La Foire Internationale de Lomé s’ouvre à l’avenir avec la Chine

Lomé : Le Togo attire les géants chinois pour sa 20ᵉ foire internationale 

 

Lomé, 18 juillet 2025Lomé se prépare à accueillir la 20ᵉ Foire Internationale, un rendez-vous commercial majeur en Afrique de l’Ouest, prévu du 28 novembre au 14 décembre 2025. Dans cette dynamique, une rencontre stratégique s’est tenue le mercredi 16 juillet 2025 entre Alexandre de Souza, directeur général du Centre Togolais des Expositions et Foires (CETEF TOGO 2000), et une délégation d’entreprises chinoises. Cela marque une étape décisive dans l’internationalisation de ce rendez-vous économique incontournable.

Partenariat stratégique : La Chine vise le marché ouest-africain via Lomé 

 

Au cœur des discussions, l’engagement actif des entreprises chinoises à la prochaine Foire Internationale de Lomé a dominé les échanges. En effet, ce grand marché régional, reconnu comme l’un des plus dynamiques d’Afrique de l’Ouest, se veut une vitrine pour les acteurs économiques du monde entier. Les représentants chinois ont exprimé leur volonté de renforcer leur présence au Togo, non seulement en exposant leurs produits, mais aussi en tissant des partenariats durables avec des opérateurs locaux. Ils souhaitent ainsi distribuer leurs marchandises à l’échelle nationale et continentale.

Cette ambition s’inscrit dans une vision plus large de coopération économique. En 2024, le CETEF TOGO 2000 avait scellé un accord avec la Hebei Enterprise Culture Association, ouvrant la voie à une représentation officielle de la Foire en Chine. Par ailleurs, ce partenariat, qui a renforcé les liens commerciaux et culturels entre les deux nations, trouve aujourd’hui un écho concret avec la mobilisation de ces entreprises chinoises, prêtes à investir dans le marché togolais.

Un événement catalyseur : Laᵉ Foire Internationale, moteur du développement togolais 

 

La rencontre entre Alexandre de Souza et la délégation chinoise illustre l’élan du Togo pour consolider sa position de carrefour économique régional. En attirant des acteurs internationaux de poids, la Foire Internationale de Lomé ambitionne de devenir un catalyseur pour les échanges commerciaux et les investissements productifs. Les entreprises chinoises, par leur participation, souhaitent non seulement promouvoir leurs produits, mais aussi s’implanter durablement au Togo, en synergie avec les acteurs économiques locaux.

Lomé se prépare à accueillir la 20ᵉ Foire Internationale, un rendez-vous commercial majeur en Afrique de l’Ouest, prévu du 28 novembre au 14 décembre 2025. Lomé se prépare à accueillir la 20ᵉ Foire Internationale, un rendez-vous commercial majeur en Afrique de l’Ouest, prévu du 28 novembre au 14 décembre 2025.

Perspectives prometteuses : Un avenir de croissance et de collaboration 

 

En somme, cette réunion marque un jalon dans les relations sino-togolaises, fondées sur une volonté commune de prospérité et de collaboration à long terme. En ouvrant ses portes aux investisseurs étrangers, le Togo renforce son attractivité et pave la voie à une croissance économique inclusive. D’ailleurs, du 28 novembre au 14 décembre 2025, la 20ᵉ Foire Internationale de Lomé promet d’être un creuset d’opportunités, où les ambitions nationales et internationales convergeront pour façonner un avenir dynamique.

Quels secteurs d’activité, au-delà du commerce, pourraient bénéficier le plus de cette collaboration renforcée entre le Togo et la Chine ?

Lomé : une alliance numérique et citoyenne pour l’avenir du Togo

Togo : L’Assemblée Nationale et l’ONU scellent un pacte pour la gouvernance et l’innovation 

Lomé, 30 mai 2025 – Dans l’enceinte majestueuse de l’Assemblée nationale togolaise, à Lomé, une rencontre d’une portée capitale a réuni, ce vendredi 30 mai 2025, deux figures déterminées à façonner l’avenir du Togo : Son Excellence Kodjo Sévon-Tépé Adédzé, Président de l’Assemblée nationale, et Mme Coumba Sow, Coordonnatrice résidente du Système des Nations Unies au Togo. En effet, cet échange a incarné une volonté commune de renforcer la coopération entre le Parlement togolais et les Nations Unies, avec pour boussole la gouvernance éclairée, l’innovation institutionnelle et l’inclusion des citoyens dans le sillage de la Vᵉ République.

Un leadership salué pour une démocratie renforcée

Dès l’entame des discussions, Mme Sow, forte de son expérience de vingt ans dans le développement et l’humanitaire, a salué l’élan démocratique qui anime le Togo. « La consolidation de vos institutions sous votre leadership est un modèle pour la région », a-t-elle affirmé, félicitant M. Adédzé pour son rôle dans l’édification d’une Assemblée nationale plus robuste et proche du peuple. Élu le 14 juin 2024 avec une majorité écrasante de 106 voix, le Président Adédzé, ancien ministre et haut fonctionnaire, incarne  aussi une vision de modernité ancrée dans les réalités togolaises.

La digitalisation du Parlement : vers une transparence et une célérité accrues de gouvernance 

Au cœur des échanges, la dématérialisation des processus parlementaires a émergé comme une priorité stratégique. Mme Sow a souligné l’urgence d’embrasser la digitalisation pour doter les députés d’outils modernes, capables d’accélérer l’examen des textes législatifs et d’optimiser la gestion des sessions. « Un Parlement numérisé, c’est un Parlement qui gagne en célérité et en transparence », a-t-elle plaidé, réaffirmant ainsi l’engagement du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) à fournir expertise et ressources pour concrétiser cette ambition. Ce projet s’inscrit dans la continuité des réformes numériques du Togo, qui a amélioré son classement dans l’indice « Trading across borders » grâce à la digitalisation des procédures d’import-export.

L'Assemblée nationale togolaise et les Nations Unies renforcent leur coopération pour une gouvernance éclairée, la digitalisation parlementaire et l'inclusion des jeunes au Togo.Impliquer la jeunesse : un levier pour l’avenir démocratique du Togo

La conversation s’est ensuite tournée vers un enjeu tout aussi crucial : l’implication des jeunes dans la vie politique. Dans un pays où la jeunesse représente plus de 60 % de la population, leur participation active aux processus législatifs et à la gouvernance est un levier fondamental pour enraciner la démocratie. M. Adédzé a aussi partagé des initiatives visant à créer des espaces de dialogue, comme des forums citoyens et des commissions jeunesse au sein de l’Assemblée, pour capter les aspirations des nouvelles générations. En écho, Mme Sow a proposé des programmes onusiens de formation pour outiller les jeunes leaders, renforçant ainsi leur rôle dans la consolidation de la citoyenneté.

Cette rencontre, qui s’est achevée par un engagement mutuel à intensifier la collaboration, marque un jalon dans la modernisation du Togo. À l’heure où Lomé ambitionne de devenir un hub logistique et financier régional, l’alliance entre l’Assemblée nationale et les Nations Unies, scellée, promet de faire du Togo un modèle de gouvernance inclusive et numérique, où la voix des citoyens, jeunes en tête, résonne au cœur des institutions.

Lomé, capitale du climat : le Togo et le Cameroun unissent leurs forces pour une budgétisation verte !

Lomé, carrefour de la budgétisation verte : le Cameroun et le Togo unissent leurs forces pour un avenir durable

Lomé, 21 mai 2025 – Dans la capitale togolaise, où l’élan de la modernité se conjugue à une ambition écologique affirmée, une délégation camerounaise, conduite par Patrick Kevin Mzogang, a posé ses valises ce 20 mai pour un atelier d’échanges sur la Budgétisation Sensible au Climat (BSC). Jusqu’au 22 mai, ce rendez-vous, porté par une volonté de coopération Sud-Sud, fait de Lomé un creuset dans lequel les deux nations croisent leurs expériences pour ancrer les impératifs climatiques dans leurs politiques budgétaires. À l’heure où le Sahel et l’Afrique centrale affrontent des défis environnementaux croissants, cette rencontre incarne aussi une promesse : celle d’une gestion publique résiliente, tournée vers la sauvegarde de la planète.

Partage d’expertise : le modèle togolais inspire la résilience climatique du Cameroun

Sous l’égide du ministère togolais de l’Économie et des Finances, l’atelier réunit des experts camerounais et des praticiens togolais pour disséquer les mécanismes de la BSC, une approche visant à aligner les budgets nationaux sur les objectifs de développement durable. « Cette mission est un voyage d’apprentissage, inspiré par les réformes togolaises en matière de budgétisation verte », a déclaré Patrick Kevin Mzogang, chef de la délégation camerounaise. Les visiteurs, issus des ministères des Finances et de l’Environnement, explorent des projets phares, tels que les agropoles togolais intégrant des pratiques agroécologiques, et s’imprègnent des outils de planification budgétaire climatique, comme le marquage des dépenses vertes.

Le Togo, pionnier dans la région, a intégré la BSC dans sa lettre de cadrage budgétaire 2025, un cadre salué par la Banque mondiale pour sa capacité à orienter les fonds publics vers des actions de mitigation et d’adaptation climatiques. En 2024, 15 % des dépenses togolaises étaient taguées comme « climat-sensibles », contre seulement 3 % au Cameroun, selon un rapport du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Cette avance, fruit d’une réforme entamée en 2020 avec l’appui de l’Union européenne, repose sur des outils comme le Plan National d’Adaptation (PNA) et des partenariats avec des bailleurs tels que le Fonds Vert pour le Climat.

Coopération Sud-Sud : Transformer les budgets pour un avenir durable

Le Cameroun, confronté à des défis climatiques majeurs – sécheresses dans l’Extrême-Nord, inondations dans le Sud et érosion côtière à Douala – cherche à renforcer son cadre de gestion publique. Un diagnostic de 2023 du PEFA révélait une faible intégration des considérations climatiques dans son cadre de finances publiques, avec une absence de nomenclature budgétaire spécifique pour le climat. L’atelier de Lomé, en s’appuyant sur l’expertise togolaise, vise à combler ce fossé. Les délégués camerounais étudient notamment le système de suivi des dépenses climatiques du Togo, qui a permis de mobiliser 2,7 milliards USD en financements verts entre 2017 et 2023, principalement pour l’énergie et l’agriculture.

Stéphane Akaya, secrétaire général du ministère togolais des Finances, a exprimé l’ambition d’élargir cette collaboration à d’autres facettes de la gestion publique, comme la digitalisation des recettes fiscales, où le Togo excelle grâce à l’Office Togolais des Recettes (OTR). Cette dynamique s’inscrit dans la continuité des engagements pris lors du Sommet de Nairobi sur le climat en 2023, où l’Afrique a plaidé pour une coopération régionale accrue face aux crises climatiques. Les deux pays, membres de l’Organisation pour l’Harmonisation du Droit des Affaires en Afrique (OHADA), partagent également une vision commune de l’investissement privé dans les projets verts, à l’image des partenariats public-privé togolais pour l’électrification rurale.

Vers un Futur Climato-résilient : L’Afrique unie face au changement climatique

Cet échange, soutenu par la Commission Économique pour l’Afrique des Nations Unies (CEA), marque une étape cruciale dans la quête d’une résilience partagée. Le Togo, avec sa stratégie d’électrification universelle d’ici à 2030 et ses 50 % d’énergies renouvelables dans le mix énergétique, offre un modèle inspirant pour le Cameroun, où les énergies fossiles dominent encore, représentant 60 % de la production électrique en 2024. Les discussions ont également abordé la nécessité d’une coordination régionale pour contrer les impacts transfrontaliers du changement climatique, comme les migrations climatiques touchant 453 000 déplacés internes au Cameroun en 2023.

Alors que les experts des deux nations poursuivent leurs échanges sous le ciel lumineux de Lomé, cet atelier transcende le simple partage technique. Il incarne une vision où l’Afrique, unie par ses défis et ses aspirations, forge des solutions audacieuses pour un avenir durable. En s’inspirant mutuellement, le Cameroun et le Togo tracent une voie sur laquelle les budgets ne sont plus seulement des chiffres, mais des leviers pour préserver la vie et bâtir la résilience. Ce 20 mai, Lomé n’a pas seulement accueilli une délégation : elle a semé les graines d’un partenariat qui pourrait redessiner l’avenir climatique de l’Afrique.

Le Togo et l’AFROPAC unissent leurs forces pour la transparence

Lomé, Épicentre de la Gouvernance Africaine : Kodjo Adedze et l’AFROPAC unis pour la transparence

Le 14 mai dernier, les couloirs de l’Assemblée nationale togolaise à Lomé ont vibré d’une rencontre aussi symbolique que stratégique. En marge de la première Conférence de l’Union Africaine sur la Dette, tenue du 12 au 14 mai sous le haut patronage du président Faure Gnassingbé, Kodjo Sévon-Tépé Adedze, président de l’Assemblée nationale, a accueilli une délégation de l’Organisation Africaine des Comités des Comptes Publics (AFROPAC). Conduite par sa vice-présidente, l’honorable députée ghanéenne Abena Osei-Asare, cette délégation a célébré l’engagement du Togo dans la promotion d’une gestion transparente des finances publiques. Dans un continent aux prises avec une dette colossale de 1,86 trillion de dollars, cette audience, empreinte de courtoisie et d’ambition, a réaffirmé le rôle clé du Togo dans la gouvernance régionale.

En marge de la Conférence sur la Dette de l'UA, l'Assemblée togolaise et l'AFROPAC scellent leur engagement pour renforcer la transparence Contrôle des comptes publics : au cœur des enjeux critiques pour l’Afrique

En effet, l’audience, qui s’est déroulée dans la salle des commissions de l’Assemblée nationale, a été un moment de dialogue fructueux. Abena Osei-Asare, figure respectée du Parlement ghanéen et fervente défenseure de la responsabilité budgétaire, elle a notamment présenté les missions de l’AFROPAC : renforcer les comités des comptes publics à travers l’Afrique pour garantir un contrôle démocratique rigoureux. Créée en 2014, l’organisation regroupe des commissions des finances de l’Afrique de l’Ouest, de l’Afrique centrale et de l’Afrique australe, représentant 25 pays. Dans ce cadre, elle forme des parlementaires, harmonise les pratiques de contrôle et promeut la transparence, un enjeu crucial alors que 22 nations africaines sont en surendettement ou à haut risque, selon la CEA.

Le Togo, modèle de gouvernance : l’engagement salué par l’AFROPAC

C’est dans ce contexte que la délégation a exprimé sa gratitude pour l’engagement du Togo, qui, sous l’égide de Kodjo Adedze, a renforcé ses mécanismes de contrôle parlementaire. À la tête de cette institution, élu président de l’Assemblée le 14 juin 2024 avec 106 voix sur 113, Adedze, ancien ministre du Commerce et de l’Urbanisme, incarne une gouvernance moderne. Confirmant cette orientation, il a d’ailleurs salué le rôle de l’AFROPAC dans un post sur X publié à 16 h 01 le 14 mai, réaffirmant l’attachement du Togo à la coopération régionale. « Le Togo est résolu à promouvoir la transparence et à soutenir l’intégration parlementaire », a-t-il déclaré.

En marge de la Conférence sur la Dette de l'UA, l'Assemblée togolaise et l'AFROPAC scellent leur engagement pour renforcer la transparence La transparence togolaise : un fer de lance dans le contexte de la dette africaine

Plus globalement, cette rencontre s’inscrit dans un contexte dans lequel Lomé s’affirme comme un hub diplomatique et économique. En effet, la Conférence sur la Dette, qui a réuni plus de 500 délégués, dont des Chefs d’État, des Ministres des Finances et des Experts de la Banque mondiale et du FMI, a abouti à l’adoption de la Déclaration de Lomé le 14 mai à 17 h 00. Ce texte majeur, salué par Claver Gatete comme une « position africaine unifiée », appelle à réformer l’architecture financière mondiale pour alléger le fardeau de la dette et financer le développement durable. Concernant le Togo, précisément, dans ce tableau continental, avec une dette publique de 70 % du PIB en 2024, selon la BAD, Grâce à quoi, il se distingue par une gestion prudente, renforcée par des outils comme le Guichet Unique du Commerce Extérieur et des audits réguliers par la Cour des Comptes.

Vers une coopération renforcée : L’AFROPAC plaide pour l’adhésion du Togo

Fort de ces exemples, l’AFROPAC, en s’appuyant sur des pays comme le Togo, cherche à institutionnaliser ces pratiques. Elle a notamment plaidé, par la voix d’Osei-Asare, pour l’adhésion formelle de l’Assemblée togolaise à l’organisation, une démarche qui renforcerait son influence dans la sous-région. Par exemple, en 2024, l’AFROPAC a formé 120 parlementaires ouest-africains à Accra sur l’analyse budgétaire, un programme que le Togo pourrait accueillir en 2026, selon des sources proches du Parlement. En bref, cette coopération s’aligne avec la « Feuille de Route Togo 2025 », qui priorise la gouvernance transparente et l’intégration régionale.

Un dialogue fraternel pour un contrôle parlementaire rigoureux

Sur un plan plus humain, l’audience qui s’est conclue a été marquée par une atmosphère de fraternité. Abena Osei-Asare a loué le leadership du Togo, citant son rôle dans la CEDEAO et son accueil de la conférence. De son côté, Adedze, fort de son expérience à la tête de l’Office Togolais des Recettes (2017-2020), a partagé sa vision d’un contrôle parlementaire « rigoureux, mais constructif », capable de transformer la dette en levier de développement. Il a notamment affirmé : « La transparence est notre boussole pour une Afrique souveraine », selon un communiqué officiel .

Échanges fructueux à la Cour des comptes

Dans la continuité de cette approche, la délégation, qui comprenait des représentants du Nigeria et de l’Afrique du Sud, a également visité le siège de la Cour des Comptes à 15 h 00, renforçant les échanges sur les bonnes pratiques. Ensemble, ces interactions, documentées notamment par l’Assemblée Nationale Togolaise à 15 h 58, témoignent d’une volonté commune de bâtir une gouvernance africaine résiliente.

Lomé, phare de la gouvernance : une promesse d’avenir pour l’Afrique

En somme, Lomé n’est pas seulement l’hôte d’une conférence historique ; elle est un phare de la coopération africaine. Elle incarne, en particulier, la rencontre entre Kodjo Adedze et l’AFROPAC, sous le regard attentif de la communauté internationale, un Togo déterminé à jouer un rôle moteur dans la gouvernance continentale. Ainsi, alors que la Déclaration de Lomé trace la voie d’une Afrique libérée des chaînes de la dette, l’engagement d’Adedze et d’Osei-Asare pour la transparence pose les fondations d’un futur prospère. Et ce n’est qu’un début : dans les rues animées de la capitale togolaise, un vent d’optimisme souffle : celui d’une nation et d’un continent, prêts à écrire leur destin avec audace et unité.

Une visite porteuse d’espoir : Binta Sanneh et Emmanuel Adebayor à l’UniPod Togo

Dans un Togo résolument tourné vers le progrès, une rencontre d’envergure s’est tenue ce mercredià l’UniPod Togo, un espace dédié à l’innovation et à l’éducation. Binta Sanneh, Représentante Résidente du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) au Togo, y a conduit une délégation accompagnée d’Emmanuel Adebayor, icône du football togolais et président de la Fondation SEA. En effet, cette visite, qualifiée de « fructueuse » par les parties prenantes, avait pour ambition d’explorer des opportunités de collaboration en faveur du développement durable, une priorité cruciale pour le pays. Cet événement, riche en promesses, illustre la convergence des efforts entre des acteurs d’horizons divers, unis par une vision commune : bâtir un avenir prospère et équitable pour les Togolais.

Le PNUD Togo : un engagement ancré dans le développement

Par ailleurs, sous la direction de Binta Sanneh, le PNUD Togo s’attelle à des projets d’envergure visant à promouvoir l’éducation, l’inclusion sociale, l’emploi des jeunes et l’égalité des genres, en résonance avec les ambitions de la feuille de route gouvernementale Togo 2025. Cette visite à l’UniPod Togo s’inscrit dans cette dynamique, témoignant de l’engagement du PNUD à nouer des partenariats locaux pour amplifier son impact sur le terrain.

Emmanuel Adebayor et Binta Sanneh du PNUD Togo ont exploré les possibilités de partenariats pour le développement durable Emmanuel Adebayor et Binta Sanneh : une rencontre symbolique à l’UniPod Togo

En plus, L’UniPod Togo, lieu emblématique de l’innovation et de la créativité, a offert un cadre idéal à cette délégation. La présence d’Emmanuel Adebayor, ancien capitaine des Éperviers et figure respectée au-delà des stades, a conféré une dimension particulière à l’événement. À travers sa Fondation SEA, il s’investit dans des projets communautaires, notamment dans l’agriculture et la formation des jeunes, apportant ainsi une voix influente à cette rencontre. Ensemble, Binta Sanneh et Emmanuel Adebayor ont exploré les potentialités de cet espace, posant les bases d’une collaboration prometteuse.

Des perspectives concrètes pour le développement durable

En plus, l’objectif central de cette visite était clair : identifier des synergies pour faire avancer le développement durable au Togo. Les échanges ont porté sur des thématiques stratégiques, telles que l’éducation, l’autonomisation des jeunes et l’agriculture durable. La Fondation SEA, déjà active dans des programmes d’agrobusiness visant à offrir des perspectives économiques aux nouvelles générations, pourrait bénéficier de l’expertise technique et du réseau du PNUD. En retour, l’implication d’une personnalité comme Emmanuel Adebayor offre aussi au PNUD une opportunité de toucher un public plus large et d’ancrer ses projets dans les réalités locales. Cette complémentarité laisse entrevoir des initiatives concrètes, capables de répondre aux défis majeurs du pays, comme le chômage des jeunes et la résilience climatique.

Emmanuel Adebayor et Binta Sanneh du PNUD Togo ont exploré les possibilités de partenariats pour le développement durable Emmanuel Adebayor et Binta Sanneh  : vers un avenir à construire ensemble

En somme, cette visite à l’UniPod Togo marque un jalon dans la quête d’un développement durable au Togo. Elle met en lumière la puissance d’une collaboration entre une institution internationale comme le PNUD, des initiatives locales innovantes et des figures publiques engagées.

Les discussions entamées lors de cet événement dessinent un horizon riche en possibilités, où l’éducation et l’innovation pourraient devenir les moteurs d’une transformation profonde. Pourtant, si l’espoir est palpable, le chemin reste à tracer. Cette alliance naissante entre Binta Sanneh, Emmanuel Adebayor et leurs partenaires saura-t-elle se concrétiser en actions durables ?L’avenir du Togo repose désormais sur ceux qui sauront transformer ces promesses en actions concrètes.

 

Togo : Nations Unies et Banque mondiale renforcent leur partenariat pour le développement

Lomé, le 14 novembre 2024 – La coopération entre les Nations Unies et la Banque mondiale au Togo franchit un nouveau cap. En effet, lors d’une rencontre d’envergure hier, Mme Coumba D. Sow, Coordonnatrice résidente des Nations unies au Togo, et M. Fily Cissokho, Directeur pays de la Banque mondiale, ont réaffirmé leur engagement à travailler main dans la main pour le développement du Togo.

Nations Unies et Banque mondiale : Une collaboration fructueuse au service du Togo

Par ailleurs, cette rencontre a permis de dresser un bilan positif de la coopération existante entre les deux institutions et de tracer les contours d’un partenariat encore plus étroit à l’avenir. Les discussions ont porté sur les progrès réalisés dans des domaines clés tels que l’éducation, la santé et les infrastructures, et ont souligné l’importance d’une approche intégrée pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD).

Les Nations Unies et la Banque mondiale s'engagent à soutenir le développement socio-économique pour la bien être des togolais Une approche intégrée pour un développement durable

Les deux parties ont convenu de renforcer leur collaboration dans plusieurs domaines, notamment en matière de financement des projets de développement. La Banque mondiale a réaffirmé son engagement à soutenir les initiatives visant à améliorer les conditions de vie des populations les plus vulnérables. M. Cissokho a souligné l’importance de cibler les projets sur les communautés les plus marginalisées afin de réduire les inégalités.

Les débats se sont aussi accentués sur l’importance d’adopter une approche globale et plurisectorielle pour faire face aux défis du développement. Les deux institutions ont convenu de renforcer leur coordination dans le but de maximiser l’impact de leurs interventions et de garantir une cohérence entre les différents projets.

Une vision partagée pour l’avenir du Togo

Cette rencontre a ouvert de nouvelles perspectives de collaboration entre les Nations Unies et la Banque mondiale. Mme Sow et M. Cissokho ont souligné l’importance de la transparence, de la responsabilité et de l’efficacité dans la mise en œuvre des programmes de développement. Ils ont également convenu de renforcer la coordination avec les autres partenaires techniques et financiers pour maximiser l’impact de leurs interventions.

En somme, cette rencontre marque une étape importante dans le renforcement du partenariat entre les Nations Unies et la Banque mondiale au Togo. Les deux institutions s’engagent à travailler ensemble pour accélérer le progrès et la construction d’un Togo prospère. Cette collaboration permettra aussi de mobiliser davantage de ressources et de mettre en œuvre des projets ambitieux pour améliorer les conditions de vie des Togolais.

UN Togo accueille sa nouvelle coordinatrice Coumba Sow

Lomé, le 6 novembre 2024 Un nouveau chapitre s’ouvre pour la coopération entre le Togo et les Nations Unies. Mme Coumba Sow, nouvelle coordonnatrice résidente, a été officiellement accueillie par l’équipe d’UN Togo. En effet, cette nomination marque une étape importante dans le renforcement des partenariats et le soutien aux efforts de développement du pays.

Dotée d’une solide expérience internationale dans le domaine du développement et de l’aide humanitaire, Mme Sow apporte un vent de fraîcheur et un savoir-faire précieux à ses nouvelles fonctions. Par ailleurs, la représentante résidente du PNUD au Togo, Mme Binta Sanneh, a salué son arrivée et a mis en évidence l’importance de cette collaboration pour atteindre les Objectifs de développement durable (ODD).

« Cordiale bienvenue à notre RC, Mme Coumba Sow, et nous lui souhaitons une mission des plus fructueuses », a déclaré Mme Sanneh lors de la cérémonie d’accueil.

UN Togo accueille sa nouvelle Coordonnatrice résidente, déterminée à renforcer la coopération et à soutenir le développement du pays.UN Togo : un engagement renouvelé pour le développement durable

La nomination de Mme Sow intervient à un moment charnière pour le Togo. Le pays s’est engagé dans une dynamique de transformation et aspire également à renforcer sa coopération avec les partenaires internationaux pour accélérer sa progression vers les ODD. La nouvelle coordonnatrice résidente jouera un rôle clé dans la définition et la mise en œuvre d’une stratégie de développement cohérente et efficace.

Les priorités de Mme Sow incluent notamment :

  • Le renforcement des partenariats : elle s’attachera à renforcer les liens entre les différentes agences des Nations Unies, le gouvernement togolais et les acteurs de la société civile.
  • La mobilisation de ressources : Mme Sow mettra en œuvre des stratégies innovantes pour mobiliser les ressources nécessaires à la mise en œuvre des projets de développement.
  • L’appui à la réalisation des ODD : elle s’engagera à accélérer la réalisation des ODD au Togo, en insistant dans les domaines prioritaires tels que la santé, l’éducation, l’égalité des genres et la croissance économique inclusive.

UN Togo accueille sa nouvelle Coordonnatrice résidente, déterminée à renforcer la coopération et à soutenir le développement du pays.Un accueil chaleureux et des perspectives prometteuses

L’accueil réservé à Mme Sow témoigne de l’enthousiasme avec lequel le Togo accueille cette nouvelle étape de sa coopération avec les Nations Unies. Les attentes sont élevées, et l’équipe de l’UN Togo est aussi déterminée à travailler en étroite collaboration avec la nouvelle coordonnatrice résidente pour relever les défis et saisir les opportunités qui se présentent.

En somme, avec l’arrivée de Mme Sow, le Togo peut envisager l’avenir avec optimisme. Son expertise et son engagement seront aussi des atouts précieux pour accompagner le pays dans sa quête d’un développement durable et inclusif. Le Togo, à la croisée des chemins, se tient prêt à embrasser cette nouvelle ère de coopération et d’innovation sous la houlette éclairée de Mme Sow.

Le PNUD et l’Assemblée nationale togolaise renforcent leur partenariat

Lomé, le 10 octobre 2024 –La capitale dynamique du Togo est témoin d’un événement majeur dans le paysage politique et développemental du pays. En effet, Mme Binta Sanneh, la Représentante Résidente du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) au Togo, accompagnée de son adjointe, a eu l’honneur ce jour de rencontrer le Président de l’Assemblée nationale togolaise. Ainsi, cette rencontre marque une nouvelle étape dans la collaboration entre le PNUD et le gouvernement togolais, avec pour objectif commun de renforcer les institutions démocratiques du pays et d’accélérer son développement durable.

Le PNUD et l'Assemblée nationale togolaise unissent leurs forces pour moderniser le parlement et renforcer la démocratie au Togo.Au cœur des discussions, la modernisation du Parlement togolais. Le PNUD, fort de son expertise, apporte son soutien pour améliorer les infrastructures parlementaires, mettre en place des outils de gestion modernes et renforcer les capacités des parlementaires. En plus, l’objectif est de faire du Parlement un acteur clé dans l’élaboration de politiques publiques efficaces et inclusives, répondant aux besoins de tous les Togolais.

De plus, ce partenariat s’inscrit dans une dynamique plus large de renforcement de la gouvernance démocratique au Togo. En soutenant les réformes parlementaires, le PNUD contribue à consolider l’État de droit et à promouvoir la participation citoyenne.

« Cette collaboration est essentielle pour atteindre les Objectifs de Développement Durable », a déclaré Mme Binta Sanneh. « En renforçant le Parlement, nous renforçons aussi la démocratie et nous posons les bases d’un développement durable et équitable pour le Togo. »

Par ailleurs, les deux partis ont également évoqué l’importance de promouvoir une croissance économique inclusive et de lutter contre la pauvreté. En conséquence, le PNUD et l’Assemblée nationale s’engagent à travailler ensemble pour élaborer des politiques qui permettront le développement des secteurs clés de l’économie tout en préservant l’environnement.

Coopération Canada-Togo : Vers une législature plus équitable

Lomé, le 9 octobre 2024 – Les relations de coopération entre le TOGO et le Canada se renforcent davantage dans le domaine de la gouvernance parlementaire. En témoigne la rencontre entre le Président de l’Assemblée nationale togolaise, Sevon-Tépé Kodjo Adédzé, et M. Peter Hadwen, Directeur régional Afrique et Moyen-Orient du Centre parlementaire canadien.

Au cœur des échanges, le projet des législations inclusives pour des politiques sensibles au genre. Ce projet, lancé en 2022, vise à intégrer la dimension genre dans toutes les actions législatives et budgétaires au TOGO. Les résultats obtenus jusqu’à présent sont encourageants : il y a eu la création d’outils et de méthodes d’analyse qui permettent aux députés et au personnel parlementaire d’évaluer l’incidence des lois et des budgets sur les femmes et les hommes.

« Nous sommes très satisfaits des avancées réalisées », a déclaré M. Peter Hadwen. « Grâce à ce partenariat, l’Assemblée nationale togolaise est en mesure de produire des lois plus justes et plus équitables, qui prennent en compte les besoins spécifiques de tous les citoyens ».

Pour les prochaines étapes, les deux parties ont convenu de renforcer la collaboration entre l’Assemblée nationale et la société civile, afin de bénéficier de leurs expertises et de garantir un suivi rigoureux de l’application des lois. De plus, les nouveaux députés bénéficieront de formations dans le but de les sensibiliser aux enjeux du genre et de les doter des outils nécessaires pour mener à bien leur mission.

Le Centre parlementaire du canada, un partenaire de longue date

Fondé en 1968, le Centre parlementaire canadien est une référence mondiale en matière de renforcement de la démocratie parlementaire. Fort de son expérience, il accompagne de nombreux pays dans la modernisation de leurs institutions législatives. Le partenariat avec le Togo s’inscrit dans cette dynamique et témoigne de l’engagement du Canada à soutenir le développement démocratique en Afrique.

L’intégration de la dimension genre dans les politiques publiques est un enjeu majeur pour le développement durable. En renforçant les capacités de ses parlementaires, le Togo pose les fondements d’une société plus équitable et plus inclusive. Ce partenariat avec le Canada constitue un pas important vers l’atteinte de cet objectif.

 

Élections au Rwanda : Un scrutin historique et paisible

Ce lundi 15 juillet 2024, les électeurs rwandais élisent les députés de l’Assemblée nationale et le président de la République. La campagne électorale, marquée par la paix, la tranquillité et la cohésion sociale, a appelé les citoyens à voter dans le calme. En effet, depuis 8 heures, la population rwandaise afflue en masse aux bureaux de vote pour choisir ses prochains dirigeants et défenseurs.

La communauté rwandaise vivant au Togo et la diaspora ont, quant à elles, voté par anticipation le dimanche 14 juillet 2024 à Lomé. Pascaline Ndayambaje, présidente de la diaspora rwandaise au Togo, a salué les efforts des autorités rwandaises pour permettre ce double scrutin, supervisé par Rosemary Mbabazi, ambassadeur du Rwanda au Togo, résidant au Ghana. Elle a également exprimé sa gratitude envers les autorités togolaises pour leur hospitalité et les facilités offertes pour la tenue des élections anticipées.

Mme Ndayambaje a qualifié d’historique la tenue de ces élections au Togo, soulignant que ce double scrutin témoigne de l’ancrage de la démocratie au Rwanda, un pays inclusif et agréable à vivre.  Rappelons que trois candidats se disputent la présidence, y compris le président sortant Paul Kagamé, qui brigue un quatrième mandat consécutif.

En cette journée électorale cruciale, l’espoir est que la voix du peuple rwandais se fasse enfin entendre et que la décision des urnes reflète véritablement la volonté des citoyens. Que cette journée soit marquée par la paix, la transparence et le respect des choix démocratiques. Nous souhaitons à tous les Rwandais une journée électorale sereine et déterminante pour l’avenir du pays.

 

Togo : impulsion innovante pour le compact MCC

Depuis l’année précédente, le Togo s’engage avec détermination dans l’élaboration de ses initiatives, visant à matérialiser l’activation du programme Compact de la Millennium Challenge Corporation (MCC). Récemment, l’Unité de Coordination du Compact togolais a procédé à la sélection des prestigieux cabinets KPMG et McKinsey pour l’exécution des analyses préliminaires nécessaires à la viabilité des projets envisagés.

Ces entités de renom international se verront attribuer la responsabilité de se pencher sur deux domaines clés définis par le programme, à savoir le secteur énergétique ainsi que celui des technologies de l’information et de la communication (TIC).

Dans le détail, KPMG est chargé de conduire les recherches relatives aux initiatives TIC durant une échéance de 12 mois. Plus précisément, KPMG Advisory se focalisera sur les études préalables concernant la numérisation des transactions financières.

De son côté, McKinsey, dont l’expertise couvre une multitude de secteurs, assumera la réalisation des analyses préliminaires pour l’établissement d’un centre d’innovation, et ce, sur un semestre. En ce qui concerne CPCS Transcom Limited, une firme basée à Ottawa au Canada et reconnue pour son rôle dans l’intégration du secteur privé dans les infrastructures de transport et d’énergie, a effectué les recherches préalaires concernant le volet énergétique.

Avec le lancement anticipé du Programme Compact en janvier 2026, le Togo se positionne pour obtenir un financement conséquent de la part des États-Unis, sous réserve de la consistance et de la pertinence des propositions de projets.

Un Nouveau Souffle dans la Coopération Maritime Togo-Niger

Les autorités portuaires et les acteurs du secteur maritime ont entrepris de rédiger un nouveau chapitre de leur relation avec le Niger, axé sur une coopération maritime renforcée. En effet,  Edem Kokou Tengue, ministre en charge de l’économie maritime, a proposé cette initiative dans le contexte des réalignements actuels au sein de la sous-région, notamment avec la création de l’Alliance des États du Sahel (AES) regroupant le Burkina Faso, le Mali et le Niger. Il l’a fait lors de la récente visite de haut niveau des représentants nigériens au Togo, notamment au Port de Lomé.

Le ministre togolais de l’économie maritime a souligné l’importance de cette visite : « Que retenir de la récente délégation de haut niveau du Niger au Port Autonome de Lomé ? Ensemble, nous aspirons à inaugurer un nouveau chapitre de coopération maritime en facilitant les échanges commerciaux entre le Togo et le Niger. »

Les autorités portuaires ont entrepris d'écrire un nouveau chapitre de leur relation avec le Niger, axé sur une coopération maritime renforcée

Edem Kokou Tengue avait déjà exprimé son objectif de rendre les échanges commerciaux entre les deux pays aussi fluides que possible, afin de soutenir l’économie nigérienne et de favoriser l’exportation et la circulation des produits fabriqués au Niger. Cette coopération maritime vise à renforcer le fonctionnement économique des deux nations.

Pour le Togo, ce positionnement stratégique vis-à-vis des pays du Sahel, en particulier du Niger, est justifié par le volume significatif d’échanges commerciaux opérés via son port. Au cours du dernier trimestre, le Burkina Faso et le Mali, pays sahéliens, figuraient respectivement en deuxième et troisième position parmi les clients du Togo en matière d’exportations. Le Niger, quant à lui, occupait la neuvième place en termes d’importations depuis le Togo.

À Londres : le Togo lutte contre les violences en mer

Le Haut-Commissariat du Togo à Londres a activement participé à la 2ème réunion du Groupe de travail mixte OIT/OMI sur les questions touchant les gens de mer et l’élément humain. L’événement s’est tenu du 27 au 29 février 2024 au siège de l’OMI dans la capitale britannique.

Les discussions ont principalement porté sur les mesures visant à prévenir et à combattre les violences, le harcèlement, ainsi que les agressions sexuelles et le harcèlement sexuel (SASH) dans le secteur maritime. La délégation togolaise, accompagnée d’une délégation du ministère de l’Économie maritime, a contribué activement aux débats et aux échanges d’expériences.

Le Haut-Commissariat du Togo à Londres a activement participé à la 2ème réunion du Groupe de travail mixte OIT/OMI sur les violences en mer

En effet, Le Haut-Commissariat du Togo à Londres, dirigé par M. Komlavi Dedji, Chargé d’Affaires, a souligné l’importance de sensibiliser les marins et les employeurs du secteur maritime aux risques liés aux violences et au harcèlement. Des mesures concrètes ont été discutées pour renforcer la sécurité et le bien-être des gens de mer, en mettant l’accent sur la prévention et la formation.

À la fin des travaux, la délégation togolaise a rendu visite au personnel du Haut-Commissariat du Togo à Londres, renforçant ainsi les liens entre les représentants togolais et le personnel de la mission diplomatique. Les gens de mer togolais ont échangé sur les défis spécifiques qu’ils rencontrent lors de cette rencontre . Par ailleurs ils ont  appris les bonnes pratiques pour se protéger et se soutenir.

Le Haut-Commissariat du Togo à Londres continue de jouer un rôle essentiel dans la promotion des droits et du bien-être des gens de mer, et cette réunion du Groupe de travail OIT/OMI marque une étape importante dans cette démarche. Le Togo s’engage à œuvrer pour un secteur maritime plus sûr et respectueux des droits humains.