Togo-Gabon : cap sur une croissance concertée

CCI-Togo-Gabon : Un nouvel élan pour une coopération économique ambitieuse

 

Lomé, 15 juillet 2025 Dans un monde où la coopération Sud-Sud s’impose comme un levier essentiel de développement, la Chambre de Commerce et d’Industrie du Togo (CCI-Togo) a accueilli hier matin une visite de haut rang : celle de Son Excellence Maximin Mangouala-Mangoye, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République gabonaise au Togo. Cette rencontre marque une étape décisive dans la volonté des deux nations de tisser des liens économiques plus robustes et dynamiques.

La visite de l’ambassadeur gabonais à la CCI-Togo inaugure une nouvelle dynamique de coopération Sud-Sud, visant à renforcer les échanges économiques et les partenariats stratégiques entre Lomé et Libreville.

Diplomatie économique : Lomé et Libreville raccordent leurs stratégies

 

Au cœur des échanges avec le Dr José Kwassi Symenouh, président de la CCI-Togo, l’accent a été mis sur la revitalisation profonde des relations économiques bilatérales. En effet , les discussions, empreintes d’une vision pragmatique et orientée vers l’avenir, ont porté sur la consolidation des partenariats existants entre les opérateurs économiques des deux pays et, surtout, sur l’ouverture de nouvelles perspectives d’affaires mutuellement bénéfiques. Par ailleurs, cette ambition s’inscrit pleinement dans une dynamique régionale où le Togo et le Gabon entendent jouer un rôle moteur, en favorisant des initiatives concrètes dans des secteurs stratégiques.

La visite de l’ambassadeur gabonais à la CCI-Togo inaugure une nouvelle dynamique de coopération Sud-Sud, visant à renforcer les échanges économiques et les partenariats stratégiques entre Lomé et Libreville.

CCI-Togo : Un engagement commun pour la prospérité partagée

 

Loin d’être une simple formalité diplomatique, cette visite traduit un engagement commun solide à renforcer les synergies entre les institutions consulaires des deux nations. Les discussions ont également mis en lumière des objectifs clairs et ambitieux : encourager les collaborations directes entre acteurs privés, fluidifier les échanges commerciaux et poser les bases de partenariats durables et équitables. Cette démarche, ancrée dans une vision de progrès partagé, illustre aussi la détermination inébranlable de Lomé et Libreville à faire de la coopération Sud-Sud un puissant moteur de prospérité pour leurs peuples respectifs.

Alliance économique : Un signal fort pour l’innovation régionale

 

En ouvrant ce nouveau chapitre de collaboration bilatérale, le Togo et le Gabon envoient un signal fort et inspirant : celui d’une alliance économique résolument tournée vers l’action et l’innovation. Cette rencontre, véritable catalyseur de nouvelles opportunités, promet de transformer les aspirations en réalités tangibles pour les opérateurs économiques des deux pays, contribuant ainsi à une dynamique régionale positive et créatrice de richesse.

DeviPreneur : à Lomé, les enfants codent leur avenir

Togo : Une nouvelle génération d’innovateurs s’éveille avec DeviPreneur

 

Lomé, 15 juillet 2025 – Dans un élan visionnaire, le programme DeviPreneur bat son plein depuis le 2 juillet 2025 au sein d’UniPod_Togo, insufflant aux enfants de 5 à 15 ans une passion pour la programmation, l’électronique et l’entrepreneuriat. Cette initiative audacieuse, portée par sa deuxième cohorte, s’impose comme un catalyseur essentiel d’innovation et d’inclusion, façonnant les esprits curieux de demain à travers une pédagogie aussi ludique qu’enrichissante.

À travers le programme DeviPreneur, UniPod_Togo initie des enfants de 5 à 15 ans à la programmation, à l’électronique et à l’entrepreneuriat, nourrissant une nouvelle génération d’innovateurs engagés au cœur du Togo.

DeviPreneur : l’éveil des jeunes talents face aux défis du futur

Par ailleurs, vendredi dernier, Nabou Diaw, Représentant résident adjoint PNUD Togo, figure emblématique de l’éducation inclusive, s’est rendue sur place pour découvrir ce vivier prometteur de jeunes talents. Loin des salles de classe traditionnelles, DeviPreneur propose une immersion pratique où les enfants explorent des circuits électroniques, codent leurs premières lignes et esquissent des projets entrepreneuriaux novateurs. En outre , cette approche, qui marie créativité et rigueur, ne se contente pas de divertir : elle aiguise activement l’esprit critique et la capacité à résoudre des problèmes complexes, des compétences absolument cruciales pour le monde de demain.

Au-delà du Code : Inclusion et Collaboration au Cœur du Programme

 

Au-delà des apprentissages techniques, le programme brille par son ambition sociale profonde. En encourageant le travail d’équipe, il tisse des liens solides entre les participants, favorisant une inclusion qui transcende les différences. Ainsi, chaque atelier devient un espace où la collaboration et l’échange d’idées préparent les jeunes à devenir des acteurs engagés et responsables de leur communauté.

À travers le programme DeviPreneur, UniPod_Togo initie des enfants de 5 à 15 ans à la programmation, à l’électronique et à l’entrepreneuriat, nourrissant une nouvelle génération d’innovateurs engagés au cœur du Togo.

UniPod_Togo : catalyseur d’une révolution éducative durable

 

La deuxième cohorte de DeviPreneur, qui se prolonge jusqu’au 30 juillet 2025, s’affirme comme une réponse concrète aux défis de l’éducation moderne. En effet, en éveillant la curiosité et en cultivant l’audace, UniPod_Togo pose les jalons fondamentaux d’une révolution éducative, où les enfants ne sont pas seulement des apprenants, mais des créateurs d’un avenir innovant et solidaire pour le Togo.

 

Togo : les forces de sécurité votent pour la démocratie

Togo : Les forces de défense et de sécurité ouvrent le bal électoral avec un vote anticipé historique

Lomé, 15 juillet 2025 À l’aube des élections municipales prévues pour le 17 juillet, les forces de défense et de sécurité (FDS) togolaises ont donné le ton en exerçant leur droit de vote par anticipation, le lundi 14 juillet 2025. Cette initiative, orchestrée avec une rigueur exemplaire par la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), s’inscrit dans une volonté affirmée de garantir un scrutin apaisé et sécurisé, tout en renforçant la participation civique des gardiens de la paix nationale.

À deux jours des municipales, les FDS togolaises ouvrent le bal électoral en votant par anticipation, affirmant leur rôle clé dans la sécurisation du scrutin et le renforcement de l’unité nationale.

Vote anticipé des FDS : un geste stratégique pour des élections sécurisées

Dès 7 heures du matin, les bureaux de vote, soigneusement désignés par la CENI, ont accueilli des milliers de membres des forces armées, de sécurité, paramilitaires et de la réserve opérationnelle. En effet, cette démarche, encadrée par l’article 117 de l’ordonnance nᵒ 003/PR du 5 novembre 2024 relative au code électoral, illustre une exception légale permettant aux FDS de voter avant le jour du scrutin général. Par ailleurs, cette mesure stratégique vise à leur permettre d’assurer la sécurité maximale des opérations électorales sans entraver leur devoir citoyen fondamental.

À deux jours des municipales, les FDS togolaises ouvrent le bal électoral en votant par anticipation, affirmant leur rôle clé dans la sécurisation du scrutin et le renforcement de l’unité nationale.

Le Ministre Hodabalo : un appel solennel à la participation civique

Dans la commune d’Agoè-Nyivé 1, le Colonel Awaté Hodabalo, Ministre de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et de la Chefferie coutumière, a marqué les esprits en déposant son bulletin dans l’urne. Entouré de la présidente du bureau de vote et des assesseurs, il a également tenu à souligner la portée hautement symbolique de son geste.

« En participant à ce scrutin, je remplis une mission civique essentielle : choisir ceux qui façonneront l’avenir de nos communes. J’invite chaque Togolais à emboîter le pas le 17 juillet, dans un élan de responsabilité et de sérénité », a-t-il déclaré, saluant la maturité politique du peuple togolais et plaidant avec ferveur pour un processus électoral empreint de paix.

 

Une mobilisation exemplaire : La CENI garantit un scrutin transparent

La directive nᵒ 011/2025/P/CENI, signée le 10 juillet 2025 par le président de la CENI, Dago Yabré, a minutieusement encadré cette opération. Les bureaux de vote, ouverts jusqu’à 16 heures, ont vu une mobilisation remarquable des FDS à travers le pays. Ainsi, ce vote anticipé ne se contente pas de répondre à une obligation légale ; il incarne l’engagement profond des forces de l’ordre envers la consolidation de la démocratie togolaise.

 

Vers un Togo uni : Les FDS, garantes d’un avenir démocratique

En somme, cette première étape du processus électoral envoie un signal fort et encourageant. En plaçant leur confiance dans les urnes, les FDS ne se contentent pas de protéger le scrutin ; elles participent activement à l’édification d’un Togo uni, où la voix de chaque citoyen compte. À deux jours du scrutin général, l’élan impulsé par ce vote anticipé appelle également à une mobilisation massive et pacifique de l’ensemble de la population, dans un climat de concorde et de responsabilité collective, pour un avenir démocratique prometteur.

Cybersécurité : le Togo muscle ses défenses

Togo : des agents formés au Botswana pour contrer la cybercriminalité et protéger l’avenir numérique

Lomé, 14 juillet 2025 Dans un monde où le numérique redessine les frontières du crime, le Togo se positionne en première ligne pour défendre son espace virtuel. Du 7 au 11 juillet 2025, une délégation d’élite d’agents togolais a participé à une formation de haut niveau organisée par le Secret Service et le Bureau of International Narcotics and Law Enforcement Affairs (INL) des États-Unis, dans le cadre du programme BICEP 2025 (Botswana International Cybercrime Enforcement Program). Tenue au Botswana, cette initiative cruciale a réuni des représentants de six nations africaines pour aiguiser leurs compétences dans la lutte contre les cybercrimes, de la fraude en ligne à l’exploitation des enfants sur Internet. Pour le Togo, cette formation marque une étape décisive dans la construction d’un écosystème numérique plus sûr et plus résilient.

 

Le Togo affûte ses armes : une formation d’élite face à la cybermenace grandissante

 

Pendant cinq jours, des experts du Secret Service américain, réputés pour leur expertise inégalée en matière de cybersécurité, ont partagé leur savoir-faire avec des agents venus du Togo, du Botswana et de quatre autres pays africains. L’objectif principal était de doter ces professionnels des outils nécessaires pour traquer les cybercriminels dans un continent où la connectivité explose, tout comme les menaces qui l’accompagnent. Les sessions, intensives et hautement pratiques, ont couvert des domaines clés : investigation numérique, lutte contre le hameçonnage (phishing), détection des fraudes financières en ligne et protection des mineurs contre l’exploitation sur les réseaux sociaux et les plateformes du dark web.

« La cybercriminalité ne connaît pas de frontières. Cette formation nous donne les moyens essentiels de protéger nos citoyens et de collaborer efficacement avec nos voisins africains », a déclaré un officier togolais participant, sous couvert d’anonymat. En effet, les ateliers ont mis l’accent sur des techniques avancées, comme l’analyse des traces numériques et l’utilisation d’outils forensiques, permettant aux agents de remonter les filières criminelles opérant à l’échelle régionale et internationale.

 

Face à l’explosion des cybermenaces : Le Togo en première ligne

 

Le Togo, avec un taux de pénétration d’Internet en constante progression (plus de 70 % en 2025 selon l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes), est devenu une cible de choix pour les cybercriminels. Les escroqueries en ligne, les attaques par hameçonnage et l’exploitation des enfants via des plateformes mal sécurisées se multiplient de manière alarmante, menaçant la confiance dans l’espace numérique. Dès lors, cette formation s’inscrit parfaitement dans la stratégie nationale de cybersécurité, qui vise à renforcer les capacités des forces de l’ordre et à sensibiliser la population aux dangers du web.

Un récent rapport de l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI-Togo) révèle que les fraudes en ligne ont coûté plus de 2 milliards de FCFA aux Togolais en 2024, tandis que les cas d’exploitation numérique des mineurs ont augmenté de 30 % en deux ans. Face à ces chiffres édifiants, la participation togolaise au BICEP 2025 témoigne de l’engagement inébranlable du pays à ne pas céder face aux prédateurs du numérique.

 

Cybersécurité : l’éducation, rempart contre le cybercrime

 

Au-delà des aspects techniques, la formation a mis un accent particulier sur l’importance de l’éducation comme rempart fondamental contre la cybercriminalité. Les agents togolais ont été formés pour devenir de véritables relais pédagogiques dans leurs communautés, capables de sensibiliser les jeunes, les entreprises et les administrations aux bonnes pratiques numériques. « Éduquer, c’est prévenir. Un citoyen informé est une première ligne de défense contre le hameçonnage ou l’usurpation d’identité », a expliqué un instructeur américain lors d’une session éclairante.

Cette dimension éducative est cruciale pour le Togo, où la jeunesse représente plus de 60 % de la population. Les écoles et les universités, de plus en plus connectées, sont des cibles privilégiées des cybercriminels. En conséquence, en formant des agents capables de transmettre des connaissances précieuses sur la sécurité en ligne, le Togo ambitionne de créer une culture numérique responsable, alignée sur les Objectifs de Développement Durable, notamment l’ODD 4 (éducation de qualité) et l’ODD 16 (paix, justice et institutions efficaces).

 

Une coopération renforcée : Le Togo, acteur clé de la cybersécurité régionale

 

Le programme BICEP 2025, hébergé par le Botswana, illustre l’importance primordiale de la collaboration transfrontalière dans la lutte contre la cybercriminalité. En réunissant six pays africains, cette initiative favorise l’échange d’expériences et la coordination des efforts face à des menaces qui transcendent les frontières nationales. Pour le Togo, cette formation renforce considérablement les liens avec des partenaires stratégiques comme les États-Unis, dont le soutien technique est précieux dans un contexte où les ressources locales restent limitées.

Le ministre de la Sécurité et de la Protection Civile, le général Yark Damehame, a salué cette opportunité dans une déclaration récente : « La cybercriminalité est un défi global qui exige une réponse collective. Grâce à cette formation, nos agents sont mieux équipés pour protéger notre nation et collaborer avec nos alliés. » Les participants togolais, désormais formés aux standards internationaux, devraient jouer un rôle clé dans la mise en œuvre du Plan National de Cybersécurité 2024-2028, qui vise à créer une unité spécialisée dans les cybercrimes au sein de la police nationale.

 

Vers un Togo numérique Sécurisé et prospère : un avenir protégé

 

L’impact de cette formation ne se limite pas aux agents directement formés. Dès leur retour à Lomé, ces derniers auront la mission de transmettre leurs connaissances à leurs collègues et de participer à des campagnes de sensibilisation à l’échelle nationale. Des ateliers sont déjà prévus dans les lycées de Lomé et de Sokodé pour enseigner aux élèves comment repérer les tentatives de hameçonnage et sécuriser leurs comptes en ligne. Ces initiatives, soutenues par le ministère de l’Économie Numérique et de la Transformation Digitale, visent à faire du Togo un modèle de résilience numérique en Afrique de l’Ouest.

En somme, en quittant le Botswana, les agents togolais ont emporté avec eux bien plus qu’un certificat : une mission capitale. Protéger les citoyens, en particulier les plus jeunes, des dangers du numérique tout en promouvant une utilisation responsable d’Internet. Dans un pays où le numérique est synonyme d’opportunités infinies, cette formation marque un tournant fondamental dans la quête d’un Togo connecté, sécurisé et confiant en son avenir numérique.

Kara réinvente l’hôpital : vers une santé inclusive et stratégique

Kara, Togo : une révolution hospitalière en marche avec la formation des acteurs de santé sur le guide des projets d’établissement

Kara, 14 juillet 2025 Le 11 juillet 2025, le Palais des Congrès de Kara a été le théâtre d’un événement majeur et porteur d’espoir pour le système de santé togolais. Sous la présidence du Gouverneur de la région de la Kara, et en présence du Directeur Régional de la Santé (DRS), une formation d’envergure a été officiellement lancée. Son objectif : outiller les membres des conseils d’administration des hôpitaux, des Comités de Gestion des Structures de Santé (COGES), des prestataires et des partenaires sur l’élaboration des Projets d’Établissement Hospitalier (PEH). Ce guide, fruit d’une collaboration fructueuse avec le Fonds mondial, marque une étape décisive vers une gestion plus stratégique et inclusive des infrastructures de santé, avec pour ambition de transformer les hôpitaux de la région en modèles d’efficacité et d’accessibilité.

À Kara, une formation novatrice sur les Projets d’Établissement Hospitalier mobilise les acteurs clés du secteur de la santé

L’hôpital de demain : Kara lance la grande transformation

 

Réunissant un parterre d’acteurs clés du secteur de la santé, cette initiative stratégique s’inscrit dans une vision portée par le Ministre de la Santé, le Professeur Tchin Darré, qui a fait de la modernisation des établissements hospitaliers une priorité nationale absolue. Par ailleurs, le guide des PEH, conçu avec le soutien technique et financier du Fonds mondial, se présente comme une feuille de route universelle, applicable à toutes les structures de santé, des centres hospitaliers régionaux aux cliniques communautaires. Ainsi, son objectif est de doter chaque établissement d’un plan stratégique clair, aligné sur les besoins locaux et les standards internationaux les plus exigeants.

Lors de son allocution d’ouverture, le Gouverneur de la Kara a insisté sur l’importance capitale de cette formation pour la région. « Nos hôpitaux ne doivent pas seulement soigner ; ils doivent également devenir des moteurs de développement communautaire », a-t-il déclaré, soulignant l’urgence impérieuse de renforcer la gouvernance des établissements de santé. Cette formation, qui a mobilisé des experts reconnus en gestion hospitalière, vise aussi à outiller les participants pour qu’ils s’approprient pleinement le guide et participent activement à l’élaboration des PEH, ces documents stratégiques qui définiront les priorités, les ressources et les objectifs de chaque hôpital pour les années à venir.

À Kara, une formation novatrice sur les Projets d’Établissement Hospitalier mobilise les acteurs clés du secteur de la santé

Un guide révolutionnaire pour une santé plus performante

 

Le guide des PEH, au cœur de cette formation, est bien plus qu’un simple manuel technique. Il propose une méthodologie rigoureuse et structurée pour évaluer les besoins des communautés, optimiser les ressources humaines et matérielles, et intégrer les partenaires locaux dans la gestion des établissements. En plus, en s’appuyant sur des indicateurs précis, il permet aux hôpitaux de planifier leurs investissements, d’améliorer significativement la qualité des soins et de renforcer leur rôle dans la prévention et la promotion de la santé publique.

« Ce guide est un outil de transformation fondamentale », a expliqué un formateur du Fonds mondial lors de la session. « Il encourage une approche participative où les COGES, les prestataires et les conseils d’administration travaillent main dans la main pour faire de chaque hôpital un acteur clé du développement local. »

Les participants, parmi lesquels des directeurs d’hôpitaux, des infirmiers-chefs et des représentants communautaires ont suivi une formation approfondie sur des thématiques essentielles telles que l’analyse des besoins, la budgétisation stratégique et l’évaluation des performances. Les formateurs ont aussi mis l’accent sur l’inclusion des populations dans les processus décisionnels, renforçant ainsi la dimension participative de la gouvernance sanitaire.

La vision du Ministre Tchin Darré : Kara, laboratoire de la réforme sanitaire

 

Cette initiative s’inscrit pleinement dans la dynamique impulsée par le Professeur Tchin Darré, qui a fait de la réforme du système de santé une priorité absolue du gouvernement togolais. En recommandant l’élaboration de PEH pour chaque hôpital, le ministre vise à harmoniser les pratiques et à garantir une offre de soins cohérente et de qualité à travers tout le pays. La région de la Kara, avec ses défis spécifiques – comme l’accès limité aux soins dans les zones rurales et le besoin urgent de moderniser les infrastructures – se positionne ainsi comme un laboratoire pour cette réforme ambitieuse.

Le choix de Kara comme lieu de lancement n’est pas anodin. Cette région, carrefour économique et culturel du nord du Togo, abrite des hôpitaux stratégiques, comme le Centre Hospitalier Régional (CHR) de Kara, qui dessert une population de plus de 800 000 habitants. Par conséquent, en renforçant les capacités des acteurs locaux, le gouvernement espère faire de Kara un modèle pour d’autres régions, où la planification stratégique deviendra la norme pour une gestion hospitalière exemplaire.

À Kara, une formation novatrice sur les Projets d’Établissement Hospitalier mobilise les acteurs clés du secteur de la santé

Gouvernance inclusive : les hôpitaux au service actif des communautés

 

L’un des points forts de cette formation réside dans son approche résolument participative. En impliquant les COGES, composés de représentants communautaires, le processus d’élaboration des PEH garantit que les besoins des populations locales sont pris en compte de manière effective. « Les hôpitaux ne doivent pas être des îlots isolés, mais des partenaires privilégiés des communautés qu’ils servent », a souligné le DRS de Kara, rappelant l’importance cruciale d’une gouvernance inclusive pour répondre aux attentes des patients, notamment en matière d’accès aux soins et de qualité des services.

Les participants ont également été sensibilisés à l’importance de la durabilité. Les PEH, une fois élaborés, devront intégrer des stratégies pour faire face aux défis climatiques, comme la gestion des ressources en eau, et pour renforcer la résilience des infrastructures face aux crises sanitaires, à l’image de la pandémie de Covid-19.

Un tournant majeur : Le Togo vers un système de santé d’excellence

 

La formation de Kara marque le début d’un mouvement plus large, qui verra d’autres régions du Togo s’engager dans ce processus de planification stratégique. En dotant les hôpitaux de projets d’établissement clairs et ambitieux, le Togo ambitionne de se rapprocher des Objectifs de Développement Durable (ODD), notamment l’ODD 3, qui vise à garantir une vie saine et à promouvoir le bien-être pour tous. Cette initiative fondatrice, soutenue par le Fonds mondial, témoigne de l’engagement inconditionnel du Togo à tirer parti des partenariats internationaux pour moderniser efficacement son système de santé.

En somme, les participants ont quitté la formation avec des compétences renforcées et une vision renouvelée de leur rôle au sein des structures sanitaires. L’enthousiasme était manifeste, comme en témoigne cette déclaration d’une représentante d’un COGES : « Ce guide va changer la façon dont nous gérons nos hôpitaux. » Cette initiative marque un tournant décisif dans la région de la Kara, qui vient de jeter les bases d’une transformation profonde du système de santé — plus performant, plus inclusif et pleinement orienté vers l’amélioration durable des services offerts aux populations.

Amina J. Mohammed à Lomé : le Togo au cœur du dialogue global

Lomé : Une rencontre diplomatique de haut vol pour un Togo au cœur du développement durable

Lomé, 11 juillet 2025 Dans la chaleur vibrante de Lomé, capitale du Togo, une rencontre d’envergure internationale a marqué les esprits ce vendredi 11 juillet 2025. La Secrétaire générale adjointe des Nations Unies, Mme Amina J. Mohammed, a été accueillie avec honneur par Mme Coumba D. Sow, Coordonnatrice résidente de l’ONU au Togo, aux côtés de figures emblématiques comme Mme Memounatou Ibrahima, première femme présidente du Parlement de la CEDEAO, et Mme Olatokunbo Ige. En effet, ce sommet diplomatique, ancré dans une vision partagée du multilatéralisme, a placé le Togo au centre des discussions sur les défis mondiaux, de l’intelligence artificielle à la mobilisation des ressources pour les Objectifs de Développement Durable (ODD). À l’aube d’une ère technologique et durable, Lomé s’affirme comme un carrefour de solutions pour l’Afrique et le monde.

À travers la visite de Mme Amina J. Mohammed, Lomé affirme son rôle moteur dans la diplomatie africaine, en plaçant les ODD et les technologies émergentes au cœur d’un dialogue stratégique pour l’avenir du continent.

Lomé : Quand l’IA et les ODD rencontrent la diplomatie féminine mondiale 

 

L’accueil de Mme Amina J. Mohammed, figure de proue des Nations Unies, par trois femmes leaders illustre l’engagement du Togo à promouvoir une diplomatie inclusive et progressive. Mme Memounatou Ibrahima, dont l’accession à la présidence du Parlement de la CEDEAO marque une avancée historique pour l’égalité des genres, incarne cette ambition. Aux côtés de Mme Sow et Mme Ige, elles ont offert un cadre d’échanges où la rigueur diplomatique s’est conjuguée à une vision humaniste, centrée sur les communautés.

D’ailleurs, les discussions, tenues dans un climat de confiance mutuelle, ont abordé des enjeux cruciaux pour le 21e siècle. Au cœur des débats : l’essor des technologies émergentes, telles que la robotique, l’intelligence artificielle et les technologies spatiales, qui redessinent l’avenir mondial. Ces avancées, si elles promettent des opportunités sans précédent, exigent une gouvernance robuste pour garantir un développement sûr et durable. « Les technologies doivent être un levier pour les ODD, pas une source de nouvelles inégalités », aurait déclaré Mme Mohammed, selon des sources proches de la rencontre, soulignant l’urgence d’un cadre éthique global.

 

Combler le Gap des ODD : le Togo, fer de lance d’une mobilisation financière mondiale !

 

Un autre sujet majeur a dominé les échanges : le financement des Objectifs de Développement Durable. Avec un déficit estimé à des milliards de dollars, la mobilisation des ressources reste un défi colossal pour les pays africains, y compris le Togo. Pourtant, l’optimisme était de mise. Les participantes ont réaffirmé que cet écart, bien que significatif, n’est pas insurmontable. « Le développement durable commence par nos communautés. En investissant dans l’éducation, la santé et l’autonomisation, nous posons les bases d’un avenir équitable », a insisté Mme Sow, mettant en lumière l’approche togolaise, qui combine initiatives locales et partenariats internationaux.

Le Togo, sous l’impulsion de ses autorités, s’illustre déjà par des efforts concrets : des réformes pour sécuriser le climat des investissements, des projets d’éducation axés sur les STEM (sciences, technologies, ingénierie et mathématiques), et aussi une collaboration étroite avec des organisations comme l’ONU. Cette rencontre, en réunissant des voix influentes, renforce l’engagement du pays à jouer un rôle moteur dans la région, en synergie avec la CEDEAO.

À travers la visite de Mme Amina J. Mohammed, Lomé affirme son rôle moteur dans la diplomatie africaine, en plaçant les ODD et les technologies émergentes au cœur d’un dialogue stratégique pour l’avenir du continent.

Lomé : Quand la capitale togolaise devient l’épicentre du multilatéralisme africain 

 

Par ailleurs, l’accueil de Mme Mohammed à Lomé n’est pas un hasard. Le Togo s’est imposé comme un acteur clé du multilatéralisme en Afrique de l’Ouest, accueillant des événements d’envergure comme la session du Conseil des Ministres de l’UEMOA le même jour. Cette convergence diplomatique illustre la capacité de Lomé à fédérer les énergies autour de causes globales. La présence de la présidente du Parlement de la CEDEAO, symbole d’une intégration régionale renforcée, ajoute une dimension politique à cette ambition.

Les échanges ont également mis en avant l’importance d’une gouvernance inclusive pour accompagner la révolution technologique. Par conséquent, alors que l’intelligence artificielle et les technologies spatiales ouvrent de nouvelles perspectives pour l’agriculture, la santé et l’éducation, les participantes ont appelé à une approche centrée sur l’humain, où les bénéfices de l’innovation profitent d’abord aux plus vulnérables.

 

Un avenir prometteur : le Togo, phare d’une diplomatie africaine engagée

 

En somme, Lomé s’affirme comme un phare de la diplomatie africaine, où les idéaux du multilatéralisme rencontrent des actions concrètes. La visite de Mme Amina J. Mohammed, accueillie par des femmes leaders d’exception, envoie un message puissant : le Togo est prêt à relever les défis mondiaux avec audace et responsabilité. En plaçant les ODD et la gouvernance technologique au cœur de ses priorités, le pays trace une voie inspirante pour l’Afrique.

Alors que les discussions se prolongent, Lomé continue de briller comme un espace de dialogue et d’innovation. Dans un monde en mutation, le Togo, porté par une vision panafricaine et une volonté de progrès, s’impose comme un acteur incontournable, prêt à façonner un avenir où le développement durable est une réalité pour tous.

Comment le Togo peut-il concrètement transformer cette ambition diplomatique en leviers économiques et sociaux tangibles pour sa population, notamment en matière d’accès aux technologies et aux financements des ODD ?

GRCRO 2025 : Lomé monte au front contre les flux financiers illicites

GRCRO 2025: Lomé, forteresse panafricaine dans la lutte contre le blanchiment de capitaux

Lomé, 11 juillet 2025 Dans l’arène de la gouvernance financière mondiale, Lomé s’affirme comme un bastion de la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (LBC/FT). En effet, du 8 au 9 juillet 2025, la capitale togolaise a accueilli la deuxième édition de la Grande Rencontre des Compliance et Risk Officers (GRCRO), un sommet d’envergure réunissant plus de 600 experts en conformité issus de 42 pays. Porté par l’Association Togolaise des Compliance Officers (ATCO) et soutenu par les plus hautes autorités, cet événement positionne le Togo comme un acteur incontournable dans la construction d’un écosystème financier africain éthique et résilient. Face à une hémorragie de 90 milliards de dollars de flux financiers illicites drainant le continent chaque année, Lomé trace ainsi une voie audacieuse vers un avenir de transparence et de prospérité.

GRCRO 2025 propulse Lomé en pôle stratégique de la finance éthique, où transparence et régulation deviennent les piliers de l’attractivité

GRCRO 2025 à Lomé : L’Afrique unie contre le blanchiment de capitaux

 

Réunis dans la vibrante capitale togolaise, les participants – banquiers, régulateurs, juristes et responsables de la conformité – ont exploré des stratégies pour contrer les menaces financières transnationales. D’ailleurs, ce sommet se distingue par son ambition audacieuse : renforcer les cadres réglementaires et promouvoir une gouvernance éthique à l’échelle continentale. En accueillant un tel événement, le Togo consolide son rôle de plaque tournante régionale, où les idées et les solutions convergent pour répondre aux défis d’un monde financier complexe.

En plus, le choix de Lomé n’est pas anodin. Sous l’impulsion du gouvernement togolais, le pays s’est engagé dans une réforme ambitieuse de son système financier, alignée sur les standards internationaux. L’ATCO, en orchestrant cette rencontre, incarne cette vision, appuyée par une collaboration étroite avec des institutions comme la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM), qui joue un rôle clé dans l’intégration financière ouest-africaine. Les discussions, riches et pragmatiques, ont abordé des thématiques cruciales : l’application des normes ESG (environnementales, sociales et de gouvernance), la digitalisation des processus de conformité et la coopération régionale pour endiguer les flux illicites.

GRCRO 2025 propulse Lomé en pôle stratégique de la finance éthique, où transparence et régulation deviennent les piliers de l’attractivité

90 milliards de dollars en jeu : L’Afrique déclare la guerre aux flux financiers illicites

 

Le constat est alarmant : chaque année, l’Afrique perd environ 90 milliards de dollars en flux financiers illicites, selon les estimations des Nations Unies. Ces fuites, alimentées par le blanchiment de capitaux, la corruption et l’évasion fiscale, privent les États de ressources vitales pour le développement. Au Togo, cette réalité est prise à bras-le-corps. D’ailleurs, les autorités, conscientes que la lutte contre la LBC/FT est un levier pour attirer les investisseurs, ont multiplié les initiatives : renforcement des capacités des institutions financières, sensibilisation du secteur privé et adoption de cadres réglementaires robustes.

Les retombées de ces efforts sont palpables. En sécurisant son climat d’investissement, le Togo attire des capitaux étrangers tout en protégeant son économie des pratiques frauduleuses. Les citoyens en bénéficient directement : des institutions plus transparentes, une gouvernance renforcée et des opportunités économiques accrues. Comme l’a souligné un participant au sommet, « Lomé montre qu’un petit pays peut avoir une grande ambition, en devenant aussi un modèle de conformité pour le continent ».

Lomé 2030 : Cap sur la capitale africaine de la conformité financière

 

À l’horizon du troisième cycle d’évaluation mutuelle du Groupe d’Action Financière (GAFI) en 2030, le Togo ambitionne de s’imposer comme la capitale africaine de la conformité. Cette vision, loin d’être utopique, repose sur des avancées concrètes. Par ailleurs, la GRCRO 2025 illustre cette détermination, en réunissant des experts pour partager les meilleures pratiques et harmoniser les approches régionales. La collaboration avec la BRVM, qui facilite l’accès aux marchés financiers ouest-africains, et l’engagement du secteur privé renforcent cette dynamique.

Les discussions ont également mis en lumière le rôle croissant des technologies dans la lutte contre la criminalité financière. De l’intelligence artificielle pour détecter les transactions suspectes aux plateformes numériques pour assurer la traçabilité des flux, le Togo investit dans l’innovation pour rester à la pointe. Ces avancées, combinées à une mobilisation régionale, positionnent l’UEMOA comme un acteur crédible face aux défis mondiaux.

GRCRO 2025 propulse Lomé en pôle stratégique de la finance éthique, où transparence et régulation deviennent les piliers de l’attractivité

Lomé, symbole de résilience économique : un phare de transparence pour l’Afrique

 

En somme, La GRCRO à Lomé transcende le cadre d’un simple sommet et incarne une ambition panafricaine : faire de l’Afrique un continent où l’intégrité financière devient une norme concrète. En plaçant la conformité au cœur de sa stratégie économique, le Togo affirme avec force que la transparence alimente la prospérité. Les experts approfondissent leurs échanges, et Lomé s’impose comme un phare de la gouvernance éthique, guidant ainsi l’Afrique de l’Ouest vers un futur où chaque investissement sert pleinement l’intérêt collectif.

Dans les salles de conférence comme sur la scène internationale, le Togo prouve qu’un engagement résolu peut transformer les défis en opportunités. À l’aube de 2030, Lomé ne se contente pas de suivre : elle ouvre également la voie.

Comment cette intensification de la lutte contre les flux financiers illicites pourrait-elle stimuler l’investissement direct étranger et le développement économique durable dans la région de l’UEMOA ?

BB Lomé fait vibrer Kara : les bars à l’honneur des Évalas 2025

Kara : La Brasserie BB Lomé célèbre les bars légendaires au cœur des Évalas 2025

Kara, 11 juillet 2025 – Dans l’effervescence des festivités des Évalas 2025, la région de Kara vibre d’une énergie culturelle où tradition et convivialité se rencontrent. Hier, jeudi 10 juillet, la Brasserie BB Lomé a lancé une tournée vibrante d’hommage aux bars emblématiques de la région, ces lieux de vie qui tissent le lien social et portent haut les couleurs de la marque. En honorant des établissements historiques comme Gaîté 1 ou Bakpessi, cette initiative célèbre non seulement la fidélité des tenanciers, mais aussi leur rôle essentiel dans l’âme communautaire du Togo. À travers médailles, certificats et cadeaux, BB Lomé transforme la fête en un moment de reconnaissance et d’unité chaleureuse.

BB Lomé : Quand les bars de Kara deviennent les héros des Évalas 2025 !

 

Dans les ruelles animées de Kara, où les rires et les verres qui s’entrechoquent rythment les soirées, la Brasserie BB Lomé a choisi de rendre hommage à ceux qui font vivre sa marque au quotidien. Sept bars, véritables institutions locales, ont été distingués pour leur longévité et leur engagement : Merveille (Carrefour Lama), Pharaon (Dongoyo), Mamba (Adabawere), et Pression (Tchintchinda), tous âgés de 33 ans, ainsi que Kamou (35 ans), Gaîté 1 (45 ans) et le vénérable Bakpessi (46 ans). Ces établissements, ancrés dans le tissu social de la région, sont bien plus que des lieux de consommation : ils sont des espaces de partage, de mémoire et de convivialité authentique.

Chaque tenancier a reçu un certificat de reconnaissance, une médaille honorifique et un kit de récompense comprenant des articles de service et des casiers de boissons. Ce geste, empreint de symbole, a touché les cœurs, à l’image de Rose Amouzou Alou, gérante du Bar Gaîté N°1. « Les débuts étaient difficiles, mais BB Lomé nous a toujours soutenus, motivés, et aujourd’hui, nous sommes fiers de ce chemin parcouru ensemble », a-t-elle partagé avec émotion, reflétant l’esprit de partenariat qui unit la marque à ses relais locaux.

À Kara, BB Lomé célèbre les bars emblématiques lors des Évalas 2025, affirmant son rôle de partenaire culturel et communautaire au cœur

Au-delà du verre : les bars, piliers de la culture et de l’économie togolaise

 

Pour Fabien Kpognon, responsable des ventes pour Kara et Dapaong à la Brasserie BB Lomé, cette tournée est bien plus qu’un hommage : c’est une reconnaissance du rôle central des bars dans la stratégie de l’entreprise. « Ces établissements sont les ambassadeurs de nos produits. Ils travaillent souvent jusqu’à l’aube, tissant ainsi  un lien unique avec nos consommateurs », a-t-il expliqué. En effet, dans une région où les Évalas, ces luttes traditionnelles qui célèbrent la bravoure et l’identité culturelle, attirent des milliers de visiteurs, les bars deviennent des carrefours de la fête, amplifiant la visibilité des marques comme BB Lomé.

Cette initiative s’inscrit dans un calendrier foisonnant d’activités autour des Évalas 2025. La Brasserie a prévu un Marathon des Évalas, des formations pour les serveuses et DJs, une course des serveuses, et des rencontres avec le Syndicat National des Tenanciers de Bars et Restaurants, présidé par Mme Yaoudè Balouki. Présente lors de la cérémonie, cette dernière a salué l’engagement de BB Lomé, voyant dans cette tournée un modèle de collaboration entre une entreprise et ses partenaires locaux.

À Kara, BB Lomé célèbre les bars emblématiques lors des Évalas 2025, affirmant son rôle de partenaire culturel et communautaire au cœur

Évalas 2025 : une célébration ancrée dans le riche patrimoine togolais

 

Les Évalas, véritable institution culturelle au Togo, transcendent le sport pour incarner l’unité et la fierté de la région de Kara. En s’associant à cet événement, BB Lomé ne se contente pas de promouvoir ses produits : elle s’inscrit aussi dans une démarche de valorisation du patrimoine. Les bars honorés, souvent fréquentés par des générations de clients, sont des lieux où se croisent les récits des luttes, les chansons populaires et les aspirations d’une communauté. Par conséquent, en les célébrant, la Brasserie renforce son ancrage culturel, faisant de chaque verre servi un symbole de connexion humaine.

La tournée, qui se poursuivra dans d’autres établissements de la région, illustre la vision de BB Lomé : bâtir des relations durables avec ses partenaires de terrain. En soutenant les tenanciers, en formant les serveuses et en mobilisant les acteurs locaux, l’entreprise se positionne en fait comme un acteur clé de la dynamique culturelle et économique de Kara.

Un toast à l’avenir : BB Lomé célèbre la convivialité et la résilience togolaise !

 

En somme, la tournée de BB Lomé à Kara résonne comme une ode à la convivialité et à la résilience. Dans les bars où les lumières scintillent jusqu’au petit matin, où les rires se mêlent aux chants des Évalas, une histoire se tisse : celle d’une marque qui célèbre ses partenaires comme les héros du quotidien. Les festivités battent leur plein, et cette initiative met en lumière une culture togolaise vibrante, portée par ses traditions et ses lieux de vie, véritable lien entre le passé, le présent et l’avenir.

Pour Rose Amouzou Alou et ses homologues, les médailles reçues incarnent bien plus qu’une distinction : elles scellent une alliance durable, où BB Lomé et les bars de Kara continueront de faire vibrer les cœurs, un verre à la fois.

Comment cette approche de BB Lomé, centrée sur la valorisation culturelle et le soutien aux commerces locaux, pourrait-elle inspirer d’autres entreprises au Togo et dans la sous-région pour renforcer leur ancrage communautaire ?

Lomé relance l’assurance africaine : vers un marché plus juste

Lomé, 11 juillet 2025 Sous les cieux vibrants de Lomé, la capitale togolaise s’est transformée, le 10 juillet 2025, en un carrefour de l’avenir financier africain. Réunis dans le cadre de la Conférence Interafricaine des Marchés d’Assurances (CIMA), les Ministres de 14 pays francophones ont engagé une session stratégique pour redessiner le paysage de l’assurance en Afrique. Sous la houlette d’Alousséni Sanou, Ministre malien des Finances et président en exercice de la CIMA, cette rencontre marque un tournant : harmoniser les règles, protéger les citoyens et traquer les flux financiers illicites. Dans une région où l’assurance reste un luxe pour beaucoup, ce sommet peut-il bâtir un écosystème fiable et inclusif, ou restera-t-il une ambition freinée par les réalités économiques du continent ?

 

Lomé, capitale de l’Assurance africaine : Un sommet stratégique pour un secteur en pleine mutation

 

Dans les salles de conférence de Lomé, où l’air portait l’écho des ambitions économiques du Togo, les Ministres ont plongé dans des débats cruciaux. La CIMA, créée en 1992 et regroupant 14 pays d’Afrique francophone – dont le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, le Mali, le Sénégal et le Togo – s’est imposée comme la vigie d’un secteur assurantiel représentant 1,5 % du PIB régional. Par ailleurs, le 10 juillet, les discussions ont porté sur l’évaluation des engagements pris lors des réunions de Yaoundé et d’Abidjan, axées sur la modernisation des cadres réglementaires et l’amélioration des services aux assurés.

Un point central a été l’analyse des rapports du Conseil Régional de Contrôle des Assurances (CRCA), qui supervise la solvabilité des 250 compagnies d’assurance opérant dans la zone CIMA. Les Ministres ont scruté les mécanismes de traitement des sinistres, souvent critiqués pour leur lenteur – au Sénégal, par exemple, 40 % des réclamations d’assurance auto prennent plus de six mois à être réglées. Alousséni Sanou a insisté sur l’urgence de « restaurer la confiance des citoyens ». « Une assurance performante est un pilier de la résilience économique », a-t-il déclaré, plaidant pour des normes communes et des contrôles renforcés.

 

Trafic illicite : La CIMA déclare la guerre aux flux financiers obscurs !

 

Un sujet brûlant a dominé les échanges : la lutte contre les flux financiers illicites dans le secteur des assurances. Selon l’Union Africaine, l’Afrique perd 88 milliards de dollars par an à cause de pratiques comme le blanchiment d’argent et la fraude fiscale, dont une part transite par des compagnies d’assurance mal régulées. La CIMA, en collaboration avec le Groupe d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l’Ouest (GIABA), planche sur des outils numériques pour tracer les transactions suspectes. « Les assureurs doivent être des remparts, pas des passoires », a martelé un délégué togolais, reflétant l’urgence de protéger un secteur qui gère 12 milliards de dollars de primes annuelles dans la zone.

D’ailleurs, le Togo, hôte de ce sommet, en recevant la CIMA, Lomé renforce son rôle de carrefour régional, et se positionne comme un champion de la régulation financière.

 

CIMA : Des ambitions freinées par la méfiance et les défis structurels

 

Malgré ces ambitions, le secteur des assurances en Afrique francophone reste fragile. Seuls 3 % des habitants de la zone CIMA sont assurés, contre 17 % en Afrique du Sud. La méfiance envers les assureurs, alimentée par des délais de paiement et des contrats opaques, freine l’adoption. Au Mali, où l’insécurité a fait bondir les primes d’assurance agricole de 30 % en 2024, les agriculteurs peinent à accéder à des produits adaptés. En plus, les petites compagnies, qui représentent 60 % du marché CIMA, manquent souvent de capital pour respecter les exigences de solvabilité. Les ministres ont promis un plan d’action d’ici 2026, incluant des formations pour les régulateurs et des campagnes de sensibilisation pour démocratiser l’assurance.

 

Lomé, phare d’une Afrique assurée : Vers un marché fiable et inclusif ?

 

En somme, la capitale togolaise vibrait d’un élan régional porté par le sommet de la CIMA, présidé par Alousséni Sanou. Bien plus qu’une réunion technique, ce rendez-vous incarne un pari audacieux sur une Afrique francophone plus résiliente, où l’assurance s’impose comme rempart face à l’incertitude. Pour concrétiser cette ambition, la CIMA devra relever des défis structurels majeurs et gagner la confiance des citoyens. Dans les rues animées de Lomé, où les taxis-motos slaloment entre les immeubles en construction, une question traverse les esprits : ce tournant vers un marché assurantiel harmonisé marquera-t-il le début d’une prospérité partagée, ou restera-t-il une aspiration contrariée par les réalités du continent ?

Croissance, résilience, ambition : l’UEMOA trace sa voie à Lomé

Lomé, capitale économique de l’UEMOA : Une Croissance solide face à un monde incertain

Lomé, 11 juillet 2025 Sous les feux de la coopération régionale, Lomé s’impose comme le cœur battant de l’Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA) ce vendredi 11 juillet 2025. La capitale togolaise accueille la deuxième session ordinaire du Conseil des Ministres de l’Union, présidée par Adama Coulibaly, Ministre des Finances et du Budget de Côte d’Ivoire. Dans un contexte mondial marqué par des tensions géopolitiques et commerciales, cette réunion stratégique dessine les contours d’une région résiliente, portée par une croissance économique robuste et des ambitions audacieuses pour 2025. À l’heure où l’Afrique de l’Ouest affirme son dynamisme, Lomé devient le théâtre d’un dialogue crucial pour l’avenir économique de l’Union.

À Lomé, les ministres de l’UEMOA posent les jalons d’une croissance inclusive et résiliente, en réponse aux tensions mondiales

Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine : Une croissance économique robuste défie l’incertitude mondiale !

Dans son discours inaugural, Adama Coulibaly a dressé un tableau optimiste de l’économie régionale, malgré un environnement international semé d’embûches. Avec une croissance du PIB de 7,1 % au premier trimestre 2025, légèrement en retrait par rapport aux 7,2 % du dernier trimestre 2024, l’UEMOA continue de défier les incertitudes mondiales. Les projections pour l’ensemble de l’année tablent sur un taux de 6,4 %, contre 6,3 % en 2024, dopé par la vitalité des secteurs manufacturier et extractif. « Cette dynamique reflète la résilience de nos économies et la pertinence de nos politiques », a souligné le président du Conseil, saluant les efforts collectifs des huit États membres.

L’inflation, un défi majeur pour les ménages ouest-africains, montre des signes d’apaisement. Après une baisse notable de 2,9 % à 2,3 % au premier trimestre 2025, elle devrait s’établir à 2,2 % sur l’année, contre 3,5 % en 2024. Ce recul s’explique par une modération des prix des produits importés, notamment l’énergie, et par une meilleure disponibilité des biens sur les marchés, soutenue par des politiques monétaires rigoureuses. Ces chiffres, encourageants, offrent une bouffée d’oxygène aux consommateurs, tout en posant les bases d’une stabilité économique durable.

Réformes inclusives : L’UEMOA accélère le développement par les données et le privé

Réunis dans les locaux de l’Agence nationale de la BCEAO à Lomé, les Ministres des Finances des huit pays de l’UEMOA, accompagnés des leaders des institutions régionales – le président de la Commission de l’UEMOA Abdoulaye Diop, le gouverneur de la BCEAO, les présidents de la BOAD et de l’AMF-UEMOA – ont abordé une série de dossiers stratégiques. Parmi ceux-ci, le rapport semestriel de surveillance multilatérale de juin 2025, qui évalue la performance économique des États membres, a occupé une place centrale. Ce document, véritable boussole de l’Union, guide les politiques pour maintenir la convergence économique.

Un projet phare a également capté l’attention : la création de l’Enquête Harmonisée sur les Conditions de Vie des Ménages (EHCVM). Cette initiative, proposée par la Commission de l’UEMOA, vise à collecter des données précises sur le niveau de vie des populations, offrant ainsi aux décideurs un outil pour concevoir des politiques sociales plus ciblées. En outre, deux stratégies ambitieuses pour promouvoir le secteur privé ont été soumises, avec pour objectif de stimuler l’investissement et l’innovation dans une région où les entreprises sont le moteur de la croissance.

À Lomé, les ministres de l’UEMOA posent les jalons d’une croissance inclusive et résiliente, en réponse aux tensions mondiales

L’Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine renforce sa stabilité financière : Une gouvernance régionale robuste

 

Du côté de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF-UEMOA), les discussions ont porté sur les comptes annuels de 2024, un exercice crucial pour garantir la transparence et la solidité des marchés financiers régionaux. La BCEAO, quant à elle, a abordé la nomination d’un nouveau représentant du Sénégal au Comité de Stabilité Financière dans l’UEMOA (CSF-UEMOA), renforçant ainsi la coordination des politiques monétaires face aux défis sécuritaires et économiques.

Ces débats, menés en présence de hauts responsables comme les commissaires Mahamadou Gado, Paul Koffi Koffi et Lassine Bouaré, témoignent aussi de l’engagement de l’UEMOA à consolider ses institutions. Dans un monde où les tensions commerciales et les crises géopolitiques pèsent sur les économies, l’Union mise sur une gouvernance rigoureuse et une vision partagée pour maintenir sa trajectoire ascendante.

 

Lomé, cœur battant de l’UEMOA : Vers un avenir économique radieux en Afrique de l’Ouest

 

En somme, Lomé brille comme un symbole d’unité et d’ambition ouest-africaine. En accueillant cette session, la capitale togolaise réaffirme son rôle de carrefour régional, où convergent idées et stratégies pour façonner un avenir prospère. Face aux défis mondiaux, l’UEMOA déploie des leviers concrets – enquêtes sociales, réformes monétaires, soutien au secteur privé – pour bâtir une économie inclusive et résiliente. Les échanges avancent, portés par une dynamique collective et un espoir partagé : celui d’une Afrique de l’Ouest, en pleine croissance, qui affirme sa place sur la scène mondiale. À Lomé, les fondations d’un avenir économique radieux se dessinent, un pas à la fois.

Comment ces politiques de l’UEMOA pourraient-elles spécifiquement renforcer la résilience des économies face aux chocs externes, notamment ceux liés aux chaînes d’approvisionnement mondiales ?