Kara : le CEProDuC se dote d’équipements de pointe pour dynamiser la recherche agronomique

À Kara, le Centre d’Excellence en Protection Durable des Cultures (CEProDuC) franchit un cap technologique avec l’arrivée d’équipements de pointe. Une avancée stratégique pour renforcer la recherche agronomique, soutenir la souveraineté alimentaire et positionner l’Université de Kara comme acteur régional de l’innovation verte. Clairement, ce développement est crucial pour l’avenir agricole du Togo.

 

Kara, 31 octobre 2025 – Le Centre d’Excellence en Protection Durable des Cultures (CEProDuC), rattaché à l’Université de Kara, vient de franchir un cap décisif dans sa trajectoire scientifique. En effet, jeudi dernier, une série d’équipements de haute technologie a été réceptionnée sur site, marquant une avancée stratégique pour intensifier les travaux en agronomie et en écologie appliquée dans le nord du Togo.

La remise, ciblée et intermédiaire, s’est déroulée dans l’enceinte du centre sous la supervision du professeur Komla Sanda, directeur du CEProDuC. Alors qu’il était entouré d’une délégation restreinte d’experts et de collaborateurs, il a salué cette dotation comme un souffle de modernité pour les laboratoires engagés dans la lutte contre les menaces environnementales et phytosanitaires.

Parmi les instruments reçus figurent des dispositifs d’analyse microbiologique et de modélisation des risques agricoles, capables de propulser les recherches vers une précision accrue. Par conséquent, dans un pays où l’agriculture demeure le socle de l’économie rurale, cette acquisition tombe à point nommé pour affronter les aléas climatiques et promouvoir des pratiques durables auprès des producteurs locaux.

Le CEProDuC  : une modernisation au service de la souveraineté alimentaire

 

Conçu pour former les élites en gestion intégrée des écosystèmes cultivés, le CEProDuC s’impose comme un pôle régional de recherche appliquée. De plus, cette acquisition, fruit de partenariats internationaux discrets mais efficaces, s’inscrit dans une stratégie globale de l’Université de Kara visant à aligner ses infrastructures sur les standards scientifiques mondiaux.

« Ces outils ne sont pas qu’un apport matériel : ils catalysent avant tout une recherche qui touche directement la table des Togolais », confie une source interne, évoquant des projets pilotes en lutte antiparasitaire et en biodiversité végétale.

La réception provisoire ouvre la voie à une phase de tests rigoureux et à une intégration progressive, accompagnée également de formations techniques pour les équipes. Ceci s’inscrit dans une dynamique rectorale plus large, illustrée récemment par les visites de terrain aux fermes pédagogiques, qui renforcent l’image d’un campus tourné vers l’impact concret.

Le CEProDuC de l’Université de Kara reçoit des équipements de pointe pour intensifier la recherche agronomique et écologique, au service de la souveraineté alimentaire et du développement durable au Togo. Le CEProDuC de l’Université de Kara reçoit des équipements de pointe pour intensifier la recherche agronomique et écologique, au service de la souveraineté alimentaire et du développement durable au Togo.

Vers un avenir semé de progrès

 

Finalement, au-delà des murs du CEProDuC, cette avancée pourrait irriguer l’ensemble du secteur agroalimentaire togolais, en favorisant notamment des synergies avec les instituts voisins et les acteurs privés. Pendant que les chercheurs prennent en main ces nouveaux outils, Kara affirme un peu plus sa position de hub d’expertise verte en Afrique de l’Ouest.

Les premiers résultats d’analyse, attendus dans les semaines à venir, pourraient bien semer les graines d’une révolution tranquille pour l’agriculture nationale. Ainsi, dans ce laboratoire vivant, la science ne se contente plus d’observer : elle cultive, protège et transforme.

 

Lomé : le Dr Hamadou Nouhou prend ses fonctions de nouveau représentant de l’OMS

Le Dr Hamadou Nouhou a officiellement pris ses fonctions comme nouveau représentant de l’OMS au Togo, lors d’une cérémonie protocolaire tenue à Lomé. Sa nomination marque un tournant dans la coopération sanitaire, avec un engagement renouvelé en faveur de la Couverture Sanitaire Universelle et des Objectifs de Développement Durable. 

 

Lomé, 31 octobre 2025 – Un nouveau chapitre s’ouvre dans la coopération sanitaire entre le Togo et l’Organisation mondiale de la santé (OMS). En effet, ce vendredi, le Dr Hamadou Nouhou a officiellement remis ses lettres de créance, actant son entrée en fonction en tant que coordinateur résident de l’agence onusienne. Sa nomination, saluée par les autorités togolaises, s’accompagne d’un engagement renouvelé de l’OMS à soutenir les efforts nationaux pour une couverture médicale plus inclusive et un alignement renforcé sur les Objectifs de Développement Durable (ODD).

La cérémonie, à la fois protocolaire et conviviale, s’est tenue au ministère des Affaires étrangères. Le Dr Nouhou — ancien expert en santé publique au sein de l’organisation — a échangé documents officiels et poignées de main avec les hauts dignitaires togolais, sous le regard symbolique du portrait présidentiel. Des clichés capturés sur place le montrent brandissant le dossier bleu de l’OMS, symbole de son mandat désormais entériné.

 

Une coopération stratégique à l’heure des grands défis

 

De plus, dans un message personnel diffusé sur son compte X, le nouveau représentant n’a pas caché son enthousiasme : « C’est un privilège de débuter cette mission au Togo, où je m’engage à booster les avancées en matière d’accès équitable aux soins et de développement durable. » À cet égard, il a notamment cité la Couverture Sanitaire Universelle (CSU) et les ODD comme priorités de son mandat.

Par conséquent, l’OMS, par sa voix, réaffirme son rôle de partenaire stratégique, prête à mobiliser ressources et expertises pour accompagner le Togo dans la lutte contre les inégalités sanitaires. Ce renforcement de la coopération intervient à un moment charnière pour le système de santé togolais, qui a su faire preuve de résilience face aux crises récentes — de la pandémie de Covid-19 aux épidémies endémiques.

En outre, avec des programmes en cours pour la vaccination de masse et la modernisation des infrastructures rurales, l’arrivée du Dr Nouhou pourrait accélérer des projets structurants, tels que l’expansion des centres de santé communautaires ou la formation de personnel médical. « Nous comptons sur cette collaboration pour franchir un cap décisif vers la santé pour tous », confie une source au ministère de la Santé, saluant l’accueil « fraternel et confiant » réservé au diplomate.

Le Dr Hamadou Nouhou devient le nouveau représentant de l’OMS au Togo. Sa nomination renforce la coopération sanitaire et les engagements en faveur de la santé universelle et du développement durable.

Le Dr Hamadou Nouhou : cap sur l’action et les résultats

 

Avant de s’immerger pleinement dans ses nouvelles responsabilités, le Dr Nouhou a tenu à exprimer sa gratitude envers les autorités togolaises : « Cet accueil chaleureux reflète la solidité des liens entre le Togo et l’OMS, et me motive à donner le meilleur pour le bien-être des populations. » Des échanges bilatéraux sont déjà prévus dans les prochains jours, avec pour objectif l’élaboration d’un plan d’action concret, incluant des financements internationaux pour des campagnes de prévention et de renforcement des capacités.

Finalement, pour les Togolais, qui voient en l’OMS un allié historique dans la lutte contre le paludisme, la malnutrition et les crises sanitaires, cette nomination incarne l’espoir d’une dynamique accélérée. Ainsi, tandis que le Dr Nouhou s’installe à Lomé, son mandat s’annonce comme un levier pour transformer les engagements en réalisations tangibles, au service d’une nation résolue à renforcer son système de santé. L’Afrique de l’Ouest, observatrice attentive, attend les premiers fruits de cette alliance renouvelée.

 

Kara : la rectrice Houzou-Mouzou Prénam en immersion sur les pôles agronomiques de l’Université

À Kara, la rectrice Houzou-Mouzou Prénam a effectué une visite stratégique sur les pôles agronomiques de l’université, affirmant sa volonté de lier savoir académique, innovation agricole et développement territorial. Une immersion de terrain qui dessine les contours d’un campus engagé dans la souveraineté alimentaire et la transition écologique.

 

 

Kara, 31 octobre 2025 Dans un geste fort de gouvernance académique, la Professeure Houzou-Mouzou Prénam, rectrice de l’Université de Kara, a effectué ce vendredi une visite stratégique sur les principaux sites agronomiques et botaniques de son établissement. En fait, cette immersion vise à arrimer les ambitions pédagogiques à une réalité opérationnelle, en articulant formation, production et impact territorial pour un campus plus résilient et tourné vers l’innovation.

Accompagnée du vice-président, Professeur Boussalengue Tchable, et du secrétaire général Assoté Egbaou, la rectrice a parcouru trois infrastructures emblématiques : le jardin botanique, la ferme agro-pastorale et la station d’expérimentation agronomique. En effet, ces pôles, véritables laboratoires à ciel ouvert, offrent aux étudiants en sciences de la vie et de la Terre un cadre d’apprentissage concret, tout en générant des retombées économiques locales à travers des pratiques agricoles durables.

« Ces sites ne sont pas de simples annexes ; ils incarnent l’essence d’une université engagée au service du développement togolais », confie une source proche du cabinet rectoral, soulignant l’importance de cette visite pour prendre le pouls des opérations sur le terrain.

Rectrice Houzou-Mouzou : des orientations claires pour une transformation durable

 

Tout au long de son périple, la Professeure Houzou-Mouzou Prénam a prodigué des recommandations ciblées aux équipes techniques : renforcer les protocoles de production, intégrer des outils numériques pour le suivi des cultures, et tisser des partenariats plus étroits avec les agriculteurs de la région. Par ailleurs, ces orientations, portées par une vision holistique, visent à faire de ces infrastructures des hubs d’excellence alignés sur les priorités nationales en matière de souveraineté alimentaire et de transition écologique.

La rectrice Houzou-Mouzou Prénam visite les pôles agronomiques de l’Université de Kara pour renforcer le lien entre savoir académique, innovation agricole et développement durable. La rectrice Houzou-Mouzou Prénam visite les pôles agronomiques de l’Université de Kara pour renforcer le lien entre savoir académique, innovation agricole et développement durable.

Une université enracinée dans son territoire

 

Cette visite s’inscrit dans une stratégie plus large pour l’Université de Kara, pôle académique majeur du nord du Togo, qui mise également sur l’agroforesterie comme levier de formation face aux défis climatiques. En inspectant les semis botaniques et les parcelles expérimentales, la rectrice a pu mesurer les avancées depuis sa prise de fonction, tout en identifiant des leviers pour améliorer la rentabilité et la pertinence des projets.

Les responsables des sites, stimulés par ces échanges, se sont engagés à accélérer la mise en œuvre des recommandations, avec des rapports d’étape attendus d’ici la fin du trimestre.

Une pédagogie ancrée dans le réel

 

Au-delà des considérations techniques, cette initiative rectorale renforce le lien entre théorie et pratique, essentiel dans un pays où l’agriculture mobilise plus de 60 % de la population active. Elle pourrait aussi inspirer d’autres établissements d’enseignement supérieur à investir dans des fermes pédagogiques, favorisant une recherche appliquée au service des communautés rurales.

Alors que le soleil déclinait sur les champs de Kara, cette journée de terrain esquissait les contours d’un renouveau pour l’Université : un lieu où la science s’enracine dans le sol, où l’innovation pousse au rythme des saisons, et où l’engagement académique se conjugue avec les réalités du territoire. Les mois à venir diront si ces orientations porteront leurs fruits — au sens propre comme au figuré.

GRIT 2025 : le Togo affirme son ambition numérique à Lomé

À Lomé, la première édition de la Grande Rencontre de l’Innovation Technologique (GRIT) a réuni entrepreneurs, investisseurs et décideurs autour d’une ambition claire : faire du Togo un laboratoire africain du numérique. Portée par la Stratégie Togo Digital 2025 et le Startup Act en cours de délibération, cette rencontre marque un tournant pour l’écosystème tech togolais, établissant un pont entre vision stratégique et alliances concrètes.

 

Lomé, 30 octobre 2025 – Le Centre International des Conférences de Lomé (CICL) accueille depuis hier mercredi la première édition de la Grande Rencontre de l’Innovation Technologique (GRIT), un événement fondateur pour les ambitions numériques du Togo. Portée par la ministre de l’Efficacité du Service Public et de la Transformation Numérique, Cina Lawson, cette rencontre a réuni un large éventail d’acteurs du numérique : entrepreneurs, investisseurs, décideurs publics et partenaires internationaux.

Lors de son discours d’ouverture, Mme Lawson a posé les fondations d’une vision audacieuse :

« Le Togo est petit par sa taille, mais grand par son ambition. Nous voulons être un laboratoire africain de la transformation digitale, un pays où les idées deviennent réalité et où les entrepreneurs écrivent le futur du continent. »

Le Togo lance la première édition de la GRIT à Lomé, un forum stratégique dédié à l’innovation technologique, au cœur de la Stratégie Togo Digital 2025 et du Startup Act.

GRIT 2025 : une stratégie numérique structurée autour du Startup Act

 

Il convient de noter que la GRIT s’inscrit dans le cadre de la Stratégie Togo Digital 2025, articulée autour de trois piliers majeurs pour faire du pays un acteur central de l’innovation technologique en Afrique. L’un des leviers clés de cette stratégie est le Startup Act togolais, actuellement en délibération à l’Assemblée nationale. En effet, ce texte, élaboré en concertation avec les écosystèmes locaux, vise à créer un environnement propice à l’éclosion et à la croissance des jeunes entreprises innovantes.

Parmi les mesures phares annoncées, on trouve :

  • D’abord, la création d’un fonds d’investissement dédié aux projets à fort potentiel.
  • Ensuite, la mise en place de sandboxes réglementaires pour tester des solutions en conditions réelles.
  • De plus, l’introduction de certifications officielles pour renforcer la crédibilité des startups.
  • Enfin, le lancement d’un annuaire centralisé, piloté par l’Agence Togo Digital, pour accroître la visibilité des initiatives locales et attirer les capitaux étrangers.

Le Togo lance la première édition de la GRIT à Lomé, un forum stratégique dédié à l’innovation technologique, au cœur de la Stratégie Togo Digital 2025 et du Startup Act.

Un carrefour d’innovation et de connexions

 

Dès sa première journée, la GRIT a pris des allures de plateforme continentale, catalysant les échanges entre fondateurs de startups, bailleurs de fonds, institutions publiques et experts internationaux. L’objectif : positionner le Togo comme un hub numérique africain, capable d’attirer les investissements et de faire rayonner ses talents au-delà de ses frontières.

Des ateliers interactifs et des sessions de pitch ont mis en lumière des solutions concrètes, telles que :

  • Applications pour l’agriculture connectée.
  • Outils fintech pour l’inclusion bancaire.
  • Plateformes e-santé adaptées aux zones rurales.

« Cet événement n’est pas qu’une vitrine ; c’est un accélérateur concret pour nos entrepreneurs », a souligné un investisseur, saluant la maturité croissante d’un écosystème en pleine structuration. Grâce à cela, des partenariats se dessinent déjà avec des fonds d’impact et des géants du numérique, prêts à accompagner l’industrialisation des innovations togolaises.

Le Togo lance la première édition de la GRIT à Lomé, un forum stratégique dédié à l’innovation technologique, au cœur de la Stratégie Togo Digital 2025 et du Startup Act.

Un Togo numérique, visionnaire et structurant

 

En définitive, alors que la GRIT se poursuit jusqu’au 31 octobre, le message est clair : le Togo ne veut plus suivre, il veut ouvrir la voie. À ce titre, en alignant ses priorités sur les besoins immédiats — numérisation des services publics, cybersécurité, inclusion digitale — tout en visant l’excellence continentale, le pays affirme son ambition de devenir un modèle régional.

Cependant, pour que cette dynamique se concrétise, l’adoption rapide du Startup Act reste cruciale. Tous les regards se tournent désormais vers le Parlement, où se joue la prochaine étape de cette transformation.

Pour les jeunes innovateurs togolais, la GRIT 2025 sonne comme un signal fort : leurs idées ont un avenir, et cet avenir se construit dès maintenant à Lomé.

Un laboratoire africain ? Le Togo semble prêt à en allumer les étincelles.

 

Barry Moussa Barqué reçoit l’UNFPA pour consolider les réformes sociales au Togo

À Lomé, le président du Sénat Barry Moussa Barqué a reçu Elise Kakam, cheffe de la délégation de l’UNFPA au Togo, pour une audience axée sur l’équité sociale, la jeunesse et les droits humains. 

 

Lomé, 30 octobre 2025 –  Ce jeudi, au siège du Sénat, l’honorable Barry Moussa Barqué, président de la chambre haute, a reçu en audience Elise Kakam, cheffe de la délégation du Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA) au Togo. Dans une atmosphère empreinte de cordialité et de convergence d’idées, les deux personnalités ont salué les avancées communes en matière de développement humain, tout en esquissant de nouvelles pistes de collaboration.

Une coopération saluée pour son impact sur l’équité et les générations futures

 

Au cours des échanges, Elise Kakam a souligné les efforts du Togo en faveur de la parité hommes-femmes et du soutien aux populations vulnérables. Elle a appelé à un renforcement des leviers législatifs pour pérenniser ces acquis, estimant que le Sénat peut jouer un rôle déterminant dans la promotion de politiques inclusives, notamment à destination des jeunes et des femmes.

Les discussions ont également porté sur des enjeux structurants : amélioration des données statistiques pour orienter les politiques publiques, mobilisation de financements internes pour des projets durables, implication accrue du secteur privé dans les actions sociales, et intégration active des jeunes générations dans les dynamiques de croissance. « Ces piliers sont essentiels pour bâtir une société où chacun trouve sa place », a affirmé la représentante de l’UNFPA, insistant ainsi sur l’importance d’une gouvernance fondée sur des données fiables et une mobilisation collective.

À Lomé, le président du Sénat et l’UNFPA ont échangé sur l’inclusion, la jeunesse et les droits humains. Une coopération renforcée au service du progrès social.

L’UNFPA : un geste symbolique et un engagement réaffirmé

 

À l’issue de la rencontre, Mme Kakam a remis au président Barqué le Rapport mondial sur la population 2025, un document de référence qui place l’individu au cœur des politiques de développement. Ce geste symbolique incarne aussi l’engagement de l’UNFPA à inscrire les droits humains dans les priorités nationales.

Barry Moussa Barqué a, pour sa part, salué l’accompagnement constant de l’UNFPA auprès des populations togolaises, notamment dans les zones rurales et périurbaines. Il a réaffirmé l’adhésion du Sénat à cette synergie, soulignant que « cette coopération profite directement au bien-être collectif et trace la voie d’un Togo plus juste ». Les deux parties ont ainsi convenu de poursuivre les échanges, avec un accent particulier sur les programmes de formation, de sensibilisation et de renforcement des capacités.

 Un Togo en mutation, aligné sur les objectifs mondiaux

 

Cette audience intervient dans un contexte de réformes sociales accélérées, en cohérence avec les Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies. En misant sur l’égalité, l’inclusion et la jeunesse, le Togo ambitionne de se positionner comme un modèle régional en matière de progrès social.

Si les promesses doivent encore se concrétiser sur le terrain, ce tête-à-tête augure d’une alliance renforcée entre institutions nationales et partenaires internationaux, au service d’une nation résiliente, solidaire et tournée vers l’avenir.

 

Guinness : Celia Awoussi vise les 336 heures de cuisine

Après Laurence Assignon, la cheffe Celia Awoussi lance un nouveau défi Guinness : 336 heures de cuisine non-stop à Lomé

 

Lomé, 30 octobre 2025 – La fièvre du marathon culinaire continue de s’emparer du Togo. En effet, à peine deux mois après l’exploit mémorable de la cheffe Laurence Assignon qui avait rallié le pays autour de ses 275 heures de cuisine non-stop, une nouvelle concurrente ambitieuse se lance dans la course au Livre Guinness des records.

Il s’agit de la cheffe Celia Awoussi, qui a officiellement annoncé le lancement de son propre marathon culinaire.

La cheffe Celia Awoussi lance son marathon culinaire au Togo ! Elle vise 336 heures de cuisine non-stop pour le Record Guinness, dépassant le précédent exploit.

Un défi plus grand : 336 heures d’endurance culinaire

 

Premièrement, Celia Awoussi relève un défi de taille : cuisiner pendant plus de 336 heures non-stop, soit plus de deux semaines d’endurance culinaire, dépassant ainsi le temps établi par sa prédécesseure. Le marathon débutera le samedi 8 novembre au stade de Kégué à Lomé, à partir de 17 h 00.

L’objectif affiché est colossal : préparer plus de 600 000 plats, proposant un menu riche et diversifié qui mêlera notamment spécialités africaines et européennes.

L’héritage d’Assignon et l’enjeu national

 

Toutefois, cette nouvelle tentative intervient dans un contexte où le Togo attend toujours l’homologation officielle de la performance de Laurence Assignon. Que son record soit validé ou non, l’exploit d’Assignon a néanmoins créé un précédent et un élan de fierté nationale. Par conséquent, Celia Awoussi s’inscrit clairement dans cette lignée de résilience et de détermination togolaise.

De plus, ce n’est plus seulement une question de record personnel ; il s’agit avant tout de maintenir la mobilisation et de démontrer l’excellence culinaire togolaise sur la scène internationale.

La cheffe Celia Awoussi lance son marathon culinaire au Togo ! Elle vise 336 heures de cuisine non-stop pour le Record Guinness, dépassant le précédent exploit.

Logistique et engagement : le record livré chez vous

 

Concernant la logistique, pour cette nouvelle épreuve d’endurance, l’équipe a particulièrement soigné l’aspect. À cet égard, elle mettra un numéro à la disposition du public pour lui permettre de commander ses plats et de se faire livrer directement à domicile ou au bureau.

Cet engagement en faveur de la livraison et de la proximité montre que l’enjeu du record est également de faire découvrir la richesse de la gastronomie togolaise au plus grand nombre. Rendez-vous au stade de Kégué en novembre pour encourager la cheffe, ou alors attendez la livraison de son histoire !

 

Lomé : Klévé se soulève contre une démolition sans indemnité

À Klévé, quartier populaire de Lomé 2, des familles ont dressé une barricade humaine pour empêcher la destruction de leurs maisons. Face aux bulldozers et aux forces de l’ordre, elles dénoncent une éviction brutale, sans indemnisation ni dialogue. Une colère locale qui pourrait bien faire tache d’huile dans une capitale en pleine mutation.

 

 

Lomé, 30 octobre 2025 – Mercredi matin, dans le quartier de Klévé, en pleine zone Lomé 2, à deux pas des institutions du pouvoir, des dizaines de résidents ont formé un rempart vivant pour stopper l’avancée des bulldozers. Pères de famille, mères portant leurs bébés, jeunes en furie : tous ont crié leur refus d’une éviction brutale, car elle est sans indemnité, sans recours, et sans reconnaissance des années de labeur et de mémoire.

 

Une matinée sous tension au cœur de la capitale

 

À peine le soleil levé, le grondement des engins a déchiré le calme précaire du quartier. Envoyés pour raser des habitations jugées irrégulières, les bulldozers ont trouvé en effet face à eux une marée humaine déterminée. « On ne bougera pas ! Où irons-nous avec nos enfants ? », a lancé une habitante, la voix tremblante, tandis que d’autres entonnaient des chants de protestation.

Klévé n’est pas un terrain vague. Ce quartier, situé au cœur de Lomé 2 — zone stratégique abritant la Présidence du Conseil, l’Assemblée nationale, l’OTR, l’Ambassade des États-Unis et plusieurs ministères — est au contraire le fruit de décennies d’installation. Les familles y ont bâti leur quotidien sur des parcelles acquises de longue date, qui sont cependant souvent ignorées par les grands projets d’aménagement.

 

À Klévé: une opération de « nettoyage » aux contours flous

 

Selon les autorités, la zone a été déclarée d’utilité publique afin de permettre la construction d’une cité ministérielle. Mais sur le terrain, les habitants dénoncent l’opacité des procédures. « Nous n’avons reçu aucune notification claire. Des agents sont passés, ont apposé des marques, puis nous ont parlé de mesures d’accompagnement », explique le porte-parole des résidents.

Parmi ces mesures : un montant de 5 millions de francs CFA par hectare pour acquérir des terrains en zone rurale, et une promesse d’indemnisation « à venir », laissée à la discrétion du chef de l’État. « Ce n’est pas une réserve administrative. On ne doit pas prendre nos terres par la force. On doit trouver un terrain d’entente », insiste-t-il.

 

Un malaise urbain qui couve depuis des mois

 

Cette explosion de colère s’inscrit dans un contexte plus large. Au Togo, les expropriations pour cause d’utilité publique se multiplient, souvent au détriment des plus modestes. À Klévé comme ailleurs, les habitants dénoncent des consultations bâclées, des évaluations foncières inexistantes ainsi que l’absence de compensations équitables. « Nous demandons au Président du Conseil, qui a son bureau juste à côté, de s’intéresser à notre sort et de veiller au respect de nos droits », plaident les résidents.

Les forces de sécurité, après une brève confrontation, ont regagné leurs véhicules. Mais les habitants, eux, ont promis de camper sur place, transformant leurs ruelles en forteresse de fortune. Du côté des autorités, silence radio. Seules quelques sources anonymes au ministère de l’Urbanisme évoquent des « discussions en cours » pour apaiser la crise.

 

À Klévé : vers une issue ou une contagion sociale ?

 

Il est fort probable que la fronde de Klévé cristallise un malaise plus profond. Dans une capitale en pleine mutation, où les tours s’élèvent au rythme des investissements étrangers, les oubliés des bas-fonds réclament leur part du progrès. Par conséquent, des associations de défense des droits fonciers appellent à une médiation urgente, sous l’égide d’observateurs indépendants, afin d’éviter que Klévé ne devienne le point de départ d’une contestation urbaine plus large.

Pour les familles retranchées derrière leurs barricades, l’enjeu dépasse le toit : il s’agit de dignité, de reconnaissance, de justice. À Lomé, la ville lumière d’Afrique de l’Ouest, l’ombre des bulldozers rappelle que le progrès a un prix — et que certains refusent de le payer seuls. Les prochaines heures diront si le dialogue l’emporte, ou si la colère de Klévé embrase d’autres quartiers.

 

Togo : une réforme scolaire pour relier filières et emploi

Le Togo amorce un virage éducatif inédit : un décret gouvernemental ouvre des passerelles entre filières générales, techniques et professionnelles. Objectif : fluidifier les parcours, valoriser tous les acquis et rapprocher l’école du monde du travail.

 

Lomé, 30 octobre 2025 – Une bouffée d’air frais pour les élèves togolais en quête de reconversion. Depuis le 14 octobre, un décret gouvernemental bouleverse le paysage scolaire en instaurant des passerelles fluides entre les filières. Fini le carcan rigide : un lycéen en filière générale pourra désormais bifurquer vers l’enseignement technique sans perdre une miette de son parcours. Une réforme qui aligne formation, aspirations et marché du travail.

 

Des parcours sur mesure, au service de l’adaptabilité au grâce aux passerelles entre filières

 

Au cœur d’une stratégie éducative repensée, la mesure brise les silos traditionnels et favorise une mobilité accrue. Les élèves, longtemps enfermés dans des trajectoires linéaires, gagnent la liberté de pivoter selon leurs talents et ambitions. Du secondaire général vers le technique, ou de la voie professionnelle vers l’université : les barrières tombent. Les acquis sont reconnus, les redites évitées.

Le gouvernement mise sur une validation élargie des compétences. Notes scolaires, savoir-faire issus de l’apprentissage ou de l’expérience professionnelle : tout compte. « Chaque étape éducative doit mener quelque part, sans gaspillage », résume un responsable du ministère de l’Éducation, défendant une approche inclusive qui valorise la diversité des parcours.

 

Des passerelles entre filières : un remède économique à la main-d’œuvre en déshérence

 

Au-delà de l’équité pédagogique, la réforme cible un mal structurel : le chômage des jeunes. Comme nombre de pays émergents, le Togo souffre d’un décalage entre diplômes et besoins des employeurs. En fluidifiant l’accès aux métiers techniques – mécanique, informatique, agroalimentaire – l’initiative s’attaque de front à ce mismatch.

Stages en entreprise, partenariat avec les artisans locaux : les salles de classe deviennent tremplins vers l’emploi. « Nous formons pour demain, pas pour un passé figé », insiste une source au sein du cabinet présidentiel. Des incitations fiscales pour les entreprises partenaires sont à l’étude, afin de tisser un réseau dense entre universités, lycées professionnels et secteur privé. Objectif : une insertion accélérée, des milliers de jeunes prêts à dynamiser l’industrie locale et l’export.

Pilotage prudent et garde-fous pour l’avenir

 

Pour éviter les dérives, le décret prévoit un filet de sécurité. Groupes de contrôle indépendants, audits réguliers, vérification des diplômes, traçabilité des examens : la vigilance s’appuie sur des standards internationaux, gage de crédibilité pour les formations togolaises.

La mise en œuvre sera progressive : une phase pilote d’un an débutera à Lomé et Kara, avant un déploiement national. Des formations pour les conseillers d’orientation sont prévues, afin d’accompagner les familles sans pression.

Dans un pays où l’éducation reste un levier d’émancipation, cette flexibilité pourrait bien changer la donne. Elle invite à repenser l’école non comme un moule, mais comme un écosystème vivant, aligné sur les rêves des élèves et les urgences du pays. Si elle tient ses promesses, la réforme togolaise pourrait inspirer toute l’Afrique de l’Ouest dans sa quête d’une jeunesse qualifiée et employable.

 

Les Éperviers Dames tombent les armes à la main face au Burkina Faso

Battues 2-0 à l’aller, les Éperviers Dames n’ont pas réussi à renverser la tendance au stade de Kégué, s’inclinant 1-0 face à un Burkina Faso solide. Éliminée dès le premier tour des qualifications pour la CAN Féminine 2026, la sélection togolaise quitte la compétition avec des regrets, malgré une prestation globalement supérieure. La coach Kai Tomety appelle à la lucidité et à la sérénité pour rebondir.

 

 

Lomé, 29 octobre 2025 – Nouvelle désillusion pour la sélection féminine togolaise. Battues 2-0 à l’aller à Ouagadougou, les Éperviers Dames n’ont pas réussi à inverser la tendance mardi soir au stade de Kégué. Défaites 1-0 par un Burkina Faso discipliné et opportuniste, elles quittent les qualifications pour la CAN Féminine Maroc 2026 dès le premier tour. Une élimination au goût amer, d’autant plus que la prestation togolaise fut globalement supérieure. La sélectionneure Kai Tomety, lucide et posée, dresse le diagnostic d’un groupe en quête de maturité.

 

Une stratégie offensive muselée par un bloc burkinabè compact

 

Dès le coup d’envoi, les Togolaises ont affiché leurs intentions : jeu porté vers l’avant, pression haute, et exploitation des couloirs.

“On avait tout misé sur une approche agressive, avec un accent sur les ailes et une pression immédiate sur l’adversaire”, confie Tomety en conférence de presse.

Mais face à un bloc bas des Étalons Dames, parfaitement organisé, les assauts togolais se sont heurtés à une défense de fer. Les Burkinabè ont verrouillé les espaces, obligeant les locales à tourner en rond sans trouver la faille.

Le tournant du match survient à la 42ᵉ minute : une mésentente défensive offre un boulevard à l’attaquante burkinabè, qui ajuste un lob imparable.

“C’était un cadeau empoisonné”, regrette la coach.
Un but contre le cours du jeu, juste avant la pause, qui a plombé le moral des Éperviers.

 

Éperviers Dames : possession stérile, finition absente : le réalisme a tranché.

 

Les statistiques parlent en faveur du Togo : plus de 60 % de possession, une pluie de centres, plusieurs frappes cadrées. Mais le tableau d’affichage est resté figé.

“On a eu le monopole des occasions, mais l’absence de réalisme nous a coûté cher”, analyse Tomety.

Le mal est connu : une finition trop timide dans les 30 derniers mètres. L’entrejeu, pourtant renforcé pour dicter le tempo, a manqué de verticalité.

“Nos milieux ont trop souvent tourné le dos au but, recyclant le ballon au lieu d’avancer”, pointe la technicienne.

L’équipe a manqué d’audace, de ce “coup de folie” capable de faire basculer une rencontre. Côté individualités, Mafille Woedikou, l’avant-centre, a tenté de porter l’équipe à bout de bras.

“C’est une artiste du ballon, mais la pression l’a bridée”, tempère Tomety, refusant de pointer du doigt.

 

Éperviers Dames : pas de crise, mais une remise à plat nécessaire

La déception est là, mais pas la résignation. Le groupe avait les armes pour aller plus loin, mais a manqué de tranchant.

“Les Burkinabè n’étaient pas supérieures, juste plus cliniques sur leurs rares contres”, résume la coach.

Interrogée sur son avenir, Kai Tomety reste droite dans ses crampons :

“Les décisions reviennent aux instances. Moi, je crois dur comme fer en ce collectif, qui a du jus à revendre.”

Cap désormais sur 2026 et la CAN marocaine. Les Éperviers Dames devront transformer cette amertume en carburant, affûter leur efficacité offensive et muscler leur mental. Pour l’heure, le Togo féminin rumine, mais ne plie pas : la revanche se jouera sur les prochaines pelouses.

 

Deux économistes togolais dans le Choiseul 100 Africa 2025

Le palmarès Choiseul 100 Africa 2025 consacre deux figures togolaises parmi les 200 jeunes leaders qui transforment l’économie du continent. Cynthia Essognim Gnassingbé-Essonom et Kpowbié Tchasso Stéphane Akaya incarnent une nouvelle génération d’élites engagées, entre intégration régionale et pilotage budgétaire. Leur parcours illustre la montée en puissance du Togo dans les cercles décisionnels africains.

 

Lomé, 29 octobre 2025 –  Le continent africain regorge de talents émergents, et le palmarès Choiseul 100 Africa 2025 en offre une illustration éclatante. Ce classement, établi chaque année par l’Institut Choiseul Africa, met en lumière 200 personnalités de moins de 40 ans qui façonnent déjà l’économie du continent par leur vision et leur impact. Parmi elles, deux Togolais se distinguent : Cynthia Essognim Gnassingbé-Essonom et Kpowbié Tchasso Stéphane Akaya. Leur présence confirme la vitalité des élites nationales dans la dynamique du développement continental.

Deux Togolais dans le Choiseul 100 Africa 2025 : des leaders qui incarnent l’impact, la vision et l’avenir économique du continent.

Premiers feux pour une pionnière de l’intégration

 

Cynthia Essognim Gnassingbé-Essonom signe son entrée dans cette prestigieuse sélection. Conseillère senior pour l’engagement du secteur privé au sein du secrétariat de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf), elle incarne par conséquent l’élan vers une Afrique plus connectée et plus inclusive. Sa nomination reflète notamment son rôle stratégique dans l’implication des entreprises dans la mise en œuvre de cet accord ambitieux, lequel est destiné à fluidifier le commerce intra-africain.

Sur LinkedIn, la jeune économiste a exprimé sa fierté :

“Sélectionnée parmi les leaders du Choiseul 100 Africa 2025, qui met en lumière les jeunes dirigeants africains appelés à façonner le développement et le rayonnement du continent… Je vois cet honneur comme un aiguillon pour redoubler d’efforts dans l’intégration économique via la ZLECAf, avec le privé en locomotive.”

Une déclaration qui traduit une volonté affirmée : faire tomber les barrières, puis concrétiser les traités, et enfin ouvrir la voie à de nouvelles opportunités.

Choiseul 100 Africa 2025: un habitué qui consolide sa stature

 

D’un autre côté, Kpowbié Tchasso Stéphane Akaya, secrétaire général au ministère des Finances et du Budget, figure pour la cinquième fois consécutive dans le classement – un record qui le place parmi les profils les plus constants de sa génération. À 39 ans, ce docteur en économie évolue au cœur des politiques budgétaires togolaises, influençant les orientations qui soutiennent la croissance et la stabilité macroéconomique.

“Retenu pour la troisième année d’affilée dans ce palmarès, je suis profondément honoré. J’adresse cette reconnaissance à mes collaborateurs quotidiens, ces piliers qui m’aident à me surpasser”, a-t-il confié.

Modeste et rigoureux, Akaya incarne une technocratie discrète mais essentielle, tissant les liens entre ambitions nationales et défis globaux – allant du financement des infrastructures à la résilience face aux chocs extérieurs.

 

Choiseul 100 Africa 2025: un filon togolais dans l’excellence africaine

 

Le Togo n’en est pas à son coup d’essai. En effet, ces deux lauréats s’inscrivent dans une lignée de compatriotes ayant marqué le Choiseul 100 : Paul-Harry Aithnard, dirigeant régional d’Ecobank UEMOA et Côte d’Ivoire (2014, 2015, 2018), Edem Kokou Tengué, conseiller à la présidence (2018, 2019), ou encore Aftar Touré Morou, directeur général de l’ARCOP (2019 à 2023). Cette trajectoire témoigne ainsi d’un écosystème fertile, où éducation, service public et innovation privée convergent dans le but de propulser le pays sur la scène continentale.

 

Cap sur Rabat : le forum des décideurs

Pour cette raison, et pour célébrer ces talents et penser l’avenir, le Choiseul Africa Business Forum se tiendra les 4 et 5 novembre à Rabat, au Maroc. Près de 800 invités – chefs d’entreprise, investisseurs, officiels et influenceurs venus d’Afrique, d’Europe et du Golfe – y débattront des leviers de croissance. Un rendez-vous stratégique où Gnassingbé-Essonom et Akaya croiseront leurs pairs, tissant ainsi des alliances pour une Afrique plus audacieuse.

En somme, dans un continent en pleine mutation, ces deux Togolais rappellent que le leadership ne se mesure pas à l’âge, mais à l’impact. Leur ascension dans le Choiseul 100 n’est pas qu’une distinction : c’est surtout un signal fort pour une Afrique qui mise sur ses propres forces.