Un horizon commun pour l’Afrique de l’Ouest : Faure Gnassingbé au rendez-vous du premier Sommet économique à Abuja
Dans la chaleur vibrante de Lomé, ce 15 juin 2025 a marqué un tournant. En effet, Bianca Odumegwu-Ojukwu, ministre d’État nigériane aux Affaires étrangères, a remis en main propre au président togolais Faure Gnassingbé une invitation cruciale : celle du tout premier Sommet économique ouest-africain (SOEA), prévu les 20 et 21 juin à Abuja. Par ailleurs, cette missive, portée par l’envoyée spéciale du président nigérian Bola Ahmed Tinubu, scelle un engagement régional d’envergure. Dès lors, elle marque un jalon dans la quête d’une Afrique de l’Ouest unie, prospère et résiliente. À l’aube de cette rencontre historique, le Togo, pivot stratégique des échanges régionaux, s’apprête à jouer un rôle cardinal dans la redéfinition des ambitions économiques de la CEDEAO. Le compte à rebours est lancé : l’avenir de l’Afrique de l’Ouest se joue à Abuja !
Sommet économique Abuja 2025 : une plateforme stratégique pour le futur économique africain
Conçu comme un creuset de réflexions et d’actions, le SOEA ambitionne de galvaniser l’intégration économique ouest-africaine. Face à un monde en proie à des mutations géopolitiques et à des crises économiques, ce sommet, le premier du genre, réunira chefs d’État, décideurs politiques et magnats du secteur privé pour forger un agenda audacieux. Ainsi, l’accent sera mis sur l’essor du commerce intra-africain, qui ne représente que 15 % des échanges totaux de la région, selon la Commission de la CEDEAO, ce qui est très faible contre 60 % en Asie du Sud-Est. Par ailleurs, les partenariats public-privé, leviers d’une industrialisation durable, occuperont une place centrale, tout comme le développement d’infrastructures transfrontalières, essentielles pour désenclaver des nations comme le Niger ou le Mali.
Le Togo se positionne comme un acteur incontournable pour ce grand débat, grâce notamment à ses nombreuses réformes et à son port autonome de Lomé, l’unique hub en eaux profondes du golfe de Guinée. « Ce sommet est une opportunité pour harmoniser nos visions et bâtir une résilience collective », a souligné un conseiller de la présidence togolaise, reflétant l’optimisme ambiant.
Faure Gnassingbé, architecte de la diplomatie régionale : le rôle clé du Togo
La présence de Faure Gnassingbé à Abuja n’est pas anodine. Médiateur aguerri, il a su tisser des liens de confiance, y compris avec l’AES (Alliance des États du Sahel), un bloc régional récent. Son rôle influent au sein de la CEDEAO, dont il fut président en 2017, et son plaidoyer constant pour la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) renforcent sa stature diplomatique. Le Togo, qui a ratifié la ZLECAf en 2018, a vu ses exportations vers le Nigeria croître de 8 % en 2024, atteignant 120 millions de dollars. De ce fait, à Abuja, Gnassingbé devrait insister sur des projets structurants comme l’interconnexion ferroviaire Lomé-Cotonou, financée à hauteur de 500 millions de dollars par la Banque africaine de développement, pour fluidifier les échanges.
Cependant, les tensions internes au Togo et la récente réforme constitutionnelle du pays pourraient planer sur le sommet, bien que l’urgence économique semble primer. « L’Afrique de l’Ouest ne peut prospérer si ses peuples doutent de la justice », a averti un analyste régional, rappelant l’importance de l’équité dans l’intégration régionale.
Vers une CEDEAO des peuples : L’Afrique de l’Ouest à la croisée des chemins
À l’approche du SOEA, l’Afrique de l’Ouest se tient à un carrefour décisif. Le sommet, en réunissant des visions parfois divergentes, pourrait poser les jalons d’une coopération renforcée, où le Togo, par sa position géographique stratégique et son dynamisme diplomatique, jouera un rôle de catalyseur essentiel. Dans un monde où les chaînes d’approvisionnement mondiales vacillent et où l’autonomie stratégique devient impérative, ce rendez-vous à Abuja n’est pas qu’une simple rencontre : c’est un véritable pari sur l’avenir d’une région de 400 millions d’âmes, unies par l’ambition de transcender leurs défis. Pour Faure Gnassingbé et ses pairs, l’heure est venue de transformer les promesses en actes concrets et les espoirs en réalité tangible. Leurs décisions forgeront-elles une nouvelle ère de prospérité et d’unité pour l’Afrique de l’Ouest ?


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Par ailleurs, les célébrations se sont poursuivies à l’Eko Hotel and Suites, où une cérémonie officielle a réuni Chefs d’État, Ministres et Représentants de l’Union africaine. Les présidents du Libéria, Joseph Boakai, et de la Guinée-Bissau, Umaro Sissoco Embaló, ont joint leur voix à celle du Togo pour saluer les avancées de la CEDEAO : la libre circulation des personnes, les corridors routiers comme Lagos-Badagry-Sémé, et les efforts de maintien de la paix, notamment au Libéria et en Sierra Leone. Cependant, l’absence notable des délégations du Mali, du Burkina Faso et du Niger, retirées en janvier 2025, a rappelé les défis d’une unité fragilisée.
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