Gaza, 3 avril 2025 – Une abomination sans nom a brisé le silence de la bande de Gaza, déjà meurtrie : les forces d’occupation israéliennes ont bombardé l’école Dar al-Arqam, un refuge précaire pour des milliers de personnes déplacées, situé dans le quartier d’Al-Tuffah, à l’est de la ville de Gaza. Par ailleurs, ce crime, d’une violence inouïe, s’inscrit dans une série de raids aériens dévastateurs qui ont secoué la région, transformant des lieux de vie en champs de ruines et de désolation. Alors que les flammes ravageaient les murs de l’école, des corps carbonisés gisaient sous les décombres, et les survivants, hagards, fuyaient une fois encore, traînant derrière eux le poids d’une souffrance indicible.
L’école Dar al-Arqam :une vague de violence implacable
Les frappes, menées avec une précision froide, ont visé plusieurs cibles dans la ville. À l’école Fahd Al-Sabah, également dans le quartier d’Al-Tuffah, quatre martyrs ont été recensés après un bombardement qui a semé la terreur parmi les familles déjà éprouvées par des mois de guerre. Plus au sud, à Khan Younis, une tente abritant des déplacés a été réduite en cendres par une attaque aérienne, ajoutant un nouveau chapitre à la litanie des pertes humaines. Ces assauts, d’une brutalité méthodique, témoignent d’une escalade dans la stratégie israélienne, marquée par des expulsions forcées, une politique de famine imposée et la fermeture hermétique des points de passage, privant la population des besoins les plus élémentaires.
Le directeur de l’hôpital baptiste de Gaza, submergé par l’afflux de blessés, a lancé un cri d’alarme désespéré : « La situation sanitaire est catastrophique, hors de tout contrôle. » « Les massacres successifs engloutissent notre capacité à soigner. » « Nous implorons une pression internationale pour rouvrir les passages et sauver ce qui reste de notre système de santé. » Ses mots résonnent comme un écho tragique dans un territoire dans lequel les infrastructures médicales, déjà exsangues, s’effondrent sous le poids de l’horreur.
Un génocide sous les yeux du monde
Ce massacre à l’école Dar al-Arqam ne constitue pas un acte isolé, mais forme un maillon d’une chaîne de crimes odieux qui, d’après les définitions du droit international, présentent les caractéristiques d’un génocide. Sous la houlette de Benjamin Netanyahu et de son gouvernement, qualifié de fasciste par de nombreuses voix dans la région, ces exactions bénéficient d’une couverture politique et militaire américaine que les critiques n’hésitent plus à juger criminelle. L’incapacité de la communauté internationale à enrayer cette spirale de violence constitue une faillite retentissante, un effondrement des valeurs et des lois qu’elle prétendait défendre. Face à l’horreur perpétrée sous les regards impuissants ou complices, le silence devient une trahison.
Les acteurs internationaux, en particulier les pays arabes et islamiques, se trouvent aujourd’hui à un carrefour moral. Briser l’omerta, exiger des mesures immédiates pour stopper les massacres, mettre fin à la catastrophe humanitaire et traduire les responsables en justice ne sont plus des options, mais des impératifs. Car chaque jour qui passe sans action consacre l’impunité des criminels de guerre et aggrave la tragédie d’un peuple livré à l’abandon.
Gaza dans l’abîme
Au milieu des décombres fumants de l’école Dar al-Arqam, une scène saisissante a figé le temps : une fillette, à peine âgée de cinq ans, errait seule, les mains couvertes de cendres, cherchant en vain sa famille engloutie par les flammes. Ses pleurs, étouffés par le vacarme des drones qui sillonnaient encore le ciel, n’ont trouvé aucun écho. Autour d’elle, les secours, débordés, ne pouvaient que constater l’ampleur du désastre. Cette enfant, orpheline d’un instant, incarne désormais l’âme brisée de Gaza, un symbole vivant d’une humanité sacrifiée sur l’autel de la guerre. Et tandis que le monde détourne les yeux, une question lancinante demeure : combien de Dar al-Arqam faudra-t-il encore pour que l’indifférence cède à l’action ? Pour l’heure, seule la fumée répond, s’élevant comme un linceul sur une terre dans laquelle la vie, peu à peu, s’éteint.

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Au-delà des frontières birmanes, la Thaïlande a été rudement éprouvée. À Bangkok, la métropole trépidante, un immeuble en chantier de 30 étages s’est écroulé dans un fracas retentissant, piégeant 43 ouvriers sous des tonnes de gravats. Les images, relayées par une population sous le choc, montrent des colonnes de poussière s’élevant dans un ciel jusqu’alors indifférent. À Chiang Mai, cité du nord, des habitants hagards ont fui leurs demeures, certains encore en vêtements de nuit, surpris par la brutalité des oscillations. La Première ministre, Paetongtarn Shinawatra, a promptement réuni son cabinet en urgence, signe d’une mobilisation nationale face à une crise imprévue.
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En somme, cet investissement est une promesse, un serment prêté à l’avenir, où deux nations, l’une née du désert, l’autre des vastes plaines, se jurent de bâtir un monde plus audacieux. Dans ce ballet d’ambitions, nul ne sait encore si les étoiles s’aligneront ou si les vents du destin souffleront en sens contraire. Mais une chose est sûre : sous ces cieux croisés, l’histoire s’écrit déjà, et ses derniers mots nous appartiennent encore.
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Par ailleurs, L’opération d’arrestation, d’une envergure remarquable, a mobilisé plus de 3 000 agents des forces de l’ordre, qui ont convergé vers la résidence présidentielle située dans le quartier de Hannam-dong à Séoul. Cette résidence, transformée en bastion par le président déchu et ses partisans, a opposé une résistance farouche, prolongeant l’assaut sur plusieurs heures. Malgré des tentatives de négociation, notamment la requête de M. Yoon de se rendre sans être menotté, les autorités ont maintenu leur position, procédant à son arrestation conformément aux protocoles établis.
Les analystes politiques considèrent cette évolution comme un signe potentiellement positif pour le rétablissement de l’ordre constitutionnel et de l’État de droit en Corée du Sud. Toutefois, le processus judiciaire suit son cours : L’OICAF dispose de 48 heures pour décider de prolonger la détention de M. Yoon, tandis que la Cour constitutionnelle doit statuer sur la validité de sa destitution. Si elle confirme la destitution, une élection présidentielle doit être organisée dans un délai de 60 jours, ouvrant une nouvelle page dans l’histoire politique du pays.
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