Le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, a marqué une nouvelle étape dans l’histoire sanitaire du Togo vendredi en inaugurant le tout premier Centre des Maladies Infectieuses (CMI) du pays, situé à Kara. En effet, cette infrastructure d’envergure, fruit d’un engagement sans faille pour le bien-être des Togolais, symbolise l’ambition nationale de renforcer la résilience face aux défis sanitaires contemporains.
Par ailleurs, cette visite présidentielle, plus qu’un geste protocolaire, reflète l’implication personnelle du chef de l’État dans le suivi des projets structurants. À travers ce déplacement, il réaffirme sa volonté de prioriser les besoins des populations en matière de santé, tout en insufflant une nouvelle dynamique aux politiques publiques axées sur la prévention et la gestion des maladies infectieuses.
Centre des Maladies Infectieuses : une infrastructure moderne au cœur de la vision sanitaire nationale
Construit dans le cadre du Programme de Renforcement du Système Sanitaire – Santé Reproductive et Droits Sexuels (PRSS-SRDS), le CMI de Kara s’inscrit dans une stratégie nationale visant à atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD), notamment ceux relatifs à la santé et au bien-être. En plus, financé à hauteur de plus de deux milliards de francs CFA, ce projet a vu le jour grâce à un partenariat efficace entre le gouvernement togolais, la coopération allemande (KfW) et l’ONG Santé Intégrée, avec le soutien des donateurs américains Construction of Change.
Dotée de 43 lits et d’équipements de pointe, cette structure multifonctionnelle dispose d’une unité de soins intensifs ultramoderne, d’un service d’hospitalisation pour les cas complexes et d’une pharmacie assurant l’approvisionnement en médicaments essentiels. Outre ces services de pointe, le CMI propose des infrastructures annexes stratégiques, notamment une unité de dépistage, une buanderie, une morgue et un espace de gestion des déchets médicaux.
La santé reproductive des femmes, particulièrement celles en âge de procréer et les femmes enceintes, constitue un pilier essentiel de cette initiative. Ce choix témoigne d’une volonté affirmée d’améliorer les conditions de vie des populations les plus vulnérables, tout en renforçant l’accès aux services de santé dans les zones rurales et urbaines.
Un acteur clé dans la lutte contre les épidémies
Le CMI de Kara ne se limite pas à offrir des soins en situation normale. Il est conçu comme un pôle septentrional de gestion et de traitement des maladies infectieuses à potentiel épidémique, renforçant ainsi la capacité du pays à répondre aux pandémies et aux maladies émergentes. Sa proximité avec l’Institut National d’Hygiène (INH) de Kara garantit une synergie des compétences pour des diagnostics rapides et fiables, prérequis essentiels à une prise en charge efficace.
Cette infrastructure sanitaire de référence contribue également à la formation continue des professionnels de santé, consolidant ainsi l’expertise locale face aux défis sanitaires mondiaux.
Une initiative applaudie par tous
Professionnels de santé, partenaires au développement et populations locales ont unanimement salué l’ouverture du CMI de Kara, perçu comme une avancée majeure dans l’amélioration des conditions de vie au Togo. Lors de sa visite, le Président Faure Gnassingbé a échangé avec les médecins et les chercheurs, prenant le pouls de leurs besoins pour garantir un fonctionnement optimal de cette infrastructure.
Cette démarche, empreinte d’humanité et de pragmatisme, illustre une vision globale d’un Togo en pleine mutation, où modernité et accès équitable aux services de base coexistent harmonieusement.
Inauguration Centre des Maladies Infectieuses : un pas de plus vers un système de santé inclusif
Le Centre des Maladies Infectieuses de Kara s’ajoute aussi à une série d’initiatives ambitieuses portées par le gouvernement. Parmi celles-ci, l’implantation de neuf Centres de Traitement des Épidémies (CTE) à travers le pays, qui renforcent le maillage sanitaire national.
En inaugurant ce centre, Faure Gnassingbé envoie un message fort : le Togo est résolument tourné vers un avenir dans lequel la santé devient un droit fondamental et un moteur de développement. Ce projet, qui allie innovation et solidarité, incarne l’espoir d’un pays où chaque citoyen, qu’il vive en zone rurale ou urbaine, peut prétendre à une prise en charge médicale de qualité.
Un Togo résilient et tourné vers l’avenir
En somme, dans un contexte mondial marqué par des crises sanitaires récurrentes, le CMI de Kara représente bien plus qu’une infrastructure. Il est le symbole d’un engagement politique et collectif en faveur d’un Togo plus fort, plus résilient et prêt à relever les défis de demain. Par cet acte, le Président de la République continue de tracer une voie lumineuse vers un avenir où santé et développement ne font qu’un.

Renforcer l’accès aux soins spécialisés
C’est le Secrétaire Général, Dr Kokou Marin WOTOBE, qui a ouvert les festivités en formulant les vœux de l’ensemble du personnel. Au-delà des souhaits traditionnels de santé, de paix et de prospérité, le Dr WOTOBE a tenu à saluer les récentes initiatives du ministère, notamment l’adoption d’un code vestimentaire, la lutte contre les cliniques sauvages et les projets d’amélioration des infrastructures sanitaires. Il a également appelé les chefs de service à jouer un rôle moteur dans la mise en œuvre de ces projets, en accompagnant et en encadrant leurs équipes.
Des défis à relever, des perspectives encourageantes
Le Professeur Tchin DARRE a réaffirmé l’engagement du gouvernement à investir dans le secteur de la santé et à mettre en œuvre des politiques publiques ambitieuses pour améliorer la santé de tous les
L’USP de Lovè : un projet phare
Le centre de santé de Badougbé : un maillon essentiel
Une démarche stratégique du ministre de la santé Tchin Darre
Une réponse rapide et efficace de L’OMS
Un appel à la vigilance
Un partenariat solide au service de la santé
Un partenariat fructueux
Des fondamentaux à renforcer dans CHU et CHR de Kara
Une dynamique positive pour le secteur de la santé
Un bilan positif et des défis à relever dans secteur de la santé
Des échanges fructueux pour un secteur de la santé plus performant
Centre de traitement : Impact pour les patients atteints de cancer
Le cancer et ses conséquences
Au cours de sa visite, le Ministre a rencontré les acteurs de la riposte sur le terrain, notamment les agents de santé et les autorités locales. Ces échanges ont permis de discuter des stratégies mises en œuvre et d’identifier les éventuelles difficultés rencontrées.
Dans la continuité de sa mission, le ministre DARRE s’est rendu au Centre de traitement de l’épidémie d’Agbetsiko, où il a pu observer les efforts déployés pour la prise en charge des patients. Il a exprimé sa reconnaissance envers le personnel soignant pour leur engagement sans faille et leur professionnalisme exemplaire dans la gestion de la crise. Cette visite a également été l’occasion pour le Ministre de souligner l’importance de la prévention, à travers la sensibilisation et l’amélioration des conditions sanitaires, pour prévenir de futures épidémies.
Santé Intégrée, un partenaire de choix
Accélération des travaux à l’hôpital préfectoral de Dankpen
Appel à la population de Kozah
L’intégration de la PFPP au cœur des discussions
Des engagements forts pour l’avenir
Une approche régionale unifiée pour une meilleure santé communautaire
Gouvernance et partenariats au cœur des discussions
La session inaugurale de la conférence régionale a conclu avec l’établissement d’une feuille de route stratégique pour l’unification des politiques de santé au sein de la CEDEAO. Cette initiative vise à synchroniser les efforts de santé communautaire à travers les nations membres. Les délégués ont jeté les bases pour des délibérations futures concernant les structures de financement et les systèmes de gouvernance, avec l’objectif ultime d’améliorer l’accès universel aux services de santé. Les prochaines journées seront consacrées à l’élaboration de recommandations concrètes pour renforcer les systèmes de santé communautaire au niveau régional.
En outre, cette édition regroupe 29 candidats, dont 17 de l’Université de Lomé et 12 de l’Université de Kara. De plus, ces enseignants-chercheurs, tous maîtres-assistants ou chefs de travaux pratiques, aspirent à obtenir le prestigieux titre d’agrégé.
Le concours d’agrégation du CAMES : Un enjeu majeur pour l’enseignement supérieur
Un défi pour les candidats

Renforcer la résilience du système de santé
Un plan d’action ambitieux pour éradiquer la malnutrition aiguë en Afrique
Un moment clé de cette tournée a été les échanges fructueux entre le ministre et les agents de santé. Le Professeur DARRE a dialogué avec eux sur l’importance cruciale de leur rôle et les responsabilités inhérentes à leurs fonctions.
Le périple du ministre DARRE a débuté par le Centre Hospitalier Régional (CHR) de Dapaong, suivi de près par l’école de formation paramédicale de la même ville. Les Centres de Santé et de Promotion (CHP) de Mango et de Tandjoaré, ainsi que le Centre Médico-Social (CMS) de Bombouaka, figuraient également sur la liste des établissements clés visités. L’objectif déclaré de ces rencontres est de dialoguer directement avec les professionnels de santé et de comprendre les défis spécifiques auxquels ils sont confrontés.
Le ministre DARRE a saisit l’opportunité de ces visites pour encourager le personnel à intensifier leurs efforts et leur professionnalisme. Il souligne l’importance cruciale de la qualité des soins et de l’accueil des patients pour faire progresser les standards de santé dans la région. Il considère cette tournée comme le prélude à d’importantes réformes et à des investissements stratégiques dans le secteur de la santé, espérant une amélioration concrète de la qualité de vie des habitants de la région des Savanes.
Un investissement pour l’avenir

