Laurence Assignon : 275 heures de cuisine pour un record mondial

À Lomé, la cheffe Laurence Assignon signe un exploit culinaire inédit de 275 heures. Un marathon gastronomique qui célèbre l’audace, la culture togolaise et l’inspiration pour toute une génération.

Lomé, 18 septembre 2025 – À Lomé, une héroïne des fourneaux a captivé les cœurs et les papilles. Hier, le Centre Togolais des Expositions et Foires (CETEF TOGO 2000) a déroulé le tapis rouge pour Laurence Assignon, la cheffe audacieuse qui a défié les limites humaines en cuisinant sans relâche pendant 13 jours consécutifs, soit 275 heures. Elle a ainsi tenté de décrocher le record mondial du plus long marathon culinaire individuel au Guinness World Records. Accueillie en star par le Directeur Général, le Dr Alexandre de Souza, cette femme d’exception incarne en effet  la persévérance et l’amour de la gastronomie togolaise, portée sur la scène mondiale.

 

Un exploit culinaire hors norme : les coulisses d’un marathon inédit

 

Du 10 août à 15 h au 22 août à 2 h du matin, l’esplanade du CETEF TOGO 2000 s’est transformée en théâtre d’un défi monumental. Sous les yeux d’un public émerveillé et avec le soutien logistique du CETEF, sponsor officiel, Laurence Assignon a enchaîné la préparation de plats savoureux, mêlant recettes traditionnelles togolaises et créations audacieuses. En effet, ce marathon de 275 heures a non seulement testé son endurance physique, mais a aussi célébré la richesse culinaire du Togo. Chaque plat, chaque épice, chaque geste était un hommage à la culture locale, projetée sous les feux d’une ambition mondiale.

« Laurence Assignon est une fierté nationale. Son talent et son courage incarnent l’esprit togolais », a déclaré le Dr Alexandre de Souza lors de la cérémonie d’hommage.

Cette visite au CETEF, marquée par des accolades chaleureuses et des mots vibrants, a scellé une collaboration fructueuse entre la cheffe et l’institution, unies pour faire rayonner le Togo.

Une ambassadrice de la gastronomie togolaise : l’héritage d’un patrimoine culinaire

 

Pour Laurence, cette aventure n’était pas seulement un défi personnel : c’était une mission pour valoriser le patrimoine culinaire togolais. Ainsi, à travers ses plats, elle a raconté l’histoire d’un pays où la cuisine est un art de vivre, mêlant traditions ancestrales et créativité moderne.

« Ce marathon, c’est la preuve que la passion et le soutien collectif peuvent mener loin », a-t-elle confié, émue, face à l’accueil triomphal du CETEF.

L’homologation officielle par le Guinness World Records est encore en attente, mais pour le Togo, le verdict est déjà unanime : Laurence Assignon est une championne. En soutenant cet exploit, le CETEF TOGO 2000 a non seulement offert une vitrine à cet événement, mais a également renforcé son rôle de moteur de la promotion culturelle et économique du pays.

 

Une leçon d’espoir pour la jeunesse togolaise

 

Au-delà du record, l’histoire de Laurence Assignon est une leçon de détermination. Cette cheffe, devenue icône nationale, montre que les rêves les plus fous peuvent prendre vie avec du travail et un zeste d’audace. En mettant la gastronomie togolaise sous les projecteurs, elle ouvre aussi la voie à d’autres talents locaux pour briller à l’international. Et pour les Togolais, c’est une invitation à célébrer leur héritage culinaire, des plats de fufu fumant aux sauces épicées qui racontent leur identité.

Alors que le monde entier attend le verdict du Guinness, une question demeure : l’exploit de Laurence Assignon va-t-il inspirer une nouvelle génération de chefs togolais à se lancer sur la scène internationale, faisant ainsi de la gastronomie un véritable levier de soft power pour le pays ?

CFMI : 285 jeunes en lice pour bâtir l’industrie togolaise

À Lomé, le concours d’entrée du CFMI attire 285 candidats prêts à devenir les piliers de l’industrie nationale. Une dynamique de formation qui célèbre 10 ans d’engagement pour l’excellence et l’employabilité.

Lomé, 18 septembre 2025 – Une nouvelle génération de techniciens et d’ingénieurs est sur le point de voir le jour à Lomé ! Depuis hier, 17 septembre, le Centre de Formation aux Métiers de l’Industrie (CFMI) a lancé son concours d’entrée, attirant 285 candidats prêts à se tailler une place dans les secteurs porteurs de la climatisation, du froid industriel, de la chaudronnerie et de l’électromécanique. À l’occasion de son 10e anniversaire, ce fleuron de la formation professionnelle togolaise ne se contente pas de former : il forge aussi l’avenir industriel du pays avec des bourses pour les meilleurs et un programme taillé pour le marché du travail.

Une compétition pour un avenir prometteur

 

Ils sont jeunes, motivés, et rêvent de devenir les artisans du développement industriel togolais. Pendant plusieurs jours, ces 285 candidats planchent sur des épreuves exigeantes, avec à la clé une admission dans des parcours prestigieux : Baccalauréat Professionnel (BAC PRO), Brevet de Technicien Supérieur (BTS), Licence Professionnelle, ou encore des formations courtes pour aiguiser des compétences techniques pointues. D’ailleurs, les lauréats intégreront un centre réputé pour son excellence, où la pratique rencontre la théorie pour produire des professionnels immédiatement opérationnels.

« Le CFMI est un pilier du Plan National de Développement », a rappelé Isaac Tchiakpe, ministre en charge de la Formation Professionnelle, lors de l’ouverture du concours. « Notre ambition est claire : former une main-d’œuvre qualifiée qui répond aux besoins réels des entreprises et propulse l’industrie togolaise vers de nouveaux sommets. »

 

Le centre fête ses 10 ans avec des bourses pour l’excellence

 

Pour marquer son dixième anniversaire, le CFMI met les bouchées doubles. En effet, cette année, des bourses partielles récompenseront les meilleurs candidats en BAC PRO et BTS, une initiative saluée pour son soutien à l’excellence et à l’inclusion. En rendant la formation accessible, le centre veut démocratiser l’accès aux métiers techniques, souvent perçus comme un tremplin vers des carrières stables et bien rémunérées. Climatisation, électromécanique, chaudronnerie : ces filières ne sont pas seulement des métiers, elles sont également les rouages d’une économie togolaise en pleine transformation.

Le CFMI lance son concours 2025 à Lomé. 285 jeunes candidats visent des filières techniques clés pour répondre aux besoins du marché

Un moteur de progrès pour le développement industriel du Togo

 

Dans un pays où l’industrialisation est une priorité, le CFMI n’est pas qu’une école : c’est un moteur de progrès. Ainsi, en formant des techniciens capables d’installer des systèmes de froid pour préserver les produits agricoles, de construire des infrastructures robustes ou de maintenir des équipements industriels, le centre répond à un besoin criant du marché. De plus, grâce à des partenariats solides avec les entreprises locales, les diplômés du CFMI ne chôment pas : ils sont la force vive d’un Togo qui mise sur l’innovation et la compétitivité.

 

En somme, l’effervescence est palpable à Lomé. Ces 285 candidats ne sont pas seulement en compétition pour une place au CFMI ; ils se battent pour un avenir où leurs compétences feront la différence. Pour les jeunes Togolais en quête d’opportunités, le message est clair : l’industrie a besoin de vous, et le CFMI est là pour vous y préparer. Le Togo, avec ce centre d’excellence, écrit une nouvelle page de son histoire économique.

Le défi est désormais de s’assurer que cette initiative de formation soit à la fois maintenue et étendue, pour que le secteur industriel du pays dispose en permanence de professionnels hautement qualifiés et prêts à relever les défis de la mondialisation.

Le Togo mise sur les femmes pour bâtir la paix

À Lomé, le lancement du 3ᵉ Plan d’Action National pour l’Agenda Femmes, Paix et Sécurité marque un tournant stratégique : les femmes et les jeunes deviennent les piliers d’une paix durable et inclusive.

 

Lomé, 18 septembre 2025 – Un vent d’espoir souffle pour la paix et l’égalité au Togo. Hier, mercredi, le pays a dévoilé son 3ᵉ Plan d’Action National (PAN) 2026-2030 pour l’Agenda Femmes, Paix et Sécurité, une initiative phare alignée sur la résolution 1325 du Conseil de Sécurité des Nations Unies. Avec un budget de 2,4 milliards de FCFA, ce plan audacieux place les femmes et les jeunes au cœur de la prévention et de la gestion des conflits, marquant ainsi une étape décisive pour un Togo plus inclusif et pacifique. Dans un pays où la stabilité est un bien précieux, cette ambition pourrait redéfinir l’avenir.

Un engagement fort pour l’inclusion : les femmes comme actrices du changement

 

D’ailleurs, le PAN 2026-2030 n’est pas une simple feuille de route : c’est un pari sur le pouvoir des femmes et des jeunes pour bâtir une société résiliente. Ses objectifs sont clairs : renforcer leur participation active dans la prévention des conflits, la gestion des crises et la transformation des tensions à travers des initiatives concrètes. Celles-ci incluent des formations, des campagnes de sensibilisation et des projets communautaires. Que ce soit dans les villages ou les instances décisionnelles, l’idée est de donner une voix aux femmes pour qu’elles façonnent un Togo apaisé.

En plus, le lancement, orchestré par le Ministère de l’Action Sociale en partenariat avec le PNUD Togo et l’ONG WANEP-Togo, illustre une collaboration exemplaire. WANEP, fer de lance de la paix en Afrique de l’Ouest, s’engage à accompagner chaque étape, des ateliers locaux aux dialogues nationaux. « Les femmes ne sont pas seulement des victimes des conflits, elles sont des actrices clés de la paix », a déclaré une représentante de l’organisation lors de la cérémonie.

Le Togo dévoile son 3ᵉ Plan d’Action National 2026–2030 pour l’Agenda Femmes, Paix et Sécurité. Avec 2,4 milliards de FCFA, ce programme ambitieux place les femmes et les jeunes au cœur de la stabilité nationale.

Un changement de paradigme : l’investissement dans l’inclusion pour la stabilité

 

Adoptée en 2000, la résolution 1325 de l’ONU reconnaît le rôle essentiel des femmes dans la construction de la paix et la nécessité de les protéger dans les contextes de crise. Au Togo, où les tensions sociales et politiques ont parfois marqué l’histoire, ce 3ᵉ PAN s’inscrit dans une volonté de moderniser les approches de gouvernance. Ainsi, avec 2,4 milliards de FCFA mobilisés, le plan financera des initiatives sur cinq ans pour former des médiatrices communautaires, intégrer les jeunes filles dans les processus de dialogue et promouvoir l’égalité dans les instances de décision.

En fait, ce 3ᵉ PAN, c’est un changement de paradigme. En misant sur les femmes, le Togo ne se contente pas de répondre à des impératifs mondiaux ; il investit également dans une société où la paix durable passe par l’inclusion. Des projets pilotes dans les régions des Savanes et des Plateaux, zones souvent touchées par des tensions locales, montrent déjà des résultats prometteurs, comme des comités de paix animés par des femmes.

La route de la paix : un appel à l’action collective

 

Le lancement à Lomé, sous le haut patronage des autorités togolaises, a réuni décideurs, activistes et citoyens, tous unis par un même credo : la paix ne se construit pas sans les femmes. Le PNUD Togo, cheville ouvrière du projet, insiste ainsi sur l’importance d’une mobilisation nationale pour faire vivre cet agenda. « Chaque Togolaise, chaque jeune, doit se sentir concerné », a lancé un représentant du programme.

Ce plan n’est pas qu’un document : c’est une promesse d’un avenir où les voix féminines résonnent dans les conseils de paix, où les jeunes filles deviennent aussi  des ambassadrices du dialogue. Lomé a planté une graine. En somme, la route est tracée, mais l’essentiel reste à faire : ce plan parviendra-t-il à débloquer les financements et à briser les barrières culturelles pour bâtir un Togo où l’égalité est la pierre angulaire d’une paix durable ?

Lomé sous scanner fiscal : le Togo joue la carte de la transparence

À Lomé, l’OTR passe au crible d’une mission internationale pour moderniser sa fiscalité. Une évaluation stratégique qui pourrait propulser le Togo au rang de modèle régional.

 

Cotonou, 18 septembre 2025 – À Lomé, l’Office Togolais des Recettes (OTR) est sous les feux des projecteurs. Depuis le 15 septembre et jusqu’au 30, une équipe d’experts du Fonds Monétaire International (FMI), de la Banque Mondiale, de l’African Tax Administration Forum (ATAF) et de la Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP) de France scrute les performances fiscales du Togo.

Par ailleurs, cette mission, menée sous l’égide de la méthodologie internationale TADAT (Tax Administration Diagnostic Assessment Tool), promet de dessiner les contours d’une administration fiscale plus moderne et efficace. À l’heure où le Togo ambitionne de devenir un hub économique régional, ce check-up pourrait changer la donne.

Un diagnostic pour accélérer le progrès au Togo

 

Lancée il y a dix jours, cette évaluation n’a rien d’une formalité. En effet, le TADAT est un peu le scanner haute précision des systèmes fiscaux : il passe au crible la collecte des impôts, la gestion des contribuables, la lutte contre la fraude et la transparence des services. Pour l’OTR, c’est l’occasion de faire le point sur les réformes engagées depuis la première évaluation en 2019. L’objectif est d’identifier les forces, traquer les failles mais aussi de tracer une feuille de route pour optimiser les recettes publiques, essentielles pour financer routes, écoles et hôpitaux.

Sous la houlette d’experts internationaux, l’équipe examine tout, des processus numériques aux délais de traitement des déclarations fiscales.

« Cette mission est une chance de nous mesurer aux standards mondiaux », a déclaré le Dr Philippe Kokou Tchodié, Commissaire Général de l’OTR, lors de l’ouverture.

D’ailleurs, ses équipes, mobilisées à 100 %, jouent gros : les conclusions, attendues début octobre, orienteront les prochaines réformes pour une fiscalité plus juste et performante.

L’Office Togolais des Recettes est évalué par des experts internationaux via la méthodologie TADAT. Objectif : renforcer l’efficacité fiscale du Togo et accélérer son ambition de hub économique régional.

Un enjeu concret pour tous les citoyens togolais

 

Derrière les termes techniques, l’enjeu est concret : des impôts bien collectés, c’est plus d’argent pour les services publics. Au Togo, où l’OTR a déjà digitalisé une partie de ses services (paiements en ligne, télédéclarations), cette évaluation pourrait aussi accélérer la modernisation. Moins de paperasse, plus de transparence, meilleure traque des évadés fiscaux : les bénéfices touchent aussi bien les citoyens que les entreprises. De plus, en 2019, le premier diagnostic TADAT avait permis des avancées notables, comme la simplification des démarches pour les PME. Cette fois, l’OTR vise encore plus haut.

L’Office Togolais des Recettes est évalué par des experts internationaux via la méthodologie TADAT. Objectif : renforcer l’efficacité fiscale du Togo et accélérer son ambition de hub économique régional.

L’ambition régionale du Togo en ligne de mire

 

Le Togo ne se contente pas de suivre les standards : il veut briller. En accueillant cette mission, le pays se positionne comme un acteur sérieux dans la course à l’efficacité fiscale en Afrique de l’Ouest. Grâce au soutien du FMI, de la Banque Mondiale et de partenaires comme l’ATAF, Lomé pourrait aussi inspirer ses voisins.

« Nous voulons une administration fiscale moderne, au service du développement », insiste le Dr Tchodié.

L’Office Togolais des Recettes est évalué par des experts via la méthodologie TADAT pour renforcer l’efficacité fiscale au Togo

Le défi de la mise en œuvre des réformes futures au Togo

 

En somme, les Togolais attendent avec impatience les résultats. Ce diagnostic, loin d’être achevé, sera une boussole pour un Togo plus prospère. D’ici le 30 septembre, les experts livreront leurs premières observations. Le véritable défi, cependant, sera de transformer les recommandations en actions concrètes et de surmonter les obstacles politiques et logistiques pour faire de l’OTR un modèle d’efficacité fiscale au service du développement durable du pays.

Blue Invest Africa : Lomé devient le porteur de solutions durables

Les 15 et 16 octobre, Lomé accueille le Forum Blue Invest Africa, une première en Afrique de l’Ouest. Startups, investisseurs et décideurs s’y retrouvent pour transformer les océans en moteur de croissance durable.

 

Lomé, 17 septembre 2025 – Imaginez des startups innovantes transformant les déchets marins en trésors économiques, ou des projets d’aquaculture qui boostent l’emploi côtier tout en préservant les écosystèmes fragiles. C’est précisément cette vision d’une « économie bleue » durable qui prendra vie à Lomé les 15 et 16 octobre prochains, avec la première édition en Afrique de l’Ouest du Forum Blue Invest Africa.

Initiative phare de l’Union européenne, cet événement continental promet de tisser des liens d’or entre entrepreneurs audacieux et investisseurs visionnaires, et ce, sous le haut patronage du président Conseil Faure Essozimna Gnassingbé. En coulisses, les préparatifs battent leur plein : l’ambassadeur de l’UE au Togo, S.E.M. Gwilym Ceri Jones a récemment serré la main du Dr José Kwassi Symenouh, président de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo (CCI-Togo), afin de mobiliser les forces vives locales.

Une première ouest-africaine pour des investissements responsables

 

Après des éditions couronnées de succès aux Seychelles en 2022 et au Kenya en 2024, où des dizaines de projets ont décroché des financements décisifs, le Forum Blue Invest Africa pose ses valises à Lomé pour sa troisième mouture. En fait, l’objectif est de connecter 24 startups sélectionnées—des pépites en pêche durable, biotechnologies marines, énergies renouvelables ou tourisme côtier—avec un parterre d’investisseurs publics et privés d’Europe et d’Afrique.

Attendez-vous donc à des sessions de pitch électrisantes, des tables rondes sur la finance verte, des rencontres B2B et un networking effréné, le tout pour accélérer des investissements responsables alignés sur le Global Gateway, l’initiative européenne pour un partenariat euro-africain vertueux.

« C’est plus qu’un forum : c’est une plateforme stratégique pour débloquer des opportunités durables dans l’économie bleue », a affirmé l’UE dans ses annonces.

Avec ses 56 km de côte atlantique et son port de Lomé en pleine expansion, le Togo s’impose comme l’hôte idéal. D’ailleurs,  ce rendez-vous pourrait bien catalyser des milliards d’euros en projets qui génèrent des emplois, protègent la biodiversité et stimulent les économies locales, ce qui représente une bouffée d’air frais pour un continent où les océans possèdent un potentiel économique énorme, évalué à plus de 300 milliards de dollars par an.

Le projet Blue Invest Africa débarque à Lomé les 15 et 16 octobre. Objectif : connecter startups et investisseurs autour de l’économie bleue, pour booster l’emploi, protéger les côtes et catalyser des financements durables.

Un partenariat UE-Togo pour mobiliser les forces vives locales

 

En amont de cette effervescence, S.E.M. Gwilym Ceri Jones a rencontré le Dr José Kwassi Symenouh à la CCI-Togo pour un échange stratégique. L’objectif était d’enrôler la Chambre dans une vaste campagne de sensibilisation auprès des opérateurs économiques togolais.

« Nous comptons sur votre appui pour rameuter les investisseurs et entrepreneurs locaux et assurer une participation massive et de qualité », a insisté l’ambassadeur.

De son côté, le président de la CCI-Togo, pilier du tissu économique national, s’est engagé à ouvrir grand les portes via des formations, des webinaires et des appels à candidatures pour que les PME togolaises ne ratent pas ce train en or. Cette collaboration illustre la dynamique euro-togolaise, dans laquelle l’UE injecte expertise et fonds pour booster l’innovation locale.

Le projet Blue Invest Africa débarque à Lomé les 15 et 16 octobre. Objectif : connecter startups et investisseurs autour de l’économie bleue, pour booster l’emploi, protéger les côtes et catalyser des financements durables.

L’économie bleue : l’avenir des côtes africaines

 

L’économie bleue est l’avenir des côtes africaines, avec des initiatives allant des fermes aquacoles high-tech aux solutions anti-pollution innovantes, en passant par un tourisme marin éco-responsable. À Lomé, ces idées ne resteront pas sur le papier : elles pourraient aussi créer des milliers d’emplois, sécuriser la pêche artisanale et atténuer les effets du changement climatique. Pour les Togolais, c’est aussi une chance de briller sur la scène continentale. Pour l’Afrique, c’est un pas vers une croissance inclusive.

Les inscriptions pour une participation sur place ou en ligne sont ouvertes. Ne tardez donc pas à réserver votre place sur le site officiel du forum. À un mois du grand rendez-vous, Lomé bouillonne déjà d’idées bleues.

 

Une vision pour les océans

 

Et si l’avenir de nos océans se décidait ici, au cœur de l’Afrique de l’Ouest ? Le forum Blue Invest Africa est plus qu’un simple événement : il est également  une promesse de lier la prospérité économique à la durabilité environnementale.

Cet élan d’optimisme suffira-t-il à surmonter les obstacles structurels, ou la mobilisation de ces investissements devra-t-elle s’accompagner de réformes plus profondes pour que l’économie bleue togolaise devienne une réalité durable ?

Marguerite Gnakadé arrêtée : le pouvoir frappe au cœur du clan

Ce 17 septembre à Lomé, l’arrestation spectaculaire de Marguerite Gnakadé, ex-ministre et opposante au régime, secoue le paysage politique togolais. Une opération musclée qui soulève des interrogations sur les dérives du pouvoir.

 

Lomé, 17 septembre 2025 – L’aube a à peine pointé ce mercredi à Lomé que le quartier de Tokoin Solidarité s’est réveillé en sursaut. En effet, une escouade de militaires encagoulés, débarqués en jeeps tonitruantes, a investi le domicile de Marguerite Gnakadé, figure explosive de l’opposition togolaise. L’ancienne ministre des Armées, connue pour ses critiques acerbes contre le régime de Faure Gnassingbé, a été extraite manu militari de sa maison, le portail défoncé.

Sa destination et les motifs officiels de son arrestation demeurent inconnus. Cependant, dans les couloirs du pouvoir et sur les réseaux, les rumeurs fusent : s’agit-il d’un complot, d’une rébellion, ou d’une simple vengeance politique ? Ainsi, ce raid musclé, survenu au lendemain d’une semaine de vives tensions, ravive les braises d’une contestation qui couve depuis des mois au Togo.

 

Une opération commando qui suscite l’indignation

 

Selon des témoins oculaires, l’assaut a débuté aux premières heures du jour. « Ils étaient une dizaine, cagoulés, armés, arrivés en trombe. Ils ont forcé le portail sans un mot, et on les a vus ressortir avec elle, escortée vers un véhicule », raconte un habitant du quartier, encore sous le choc. De plus, la scène, filmée à la va-vite par des voisins, circule déjà comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux.

Transférée à la Direction Centrale de la Police Judiciaire (DCPJ), Marguerite Gnakadé reste injoignable. Aucune charge n’a été formulée publiquement. Néanmoins, des sources proches de l’enquête évoquent des soupçons d’« incitation à la rébellion » et de « complot contre la sécurité de l’État ». Une perquisition au domicile aurait révélé des « éléments matériels graves », selon des fuites relayées en ligne.

Cette arrestation n’est pas anodine : Gnakadé n’est pas n’importe qui. Première femme à la tête du ministère des Armées (2020-2022), elle est aussi la belle-sœur du président Faure Gnassingbé, liée par alliance familiale au clan au pouvoir depuis des décennies.

 

De l’ombre à la lumière : une dissidente en marche

 

Depuis mai dernier, elle a multiplié les sorties tonitruantes, brisant le tabou d’une loyauté familiale pour dénoncer une « gestion calamiteuse » du pays : corruption endémique, répression des opposants, échecs économiques. En juin, elle réclamait la libération des prisonniers politiques, citant l’artiste Aamron ou Kpatcha Gnassingbé. Fin août, dans une vidéo virale, elle a même appelé ouvertement le chef de l’État à « quitter le pouvoir » et a rejoint les rues lors d’une manifestation convoquée par le M66, un mouvement de jeunes activistes de la diaspora qui défie Lomé depuis des mois.

Son parcours est un roman politique à rebondissements. Démise de ses fonctions en 2022, Gnakadé avait d’abord gardé profil bas. Puis, le 2 mai 2025, une tribune incendiaire a fustigé vingt ans d’« espoirs déçus » sous Faure Gnassingbé. Le 12 juin, elle s’est adressée directement aux Forces Armées Togolaises (FAT), les exhortant à « soutenir le peuple, pas le réprimer ». Le 17 août, une nouvelle vidéo choc a suivi, appelant à une « transition apaisée » et à l’unité nationale pour un « renouveau ». Le 30 août, elle est descendue dans la rue, foulant les trottoirs aux côtés de la jeunesse, malgré les gaz lacrymogènes et les interpellations massives.

Ces prises de position, rares d’une voix aussi proche du pouvoir, ont fait d’elle une icône pour l’opposition. Le M66, qui dénonce une « arrestation arbitraire reflétant un État voyou », exige sa libération immédiate. Sur X, les hashtags #FreeMargueriteGnakadé et #FaureMustGo explosent, accompagnés d’appels à la mobilisation. Certains lient déjà cet événement aux interpellations de « mercenaires étrangers » lors des manifestations d’août, soupçonnant des connexions avec des « projets de déstabilisation armée ».

 

Silence radio : un régime sous pression, entre vengeance et justice ?

 

Du côté des autorités, le silence est de mise pour l’instant. Mais, des voix pro-gouvernementales sur les réseaux sociaux minimisent : « Le Code pénal togolais est clair sur les mutineries et complots. C’est la loi qui parle, pas la vengeance ». Cette affaire tombe à pic pour un régime ébranlé par des mois de contestation, amplifiée par la diaspora et les jeunes blogueurs du M66. Arrestations d’artistes, répression des marches : le Togo de Gnassingbé fait face à un vent de révolte qui pourrait bien tourner à la tempête.

Pour les Togolais, lassés d’un demi-siècle de dynastie Gnassingbé, cette interpellation sonne comme un aveu de faiblesse. « Si même une belle-sœur ose défier le palais, qui osera plus ? » s’interroge un activiste en exil. Alors que la DCPJ garde le silence, la rue retient son souffle.

En somme, l’Afrique de l’Ouest observe, et Lomé pourrait bien être le prochain foyer d’un changement tant réclamé.

L’arrestation de Marguerite Gnakadé, une figure du sérail, soulève des interrogations sur les motivations des autorités. Certains y voient un tournant dans la gestion des dissidences internes, tandis que d’autres l’interprètent comme une mesure visant à affirmer l’autorité de l’État face aux critiques.

PREPRUS_Togo : une riposte technologique pour la santé globale

Grâce au projet PREPRUS_Togo, le Togo franchit un cap décisif dans la lutte contre les maladies animales. Un laboratoire modernisé, une approche intégrée et un engagement national fort placent Lomé au cœur de la sécurité sanitaire régionale.

 

Lomé, 17 septembre 2025 – Dans un monde où les menaces sanitaires transcendent les frontières entre espèces, le Togo franchit une étape majeure pour protéger la santé animale, humaine et environnementale. En effet, grâce au projet PREPRUS_Togo, financé par le Pandemic Fund, le Laboratoire Central Vétérinaire (LCV) de Lomé vient de recevoir un arsenal technologique de pointe : équipements modernes et réactifs spécialisés. Par conséquent, cette avancée propulse le pays dans une nouvelle ère de surveillance des maladies animales, avec des retombées prometteuses pour toute la société.

Une réponse concrète face à un défi mondial

 

Dans les régions des Savanes et Maritime, les équipes du LCV ont déjà prélevé 201 échantillons dans des fermes bovines. Ces échantillons, minutieusement analysés, ont un objectif clair : traquer les bactéries résistantes aux antimicrobiens, un fléau qui menace non seulement les animaux, mais aussi les humains et l’environnement. Or, cette résistance, souvent amplifiée par l’usage excessif d’antibiotiques, est une véritable bombe à retardement sanitaire. Ainsi, en renforçant ses capacités de détection, le Togo s’engage dans une lutte proactive, alignée sur l’approche One Health, qui reconnaît l’interconnexion entre la santé des animaux, des humains et des écosystèmes.

Le projet PREPRUS_Togo, financé par le Pandemic Fund, modernise le Laboratoire Central Vétérinaire de Lomé avec des équipements de pointe pour renforcer la surveillance des maladies animales. Une avancée majeure pour la santé publique, l’environnement et la sécurité alimentaire au Togo. Le projet PREPRUS_Togo, financé par le Pandemic Fund, modernise le Laboratoire Central Vétérinaire de Lomé avec des équipements de pointe pour renforcer la surveillance des maladies animales. Une avancée majeure pour la santé publique, l’environnement et la sécurité alimentaire au Togo.

Au cœur de l’action : un laboratoire transformé

 

Le nouvel équipement du LCV, incluant des outils de diagnostic avancés et des réactifs de haute précision, permet des analyses plus rapides et plus fiables. De ce fait, ce bond technologique n’est pas seulement une victoire pour les vétérinaires : il renforce la sécurité alimentaire, protège les éleveurs togolais et contribue à prévenir les risques de pandémies zoonotiques. « Ces outils changent la donne pour notre capacité à anticiper et à contrôler les maladies », a expliqué un responsable du projet PREPRUS_Togo.

PREPRUS_Togo : Un engagement pour l’avenir et le développement durable

 

Ce projet s’inscrit dans une vision globale portée par la FAO et ses partenaires, en lien avec les Objectifs de Développement Durable (ODD). En surveillant de près les menaces émergentes, le Togo se positionne comme un acteur clé dans la région pour promouvoir une santé durable. Alors que le monde célèbre les 80 ans des Nations Unies, cette initiative montre comment des investissements ciblés peuvent transformer la réalité sur le terrain.

 

PREPRUS_Togo : une sécurité qui nous concerne tous

 

La résistance aux antimicrobiens ne connaît pas de frontières. En effet, une vache malade dans une ferme togolaise peut, à terme, affecter la santé humaine à l’autre bout du globe. En équipant le Togo pour mieux surveiller et contrôler ces risques, le projet PREPRUS_Togo ne protège pas seulement le bétail : il sauvegarde notre avenir commun. Restez informés, car la santé de demain se construit aujourd’hui.

Mais, cet investissement technique suffira-t-il à lui seul à changer les pratiques sur le terrain, ou le plus grand défi réside-t-il désormais dans la sensibilisation des éleveurs et des populations à l’utilisation responsable des antibiotiques ?

 

Sokodé mobilise pour une santé publique sans pesticides

Du 16 au 18 septembre, Sokodé accueille un atelier national inédit pour former les directeurs préfectoraux à la lutte contre les intoxications aux pesticides. Une initiative soutenue par la FAO et le gouvernement togolais, qui place la santé publique au cœur des priorités.

 

À Sokodé, du 16 au 18 septembre, un vent d’espoir souffle sur la santé publique togolaise. Dans ce cadre, un atelier national d’envergure réunit les directeurs préfectoraux de la santé, mobilisés pour apprendre à identifier et traiter les intoxications liées aux pesticides. Soutenu par la FAO au Togo et le gouvernement togolais, cet événement marque un tournant dans la lutte contre un danger sanitaire souvent sous-estimé, mais aux conséquences parfois dramatiques.

Pesticides : la menace silencieuse qui plane sur les campagnes togolaises

 

Les pesticides, bien qu’essentiels pour protéger les cultures, peuvent devenir des ennemis invisibles lorsqu’ils sont mal utilisés. Or, au Togo, où l’agriculture est un pilier économique, les intoxications liées à ces substances touchent les agriculteurs, les communautés rurales et même les consommateurs. Cependant, les symptômes sont souvent méconnus, les diagnostics tardifs et les traitements inadaptés, ce qui complique davantage la situation. C’est précisément là qu’intervient cet atelier, conçu pour outiller les responsables de santé à prévenir, détecter et soigner efficacement ces cas.

 

Former pour mieux protéger contre les pesticides : une approche intégrée et durable

 

Pendant trois jours, les participants explorent les meilleures pratiques pour repérer les signes d’intoxication et organiser une prise en charge rapide. En effet, des sessions pratiques, animées par des experts, permettent de renforcer les compétences des directeurs préfectoraux, souvent en première ligne face à ces urgences. « Cette formation est un investissement pour la santé de nos communautés », a souligné un représentant de la FAO. En s’appuyant sur l’approche One Health, qui lie santé humaine, animale et environnementale, le Togo adopte une stratégie globale pour un avenir plus sûr.

À Sokodé, un atelier national forme les responsables de santé à la gestion des intoxications liées aux pesticides. Soutenu par la FAO et le gouvernement togolais, cet événement marque un tournant pour la sécurité sanitaire et l’agriculture durable.

Un engagement national fort pour la sécurité sanitaire

 

Cet atelier, organisé avec le soutien du gouvernement togolais, illustre également une volonté forte de renforcer la résilience du système de santé face aux défis émergents. Ainsi, en formant les décideurs locaux, le pays pose les bases d’une réponse coordonnée et efficace aux intoxications, réduisant ainsi les risques pour les populations et l’environnement. À l’heure où les crises sanitaires mondiales rappellent l’importance de la vigilance, cette initiative est un modèle d’action concrète.

 

Sokodé, laboratoire d’espoir pour un Togo plus sûr

 

Chaque année, des milliers de personnes dans le monde souffrent des effets des pesticides mal gérés. Dans ce contexte, cet atelier à Sokodé est bien plus qu’une formation : c’est un signal fort pour une agriculture plus sûre et une santé publique renforcée. Alors que les travaux se poursuivent jusqu’au 18 septembre, une chose est claire : protéger la santé des Togolais, c’est aussi préserver l’avenir de tous.

Reste à savoir si cet atelier marquera un tournant décisif vers une prise de conscience nationale, ou si la mise en œuvre de ces connaissances sur le terrain restera un défi face au manque de ressources et à la difficulté de changer les pratiques agricoles ancrées.

ACP 2025 : le Togo, nouveau phare de la science africaine

Du 15 au 20 septembre 2025, le Togo accueille l’ACP 2025, une conférence internationale sur la physique qui réunit chercheurs, étudiants et experts pour penser l’innovation au service du développement durable.

 

Depuis le 15 septembre, le Togo rayonne sur la scène scientifique mondiale. En effet, le Centre d’Excellence Régionale sur les Sciences Aviaires (CERSA) de l’Université de Lomé vibre au rythme de l’ouverture de la Conférence africaine sur la physique fondamentale et appliquée (ACP 2025). Jusqu’au 20 septembre, cet événement d’envergure réunit des scientifiques, des étudiants et des experts du monde entier afin de faire avancer la recherche et ancrer la physique comme levier du développement durable en Afrique. Ainsi, une ambition forte place le Togo sous les projecteurs de l’innovation.

L’ACP 2025 : un carrefour d’idées pour un continent en mutation

 

L’ACP 2025 est un carrefour d’idées où enseignants-chercheurs, jeunes talents et experts internationaux explorent comment la physique peut répondre aux défis du continent. De plus, de l’énergie renouvelable à la biotechnologie, en passant par les technologies de pointe, les discussions promettent d’ouvrir des perspectives concrètes pour un avenir durable. Ce faisant, ce rendez-vous illustre la volonté du Togo de devenir un hub scientifique en Afrique francophone.

Lomé accueille l’ACP 2025, conférence africaine sur la physique fondamentale et appliquée. Un rendez-vous stratégique qui positionne le Togo comme un hub scientifique et moteur d’innovation pour le continent.

Le Togo s’engage pour la science et l’innovation

 

Lors de la cérémonie d’ouverture, le ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, M. Koffi Natchaba, a souligné les efforts du gouvernement togolais pour dynamiser l’enseignement des sciences. Parmi les priorités, recruter davantage d’enseignants, encourager les jeunes filles à embrasser les disciplines scientifiques et soutenir les filières stratégiques pour l’économie nationale.

« La science est un moteur de progrès, et le Togo s’engage à en faire une réalité », a-t-il déclaré.

Par ailleurs, le ministre a également salué l’impulsion donnée par le président du Conseil, SEM Faure Essozimna Gnassingbé, dont la vision a permis au Togo d’accueillir cet événement prestigieux. En ce sens, il a exprimé l’espoir que l’ACP 2025 marque le début d’une culture scientifique durable, positionnant le pays comme un acteur clé de l’innovation mondiale.

Lomé accueille l’ACP 2025, conférence africaine sur la physique fondamentale et appliquée. Un rendez-vous stratégique qui positionne le Togo comme un hub scientifique et moteur d’innovation pour le continent.

De la théorie à la pratique : la physique au service du quotidien

 

Au-delà des laboratoires, la physique touche notre quotidien : des avancées médicales aux solutions pour le climat, elle façonne l’avenir. En accueillant l’ACP 2025, le Togo ne se contente pas d’organiser une conférence ; il pose les bases d’un écosystème scientifique vibrant, capable de répondre aux enjeux africains et mondiaux. Dès lors, cette semaine, Lomé est bien plus qu’une capitale : c’est un laboratoire d’idées pour demain.

L’ACP 2025 : Lomé, capitale de la science pour un avenir radieux

 

En définitive, l’ACP 2025 place la science au cœur du changement et invite chacun à en faire un levier d’avenir. À travers cette conférence, le Togo affirme également  avec force sa volonté de bâtir un futur fondé sur la connaissance, l’innovation et le partage. Jusqu’au 20 septembre, Lomé reste le théâtre d’échanges scientifiques majeurs — restez à l’écoute pour découvrir les idées et avancées qui façonneront l’Afrique de demain.

La tenue de cette conférence suffira-t-elle à inspirer une nouvelle génération de scientifiques togolais, ou les défis de financement et de recherche resteront-ils un frein à l’émergence d’une véritable révolution scientifique dans le pays ?

 

Lomé se met à l’heure bavaroise : l’Oktoberfest débarque au Togo

Du 9 au 12 octobre 2025, l’Hôtel 2 Février accueille la première Oktoberfest togolaise : quatre jours de fête, de gastronomie et de culture bavaroise, mêlée aux saveurs locales. Une célébration inédite qui promet de faire vibrer Lomé.

 

Lomé, 17 septembre 2025 – Préparez-vous à lever vos chopes sous le soleil togolais ! Du 9 au 12 octobre, l’Hôtel 2 Février à Lomé se transforme en épicentre de la fête avec la toute première Oktoberfest togolaise, une célébration haute en couleur de la bière, de la gastronomie et de la convivialité. En partenariat avec la Société Nouvelle de Boissons (SNB), cet événement promet de faire vibrer la capitale au rythme de la culture bavaroise, tout en célébrant les saveurs et talents locaux. Attendez-vous à quatre jours d’ébullition festive !

De Munich à Lomé : la légende d’une fête millénaire

 

Née en 1810 à Munich pour célébrer un mariage princier, l’Oktoberfest est devenue une institution mondiale, attirant chaque année des millions de visiteurs. Costumes traditionnels, musique entraînante, choucroute et percement du premier tonneau : cette fête emblématique s’exporte désormais à Lomé pour une expérience inédite. Grâce à l’Hôtel 2 Février, référence de l’hospitalité togolaise, et à la SNB, qui apporte la qualité de la bière Warsteiner, le Togo s’apprête à vivre un voyage culturel unique, mêlant traditions bavaroises et esprit africain.

« Nous voulons offrir un événement festif et inclusif, qui célèbre à la fois la bière et la richesse culturelle du Togo », a expliqué Serge Messan, Directeur Commercial et Marketing de l’Hôtel 2 Février.

Une ambition partagée par la SNB, qui met en avant ses produits locaux pour accompagner cette fête mémorable.

 

Plus qu’une bière, un festival de saveurs et d’animations

 

Par ailleurs, l’Oktoberfest togolaise dépasse largement le cadre d’une fête dédiée à la bière. Autour de la piscine Akwaba, les festivaliers embarqueront pour une expérience gastronomique inédite, portée par des chefs venus d’Allemagne, du Togo, d’Inde et de Tunisie. Entre saucisses, grillades, choucroute, mets locaux et un brunch d’exception, les saveurs s’entremêleront pour offrir un véritable festin des sens.

« Ce sera une aventure culinaire ouverte à tous, même à ceux qui préfèrent les plaisirs sans alcool », a assuré Roméo Okoumassoun, Directeur de la Restauration.

De surcroît, l’ambiance sera tout aussi électrique, avec des concerts live, des sets de DJ, des jeux traditionnels comme le sciage de tronc d’arbre, un concours du roi de la bière et une grande tombola offrant des nuitées à l’Hôtel 2 Février et des goodies exclusifs. Que vous veniez en famille, entre amis ou en équipe d’entreprise, chacun y trouvera son bonheur ! Grâce à son programme varié, l’Oktoberfest togolaise promet des moments inoubliables, riches en saveurs, en musique et en convivialité.

Du 9 au 12 octobre, Lomé accueille sa première Oktoberfest à l’Hôtel 2 Février. Bières, cuisine fusion, concerts et animations

Un pont entre les cultures, un moteur pour l’économie

 

Au-delà des festivités, l’Oktoberfest togolaise s’impose comme un levier économique et culturel. En valorisant les produits de la Société Nouvelle de Boissons (SNB), en dynamisant le secteur hôtelier et en attirant un public éclectique — des familles togolaises aux touristes internationaux — l’événement contribue aussi au rayonnement de Lomé.

Dans cette dynamique, la représentante de l’Ambassade d’Allemagne, Mme Frida, souligne la portée symbolique de cette initiative :

« L’Oktoberfest est bien plus qu’une fête. C’est une passerelle entre les peuples, une célébration de la culture bavaroise qui s’enrichit des échanges avec le Togo. »

En plus, ce dialogue interculturel, porté par la convivialité et le partage, illustre parfaitement l’ambition de cette première édition : faire de la fête un moteur de rapprochement, de développement et d’ouverture.

 

Rejoignez l’histoire !

 

En somme, du 9 au 12 octobre, Lomé deviendra le carrefour de la convivialité et de la diversité culturelle. Que vous soyez amateur de bière, passionné de gastronomie ou simplement en quête d’une expérience unique, l’Oktoberfest togolaise vous attend. Réservez votre place et venez célébrer cet événement historique qui marie tradition et modernité sous le ciel de Lomé !

Cet événement pourrait-il marquer le début d’une nouvelle tradition annuelle qui non seulement célèbre la convivialité, mais renforce également la position de Lomé comme une destination culturelle et festive incontournable en Afrique de l’Ouest ?