, la société d’investissement s’est déjà illustrée à travers des réalisations d’envergure, telles que la construction de la centrale électrique Kekeli Efficient Power d’une capacité de 65 MW.

En somme, par cette nouvelle initiative, Kifema Capital réaffirme son rôle de catalyseur du progrès, mettant en exergue une vision où l’éducation, le sport et l’investissement se conjuguent harmonieusement au service d’un avenir prometteur pour la jeunesse togolaise. Le lycée d’Adidogomé s’apprête ainsi à devenir un véritable incubateur de talents, où la passion et la discipline traceront les contours d’une génération tournée vers l’excellence.

Consultations Togo-Allemagne pour renforcer l’ETFP

Le ministère de l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle et de l’Artisanat (METFPA) du Togo a tenu hier des consultations bilatérales avec la coopération allemande visant à renforcer l’Enseignement Technique et la Formation Professionnelle (ETFP) dans le pays. Les discussions ont porté sur trois axes principaux : l’accès, la qualité et la gouvernance de l’ETFP, avec pour objectif d’améliorer l’employabilité des jeunes et de stimuler le développement économique national.

ETFP : Réforme des curricula pour moderniser l’enseignement

Cette initiative s’inscrit dans une série d’efforts déployés par le METFPA pour aligner le système éducatif sur les besoins du marché du travail et les aspirations des jeunes Togolais. Parmi les actions notables, le projet de réforme des curricula a permis la révision de 40 programmes axés sur le numérique et l’entrepreneuriat, ainsi que la formation de plus de 90 % des enseignants. Ces mesures visent à moderniser et à élargir l’accès à la formation technique et professionnelle, tout en répondant aux défis actuels du marché de l’emploi.

La coopération avec l’Allemagne, reconnue pour son système dual de formation professionnelle, offre une opportunité précieuse pour le Togo. En s’inspirant du modèle allemand, le METFPA entend renforcer l’expertise des formateurs et poser les bases d’un enseignement technique et professionnel de qualité. Cette collaboration vise également à développer des programmes de formation par alternance, combinant enseignement théorique et pratique en entreprise, afin de fournir aux apprenants les compétences recherchées sur le marché du travail.

Gouvernance et qualité pour une insertion durable

Les consultations bilatérales ont également abordé la question de la gouvernance du système de l’ETFP. L’objectif est de mettre en place un cadre juridique et institutionnel solide pour le pilotage de la formation par alternance, ainsi qu’un système de management de la qualité permettant la mise en œuvre d’offres de formation en adéquation avec les besoins du marché du travail. Ces efforts visent à assurer une insertion professionnelle réussie et durable pour les jeunes Togolais.

En renforçant l’ETFP, le Togo aspire à créer un vivier de compétences locales capables de répondre aux exigences du marché du travail et de contribuer au développement économique du pays. Cette démarche s’inscrit dans la vision du METFPA de faire de l’enseignement technique et de la formation professionnelle un levier stratégique pour l’emploi des jeunes et la croissance économique.

En somme, les perspectives offertes par cette coopération avec l’Allemagne sont prometteuses. En misant sur l’amélioration de l’accès, de la qualité et de la gouvernance de l’ETFP, le Togo se donne les moyens de relever les défis de l’employabilité des jeunes et du développement économique, tout en s’alignant sur les standards internationaux en matière de formation professionnelle.

Innovation : inauguration imminente de l’UniPod_Togo à Lomé

Lomé, 23 janvier 2025 – Lomé s’apprête à inaugurer l’UniPod_Togo, un centre dédié à l’innovation technologique et à la formation numérique des jeunes. Binta Sanneh, représentante résidente adjointe du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) au Togo, a visité hier les installations pour évaluer l’avancement de l’installation des machines et des équipements. Cette visite a également été l’occasion d’échanger avec les jeunes en pleine formation numérique.

L’UniPod_Togo : un nouveau pôle d’innovation pour la jeunesse togolaise

Par ailleurs, l’UniPod_Togo est une initiative conjointe du PNUD et de l’Université de Lomé, s’inscrivant dans le cadre du programme Timbuktoo Africa, implanté dans 18 pays africains. Ce programme vise à stimuler l’écosystème des startups en Afrique en fournissant des infrastructures et des ressources pour encourager l’innovation et l’entrepreneuriat chez les jeunes.

Avec un investissement total de 1,6 million de dollars, l’UniPod de Lomé est conçu pour offrir aux jeunes Togolais un espace dans lequel ils peuvent développer leurs compétences numériques, accéder à des technologies de pointe et bénéficier de programmes de mentorat. Ainsi, l’objectif est de favoriser l’émergence de solutions innovantes adaptées aux défis locaux et de contribuer au développement socio-économique du pays.

L’UniPod_Togo, initiative du PNUD et de l’Université de Lomé, s’apprête à ouvrir ses portes pour promouvoir l’innovation technologique Timbuktoo Africa : un ambitieux programme pour l’innovation en Afrique

En effet, le programme Timbuktoo Africa, lancé en janvier 2024 lors du Forum économique mondial de Davos, ambitionne de mobiliser et d’investir 1 milliard de dollars pour soutenir 10 000 startups, en développant plus de 1 000 sur une période de 10 ans. En plus, l’initiative vise à impacter 100 millions de vies et à créer une valeur de 10 milliards de dollars sur le continent africain. Elle s’articule autour de 10 hubs thématiques stratégiquement sélectionnés, chacun se concentrant sur un secteur spécifique, tels que l’Agritech, la HealthTech, la GreenTech, le TradeTech, le TourismTech, l’EdTech, les industries créatives et les villes intelligentes.

De ce fait, l’UniPod_Togo, en tant que pôle universitaire d’innovation, jouera un rôle clé dans cet écosystème en offrant un environnement propice à la créativité et à l’innovation. En collaboration avec l’Université de Lomé, il servira de plateforme pour les étudiants, les entrepreneurs et les innovateurs, leur permettant de transformer leurs idées en projets concrets et viables.

En somme, la visite de Binta Sanneh souligne l’engagement du PNUD et de ses partenaires à soutenir les initiatives locales qui promeuvent le développement durable et l’autonomisation des jeunes. L’inauguration prochaine de l’UniPod_Togo marquera une étape importante dans la promotion de l’innovation technologique au Togo et dans la réalisation des objectifs du programme Timbuktoo Africa sur le continent.

 

Les bourses Türkiye : une opportunité pour les étudiants togolais

Lomé, 23 janvier 2024 –Une initiative d’envergure internationale a été mise en lumière hier lors d’une rencontre organisée à l’Université de Lomé. En effet, la Présidence des Turcs de l’Étranger et des Communautés Affiliées, en collaboration avec l’Ambassade de la République de Turquie à Lomé, l’Université de Lomé et la Fondation Maarif de Turquie au Togo, a présenté les Bourses d’Études Türkiye aux étudiants de l’Université de Lomé.

Lomé, 23 janvier 2024 –Une initiative d’envergure internationale a été mise en lumière hier lors d’une rencontre organisée à l’Université de Lomé. En effet, la Présidence des Turcs de l'Étranger et des Communautés Affiliées, en collaboration avec l'Ambassade de la République de Turquie à Lomé, l'Université de Lomé et la Fondation Maarif de Turquie au Togo, a présenté les Bourses d'Études Türkiye aux étudiants de l'Université de Lomé.Un programme de bourses d'excellencePremièrement, le programme "Türkiye Bursları" est une initiative financée par le gouvernement turc, conçue pour les étudiants internationaux souhaitant poursuivre des études supérieures en Turquie. Ce programme offre des avantages uniques :Frais de scolarité couverts à 100 %, permettant aux bénéficiaires d’étudier dans les meilleures universités publiques de Turquie.Allocation mensuelle pour subvenir aux besoins de base des étudiants.Hébergement gratuit, assurant un logement dans des conditions confortables.Billet d’avion aller-retour, facilitant le transport international.Cours de langue turque intensif d’une durée d’un an, permettant une immersion culturelle et linguistique complète.Accès à un réseau académique et professionnel mondial grâce à une expérience éducative enrichissante.Une collaboration stratégique pour promouvoir l’éducationEn outre,destinées aux étudiants souhaitant poursuivre des études aux niveaux BTS, Licence, Master et Doctorat, ces bourses représentent une opportunité significative pour les étudiants togolais. De plus, le programme s'inscrit dans une démarche de diplomatie éducative visant à renforcer les liens académiques et culturels entre la Turquie et les autres pays. En retour, les bénéficiaires sont encouragés à contribuer au développement de leur pays d'origine une fois leurs études terminées. Actuellement, une vingtaine d'étudiants togolais poursuivent leurs études en Turquie grâce à ces bourses. La Fondation Maarif Togo espère voir ce nombre augmenter dans les prochaines années et invite les étudiants intéressés à postuler via le site officiel. Comment postuler ?Par ailleurs, du 10 janvier au 20 février 2025, il est possible de postuler pour le programme de Bourses d'Études Türkiye pour l'année universitaire 2025-2026. Ce programme entièrement financé, qui offre des opportunités d'études de premier cycle, de master et de doctorat dans des universités turques de renom, invite les étudiants internationaux, notamment ceux du Togo, à y présenter leur candidature.Pour postuler, les candidats doivent créer un compte sur la plateforme de candidature en ligne, remplir le formulaire et télécharger tous les documents requis. Il est essentiel de choisir soigneusement les programmes d'études et les universités potentielles, en veillant à respecter les exigences spécifiques de chaque programme. Les candidats ont aussi l'opportunité de rédiger une lettre de motivation originale, en expliquant leurs préférences, leurs attentes et leurs objectifs futurs.Une passerelle vers un avenir prometteurEn somme, la Turquie, riche en histoire et en culture, offre un mélange unique d'influences orientales et occidentales. Son emplacement stratégique au carrefour de l'Europe et de l'Asie en fait une destination attrayante pour les étudiants internationaux. Étudier en Turquie offre l'opportunité de s'immerger dans une culture diversifiée, d'apprendre le turc et de bénéficier d'un enseignement de qualité dans des universités de renommée internationale. Pour obtenir plus d'informations et soumettre une candidature, les étudiants doivent se rendre sur le site officiel des Bourses d'Études Türkiye à l'adresse suivante.Un programme de bourses d’excellence

Premièrement, le programme « Türkiye Bursları » est une initiative financée par le gouvernement turc, conçue pour les étudiants internationaux souhaitant poursuivre des études supérieures en Turquie. Ce programme offre des avantages uniques :

  • Frais de scolarité couverts à 100 %, permettant aux bénéficiaires d’étudier dans les meilleures universités publiques de Turquie.
  • Allocation mensuelle pour subvenir aux besoins de base des étudiants.
  • Hébergement gratuit, assurant un logement dans des conditions confortables.
  • Billet d’avion aller-retour, facilitant le transport international.
  • Cours de langue turque intensif d’une durée d’un an, permettant une immersion culturelle et linguistique complète.
  • Accès à un réseau académique et professionnel mondial grâce à une expérience éducative enrichissante.

Une collaboration stratégique pour promouvoir l’éducation

En outre, destinées aux étudiants souhaitant poursuivre des études aux niveaux BTS, Licence, Master et Doctorat, ces bourses représentent une opportunité significative pour les étudiants togolais. De plus, le programme s’inscrit dans une démarche de diplomatie éducative visant à renforcer les liens académiques et culturels entre la Turquie et les autres pays. En retour, les bénéficiaires sont encouragés à contribuer au développement de leur pays d’origine une fois leurs études terminées.

Actuellement, une vingtaine d’étudiants togolais poursuivent leurs études en Turquie grâce à ces bourses. La Fondation Maarif Togo espère voir ce nombre augmenter dans les prochaines années et invite les étudiants intéressés à postuler via le site officiel.

Comment postuler ?

Par ailleurs, du 10 janvier au 20 février 2025, il est possible de postuler pour le programme de Bourses d’Études Türkiye pour l’année universitaire 2025-2026. Ce programme entièrement financé, qui offre des opportunités d’études de premier cycle, de master et de doctorat dans des universités turques de renom, invite les étudiants internationaux, notamment ceux du Togo, à y présenter leur candidature.

Pour postuler, les candidats doivent créer un compte sur la plateforme de candidature en ligne, remplir le formulaire et télécharger tous les documents requis. Il est essentiel de choisir soigneusement les programmes d’études et les universités potentielles, en veillant à respecter les exigences spécifiques de chaque programme. Les candidats ont aussi l’opportunité de rédiger une lettre de motivation originale, en expliquant leurs préférences, leurs attentes et leurs objectifs futurs.

Une passerelle vers un avenir prometteur

En somme, la Turquie, riche en histoire et en culture, offre un mélange unique d’influences orientales et occidentales. Son emplacement stratégique au carrefour de l’Europe et de l’Asie en fait une destination attrayante pour les étudiants internationaux. Étudier en Turquie offre l’opportunité de s’immerger dans une culture diversifiée, d’apprendre le turc et de bénéficier d’un enseignement de qualité dans des universités de renommée internationale.

Pour obtenir plus d’informations et soumettre une candidature, les étudiants doivent se rendre sur le site officiel des Bourses d’Études Türkiye à l’adresse suivante.

Université de Lomé : Les inscriptions définitives se clôturent le 13 décembre

Lomé, le 11 décembre 2024 – L’année académique 2024-2025 bat son plein à l’Université de Lomé. Après une rentrée administrative le 18 septembre et une période pédagogique du 14 au 18 octobre, les étudiants ont repris le chemin des amphis le 21 octobre dernier.

Dans un communiqué officiel, le président de l’université, Adama Kpodar, a rappelé que les inscriptions définitives seront clôturées le 13 décembre prochain. Il a insisté sur l’importance pour les étudiants de finaliser leur inscription avant cette date limite, car il n’y aura pas d’inscription tardive.

Université de Lomé : une année académique riche en perspectives

L’Université de Lomé, qui a accueilli plus de 70 000 étudiants l’année dernière, confirme ainsi sa position d’établissement d’enseignement supérieur de référence au Togo et dans la sous-région. Réputée pour son respect des calendriers académiques et son engagement en faveur d’un enseignement de qualité, l’université poursuit ses efforts pour offrir à ses étudiants un environnement d’apprentissage stimulant et propice à leur réussite.

Appel à la vigilance

Les étudiants doivent donc se rapprocher des services administratifs de leur faculté ou école pour finaliser leur inscription dans les meilleurs délais. Le président de l’université recommande également aux étudiants de vérifier régulièrement les informations publiées sur le site internet de l’université.

Il est crucial pour les étudiants de l’Université de Lomé de respecter les délais d’inscription. Il est essentiel de remplir cette formalité administrative afin de profiter de tous les services offerts par l’établissement et de participer activement à la vie universitaire. En s’inscrivant avant la date limite du 13 décembre, les étudiants s’assurent ainsi une année académique réussie.

En somme, l’Université de Lomé, fidèle à sa réputation, offre une fois de plus à ses étudiants un environnement propice à l’épanouissement personnel et professionnel. Cette nouvelle année académique s’annonce riche en perspectives et en défis.

Saisissez cette opportunité pour développer vos connaissances, élargir votre réseau et préparer votre avenir professionnel.

Togo: Natchaba fait le point sur les travaux de l’université de Kara

Lomé, le 18 novembre 2024 Le secteur de l’enseignement supérieur au Togo franchit une nouvelle étape. Une délégation ministérielle, conduite par Kanka Malik Natchaba, ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, s’est rendue sur le chantier de la future université de Kara. En effet, cette visite, effectuée à mi-parcours des travaux, témoigne de l’engagement du gouvernement à doter le pays d’un établissement d’enseignement supérieur à la pointe de la modernité.

Le Togo franchit une nouvelle étape dans le développement de l'enseignement supérieur avec la construction de l'université de Kara. Les travaux de l’université de Kara avancent à grands pas.

Le projet, d’une envergure considérable, comprendra des facultés de sciences de la santé, un institut des métiers de l’agriculture, un institut polytechnique, ainsi que la présidence de l’université. Ces infrastructures, conçues pour répondre aux besoins d’une jeunesse en quête de qualifications, devraient permettre au Togo de renforcer son capital humain et de mieux se positionner dans la compétition économique mondiale.

« Cette université est plus qu’un simple bâtiment, c’est un symbole d’espoir pour la jeunesse togolaise », a déclaré le ministre Natchaba lors de la visite. Il a également souligné l’importance de respecter les délais et les normes de qualité pour faire de cette université un modèle d’excellence.

Le Ministre Natchaba a également exprimé sa gratitude envers l’entreprise et les travailleurs pour leur dévouement à la réalisation de cette vision. Le projet reflète l’engagement du gouvernement à offrir un enseignement supérieur de qualité à la jeunesse Togolaise.

Les autorités ont profité de cette occasion pour sensibiliser les acteurs locaux sur l’importance de ce projet et les inciter à s’impliquer activement dans son suivi. En outre, les étudiants, les enseignants et les populations environnantes attendent avec impatience l’ouverture de cet établissement qui devrait dynamiser la région de Kara et renforcer l’attractivité du Togo en matière d’enseignement supérieur.

En somme, cette visite marque un tournant décisif dans la réalisation d’un projet ambitieux qui s’inscrit pleinement dans la vision du gouvernement de faire du Togo un pays émergent à l’horizon 2030. L’université de Kara devrait contribuer à former les compétences dont le pays a besoin pour relever les défis du XXIe siècle et saisir les opportunités offertes par la mondialisation.

Togo : Le ministre Natchaba a eu un échange avec l’ONIT

Lomé, le 14 novembre 2024 – Dans un effort continu pour améliorer la qualité de l’enseignement supérieur au Togo, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Kanka Malik Natchaba, a tenu une réunion cruciale avec l’Ordre national des ingénieurs du Togo (ONIT) hier. En effet, cette réunion, organisée dans un esprit de coopération, avait pour but principal de débattre des moyens de renforcer la qualité de la formation des ingénieurs dans le pays.

Renforcement de l’enseignement supérieur au Togo : Le ministre Natchaba rencontre  l’ONIT

Par ailleurs, la question de l’engagement des ingénieurs dans le développement national et de leur rôle crucial aux côtés des autorités était au centre des débats. Le ministre Natchaba a souligné l’importance de l’expertise technique des ingénieurs dans la mise en œuvre des projets d’infrastructure et dans la contribution à une économie basée sur la connaissance.

Un autre point saillant de la réunion a été l’implication active de l’ONIT dans le processus de revue des curricula en cours. Le ministre a insisté sur la nécessité d’aligner les programmes d’études sur les normes internationales et sur les besoins spécifiques du marché de l’emploi togolais. L’ONIT a exprimé son engagement à travailler de concert avec le ministère pour actualiser et améliorer les curricula, assurant ainsi que les futurs ingénieurs togolais soient bien équipés pour relever les défis de demain.

Cette initiative s’inscrit dans le projet gouvernemental de modernisation de l’enseignement supérieur afin de mieux répondre aux enjeux contemporains. Le Ministre Natchaba a réaffirmé l’engagement du gouvernement à investir dans l’éducation et à soutenir les professionnels de l’ingénierie, qui sont des acteurs clés dans la réalisation des ambitions de développement du pays.

En somme, la rencontre entre le ministre Natchaba et l’ONIT marque un pas significatif vers une collaboration plus étroite entre le gouvernement et les professionnels du secteur, avec l’espoir que cette synergie se traduira par des avancées tangibles dans la qualité de l’enseignement supérieur au Togo.

Dapaong : Révolution scientifique au lycée Nassablé

Dapaong, 14 novembre 2024 – Une bouffée d’air frais vient de souffler sur l’enseignement des Sciences au Togo. Le lycée Nassablé de Dapaong, situé dans la région des Savanes à plus de 600 kilomètres de Lomé, a inauguré un laboratoire scientifique flambant neuf, fruit d’un partenariat entre le gouvernement togolais, Japan Today News et l’UNICEF Togo.

En effet, ce projet ambitieux a permis de doter l’établissement de matériel de pointe, comme des microscopes optiques équipés de caméras, offrant ainsi aux élèves une expérience d’apprentissage totalement inédite.

Kombaté Yendoubé, 17 ans, lycéen de Terminale, en a fait l’expérience en observant pour la première fois des cellules d’oignon. « C’est incroyable de pouvoir observer les cellules d’oignon à travers ce microscope ! » « Je n’aurais jamais imaginé pouvoir faire ça dans mon lycée. » « Cela me donne envie d’en apprendre encore plus sur la science et de poursuivre mes études », s’exclame Kombaté, le regard pétillant d’excitation.

Révolution scientifique au Togo : un lycée à Dapaong se modernise et offre aux élèves un accès aux équipements de pointe.Dapaong : Un tournant pour l’enseignement des Sciences

Au-delà du simple renouvellement du matériel, cette initiative vise aussi à révolutionner l’enseignement des sciences au TOGO. En effet, les disciplines STEM (Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques) sont au cœur de ce projet. Par ailleurs, cette modernisation s’inscrit dans une dynamique plus large de valorisation de l’éducation en Afrique.

En offrant aux jeunes Togolais un accès à des outils pédagogiques modernes, ce projet permet de stimuler leur curiosité et de les encourager à poursuivre des études dans les domaines scientifiques. Kombaté et ses camarades sont les premiers bénéficiaires de cette transformation. Ils pourront ainsi développer leurs compétences en matière de recherche et d’analyse et acquérir les connaissances nécessaires pour relever les défis du 21ᵉ siècle.

Révolution scientifique au Togo : un lycée à Dapaong se modernise et offre aux élèves un accès aux équipements de pointe.Un modèle pour le Togo

Le lycée Nassablé sert désormais de modèle pour les autres établissements scolaires du pays. Cette réussite démontre l’impact positif que peuvent avoir les partenariats internationaux dans le domaine de l’éducation. En offrant aux élèves des outils pédagogiques modernes et adaptés, ce projet contribue à réduire les inégalités et à offrir à tous les jeunes Togolais les mêmes chances de réussite.

En somme, les perspectives ouvertes par cette initiative sont nombreuses. Les élèves du lycée Nassablé, à présent équipés pour mener des expériences scientifiques de qualité, pour devenir les futurs chercheurs et innovateurs du Togo. Le Togo, en investissant dans ses infrastructures scolaires et en favorisant les partenariats internationaux, démontre sa volonté de former une nouvelle génération de scientifiques et d’ingénieurs.

 

Le Togo ouvre les portes de la formation aux énergies renouvelables

Lomé, le 17 octobre 2024. – Une nouvelle ère s’ouvre pour la jeunesse togolaise. L’Institut de Formation en Alternance pour le Développement (IFAD) dédié aux énergies renouvelables a officiellement lancé, ce jeudi 17 octobre, ses inscriptions pour la toute première promotion.

Situé à Lomé, cet établissement de formation a pour ambition d’ancienne une nouvelle génération de professionnels qualifiés dans le domaine des énergies renouvelables, un secteur en plein essor au Togo. Par ailleurs, les futurs apprentis, âgés de 16 à 29 ans et titulaires d’un BEPC, seront immergés pendant trois ans dans les arcanes de la technologie solaire, photovoltaïque et thermique.

« C’est une opportunité en or pour les jeunes Togolais de se former dans un domaine d’avenir et de contribuer ainsi au développement durable de notre pays », a déclaré Commi Nassini, directeur général adjoint de l’Agence Éducation-Développement (AED), lors d’une conférence de presse.

Une formation pratique et complète en énergies renouvelables

Les apprenants bénéficieront d’une formation alliant théorie et pratique. Ils disposeront ainsi des outils nécessaires pour réaliser eux-mêmes des installations solaires photovoltaïques de A à Z, en passant par le dimensionnement et jusqu’à la maintenance.

« Nous avons mis en place des équipements de pointe pour offrir aux apprenants les meilleures conditions d’apprentissage », a souligné Katabale Assima-Kodjovi, directrice générale de l’IFAD Bâtiment & ENR, lors de la visite des locaux.

Comment s’inscrire ?

Pour postuler, les candidats doivent constituer un dossier et le déposer dans l’un des FIDA suivants : aquaculture à Elavagnon, élevage à Barkoissi ou bâtiment à Lomé, quartier Adidogomé. Les inscriptions sont également possibles en ligne sur le site Web de l’AED.

Un enjeu majeur pour le développement du Togo

En bref, la formation aux énergies renouvelables est un enjeu crucial pour le TOGO, qui cherche à diversifier son mix énergétique et à réduire sa dépendance aux énergies fossiles. En formant de nouveaux talents dans ce domaine, le pays pose les bases d’un développement durable et favorise l’émergence d’un secteur économique porteur d’emplois.

 

Lomé : Le CI2L forme la nouvelle génération d’interprètes de conférence

Lomé, 15 octobre 2024 – Le Centre International de Langues (CI2L) de l’Université de Lomé a franchi une nouvelle étape en ouvrant, lundi 14 octobre, les portes de sa deuxième promotion de Master professionnel en interprétation de conférence. Cet événement marque un tournant important pour l’institution et pour le Togo, qui se positionne ainsi comme un acteur majeur dans la formation des professionnels de la communication internationale.

La cérémonie d’ouverture, rehaussée par la présence de personnalités académiques et de représentants d’organisations internationales telles que l’ONU, a été l’occasion de souligner l’importance de cette formation. Par ailleurs, cette formation vise à former des professionnels capables de traduire non seulement des mots, mais aussi des idées et des cultures.

« L’université de Lomé est fière de contribuer à la formation de cette nouvelle génération d’interprètes de conférence. » « Nous sommes déterminés à accompagner nos étudiants tout au long de leur parcours. » Le Professeur Komlan Batawila, 1ᵉʳ vice-président de l’Université de Lomé, a ainsi rappelé l’engagement de l’institution à accompagner les étudiants tout au long de leur parcours.

Le CI2L lance sa 2ème promotion de master en interprétation de conférence, ouvrant les portes d'une carrière internationale.Un métier exigeant, mais porteur d’avenir

Les formatrices, mesdames Clare Donovan (ESIT Paris III Sorbonne) et Marie Duir (ONU-Genève), ont rappelé aux étudiants les exigences de ce cursus intensif. Si l’apprentissage est exigeant, il ouvre les portes d’une carrière passionnante et prometteuse au sein d’organisations internationales comme les Nations Unies. En outre, le directeur du CI2L a félicité les 16 étudiants pour leur succès aux tests de sélection et les a encouragés à profiter de cette occasion exceptionnelle. Il a exprimé sa conviction que ces étudiants relèveraient tous les défis liés à la formation.

Un partenariat fructueux avec l’ONU

Le partenariat entre le CI2L et l’ONU constitue un atout majeur pour cette formation. En effet, il permet aux étudiants de bénéficier d’un enseignement de haut niveau dispensé par des experts reconnus dans le domaine de l’interprétation de conférence. De plus, les lauréats auront l’opportunité de participer à des ateliers de formation organisés par l’ONU-Genève et de réaliser des stages auprès d’interprètes expérimentés.

Répondre à un besoin croissant

La formation d’interprètes de conférence répond à un besoin croissant dans un monde dans lequel la communication interculturelle est essentielle. Les diplômés de ce Master seront en mesure de faciliter le dialogue entre les nations et de contribuer à une meilleure compréhension mutuelle.

Le CI2L: Un rayonnement international pour l’Université de Lomé

Ce Master professionnel contribue à renforcer le rayonnement international de l’Université de Lomé. En formant des interprètes de conférence hautement qualifiés, l’institution répond à un besoin croissant sur le marché de l’emploi et contribue à renforcer le dialogue interculturel.

Les enjeux de l’interprétation de conférence

L’interprétation de conférence est une profession exigeante qui requiert non seulement une maîtrise parfaite de plusieurs langues, mais également des compétences en communication, en analyse et en synthèse. Les interprètes de conférence jouent un rôle essentiel dans la facilitation des échanges internationaux, en permettant à des personnes de cultures et de langues différentes de communiquer efficacement.

En conclusion, l’ouverture de la deuxième promotion du Master professionnel en interprétation de conférence du CI2L marque une nouvelle étape dans le développement de l’enseignement supérieur au Togo. Cette formation, qui bénéficie d’un partenariat étroit avec l’ONU, offre aux étudiants l’opportunité de se former aux plus hauts standards internationaux et de contribuer ainsi au développement de la communication interculturelle.

 

L’ENS d’Atakpamé recrute de nouveaux enseignants : Une opportunité pour la jeunesse togolaise

Atakpamé, le 8 octobre 2024 – L’École normale supérieure (ENS) d’Atakpamé lance un appel à candidatures pour recruter une nouvelle génération d’enseignants du premier cycle. En effet, cette initiative, annoncée par le ministère de l’Enseignement supérieur, vise à renforcer le corps enseignant du pays et à améliorer la qualité de l’éducation.

Par ailleurs, l’ENS d’Atakpamé invite les bacheliers togolais de toutes séries (A, C, D, E) à postuler. Les dossiers de candidature, dont les modalités sont détaillées sur le site de l’ENS d’Atakpamé et dans la presse nationale, seront reçus du 9 au 25 octobre 2024.

Les futurs enseignants bénéficieront d’une formation de trois ans, alignée sur le système Licence-Master-Doctorat (LMD), et aboutissant à l’obtention d’une Licence professionnelle d’enseignement (LPE). Les matières proposées sont diverses et englobent les principales matières enseignées au secondaire : anglais, français, histoire-géographie, mathématiques, physique-chimie et technologie, ainsi que les sciences de la vie et de la terre.

Cette ouverture de l’ENS d’Atakpamé s’inscrit dans le cadre des réformes entreprises par le gouvernement pour moderniser le système éducatif togolais. En offrant une formation initiale de qualité aux futurs enseignants, les autorités visent à améliorer les compétences pédagogiques des enseignants et à renforcer le système éducatif dans son ensemble.

Cette nouvelle session de recrutement à l’ENS d’Atakpamé offre une belle opportunité pour les jeunes Togolais désireux de se consacrer à l’enseignement. En formant de nouveaux enseignants qualifiés, le Togo investit dans son avenir et pose les bases d’un système éducatif plus performant.

Togo : L’ONU et les universités s’unissent pour un avenir meilleur

Lomé , le 26 septembre 2024-  Un tournant majeur vient d’être franchi dans le paysage éducatif et de la recherche au Togo. Les universités de Lomé et de Kara, en partenariat avec le Système des Nations Unies (SNU), ont signé, le 25 septembre dernier, un nouvel accord-cadre qui ouvre de nouvelles perspectives pour le développement du pays.

En effet, lors de la cérémonie solennelle, le Professeur Adama Mawulé Kpodar, au nom des universités publiques du Togo, a rendu un hommage appuyé à l’équipe-pays des Nations Unies pour son soutien indéfectible.  » Cette nouvelle convention, qui s’inscrit dans la perspective des Objectifs de Développement Durable pour 2030, symbolise notre engagement commun et renouvelé envers le progrès éducatif « . En plus, le Président Kpodar a exprimé son engagement total à participer activement au développement du Togo, mettant en évidence l’importance de la collaboration pour l’avenir du pays.

Un nouvel accord entre les universités togolaises et le système des Nations Unies vise à améliorer la qualité de l'enseignement supérieur Un partenariat renforcé au service du développement

Par ailleurs,  Ce partenariat renouvelé vise à renforcer la coopération entre les universités togolaises et les agences onusiennes, afin de favoriser l’émergence d’une nouvelle génération de chercheurs et d’entrepreneurs. Les actions prévues s’articulent autour de plusieurs axes :

  • Formation et recherche : développement de programmes de formation adaptés aux besoins du marché du travail, encouragement de la recherche scientifique et soutien à la création de cours en ligne.
  • Leadership et entrepreneuriat : développement des compétences en leadership et soutien à la création de start-ups.
  • Atteinte des ODD : contribution des universités à l’accélération des Objectifs de Développement Durable.

Un nouvel accord entre les universités togolaises et le système des Nations Unies vise à améliorer la qualité de l'enseignement supérieur Des investissements fructueux pour les universités du Togo

Depuis 2019, le SNU a déjà investi plus de 3 milliards de FCFA dans le cadre de son partenariat avec les universités togolaises. Ces investissements ont permis de réaliser des projets concrets tels que la création d’un pôle d’innovation et de technologie à l’Université de Lomé, l’équipement de laboratoires de recherche et le développement de nouveaux programmes de formation.

Un avenir

En outre, ce nouveau partenariat entre les universités togolaises et le SNU ouvre de nouvelles perspectives pour le développement du pays. En mettant sur l’éducation, la recherche et l’innovation, le Togo pourra relever les défis du 21ème siècle et renforcer sa position sur la scène internationale.

Les défis à relever

Si les perspectives sont prometteuses, les défis restent à relever. La mise en œuvre de cet accord nécessitera une mobilisation importante de ressources humaines et financières. Il sera également essentiel de s’assurer que les résultats de la recherche soient valorisés et mis au service du développement du pays.

En conclusion, la signature de ce nouvel accord marque une étape importante dans le développement des universités togolaises et dans le renforcement du partenariat entre le Togo et le Système des Nations Unies. Ce partenariat promet de porter ses fruits et de contribuer à faire du Togo un pays plus performant et plus durable.

117 Togolais décrochent une bourse au Maroc

Lomé, Togo – Dans un effort continu pour promouvoir l’éducation supérieure et le développement des compétences spécialisées, la Direction des bourses et stages (DBS) du Togo a officiellement annoncé les résultats de la sélection des bacheliers pour les prestigieuses bourses d’études au Maroc. Le lundi 16 septembre 2024, un total de 117 candidats chanceux ont été déclarés bénéficiaires de cette opportunité académique pour l’année 2024-2025. Ces résultats sont le fruit d’un processus de sélection rigoureux qui a débuté avec un appel à candidatures en avril de cette année.

La coopération Togo-Maroc se renforce : 117 étudiants togolais bénéficient de bourses pour poursuivre leurs études au Maroc.Vers l’excellence : des jeunes Togolais partent étudier dans les domaines techniques au Maroc

En plus, les bourses, fournies par l’Agence marocaine de coopération internationale (AMCI), visent à soutenir les étudiants dans des domaines essentiels à la croissance et au progrès du Togo. Les disciplines ciblées incluent l’ingénierie, les sciences, la médecine, l’agriculture, l’informatique et l’architecture, reflétant une stratégie éducative alignée sur les besoins de développement du pays. Cette initiative s’inscrit aussi  dans une série d’actions entreprises par le gouvernement togolais pour renforcer les capacités nationales et répondre aux exigences d’un marché du travail en évolution.

En parallèle, la DBS rappelle que d’autres programmes de bourses sont également accessibles, notamment ceux offerts par le Commonwealth et le Japon, témoignant de la diversité des opportunités disponibles pour les étudiants togolais. Depuis 2021, les autorités ont déployé des efforts significatifs pour améliorer le système de suivi et la gestion des bourses. Ces mesures garantissent une distribution équitable et transparente des ressources éducatives.

Ces bourses marocaines représentent non seulement une chance pour les étudiants de poursuivre une formation de haut niveau à l’étranger, mais aussi une passerelle vers le renforcement des liens bilatéraux entre le Togo et le Maroc. En investissant dans l’éducation de sa jeunesse, le Togo espère voir émerger une nouvelle génération de professionnels qualifiés, prêts à contribuer activement au développement socio-économique du pays.

En bref, la cérémonie officielle de remise des bourses aura lieu le mois prochain, marquant le début d’un nouveau chapitre dans la vie de ces étudiants. Pour beaucoup, c’est l’accomplissement d’un rêve et le début d’un voyage qui façonnera leur avenir et, potentiellement, l’avenir de leur nation.