Une leçon de solidarité européenne : Tanja Fajon au Togo

Fraîchement débarquée des terres béninoises, la Ministre slovène des Affaires étrangères et européennes, Mme Tanja Fajon, a posé ses valises au Togo hier mardi, porteuse d’un message d’amitié et d’ambition. Représentant à la fois son pays et l’Union européenne sous la bannière de la Haute Représentante Kaja Kallas, elle s’est dite « ravie » de fouler le sol togolais, un territoire sur lequel convergent les espoirs d’une coopération féconde entre l’Europe et l’Afrique de l’Ouest. Son séjour, loin de se limiter à une simple visite protocolaire, s’inscrit en effet dans une volonté d’approfondir un partenariat jugé « essentiel » à la stabilité, à la sécurité et à l’essor économique de la région.

La ministre slovène Tanja Fajon, représentant également l'UE, se rend au Togo pour approfondir un partenariat jugé essentiel, Un partenariat aux fondations solides

Dans ses premières déclarations, Mme Fajon a exalté les liens qui unissent le Togo à l’Union européenne, un édifice bâti sur des années d’efforts conjoints. L’UE, par son soutien financier et technique, a déjà insufflé une dynamique tangible dans le paysage togolais. Ainsi, les infrastructures routières, nerfs vitaux du commerce et de la mobilité, ont bénéficié d’investissements conséquents, facilitant les échanges et désenclavant des zones jadis isolées. De même, les écoles, ces foyers de savoir où se forge l’avenir, se sont multipliées ou rénovées grâce à des projets majeurs portés par Bruxelles. Parce que ces initiatives, loin d’être de vains ornements, incarnent une solidarité concrète, dont les fruits se mesurent dans le quotidien des Togolais.

La ministre slovène Tanja Fajon, représentant également l'UE, se rend au Togo pour approfondir un partenariat jugé essentiel, Une ambition d’envergure

La Ministre slovène ne s’est toutefois pas contentée de louer le passé ; elle a tourné son regard vers des horizons plus vastes. « Explorer des pistes de coopération plus poussées » : telle est la mission qu’elle s’est assignée, une quête qui transcende les acquis pour envisager de nouveaux champs d’action. Si les détails de ces projets demeurent à esquisser, des soupçons évoquent néanmoins des domaines tels que les énergies renouvelables, la digitalisation ou encore la formation professionnelle. Le Togo, avec sa position stratégique en Afrique de l’Ouest et son dynamisme économique croissant, se prête admirablement à cette entreprise. Dans ce contexte, Mme Fajon, forte de son expérience au sein des instances européennes, semble résolue à faire de ce partenariat un levier d’élévation mutuelle.

 

Une leçon de géopolitique vivante avec Mme Fajon

Ce périple togolais offre donc une illustration limpide de la manière dont l’Union européenne tisse sa toile diplomatique. Par la voix de la Slovénie, petite nation aux grandes ambitions, l’UE démontre que la coopération n’est pas l’apanage des géants, mais une œuvre collective où chaque membre apporte sa pierre. La stabilité régionale, leitmotiv de cette visite, ne saurait se réduire à une formule creuse : elle exige en effet des routes fiables, des esprits éduqués et une prospérité partagée. En s’engageant auprès du Togo, Mme Fajon enseigne, par l’exemple, que la sécurité d’un continent se construit aussi dans les gestes d’entraide posés à des milliers de kilomètres.

La ministre slovène Tanja Fajon, représentant également l'UE, se rend au Togo pour approfondir un partenariat jugé essentiel, Un élan porteur de promesses

La présence de la Ministre au Togo ne se borne pas à un exercice de rhétorique. Elle s’accompagne, selon des sources concordantes, de rencontres avec les autorités locales, notamment le président Faure Essozimna Gnassingbé et son gouvernement. Ces échanges, tenus dans une atmosphère de cordialité, visent d’une part à cerner les besoins du pays et, d’autre part, à aligner les priorités européennes sur celles de Lomé. Des visites de terrain – peut-être une école modernisée ou un tronçon routier flambant neuf – pourraient également ponctuer son agenda, offrant à Mme Fajon un aperçu tangible des retombées de l’appui européen.

Par cette escale togolaise, Tanja Fajon inscrit finalement son nom dans une fresque plus vaste, celle d’une Europe qui, par-delà les mers, tend la main au Togo pour bâtir un avenir commun. Son appel à une coopération approfondie résonne comme une invitation à rêver grand, à imaginer un partenariat sous lequel stabilité, savoir et prospérité s’entrelacent. Reste alors à voir quels nouveaux chapitres cette visite inspirera, laissant aux générations futures le soin d’en écrire la suite.

Une main tendue aux Savanes : le Togo mobilisé face à la crise du Sahel

Dans les contrées septentrionales du Togo, où les Savanes déploient leurs vastes étendues, une initiative d’une portée humanitaire majeure a pris corps sous l’égide de la Professeure Kossiwa Zinsou-Klassou, ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et de la Promotion de la Femme. En effet, dépêchée par le président de la République, Son Excellence M. Faure Essozimna Gnassingbé, la ministre a présidé, en ce mois d’avril 2025, le lancement d’une opération d’assistance d’envergure visant à soulager les populations déplacées internes et retournées, éprouvées par les soubresauts de la crise sahélienne.

Une aide concrète pour plus de 2 400 foyers vulnérables dans les Savanes

Par ailleurs, cette démarche, d’une valeur de 100 millions de francs CFA, se traduit par la distribution de vivres et de biens non alimentaires destinés à plus de deux mille quatre cents foyers, répartis à travers les sept préfectures de la région des Savanes. Loin de se réduire à une aide matérielle, cette opération incarne un élan de fraternité, un message vibrant de compassion et d’espérance que la ministre a tenu à transmettre au nom du chef de l’État. Elle s’inscrit aussi dans une volonté affirmée de tisser un filet de sécurité autour des plus vulnérables, confrontés aux aléas d’une crise régionale aux ramifications complexes.

La ministre togolaise Kossiwa Zinsou-Klassou lance une aide de 100 millions de FCFA pour 2 400 ménages des Savanes, affirmant la solidaritéEn plus, le gouvernement togolais, par cette action, réitère son engagement indéfectible à accompagner les populations en détresse. À travers le Programme d’Urgence pour le Renforcement de la Résilience et de la Sécurité (PURS), il ambitionne de fortifier les capacités des communautés à surmonter les adversités, tout en consolidant leur ancrage dans un environnement pacifié. parallèlement, la ministre n’a pas manqué de saluer l’abnégation des forces de défense togolaises, dont le sacrifice constitue le rempart de cette entreprise solidaire. Leur dévouement, a-t-elle souligné, mérite une reconnaissance à la mesure de leur bravoure.

Vers une résilience durable face aux crises du Sahel

Cette opération, minutieusement orchestrée, ne se borne pas à répondre à l’urgence ; elle sème les germes d’une résilience durable. En conjuguant assistance immédiate et vision prospective, le Togo esquisse une réponse multidimensionnelle à la crise du Sahel, où la solidarité se mue en levier de transformation sociale. Une vidéo, diffusée à cette occasion, illustre avec éloquence cet engagement, offrant un témoignage visuel de la détermination togolaise à faire face aux défis du moment.

La ministre togolaise Kossiwa Zinsou-Klassou lance une aide de 100 millions de FCFA pour 2 400 ménages des Savanes, affirmant la solidaritéEn somme, par cette initiative dans les Savanes, le Togo, sous l’impulsion de son président et de sa ministre de l’Action sociale, fait plus que secourir ; il édifie un pont vers un avenir dans lequel la dignité et la sécurité des populations prévalent. Cette opération, par sa portée et sa symbolique, consacre la solidarité comme une boussole guidant la nation vers un horizon de paix et de cohésion.

 

Participation de Prof. Kossiwa ZINSOU-KLASSOU au GDS 2025

Le Sommet Mondial sur le Handicap 2025 (GDS 2025), co-organisé par l’Alliance Internationale du Handicap (IDA), le gouvernement allemand et le gouvernement jordanien les 2 et 3 avril 2025 à Berlin, a tenu toutes ses promesses. En effet, la ville de Berlin a vibré au rythme du Sommet mondial sur le handicap (GDS 2025), un rendez-vous planétaire dédié aux droits des personnes en situation de handicap.

À la lisière de cet événement d’envergure, une réunion d’une portée singulière a rassemblé des ministres francophones, parmi lesquels s’est distinguée la professeure Kossiwa Zinsou-Klassou, figure éminente du Togo en sa qualité de ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et de la Promotion de la Femme. Cette rencontre, empreinte d’une volonté collective, a permis de poser les jalons d’une coopération renforcée pour promouvoir l’inclusion sociale à l’échelle du continent africain.

Au GDS 2025 à Berlin, la ministre togolaise Kossiwa Zinsou-Klassou s’engage avec ses homologues francophones et l’IDA pour une inclusionRencontre avec les ministres francophones à GDS 2025

Au cours de cette assemblée, les échanges ont révélé une ambition limpide : identifier les entraves communes qui freinent l’épanouissement des personnes handicapées, tout en puisant dans le vivier des expériences nationales pour esquisser des réponses pragmatiques. Les discussions, d’une richesse indéniable, ont mis en lumière des initiatives prometteuses, mais aussi les lacunes persistantes, notamment en matière d’accès aux services essentiels et de reconnaissance des droits fondamentaux. La ministre togolaise, porteuse d’une vision résolument progressiste, a réitéré l’engagement inébranlable de son pays à s’inscrire dans cette dynamique régionale. Le Togo, par ses politiques inclusives, aspire à devenir un modèle, non pas en s’érigeant en parangon, mais en contribuant humblement à un édifice continental plus équitable.

Échange avec M. Nawaf Kabbara

Par ailleurs, un aparté fructueux avec M. Nawaf Kabbara, président de l’Alliance internationale du handicap (IDA), a enrichi cette séquence berlinoise. Cet échange, d’une densité remarquable, a porté sur la nécessité impérieuse d’amplifier la promotion des droits des personnes handicapées à une échelle globale. Les deux interlocuteurs ont convergé vers une conviction partagée : l’inclusion véritable ne saurait se borner à des déclarations d’intention ; elle exige une action concertée, pérenne et ancrée dans les réalités locales. Cette rencontre a ainsi cristallisé une aspiration commune à transcender les frontières pour faire advenir une société dans laquelle nul ne soit relégué à la marge.

L’initiative, baptisée TogoSolidaire sous l’impulsion de la ministre Zinsou-Klassou, illustre cette détermination. Elle incarne un élan vers un changement tangible, où la solidarité n’est pas un vain mot, mais un levier pour redessiner les contours d’une Afrique plus juste. Les engagements pris à Berlin, loin de s’évanouir dans le néant des promesses, pourraient bien engendrer un réseau africain voué à l’inclusion, dont les premiers contours ont émergé lors du GDS 2025.

Au GDS 2025 à Berlin, la ministre togolaise Kossiwa Zinsou-Klassou s’engage avec ses homologues francophones et l’IDA pour une inclusionAnalyse et implications

Le GDS 2025 a offert une plateforme pour renforcer les engagements mondiaux, et la participation togolaise a été marquée par une volonté de coopération et d’innovation. La rencontre avec les ministres francophones souligne l’importance de la solidarité régionale, tandis que l’échange avec M. Kabbara met en lumière la dimension internationale des efforts du Togo. Ces initiatives collectives sont essentielles pour édifier une société dans laquelle les personnes handicapées peuvent pleinement participer, en ligne avec le principe « rien sur nous sans nous » promu par le sommet.

En somme, la participation de la Professeure Kossiwa ZINSOU-KLASSOU au GDS 2025 illustre l’engagement du Togo à promouvoir l’inclusion des personnes handicapées à travers des dialogues régionaux et internationaux. Loin de se cantonner à un simple conciliabule, cette rencontre francophone, magnifiée par l’échange avec l’IDA, dessine les contours d’un avenir dans lequel l’inclusion cesse d’être une chimère pour devenir une réalité palpable. Le Togo, par la voix de sa ministre, s’affirme comme un acteur résolu, prêt à conjuguer ses efforts avec ceux de ses pairs pour que l’Afrique devienne un creuset d’égalité et de dignité.

Un horizon de leadership féminin : Victoire Dogbé et Séfora Kodjo esquissent l’avenir du FILF 2025 au Togo

C’est dans le cadre solennel de la Primature à Lomé que la Première Ministre Victoire Dogbé a rencontré, le 4 avril, Mme Séfora Kodjo, présidente de la Fondation SEPHIS, pour une audience d’une importance particulière. En effet, cet échange a jeté les bases d’un événement d’envergure : la 7ᵉ édition du Forum International du Leadership Féminin (FILF), prévu pour octobre 2025 au Togo. Animées d’un sentiment à la fois solennel et dynamique, les deux femmes ont examiné les détails d’une initiative appelée à jouer un rôle central dans l’inclusion économique des femmes, tant au Togo qu’à travers le monde.

Le Togo se prépare à accueillir le Forum International du Leadership Féminin 2025, affirmant son engagement en faveur de l’inclusionLe Togo, terre d’accueil pour le leadership féminin

En plus, la rencontre s’est teintée d’une ambition limpide. Victoire Dogbé, figure d’autorité et de détermination, a salué le choix du Togo comme terre d’accueil de ce rendez-vous prestigieux. Face à elle, Séfora Kodjo, dont la Fondation SEPHIS porte depuis des années la cause du leadership féminin, a déroulé une vision audacieuse : faire du FILF 2025 un moteur d’innovation où les idées novatrices et les expériences vécues se fusionnent pour redessiner le rôle des femmes dans l’économie. « Ce forum sera une fenêtre ouverte sur les possibles », a-t-elle affirmé, ses paroles résonnant comme une invitation à transcender les barrières encore trop présentes.

Les discussions, d’une richesse rare, ont permis d’esquisser les grandes lignes de l’événement. Au cœur des débats : l’inclusion économique, ce levier essentiel pour libérer le potentiel des femmes togolaises et africaines. Accès accru au financement, formation aux compétences entrepreneuriales, valorisation des initiatives locales : autant de pistes évoquées pour faire de ce forum un catalyseur de changements durables. La Première Ministre, avec une conviction palpable, a réaffirmé l’engagement de son gouvernement à soutenir cette dynamique, voyant dans le FILF une opportunité de conjuguer leadership féminin et progrès collectif.

FILF 2025 : une synergie entre action publique et société civile

L’audience n’a pas seulement été un moment de planification ; elle a révélé une synergie profonde entre deux femmes portées par une même flamme. Là où Victoire Dogbé incarne la puissance de l’action publique, Séfora Kodjo apporte l’élan d’une société civile déterminée à bousculer les paradigmes. Ensemble, elles ont dessiné les contours d’un octobre 2025 où Lomé vibrerait au rythme des voix féminines – entrepreneuses, innovatrices, rêveuses – venues du Togo et d’ailleurs pour partager leurs combats et leurs triomphes.

En somme, ce tête-à-tête, s’il annonce une célébration à venir, soulève aussi une réflexion plus vaste. Le FILF 2025, avec ses promesses d’inclusion et d’émancipation, saura-t-il tenir ses engagements dans un monde dans lequel les inégalités économiques restent tenaces ? Le Togo, en accueillant ce forum, s’affirme comme un éclaireur ; mais la lumière qu’il projette devra-t-elle se frayer un chemin à travers les ombres persistantes des défis structurels ? L’élan est perceptible, tout comme l’espoir ; l’enjeu est de savoir si cette ambition portera ses fruits pour devenir un héritage concret pour l’avenir.

 

Victoire Dogbé et l’UNICEF Togo tracent une voie ambitieuse pour les enfants

Lomé a été le théâtre d’un tête-à-tête empreint de gravité et d’espérance entre Victoire Dogbé, Première Ministre et cheffe du gouvernement de la République togolaise, et Dr Corinne Erinna Dia, représentante résidente de l’UNICEF Togo. En effet, la rencontre de ce lundi, bien plus qu’un simple échange protocolaire, a cristallisé une volonté commune : ériger les droits des enfants en pilier inaltérable du développement national. Dans un climat de confiance mutuelle, les deux figures ont réaffirmé la vigueur d’un partenariat qui, loin de s’essouffler, se veut le socle d’un avenir plus équitable pour la jeunesse togolaise.

Le Togo et l’UNICEF renforcent leur partenariat pour garantir les droits des enfants, avec des actions concrètes en faveur de l’éducation, Une détermination gouvernementale sans faille en faveurs des enfants

Dès les premiers instants, l’entretien s’est distingué par sa densité. Autour d’une table sur laquelle les mots pesaient autant que les actes, Victoire Dogbé a mis en lumière l’engagement indéfectible de son gouvernement à faire de chaque enfant un acteur à part entière de la société. Éducation accessible à tous, protection contre les violences, soins de santé prodigués sans distinction : ces priorités, martelées avec une fermeté sereine, ont trouvé un écho vibrant chez Dr Dia. Cette dernière, forte de l’expertise de l’UNICEF, a salué les efforts togolais tout en soulignant l’urgence d’une collaboration encore plus étroite pour combler les interstices dans lesquels persistent les fragilités.

Par ailleurs, ce dialogue, d’une rare limpidité, a permis de poser les jalons d’une coopération renforcée. Là où certains auraient vu une formalité, les deux femmes ont esquissé une feuille de route audacieuse. Il ne s’agissait pas seulement de célébrer les acquis – écoles construites dans les contrées reculées, campagnes de vaccination étendues, dispositifs de lutte contre l’exploitation infantile – mais de projeter un horizon dans lequel aucun enfant ne serait relégué aux marges de l’attention collective. « Garantir les droits de chaque enfant, c’est semer les graines d’une nation prospère et harmonieuse », a déclaré la Première Ministre, ses paroles résonnant comme un serment gravé dans le marbre.

Le Togo et l’UNICEF renforcent leur partenariat pour garantir les droits des enfants, avec des actions concrètes en faveur de l’éducation, Innovation et engagement : les clés de l’UNICEF pour le Togo

Dr Corinne Erinna Dia, avec une éloquence teintée de pragmatisme, a quant à elle insisté sur la nécessité d’innover. Financements ciblés pour les zones rurales, renforcement des capacités des communautés locales, intégration des nouvelles technologies pour recenser et protéger les plus vulnérables : ses propositions ont enrichi un échange déjà foisonnant. Ensemble, elles ont esquissé un pacte implicite, celui d’une synergie durable entre l’État togolais et l’UNICEF, où les ambitions ne se diluent pas dans les méandres des contingences.

Cette rencontre, si elle s’inscrit dans une continuité, marque pourtant un tournant. Elle révèle un Togo décidé à ne plus seulement répondre aux besoins immédiats, mais à anticiper les défis de demain. Les rires des enfants dans les cours d’écoles, les regards confiants des mères dans les dispensaires, les pas assurés des jeunes sur le chemin de l’autonomie : autant d’images que ce partenariat aspire à multiplier, comme un tableau vivant d’une société en mutation.

Cependant, cette alliance, si prometteuse soit-elle, saura-t-elle surmonter les écueils d’un monde dans lequel les ressources s’amenuisent et les priorités se disputent ? Le vœu d’un Togo où chaque enfant grandit dans la dignité est une flamme vive ; mais son éclat, dans l’ombre des incertitudes, demeure un défi à relever.

Le Togo au cœur de l’inclusion mondiale : une voix forte au 3e Sommet sur le handicap à Berlin

Lomé,7 avril 2025 – Berlin s’est érigée en carrefour des aspirations mondiales pour l’inclusion lors du 3ᵉ Sommet mondial sur le handicap (GDS 2025). Dans ce creuset d’idées et d’engagements, le Togo, représenté par la ministre de l’Action sociale, de la Solidarité et de la Promotion de la Femme, Prof. Kossiwa Zinsou-Klassou, a porté haut une vision d’équité et de dignité pour tous lors de l’événement tenu les 2 et 3 avril derniers. Sous la bannière d’une délégation résolue, le pays a dévoilé ses avancées et réaffirmé une ambition audacieuse : faire de l’inclusion non pas un vœu pieux, mais une réalité tangible, façonnée par des politiques concrètes et une volonté politique inébranlable.

Le Togo affirme son engagement en faveur de l’inclusion lors du Sommet mondial sur le handicap 2025 à Berlin, Une prise de parole marquante au sommet

Dans l’enceinte vibrante du sommet, où se sont croisées des voix venues des quatre coins du globe, la ministre Zinsou-Klassou a captivé l’auditoire en exposant les jalons posés par le Togo sous l’impulsion du président Faure Essozimna Gnassingbé. Subventions ciblées pour les personnes en situation de handicap, éducation inclusive désormais ancrée dans les salles de classe, insertion professionnelle soutenue par des dispositifs innovants, accès à une santé non contributive : ces mesures, loin d’être de simples promesses, dessinent les contours d’une société dans laquelle la différence n’est plus un fardeau, mais une richesse à valoriser. « Le Togo s’attèle à bâtir un édifice social où chaque individu, quelles que soient ses particularités, peut exercer ses droits et contribuer à l’essor collectif », a-t-elle déclaré avec une conviction qui a résonné dans l’assemblée.

Le Togo affirme son engagement en faveur de l’inclusion lors du Sommet mondial sur le handicap 2025 à Berlin, Un engagement mondial scellé dans la Déclaration d’Amman-Berlin

Le sommet, co-organisé par des figures internationales telles que Svenja Schulze et Bärbel Kofler, a également été le théâtre d’échanges féconds sur des enjeux cruciaux : l’accès à l’emploi, les financements innovants pour l’inclusion et la nécessité d’une responsabilité partagée à l’échelle planétaire. La Déclaration d’Amman-Berlin, adoptée à l’issue des débats, a scellé un pacte collectif pour accélérer l’inclusion mondiale, un texte auquel le Togo a adhéré avec ferveur. Ce document, plus qu’un simple manifeste, engage les nations à transformer leurs systèmes pour que nul ne soit laissé à la lisière du progrès.

Le Togo conjugue vision et action.

Loin des discours convenus, la présence togolaise à Berlin s’est distinguée par sa capacité à conjuguer vision et action. Les initiatives présentées par la ministre ont suscité l’admiration, non pas pour leur éclat, mais pour leur ancrage dans une réalité quotidienne. Des écoles dans lesquelles les enfants en situation de handicap apprennent aux côtés de leurs pairs, des ateliers dans lesquels des mains autrefois marginalisées façonnent désormais leur avenir, des centres de santé où l’accès aux soins ne dépend plus d’un portefeuille : autant de fragments d’un Togo qui, pas à pas, redessine ses contours pour embrasser tous ses citoyens.

Entre avancées et défis, un avenir à concrétiser

Pourtant, au milieu des applaudissements et des engagements solennels, une interrogation persiste, comme une brise discrète traversant l’effervescence du sommet. Si les avancées sont indéniables, la route vers une inclusion véritable est-elle exempte d’embûches ? Les promesses scellées à Berlin sauront-elles s’incarner durablement dans les vies de ceux qui, encore aujourd’hui, luttent pour être vus et entendus ? Le Togo, fort de sa détermination, a planté une graine d’espoir ; mais son éclosion, dans un monde aux équilibres fragiles, reste une œuvre à parachever.

Guérin-Kouka : le Togo réaffirme son engagement pour les femmes

Guérin-Kouka, 7 avril 2025 – La petite commune de Guérin-Kouka, située au cœur des terres luxuriantes du nord du Togo, s’est ornée de teintes vives et d’une vitalité contagieuse le 4 avril dernier pour célébrer le point culminant de la Journée Internationale des Femmes (JIF) 2025.  En effet, sous un soleil généreux, cet événement a transcendé les modestes festivités pour devenir une tribune vibrante où se sont conjugués les idéaux d’équité, de dignité et d’autonomisation des femmes togolaises. Orchestrée sous l’égide du président Faure Essozimna Gnassingbé, cette journée a dévoilé une ambition limpide : ériger un socle solide pour une société dans laquelle la voix des femmes résonne avec force et leur place s’affirme sans ambages.

Célébration vibrante de la JIF 2025 à Guérin-Kouka : le Togo, sous l’impulsion de Faure Gnassingbé, conjugue actions concrètes Un réveil festif aux accents militants

Par ailleurs, dès les premières lueurs de l’aube, Guérin-Kouka s’est animée d’un souffle particulier. Les ruelles, d’ordinaire paisibles, ont vibré au son des tam-tams et des mélodies entonnées par des groupes de femmes drapées dans des pagnes aux motifs éclatants. D’ailleurs, ces chants, mêlés de danses gracieuses, n’étaient pas de simples ornements festifs ; ils portaient en leur cœur une revendication profonde, celle d’une reconnaissance pleine et entière des droits féminins. Cette effervescence a culminé lors d’une cérémonie empreinte de solennité, où des gestes concrets ont ponctué les discours enflammés.

Des actes concrets pour un avenir inclusif à Guérin-Kouka

Parmi les initiatives dévoilées, l’attribution de jugements supplétifs à 300 femmes a marqué les esprits. Ces documents, tenant lieu d’actes de naissance, ne sont pas de simples parchemins administratifs ; ils représentent ainsi une clé ouvrant les portes de la citoyenneté effective, permettant à ces femmes d’accéder à des droits fondamentaux trop longtemps hors de portée. Mieux encore, l’annonce d’un accompagnement prévu pour plus de 1 000 femmes à travers le pays a suscité une vague d’espoir. Cet engagement, porté avec fermeté par le gouvernement, illustre aussi une volonté de tisser un filet de solidarité nationale, où l’autonomisation féminine devient un levier de développement collectif.

Sous le regard attentif des autorités locales et nationales, les femmes de Guérin-Kouka ont offert une démonstration éloquente de leur résilience. Leur leadership, souvent forgé dans l’ombre des défis quotidiens, s’est révélé au grand jour, éclipsant les stéréotypes tenaces. Entre les mains de ces héroïnes discrètes, la JIF 2025 n’a pas seulement été une célébration, mais une affirmation : celle d’une force vive prête à remodeler l’avenir du Togo. Les échanges, empreints de ferveur, ont oscillé entre témoignages poignants et promesses d’un demain plus équitable, donnant à cette journée une saveur d’éveil collectif.

Célébration vibrante de la JIF 2025 à Guérin-Kouka : le Togo, sous l’impulsion de Faure Gnassingbé, conjugue actions concrètes Une vision présidentielle tournée vers l’égalité

L’impulsion donnée par le président Gnassingbé lors de cet événement ne saurait être sous-estimée. En plaçant les femmes au cœur de sa vision pour le Togo, il dessine les contours d’une nation dans laquelle l’égalité de genre n’est plus une chimère, mais une réalité palpable. Les actions entreprises (de l’accès à l’identité légale et à l’accompagnement économique) traduisent une stratégie réfléchie, visant à désamorcer les obstacles structurels qui entravent encore trop de parcours féminins.

JIF 2025 : Une impulsion durable ou un feu de paille ?

Pourtant, au-delà des avancées saluées, une question demeure en suspens, comme une note tenue dans l’air vibrant de Guérin-Kouka : jusqu’où cette dynamique pourra-t-elle s’étendre ? Si les fondations sont posées avec audace, le chemin reste jonché d’incertitudes. La ferveur de cette journée saura-t-elle irriguer durablement les terres togolaises, ou s’étiolera-t-elle face aux vents contraires des traditions et des inégalités persistantes ?

Samuel Munzele Maimbo : une odyssée africaine au service d’une vision ambitieuse

Du 25 mars au 1ᵉʳ avril 2025, Samuel Munzele Maimbo, aspirant à la présidence de la Banque africaine de développement (BAD), a sillonné le continent, de Lomé à Rabat, pour dévoiler une ambition aussi claire qu’exaltante. Ce périple, bien plus qu’une campagne, s’est révélé une immersion édifiante dans les dynamiques qui sculptent l’avenir africain, porté par des rencontres empreintes de ferveur et des constats lumineux.

Samuel Munzele Maimbo, candidat à la présidence de la BAD, partage une vision optimiste pour l’Afrique, inspirée par son périple Le continent, miroir de ses promesses

À chaque escale, une leçon s’est imposée avec une netteté saisissante. À Lomé, le Togo déploie l’audace numérique pour métamorphoser ses services publics, offrant un modèle dans lequel la technologie devient levier d’efficacité. Au Cameroun, les chaînes de valeur agricoles se dressent en passerelles vers des lendemains prospères, révélant un potentiel économique prêt à éclore. Le Sénégal, lui, brandit l’étendard des énergies renouvelables, prouvant que l’innovation verte peut redessiner l’horizon énergétique. Enfin, le Maroc érige ses écosystèmes industriels en bastions créateurs d’emplois dignes, témoignage d’une modernité maîtrisée. Ces étapes, autant de jalons, illustrent une Afrique qui ne se contente pas de rêver son avenir, mais le façonne avec ardeur.

L’humain, cœur battant de l’Afrique

Au fil des dialogues et des salutations échangées, Samuel Munzele Maimbo a puisé une certitude inébranlable : la véritable fortune du continent réside dans ses âmes. « L’ingéniosité, la ténacité et la volonté que j’ai contemplées m’éblouissent », confie-t-il, émerveillé par cette mosaïque de talents. Ces qualités, loin d’être de vains ornements, constituent le socle d’une transformation profonde, portée par des femmes et des hommes qui, face aux obstacles, opposent des réponses façonnées sur mesure. Les entraves existent, nul ne le nie, mais les remèdes, nés du génie africain, brillent d’une réalité tangible.

Samuel Munzele Maimbo, candidat à la présidence de la BAD, partage une vision optimiste pour l’Afrique, inspirée par son périple Samuel Munzele Maimbo : une BAD au service des possibles

Fort de ces observations, le candidat envisage une Banque africaine de développement réinventée, gardienne des aspirations continentales. Par ailleurs, son projet est d’amplifier ces initiatives locales, d’en faire des phares pour guider l’Afrique vers une prospérité partagée. Soutenir l’innovation là où elle germe, catalyser les investissements là où ils fructifient, tel est le dessein qui l’anime. « Les solutions sont là, conçues par nous, pour nous », martèle-t-il, esquissant une institution qui ne domine pas, mais accompagne, avec une écoute aussi attentive qu’éclairée.

Un futur à portée de main

Ce voyage, riche d’enseignements, laisse entrevoir une Afrique au seuil d’une métamorphose éclatante. Samuel Munzele Maimbo y voit une invitation à l’action, un appel à fédérer les énergies pour que ces éclats d’excellence deviennent la norme. La route vers la présidence de la BAD s’annonce exigeante, mais une question persiste, suspendue comme une brise incertaine : saura-t-il, une fois aux commandes, transformer ces promesses en actes durables ? Le continent, impatient, guette la réponse.

 

L’Afrique à l’aube de l’Intelligence artificielle : une vision togolaise éclaire Kigali

Hier, Kigali, capitale rwandaise, s’est muée en un creuset d’idées novatrices lors du premier Sommet mondial sur l’Intelligence artificielle en Afrique. En effet, parmi les hôtes de marque, le Président togolais, Faure Essozimna Gnassingbé, a captivé l’assemblée en déroulant une vision lucide et pragmatique pour ancrer l’IA au cœur du développement continental. Sous le thème « L’IA et le dividende démographique de l’Afrique », ce conclave a réuni chefs d’État, pionniers technologiques et érudits, tous animés par l’élan de réinventer les perspectives économiques africaines.

À Kigali, le Président togolais Faure Essozimna Gnassingbé dévoile une vision stratégique et inclusive de l’Intelligence artificielle L’Intelligence artificielle : une stratégie ciselée pour un continent en devenir

Dans une allocution empreinte de gravité, le chef de l’État togolais a exhorté les nations africaines à embrasser une approche réfléchie et mesurée. « Privilégions une stratégie affûtée, en harmonie avec nos ressources véritables », a-t-il déclaré, désignant la santé, l’éducation et l’agriculture comme des champs fertiles où l’IA peut féconder des avancées tangibles. Loin des chimères, il invite à une sélection judicieuse des priorités, afin que chaque effort déploie un effet démultiplicateur au profit des populations. Ainsi, l’Afrique, riche de sa jeunesse foisonnante et de ses trésors culturels, pourrait s’ériger en un foyer d’innovation, non seulement pour elle-même, mais pour le monde entier.

La souveraineté numérique comme rempart

Face à un monde dans lequel la fracture technologique s’élargit, le Président Gnassingbé a brandi l’étendard de la souveraineté numérique. « Nos données, nos infrastructures, nos normes : voilà les piliers d’une autonomie conquérante », a-t-il martelé. Point de quête illusoire pour rivaliser avec les géants de l’IA, mais une volonté ferme d’adapter des solutions sobres et accessibles aux réalités africaines. Par ailleurs, cette ambition, ancrée dans la protection des atouts stratégiques du continent – sa démographie vigoureuse, ses ressources rares –, dessine un avenir où l’Afrique ne se contente plus d’être spectatrice, mais actrice de son destin numérique.

L’équité, boussole d’une révolution inclusive

Fidèle à son engagement pour l’inclusion, le dirigeant togolais a plaidé pour une IA au service de tous. « Que cette révolution profite aux humbles travailleurs des campagnes comme aux citadins connectés », a-t-il insisté, soulignant l’urgence de formations ciblées et de solutions taillées pour les terroirs. Devant un auditoire d’investisseurs et d’innovateurs, il a réaffirmé la détermination du Togo à œuvrer dans une dynamique collective, faisant de l’Intelligence artificielle un levier pour un essor équitable et durable, en résonance avec les aspirations profondes du continent.

Un écho continental et des perspectives en suspens

Accueilli avec chaleur par son homologue rwandais, Paul Kagamé, le Président Gnassingbé a vu sa vision saluée par le nouveau président de la Commission de l’Union africaine, Mahamoud Ali Youssouf, qui y décèle une feuille de route progressive et pragmatique. Ce sommet, ponctué d’un panel de haut vol, a planté les germes d’une réflexion collective. Mais la moisson de ces idées audacieuses portera-t-elle ses fruits ? L’Afrique saura-t-elle, sous l’impulsion de tels éclaireurs, réécrire son rôle dans la grande fresque technologique mondiale ? Le chemin s’ouvre, et l’histoire attend ses artisans.

Lomé s’illumine pour le Gala des Entrepreneurs : une 3ᵉ édition prometteuse

Le 10 mai 2025, la capitale togolaise, Lomé, se métamorphosera en un carrefour incandescent de l’ambition et de l’innovation. En effet, L’Hôtel Sarakawa, écrin de prestige, accueillera la troisième édition du Gala des Entrepreneurs, un rendez-vous orchestré avec brio par Simera Corporation sous l’égide de Torrès Blaise Amededjisso. Près de 500 âmes audacieuses – entrepreneurs, investisseurs et décideurs – convergeront autour d’un dîner somptueux, prêt à faire jaillir des étincelles d’opportunités.

 Gala des Entrepreneurs : une agora vibrante pour les bâtisseurs d’avenir

Loin de se réduire à une simple agape, ce gala se dresse comme un phare éclatant, guidant les esprits entreprenants vers de nouveaux horizons. Ses ambitions fusent avec une clarté irrésistible : tisser un réseau palpitant où les idées s’entrelacent, offrir une vitrine éclatante aux entreprises en quête de lumière, stimuler des alliances commerciales entre les forces locales et les vents internationaux, et insuffler ainsi une vigueur inédite à l’investissement togolais et africain. Chaque instant de cette soirée s’annonce comme une promesse d’élan, un creuset dans lequel les visions se forgent et les destins se croisent.

Une nuit pour oser et conquérir

Dans l’enceinte feutrée de l’Hôtel Sarakawa, les convives ne se contenteront pas de savourer un repas d’exception. Ils plongeront également dans un tourbillon d’échanges stratégiques, où les poignées de main scelleront des partenariats naissants et les regards échangés dévoileront aussi des opportunités insoupçonnées. Ce sera le théâtre idéal pour partager des récits de triomphes, sonder les perspectives d’affaires et s’inspirer des parcours qui défient l’ordinaire. Par ailleurs, Simera Corporation, fidèle à sa mission, fait de cet événement un levier puissant pour propulser l’entrepreneuriat togolais sous les feux de la rampe.

Un horizon qui appelle l’audace

À mesure que la date approche, l’excitation monte, tel un feu qui couve sous la braise. Le Gala des Entrepreneurs s’érige en une célébration de l’audace, un appel vibrant à ceux qui osent bâtir demain. Mais quel sera l’écho de cette nuit étoilée ? Les graines semées dans l’effervescence des discussions germeront-elles en projets d’envergure ? Lomé, ce 10 mai 2025, pourrait bien devenir le point de départ d’une épopée économique dont les contours restent à dessiner.