INFA-Tové 2025 : L’agriculture togolaise recrute ses futurs leaders

Togo : l’INFA de Tové ouvre ses portes aux futurs leaders de l’agriculture moderne

 

Lomé, 30 juillet 2025 – Dans un élan pour façonner l’avenir de l’agriculture togolaise, le gouvernement a donné le coup d’envoi, la semaine dernière, d’un concours national d’entrée à l’Institut National de Formation Agricole (INFA) de Tové. Prévu pour les 16 et 17 septembre 2025, cet événement marque une étape décisive dans la formation des techniciens et ingénieurs qui porteront la vision d’une agriculture durable et compétitive au Togo.

 

Concours national : Votre passeport pour l’agriculture de demain 

 

Ce concours, organisé conjointement par les ministères de l’Agriculture, de l’Enseignement Supérieur et de l’Enseignement Technique, s’adresse aux Togolais âgés de 18 à 28 ans au 1ᵉʳ janvier 2026. Les épreuves se tiendront par ailleurs dans cinq centres à travers le pays : Lomé (Lycée d’Enseignement Technique et Professionnel d’Adidogomé), Kpalimé (INFA de Tové), Sokodé (Lycée Technique), Kara et Dapaong (Centres Régionaux d’Enseignement Technique et de Formation Professionnelle). Cette répartition géographique garantit une accessibilité nationale, permettant aux jeunes de toutes les régions de tenter leur chance.

L’INFA de Tové, véritable pépinière de talents agricoles, propose deux cycles de formation : le Baccalauréat Professionnel Agricole (CBPA), avec 30 places, et la Licence Professionnelle Agricole (CLPA), avec 35 places. Ces programmes, d’une durée de trois ans, couvrent une dizaine de filières stratégiques. Pour le premier cycle, on retrouve l’agropastoralisme, la santé animale, la foresterie et la gestion durable des terres, ainsi que l’agroéquipement. Le second cycle propose des spécialités en agriculture, agroalimentaire, production halieutique, gestion environnementale, machinisme agricole et aménagements hydro-agricoles. Ces spécialités répondent aux besoins croissants d’une agriculture moderne, en phase avec les défis du développement durable et de la sécurité alimentaire.

 

Modalités d’accès : Tout savoir pour saisir cette chance 

 

Pour postuler, les candidats au cycle CBPA doivent être titulaires du BEPC, tandis que ceux visant le CLPA doivent détenir un baccalauréat de deuxième partie (séries C, D, E, F, Ti) ou un BT en agropastoralisme, santé animale, mécanique ou électricité. Les épreuves, qui incluent le français, les sciences physiques, les sciences de la vie et de la terre, ainsi que la construction mécanique pour certaines spécialités, exigent une préparation rigoureuse. À titre d’exemple, en 2024, 699 candidats, dont 23,89 % de filles, avaient participé au concours, signe d’un engouement croissant pour ces formations.

De plus, les dossiers de candidature doivent être déposés avant le vendredi 22 août 2025, à 17h. Ils peuvent être remis dans les Directions régionales de l’Agriculture, de l’Élevage et du Développement rural (DRAEDR) de Dapaong, Kara, Sokodé, Atakpamé et Tsévié, à l’INFA de Tové à Kpalimé, ou encore à la Direction de l’Entrepreneuriat et du Financement Agricole (DEFA/MAEDR) à Lomé. Les pièces requises incluent un extrait d’acte de naissance légalisé, un certificat de nationalité togolaise, un certificat médical récent, un extrait de casier judiciaire, une photocopie légalisée du diplôme requis, une fiche d’inscription et une quittance de 10 000 FCFA pour les frais d’inscription.

 

L’INFA de Tové : Le creuset de l’excellence agricole togolaise

 

Fondé en 1956 sous le nom de Centre d’Apprentissage Agricole, l’INFA de Tové s’est transformé au fil des décennies pour devenir un pilier de la formation agricole au Togo. Réorganisé par le décret nᵒ 2019-102/PR du 24 juillet 2019, l’institut s’aligne sur la nouvelle politique agricole du pays, portée par le Plan National de Développement (PND 2018-2022) et prolongée dans les stratégies actuelles. Cette réorientation vise à former des techniciens et ingénieurs capables de répondre aux exigences d’une agriculture innovante, durable et génératrice d’emplois.

Dans cette dynamique, l’INFA envisage également d’introduire des cours en ligne pour élargir l’accès à ses formations. Cette initiative, amorcée dès 2020 avec des classes virtuelles pour faire face à la pandémie de Covid-19, permettra aux apprenants, même dans les zones reculées, de bénéficier d’un enseignement de qualité. « L’objectif est clair : démocratiser l’accès à la formation agricole pour bâtir une économie rurale forte et inclusive », explique Dr Constant Kokouvi Soedji, directeur général de l’INFA.

 

Les diplômés de l’INFA : Des acteurs clés pour l’essor rural

 

Avec environ 60 % des emplois togolais liés au secteur agricole, selon le ministère de l’Enseignement Technique, l’INFA de Tové joue un rôle stratégique dans la transformation de l’économie nationale. Les formations préparent les diplômés – qu’ils deviennent techniciens polyvalents, ingénieurs en machinisme agricole ou experts en gestion environnementale – à intégrer une grande diversité d’institutions : ONG, organismes de développement, chambres d’agriculture ou centres de recherche. Certains choisissent même l’entrepreneuriat, lançant leurs propres exploitations ou ateliers, contribuant ainsi à la création de richesses et d’emplois.

En 2025, l’institut a d’ailleurs été distingué lors des AGRI AWARDS pour son excellence dans la formation agricole, une reconnaissance qui souligne son impact croissant. Alors que le Togo ambitionne de devenir un hub agricole régional, l’INFA de Tové se positionne comme un moteur de cette transformation, formant une nouvelle génération de leaders prêts à relever les défis de l’agriculture moderne.

 

Un appel à la jeunesse togolaise : Engagez-vous pour l’avenir 

En somme, ce rendez-vous des 16 et 17 septembre 2025 offre une chance unique aux jeunes Togolais de contribuer à la modernisation du secteur agricole, un pilier de l’économie nationale. Dans un pays où la jeunesse représente une force vive, l’INFA de Tové s’impose comme un tremplin incontournable. C’est une opportunité unique pour façonner non seulement leur propre avenir, mais aussi celui d’un Togo prospère, durable et autosuffisant.

Lomé trace la voie : l’Afrique s’unit pour la santé de ses adolescents

Lomé, carrefour de l’avenir des adolescents : l’Afrique de l’Ouest et du Centre s’engage pour la santé des adolescents

Lomé, 30 juillet 2025 – Un vent d’espoir souffle sur la capitale togolaise. Depuis le 28 juillet, des représentants de 24 pays d’Afrique de l’Ouest et du Centre sont réunis au Palais des Congrès de Lomé. L’objectif ? Poser les bases d’un avenir plus sain pour les adolescents du continent. Au cœur de cette rencontre historique : la validation d’un cadre régional de redevabilité et le déploiement du guide actualisé Global Accelerated Action for the Health of Adolescents (AA-HA 2.0). Un cri de ralliement résonne : la santé, l’éducation et le bien-être des jeunes exigent une action collective, et c’est maintenant !

24 pays d’Afrique valident un cadre de redevabilité et adoptent le guide AA-HA 2.0 pour bâtir un avenir plus sain pour les adolescents

Sommet crucial à Lomé : L’avenir de la jeunesse africaine en jeu

 

Ce sommet d’envergure, organisé sous l’égide de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et de l’UNICEF, avec le soutien de l’Organisation Ouest-Africaine de la Santé (OOAS) et d’autres partenaires, rassemble des délégations du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, du Sénégal, du Mali, du Nigeria, du Tchad, et bien d’autres. L’objectif est clair : renforcer les politiques de santé publique pour les 10-19 ans. En effet, cette population représente près de 23 % des 560 millions d’habitants de la région, selon les estimations de l’UNICEF. Face à une démographie aussi jeune, investir dans la santé des adolescents est une priorité stratégique pour bâtir des sociétés prospères et équitables.

Par ailleurs, le cadre régional de redevabilité, en cours de validation, vise à harmoniser les efforts des pays pour suivre et évaluer les progrès en matière de santé des adolescents. Ce mécanisme, inspiré des Objectifs de Développement Durable (ODD), permettra de collecter des données fiables sur des indicateurs clés : malnutrition, santé mentale, infections sexuellement transmissibles, grossesses précoces et accès aux soins. Simultanément, le guide AA-HA 2.0, mis à jour en 2023 par l’OMS, offre aux gouvernements un outil pratique pour concevoir des programmes adaptés aux besoins spécifiques des jeunes, en tenant compte des réalités locales.

Les défis titanesques des adolescents : Grossesses précoces, santé mentale et éducation menacée

 

En Afrique de l’Ouest et du Centre, les adolescents font face à des obstacles de taille. Selon un rapport de l’OMS, la région concentre 1,2 million de décès annuels d’adolescents, souvent dus à des causes évitables comme les grossesses précoces, qui restent la première cause de mortalité chez les filles de 15 à 19 ans. De surcroît, les troubles mentaux, tels que la dépression et l’anxiété, touchent un nombre croissant de jeunes, exacerbés par la pauvreté, l’insécurité et les pressions sociales. Au Togo, par exemple, seulement 15 % des adolescents ont accès à des services de santé mentale, selon une étude de 2024.

L’éducation, un autre pilier du bien-être, est également menacée. Ainsi, plus de 272 000 enfants au Tchad sont privés de scolarité en raison des conflits, tandis qu’au Nigeria, les attaques contre les écoles entravent l’accès à l’apprentissage. Le guide AA-HA 2.0 insiste sur une approche multisectorielle, intégrant santé, éducation et protection sociale, pour répondre à ces défis complexes. À Lomé, les délégués explorent des solutions concrètes, telles que l’intégration de programmes de santé scolaire et la formation de conseillers en santé mentale dans les communautés.

Le Togo, fer de lance de la santé juvénile

 

Le choix de Lomé comme ville hôte n’est pas anodin. Le Togo s’illustre par ses efforts pour promouvoir la santé des jeunes, notamment à travers des initiatives comme le programme national de santé scolaire et la lutte contre les grossesses précoces. En 2023, le pays a d’ailleurs accueilli un atelier régional sur l’éducation à la santé, organisé par l’UNESCO, qui a jeté les bases d’une collaboration renforcée dans la région. Cette année, le gouvernement togolais réaffirme son engagement à faire des adolescents une priorité nationale, avec un budget de 1,5 milliard de FCFA alloué aux programmes de santé juvénile en 2025.

Il est à noter que les discussions à Lomé mettent un accent particulier sur l’implication des jeunes eux-mêmes. « Rien pour nous, sans nous », clament les représentants d’associations de jeunesse présents au sommet. Des focus groups montrent que les adolescents veulent être consultés sur leurs besoins, qu’il s’agisse d’accès à des services de santé reproductive ou de soutien psychosocial. Le cadre de redevabilité régional prévoit d’intégrer leurs voix à travers des enquêtes régulières et des forums participatifs.

24 pays d’Afrique valident un cadre de redevabilité et adoptent le guide AA-HA 2.0 pour bâtir un avenir plus sain pour les adolescents

Des engagements concrets pour un avenir transformé

 

Ce mercredi 30 juillet, les délégations finaliseront la validation du cadre de redevabilité, un document qui obligera les pays à rendre des comptes sur leurs avancées en matière de santé adolescente. Ce mécanisme s’appuie sur 47 indicateurs recommandés par le groupe consultatif GAMA (Global Action for Measurement of Adolescent Health), créé par l’OMS et ses partenaires en 2024. Ces indicateurs couvrent des domaines aussi variés que la nutrition, la santé sexuelle et reproductive, et le bien-être mental, offrant une feuille de route claire pour les politiques nationales.

Le déploiement du guide AA-HA 2.0, quant à lui, marque une étape clé. Traduit en français et adapté aux contextes ouest-africains, il propose des stratégies concrètes : campagnes de sensibilisation contre les grossesses précoces, intégration de la santé mentale dans les soins primaires, et partenariats avec le secteur privé pour financer des cliniques adaptées aux jeunes. Certains pays, comme le Sénégal et le Burkina Faso, ont déjà intégré des éléments du guide dans leurs politiques et partagent leurs succès, à l’instar de la réduction de 10 % des grossesses adolescentes à Dakar entre 2020 et 2024.

L’Afrique parie sur ses adolescents : Un investissement stratégique pour le développement

 

À l’approche de la clôture du sommet, l’enthousiasme est palpable. Les délégués s’accordent sur l’urgence d’agir face à une démographie jeune en pleine expansion – d’ici 2030, 32 % de la population de la région aura entre 10 et 19 ans. « Investir dans la santé des adolescents, c’est investir dans le dividende démographique de l’Afrique », a déclaré un représentant de l’OOAS, rappelant que chaque dollar investi dans la santé des jeunes peut générer jusqu’à 10 dollars de bénéfices économiques.

Lomé, en accueillant ce sommet, s’impose comme un catalyseur de changement. En quittant la capitale togolaise, les participants emporteront avec eux un engagement commun : faire de la santé des adolescents une priorité absolue. Avec le cadre de redevabilité et le guide AA-HA 2.0 comme boussoles, l’Afrique de l’Ouest et du Centre trace la voie vers un avenir où chaque jeune pourra s’épanouir, en bonne santé et avec confiance. La promesse d’une jeunesse en pleine santé n’est plus un vœu pieux, mais une feuille de route concrète pour bâtir une Afrique plus forte et plus équitable.

Lomé : Gentry Akoly prend les rênes de l’INSEED

Lomé : Gentry Akoly prend les rênes de l’INSEED et annonce une nouvelle ère statistique

Lomé, 23 juillet 2025 L’Institut national de la statistique et des études économiques et démographiques (INSEED) du Togo vient d’ouvrir une nouvelle page de son histoire avec la nomination officielle de Gentry Akoly à sa tête. En effet ,le mardi 22 juillet, lors d’une cérémonie de passation de charges, l’Ingénieur statisticien économiste (ISE) a succédé à Tchiou Animaou, précédemment intérimaire à ce poste stratégique.

 

Une vision claire : Rendre la donnée fiable, transparente et accessible

 

Dès sa prise de fonction, Gentry Akoly a exprimé son ambition de repositionner l’INSEED comme un pilier de la gouvernance fondée sur les données fiables et accessibles. « Nous avons pour objectif de faire de l’institution un acteur central, en renforçant la qualité, la transparence et l’accessibilité des informations statistiques », a-t-il affirmé. Son discours trace les contours d’une modernisation des outils statistiques au service des citoyens, des décideurs et des partenaires institutionnels.

 

L’INSEED : Le cœur battant des politiques publiques togolaises

 

Créé en 2015, l’INSEED joue un rôle crucial dans le pilotage des politiques publiques. En effet, l’établissement est chargé de collecter, d’analyser et de diffuser les données officielles sur la vie économique et sociale du pays. Il coordonne notamment les recensements de population, les enquêtes sur les conditions de vie des ménages, ainsi que l’élaboration des comptes nationaux — autant d’indicateurs qui nourrissent les décisions stratégiques et les évaluations gouvernementales.

 

Transparence et innovation : L’INSEED se modernise pour le développement

 

Avec l’arrivée de Gentry Akoly, le Togo renforce son dispositif statistique dans un contexte où l’accès aux données fiables devient un impératif pour relever les défis du développement. En fait , l’approche prônée met l’accent sur la transparence, l’ouverture et la capacité de l’institut à dialoguer avec les différents acteurs du pays, des chercheurs aux décideurs en passant par la société civile.

En investissant dans la performance de l’INSEED, le gouvernement togolais affirme sa volonté de bâtir une gouvernance plus éclairée, fondée sur l’évidence et la responsabilité, positionnant ainsi le Togo comme un acteur résolument tourné vers une prise de décision éclairée pour son développement.

Dapaong : 50 journalistes des Savanes deviennent les architectes de la cohésion sociale

Togo : 50 journalistes des savanes formés pour renforcer la cohésion sociale

Dapaong, 23 juillet 2025 – Dans la région des Savanes où l’unité est un pilier essentiel du progrès, 50 journalistes, issus de médias traditionnels et numériques, ont pris part à une formation transformative du 18 au 21 juillet 2025 à Dapaong. Orchestrée par le Gouvernorat des Savanes, avec le soutien crucial du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD Togo) et de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM Togo), cette initiative a en effet doté les professionnels des médias d’outils précieux pour promouvoir la cohésion sociale dans un contexte local unique.

Au cœur des enjeux : Former les journalistes à bâtir l’unité

 

Pendant quatre jours, ces reporters et chroniqueurs ont plongé au cœur des dynamiques de la cohésion sociale. L’objectif était de leur permettre de comprendre en profondeur les défis, les enjeux et la portée de cette notion, tout en tenant compte des particularités culturelles, sociales et historiques des Savanes. Ainsi, à travers des échanges interactifs et des ateliers pratiques, les participants ont exploré comment leur rôle peut façonner des récits qui unissent plutôt que divisent.

À Dapaong, 50 journalistes ont été formés pour renforcer la cohésion sociale, faisant du journalisme un levier puissant d’unité et de paix dans la région des Savanes.

Le journalisme, puissant levier d’unification pour les Savanes

 

Cette formation n’était pas une simple session théorique. Par ailleurs, elle a offert aux journalistes des clés concrètes pour aborder les sujets sensibles avec responsabilité et nuance, en tenant compte des réalités locales. En renforçant leurs compétences, l’initiative vise aussi à faire d’eux des acteurs clés dans la construction d’une société plus harmonieuse, où les tensions communautaires cèdent la place au dialogue et à la compréhension mutuelle.

À Dapaong, 50 journalistes ont été formés pour renforcer la cohésion sociale, faisant du journalisme un levier puissant d’unité et de paix dans la région des Savanes.

Les Savanes : Les médias s’engagent pour un avenir de paix et de vérité

 

Portée par le Gouvernorat des Savanes, avec l’appui résolu du PNUD et de l’OIM, cette formation s’inscrit également dans une volonté plus large de consolider la paix et la stabilité dans la région. En équipant les médias d’une vision claire et d’outils adaptés, les organisateurs parient aussi sur leur pouvoir d’influence pour diffuser des messages d’unité et contrecarrer les discours qui fragilisent le tissu social.

 

Les Savanes, riches de leur diversité, trouvent dans ces 50 journalistes des porte-voix essentiels pour un avenir plus solidaire. En quittant Dapaong, ces professionnels ne repartent pas seulement avec de nouvelles compétences, mais avec une mission claire : faire du journalisme un moteur de cohésion, un article à la fois. Cette initiative marque une étape décisive pour une région déterminée à bâtir un avenir uni et prospère, prouvant que le pouvoir des mots justes est le premier pas vers une société harmonieuse et résiliente.

Togo : des écoles qui se transforment pour construire l’avenir

Le Togo en chantier : Des infrastructures scolaires flambant neuves pour l’avenir de la jeunesse 

 

Lomé, 23 juillet 2025 Au Togo, l’éducation ne se limite plus aux salles de classe. Elle passe désormais par des chantiers visibles et ambitieux dans les écoles primaires et secondaires, du Nord au Sud du pays. Depuis plusieurs semaines, des travaux d’envergure sont en cours dans de nombreux infrastructures scolaires, illustrant un engagement concret du gouvernement pour offrir à la jeunesse un cadre propice à l’apprentissage et à l’épanouissement.

 

Infrastructures scolaires : Une métamorphose à l’échelle nationale

 

Dans le cadre des projets P9 et P10 de la feuille de route gouvernementale, qui ciblent respectivement l’amélioration de la qualité de l’enseignement et l’augmentation des capacités d’accueil, des sites ont été confiés aux entreprises adjudicataires dans les sept régions éducatives du pays.

À titre d’exemple, à Lomé, le Lycée de 2 Février verra sortir de terre douze nouvelles salles de classe en R+2, ainsi qu’un bloc administratif et des latrines modernes. Par ailleurs, à Sanguéra, des bâtiments scolaires et administratifs sont actuellement en rénovation. De même, à Atakpamé, un mur de clôture de près de 1 200 mètres est en cours de construction pour renforcer la sécurité des élèves.

En outre, d’autres établissements, parmi lesquels le Lycée Abobo, le CEG Kalabé à Notsé ou encore l’EPP Kounboul, bénéficient également de travaux de réhabilitation pour améliorer significativement leur environnement scolaire.

 

Au-delà du béton : Un cadre propice à la réussite éducative

 

Au-delà de la brique et du ciment, ces initiatives visent une transformation qualitative du système éducatif togolais. En effet, en dotant les établissements de structures modernes, sécurisées et adaptées, le gouvernement répond à un double besoin : offrir un meilleur confort d’apprentissage aux élèves et garantir des conditions de travail dignes aux enseignants. Cette vision repose sur une conviction forte : l’éducation est une clé essentielle du développement durable et de l’inclusion sociale.

 

Éducation : Une priorité budgétaire affichée et assumée

 

Depuis 2020, l’État togolais a augmenté de plus de 50 % le budget consacré à l’éducation. Cette dynamique traduit une volonté claire de placer l’école au cœur de l’action publique, en cohérence avec le Plan Sectoriel de l’Éducation (PSE), véritable feuille de route stratégique pour améliorer l’accès, la qualité et la gouvernance du secteur.

 

Dans un pays où l’instruction est perçue comme un levier fondamental de transformation, les efforts en cours s’inscrivent dans une logique de continuité. Ils traduisent une ambition partagée : faire de chaque école un lieu d’émancipation et de réussite, quel que soit le milieu social ou la localisation géographique.

Ainsi, en bâtissant des infrastructures modernes et en augmentant ses investissements, le Togo ne construit pas seulement des écoles, il érige les fondations d’une nation plus éduquée, plus égalitaire et résolument tournée vers un avenir où chaque enfant aura sa chance de s’épanouir.

Savanes : 48 femmes formées contre la désinformation

Togo : 48 femmes leaders des Savanes en première ligne Contre la désinformation

Togo, 23 juillet 2025 Dans une région où la rumeur peut diviser et la vérité rassembler, 48 femmes leaders communautaires des Savanes ont relevé un défi de taille : devenir des ambassadrices de la lutte contre la désinformation et la mésinformation. Du 21 au 23 juillet 2025, ces pionnières ont suivi une formation intensive, portée par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) et le Réseau Femmes & Développement des Savanes, afin de promouvoir la cohésion sociale dans leur région.

À l’initiative du PNUD, 48 femmes des Savanes deviennent ambassadrices de la vérité pour renforcer la cohésion

Des voix puissantes armées contre les fausses nouvelles

 

Pendant trois jours, ces femmes venues de divers horizons ont appris à déconstruire les fausses informations et à élaborer des messages clairs et percutants pour contrer les récits trompeurs. En effet, l’objectif était de doter ces leaders de compétences essentielles pour renforcer l’unité et la solidarité dans les communautés des Savanes, une région où la cohésion sociale est un enjeu crucial. Ainsi, à travers des ateliers pratiques, elles ont développé des discours alternatifs, conçus pour apaiser les tensions et promouvoir des valeurs d’entente et de vérité.

De la théorie à l’action : Les ondes radiophoniques comme alliées

 

Cette initiative ne s’arrête pas aux salles de formation. En effet, ces femmes, désormais outillées, prennent la parole sur les ondes. Des émissions de radio animées par les participantes diffusent des messages de sensibilisation à travers la région, touchant des milliers d’auditeurs. Par conséquent, ces interventions, combinées à des campagnes publiques, amplifient leur impact, permettant de contrer efficacement les rumeurs et de bâtir un climat de confiance au sein des communautés.

À l’initiative du PNUD, 48 femmes des Savanes deviennent ambassadrices de la vérité pour renforcer la cohésion

Les femmes, piliers de la paix et de l’unité régionale

 

Soutenue par le PNUD et le Réseau Femmes & Développement des Savanes, cette formation s’inscrit dans une vision plus large : faire des femmes des actrices clés du développement et de la stabilité sociale. En leur donnant les outils pour combattre la désinformation, l’initiative renforce leur rôle de leaders et leur capacité à influencer positivement leurs communautés.

Ces 48 femmes ne sont pas seulement des participantes ; elles sont  aussi des porte-voix d’une région qui aspire à la paix et à la vérité. Leur engagement, amplifié par les ondes radiophoniques et les campagnes publiques, marque un tournant dans la lutte contre les discours qui divisent. Dans les Savanes, ces leaders montrent la voie, prouvant que l’information juste et l’unité sont des armes puissantes pour construire un avenir où chaque voix compte, et où la vérité l’emporte sur les récits de discorde.

Le Togo intensifie la guerre contre les violences faites aux femmes

Togo : Une mobilisation collective pour enrayer les violences basées sur le genre

 

Lomé, 23 juillet 2025 – À l’heure où la lutte contre les violences basées sur le genre (VBG) s’impose comme une priorité mondiale, le Togo se positionne en première ligne. En effet, ce mercredi, une rencontre clé a réuni à Lomé les référents genre des ministères et des organisations de la société civile (OSC), dans le cadre des 16 Jours d’Activisme. Organisé par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD Togo), en partenariat avec le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA Togo) et le ministère de l’Action Sociale, cet événement marque un tournant dans la quête d’une égalité de genre durable et inclusive.

À Lomé, une rencontre entre ministères, OSC et partenaires internationaux intensifie la préparation des 16 Jours d’Activisme pour une égalité de genre durable et inclusive au Togo.

Une synergie inédite pour amplifier l’impact des « 16 Jours »

 

L’objectif de cette rencontre était clair : coordonner les efforts pour amplifier l’impact des 16 Jours d’Activisme, une campagne mondiale visant à sensibiliser et agir contre les violences faites aux femmes et aux filles. Plus précisément, cette initiative s’inscrit dans le cadre du programme mondial Gender Equality Seal 2025-2027, un label qui récompense les institutions intégrant efficacement l’égalité de genre dans leurs actions. Pour le PNUD Togo, il s’agit d’un levier pour ancrer cette lutte dans les réalités du pays et renforcer les synergies entre acteurs publics et société civile.

À Lomé, une rencontre entre ministères, OSC et partenaires internationaux intensifie la préparation des 16 Jours d’Activisme pour une égalité de genre durable et inclusive au Togo.

« Agir ensemble » : La clé d’une approche locale et inclusive

 

Lors de cette réunion, Epiphanie Houmey, intervenant au nom de la Représentante résidente du PNUD, Binta Sanneh, a insisté sur une conviction forte : « La lutte contre les violences basées sur le genre ne peut porter ses fruits qu’à travers une approche collective, inclusive et adaptée aux contextes locaux. » Cette déclaration souligne aussi  l’importance d’une mobilisation impliquant tous les secteurs – gouvernement, OSC, communautés – pour répondre aux défis spécifiques du Togo. Par conséquent, l’approche multisectorielle prônée vise à garantir que les solutions soient non seulement efficaces, mais aussi enracinées dans les besoins réels des populations.

16 Jours d’Activisme : L’égalité, un engagement constant pour les partenaires togolais

 

Cette rencontre n’est pas un acte isolé. Au contraire, elle reflète l’engagement constant du PNUD Togo, de l’UNFPA et du ministère de l’Action Sociale à promouvoir l’égalité de genre et à protéger les droits des femmes et des filles. En s’appuyant sur des partenariats solides, ces acteurs entendent multiplier les initiatives concrètes, des campagnes de sensibilisation aux programmes de soutien aux victimes, tout en renforçant les capacités des institutions locales.

À Lomé, une rencontre entre ministères, OSC et partenaires internationaux intensifie la préparation des 16 Jours d’Activisme pour une égalité de genre durable et inclusive au Togo.

À l’approche des 16 Jours d’Activisme, le Togo envoie un message fort : la fin des violences basées sur le genre est l’affaire de tous. En unissant les forces des ministères, des OSC et des partenaires internationaux, le pays trace la voie vers une société plus juste et égalitaire. Cette rencontre de Lomé n’est qu’un début, mais elle pose les jalons cruciaux d’un avenir où chaque femme et chaque fille pourra vivre libre de toute violence, transformant ainsi la promesse de l’égalité en une réalité tangible pour l’ensemble de la nation togolaise.

Énergie pour tous : le Togo électrifie 172 villages reculés

Le Togo s’illumine : Un projet audacieux va électrifier 172 villages isolés

Togo, 22 juillet 2025 — Dans une avancée décisive vers l’accès universel à l’électricité, le Togo dévoile un projet audacieux pour apporter la lumière à 172 communautés isolées. Cette initiative promet de changer la vie de plus de 35 000 habitants tout en dynamisant les infrastructures énergétiques du pays.

 

Feu vert pour l’appel d’offres international : Le chantier de l’espoir est lancé

 

Le ministère chargé de l’Énergie, en collaboration avec l’Agence Togolaise d’Électrification Rurale et des Énergies Renouvelables (AT2ER), a récemment ouvert un appel d’offres à l’échelle internationale pour concrétiser ce chantier d’envergure. Soutenu financièrement par la Banque Ouest Africaine de Développement (BOAD), ce projet ambitieux vise à améliorer l’accès à l’énergie dans les zones les plus éloignées du territoire. Concrètement, les travaux, qui s’étendront sur 18 mois, consisteront à développer le réseau de distribution électrique en moyenne et basse tension à travers plusieurs régions togolaises.

Par ailleurs, les entreprises intéressées doivent soumettre leurs propositions avant le 5 septembre 2025, et les travaux débuteront en novembre 2025.

 

Des retombées massives : Électricité, emplois et croissance pour 35 000 Togolais

 

Une fois terminé, ce projet offrira un accès fiable à l’électricité à plus de 35 000 personnes, facilitant ainsi leur quotidien et ouvrant de nouvelles perspectives économiques. De plus, dès la première année de fonctionnement, il devrait produire 9,3 GWh d’énergie supplémentaire, tout en générant plus de 600 emplois, qu’ils soient directs ou indirects. Cette impulsion est vue comme un levier essentiel pour revitaliser les économies locales dans les zones rurales, créant ainsi un cercle vertueux de développement.

 

La vision togolaise : Une électrification à grande échelle déjà en marche

 

Ce nouvel élan s’inscrit dans une stratégie plus vaste menée par le Togo pour généraliser l’accès à l’électricité. Ces dernières années, le pays a multiplié les efforts, notamment avec la mise en place d’infrastructures énergétiques modernes. Parmi les initiatives phares, on note le projet d’électrification de 317 localités grâce à des mini-réseaux solaires, ainsi que l’extension significative du réseau électrique de la capitale via le Projet d’Extension du Réseau Électrique de Lomé (PEREL).

 

Le Togo s’affirme : Vers un avenir lumineux et inclusif

 

En mettant l’accent sur les régions défavorisées, le Togo ne se limite pas à améliorer les conditions de vie de sa population. Au contraire, il construit également les fondations d’un développement économique durable et inclusif, renforçant ainsi sa place dans la course à la modernisation énergétique en Afrique de l’Ouest.

Ce projet marque une étape cruciale dans la mission du Togo de faire de l’électricité un droit accessible à tous. Il n’est pas seulement question de câbles et de poteaux, mais d’illuminer l’avenir de milliers de foyers jusque-là laissés dans l’ombre, transformant ces localités isolées en de véritables pôles de progrès pour tout le pays.

UNESCO : le retrait américain ne freine pas sa mission mondiale

L’UNESCO face au retrait américain : un coup dur, mais une détermination intacte

 

Paris, 22 juillet 2025 Une onde de choc a traversé les couloirs de l’UNESCO ce mardi, alors que le Président américain Donald Trump a officialisé sa décision de retirer une nouvelle fois les États-Unis de l’organisation internationale. Cette mesure, qui entrera en vigueur fin décembre 2026, marque un revers significatif. Néanmoins, face à ce coup dur, l’UNESCO réaffirme sa résilience et son engagement inébranlable à promouvoir la paix, la culture et l’éducation à travers le monde.

 

Multilatéralisme sous attaque : Les conséquences d’un départ lourd de sens

 

Cette annonce, bien que prévisible pour certains observateurs, frappe de plein fouet les valeurs du multilatéralisme que l’UNESCO incarne avec force. En effet, ce départ menace directement les nombreux partenaires américains de l’organisation, qu’il s’agisse des sites aspirant à rejoindre la prestigieuse liste du Patrimoine mondial, des villes intégrées au réseau des villes créatives, ou encore des chaires universitaires collaborant activement avec l’UNESCO. Ce choix, qui fait tristement écho à celui de 2017, suscite une profonde déception, d’autant plus que l’organisation a multiplié les efforts pour prouver son rôle central sur la scène mondiale.

 

L’organisation plus forte que jamais : Une organisation financièrement blindée face aux tempêtes

 

Anticipant cette décision potentielle, l’UNESCO a su se réinventer au fil des années. Ainsi, depuis 2018, des réformes structurelles d’envergure ont permis de diversifier ses sources de financement, réduisant la part de la contribution américaine à seulement 8 % de son budget, contre parfois 40 % pour d’autres agences onusiennes. Grâce à une hausse spectaculaire des contributions volontaires, doublées depuis 2018, et au soutien massif de nombreux États et acteurs privés, l’UNESCO se trouve aujourd’hui dans une position financière plus solide que jamais. Par ailleurs, aucune suppression d’emploi n’est à ce jour envisagée, un signe manifeste de la robustesse et de la capacité d’adaptation de l’organisation.

 

Malgré les obstacles, l’UNESCO multiplie les succès et les engagements mondiaux

 

L’UNESCO n’a pas attendu ce retrait pour faire ses preuves. Ces dernières années, elle a orchestré des projets d’envergure, tels que la reconstruction de la vieille ville de Mossoul à partir de 2018, l’une des plus grandes opérations de son histoire. Elle a également adopté un cadre normatif unique au monde sur l’éthique de l’intelligence artificielle et lancé des initiatives majeures pour soutenir l’éducation et la culture dans des zones de conflit, comme l’Ukraine, le Liban ou le Yémen. La protection de la biodiversité, la sauvegarde du patrimoine naturel et l’éducation des filles figurent également parmi ses priorités absolues.

De surcroît, l’organisation s’est imposée comme un acteur clé dans la lutte contre l’antisémitisme et le négationnisme, notamment à travers l’enseignement de la Shoah. En collaborant avec des institutions prestigieuses comme le Musée mémorial de l’Holocauste à Washington, le Congrès juif mondial ou l’American Jewish Committee, l’UNESCO a formé des enseignants et développé des outils pédagogiques dans 85 pays. Ces efforts, largement salués internationalement, contredisent avec force les arguments avancés par Washington pour justifier ce retrait.

 

Un futur d’action : L’UNESCO, phare de la coopération, malgré les départs

 

Malgré la réduction inévitable de ses ressources, l’UNESCO reste déterminée à poursuivre ses missions essentielles. L’organisation, fidèle à sa vocation universelle, continuera d’accueillir toutes les nations, y compris les États-Unis, dont elle espère ardemment le retour. En attendant, elle maintiendra ses partenariats solides avec les acteurs privés, académiques et associatifs américains, tout en poursuivant un dialogue constructif avec l’administration et le Congrès.

Ce nouveau départ des États-Unis, motivé par des raisons similaires à celles invoquées il y a sept ans, intervient dans un contexte pourtant transformé, où l’UNESCO s’est affirmée comme un espace rare de consensus et d’action concrète. Mais loin de se décourager, l’organisation promet de redoubler d’efforts pour bâtir un monde plus juste, éduqué et uni, prouvant que sa mission transcende les aléas politiques et demeure plus vitale que jamais.

Lomé : le port stratégique séduit les ambitions américaines

Togo : Le Port de Lomé, une passerelle incontournable vers l’Afrique pour les entreprises américaines

 

Lomé, 22 juillet 2025 Imaginez un lieu où l’innovation maritime rencontre des opportunités économiques sans limites. Ce lieu existe : c’est le Port de Lomé, au Togo, fièrement classé quatrième port à conteneurs le plus actif d’Afrique. Le 21 juillet 2025, le Chargé d’Affaires Michaels a foulé son sol pour ouvrir la voie à des perspectives commerciales majeures pour les entreprises américaines, avec une ambition claire : booster la prospérité des États-Unis grâce à ce hub stratégique.

 

Le Port de Lomé : Quand l’infrastructure redéfinit le commerce africain

 

Le Port de Lomé, c’est bien plus qu’un simple quai. En effet, avec ses installations modernes et ses zones en eau profonde, il peut accueillir des navires imposants, prêts à transporter des marchandises vers le monde entier. Ses outils dernier cri et son organisation efficace en font une plaque tournante essentielle du commerce africain. Par ailleurs, situé sur les rives du golfe de Guinée, il ouvre une porte rapide et directe vers les nations enclavées d’Afrique de l’Ouest, un atout précieux pour toute entreprise rêvant d’élargir ses horizons.

 

L’Afrique, un marché colossal à portée de main pour les entreprises US

 

Ce port, c’est une véritable invitation à plonger dans un marché africain en pleine effervescence, avec plus de 1,4 milliard de consommateurs à portée de main. Les entreprises américaines y trouvent aussi un allié de taille : des réseaux logistiques bien rodés qui allègent les coûts et fluidifient les échanges. Mieux encore, le Port de Lomé mise sur une gestion durable, un argument de poids pour des sociétés sensibles aux enjeux environnementaux et sociaux.

Appel aux entrepreneurs : Lomé tend la main aux ambitions américaines

 

Le message est clair : le Port de Lomé appelle les entrepreneurs américains à saisir cette chance unique. En prenant contact avec ses équipes, les sociétés peuvent découvrir un éventail de services taillés pour accélérer leur développement en Afrique. Cette visite de Michaels n’est pas un simple déplacement ; au contraire, elle marque le début d’une nouvelle ère de collaboration économique entre le Togo et les États-Unis.

 

Lomé, bien plus qu’un port : Une passerelle vers le futur africain

 

En somme , le Port de Lomé ne se contente pas de relier des continents. Il incarne une Afrique dynamique, prête à accueillir les projets audacieux et les investissements visionnaires. D’ailleurs, pour les entreprises américaines, c’est une opportunité en or, un pont solide vers un avenir prospère et des marchés florissants sur le sol africain. Le signal est donné : l’heure est à l’action. Le Port de Lomé est prêt à devenir le catalyseur de nouvelles réussites transatlantiques.