Santé et sécurité au menu des quotidiens marocains

Les quotidiens marocains parus ce lundi consacrent leurs commentaires et analyses au discours royal du 20 août, à la situation épidémiologique et à la saisie record de résine de cannabis près de Casablanca.+Al Bayane+, qui revient sur le discours du Roi Mohammed VI à l’occasion du 67ème anniversaire de la Révolution du Roi et du Peuple, souligne qu’après avoir mis en exergue cette période retentissante de solidarité et de bravoure où l’effort de l’Etat et du peuple en parfaite symbiose, avait fait sensation, le Souverain a appelé à rebondir plus vaillamment pour éviter l’aggravation de la propagation du virus, jusqu’ici présentant des signes d’appréhensions exaspérantes.

Estampé de pédagogie et de feeling de haute affabilité, le discours royal s’est montré non pas « inquisitorial », envers les concitoyens nonchalants ces temps-ci, mais révélateur d’un constat morose qu’il va falloir résolument aplanir au plus vite, insiste le journal, faisant remarquer que le relâchement inquiétant de nombre de négligents, a attisé une escalade exponentielle de l’épidémie et flanqué l’ensemble du royaume dans le désarroi et l’épouvante.

Sous le titre, « Comportement safe », +L’Economiste+ souligne que « le confinement n’est ni facile ni agréable pour personne. Et surtout pas pour ceux qui subissent les contrecoups extra-sanitaires de la pandémie. A en juger par le re-durcissement de ces derniers jours, il n’est pourtant pas exclu de revivre pareil scénario, poursuit la publication, notant que depuis plusieurs semaines, les arguments qui plaident pour l’urgence à agir se multiplient, Marrakech illustrant à elle seule l’effondrement d’un système de santé publique avec un personnel hospitalier débordé et exprimant désormais dans la rue sa colère.

En appelant à un sursaut national du « comportement safe », les dernières mises en garde du discours royal ne peuvent être comprises autrement, souligne le quotidien, ajoutant qu’elles renvoient les citoyens à s’approprier ces enjeux, à jouer le rôle de stabilisateurs dans une configuration où l’interdépendance des décisions alimente un jeu à somme nulle.

Au registre de l’éducation, +Al Ahdath Al Maghribia+ rapporte que trois modèles ont été préparés en prévision de la rentrée scolaire 2020-2021 en fonction de l’évolution de la situation épidémiologique liée à la Covid-19.

Selon le ministre de l’Éducation nationale, Saaid Amzazi, cité par le journal, le premier scénario prévoit l’adoption de l’enseignement présentiel à 100 pc en cas d’amélioration de la situation, alors que le deuxième concerne l’alternance entre enseignement présentiel et auto-enseignement en cas d’amélioration de la situation avec nécessité du respect des mesures préventives, a précisé le ministre.

Quant au troisième scénario, il porte sur le recours uniquement à l’enseignement à distance si la situation épidémiologique s’aggrave.

La FIF prend acte de la recommandation de la FIFA et annonce une réunion de la Commission électorale mardi

La Fédération ivoirienne de football (FIF) affirme prendre acte de la recommandation de la FIFA de maintenir la Commission électorale en vue de l’élection du président de l’organisation, et annonce une réunion de ladite Commission mardi pour entériner toute décision nécessaire.A la suite de l’examen du courrier de la FIFA, la FIF « prend acte des recommandations qui vont dans le sens de la volonté commune de la FIFA et du Comité exécutif de la FIF d’organiser au plus vite les élections à la présidence de la FIF », indique une note d’un Comité d’urgence du Comité exécutif de la FIF consultée par APA.

Selon la FIF, « la Commission électorale, informée de cette recommandation, se réunira le mardi 25 août 2020 à 10h (GMT, locale) afin d’entériner toute décision nécessaire par un vote, conformément aux dispositions pertinentes du code électoral et en particulier de ses articles 7 et 8 ».

Dans un courrier adressé à la FIF, la FIFA recommande « le maintien de la Commission électorale et la reprise des travaux de celle-ci en indiquant que toutes les décisions à prendre doivent être soumises au vote des membres de la Commission qui doivent individuellement signer le procès-verbal de décision ».

Vue cette nouvelle donne, le Comité d’urgence de la FIF a décidé de l’annulation de l’assemblée générale devant se réunir en session extraordinaire le 29 août 2020, et en lieu et place, de convoquer une réunion d’information et de concertation des membres actifs de la FIF sur le déroulement du processus électoral et des incidents survenus.

La FIF annonce « l’envoi à la FIFA d’un courrier réponse au sien pour lui faire part des observations de la FIF sur l’analyse qu’elle fait de la situation et de son interprétation des textes de la FIF ». Le Comité exécutif de l’organisation se réunit à cet effet, mercredi.  

A la suite d’un blocage du processus électoral, la FIF avait décidé de mettre en place une autre Commission électorale. L’ex-international ivoirien de football,  Didier Drogba, est d’ailleurs candidat à l’élection du président de la FIF aux côtés de trois autres candidats. Il s’agit de MM. Idriss Diallo, Sory Diabaté et Paul Koffi Kouadio.

Mali: la junte propose une transition de trois ans dirigée par un militaire

La junte qui a pris le pouvoir au Mali a proposé, dimanche, une transition de trois ans et la formation d’un gouvernement composé essentiellement de militaires, rapporte Radio France Internationale (RFI).Par ailleurs, poursuivit la même source, « les nouvelles autorités de Bamako acceptent que le président déchu Ibrahim Boubacar Kéïta (IBK) retourne chez lui ou aille se soigner à l’étranger ».

 A l’issue des discussions,  la Communauté économique des Etat de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) dont la mission est conduite par l’ex-président nigérian Goodluck Jonathan et les putschistes maliens « sont d’accord pour tourner la page IBK », ajoute RFI.

La date limite de règlement des factures CIE de mars et mai reportée au 26 août 2020

La Compagnie ivoirienne d’électricité (CIE) annonce le report de la date limite de règlement des factures des mois de mars et mai 2020 jusqu’au 26 août 2020, dans le cadre des mesures sociales prises par l’Etat pour soutenir les ménages et les entreprises face à la pandémie de la Covid-19.Pour « éviter toute coupure faisant suite à un impayé (des factures d’électricité des mois de mars et mai), nous rappelons aux clients qu’ils doivent se rendre en agence au plus tard le 26 août 2020 pour effectuer un règlement partiel ou négocier un échéancier de paiement sur lequel ils s’engageront », indique un communiqué transmis à APA.   

Les pénalités pour impayés des factures des mois de mars et mai 2020 avaient été suspendues jusqu’au 10 août 2020. Cet autre report donne un délai supplémentaire aux ménages et aux entreprises pour s’acquitter de cette charge. 

Quant à la date limite de règlement de la facture du mois de juillet 2020, elle, est fixée au 14 septembre 2020. La compagnie, en charge de la distribution de l’énergie électrique en Côte d’Ivoire, avait déjà dans le cadre d’une mesure exceptionnelle fixé le délai de paiement au 10 septembre 2020. 

Dans l’optique d’accompagner les clients dans le règlement de leurs factures d’électricité face à la Covid-19, dans le cadre des actions sociales du gouvernement, des mesures complémentaires avaient été mises en place aussi bien pour les ménages que pour les entreprises (professionnels BT).  

Le Mali suspend l’exportation du bétail vers les pays de la CEDEAO

Le président de la filière bétail viande du Mali, l’honorable Aboubacar Ba, a annoncé dans une décision parvenue dimanche à APA, la suspension de l’exportation du bétail malien vers les pays de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’ouest ( CEDEAO) en réaction à l’embargo de cette institution sur le Mali.« A tous les présidents des unions régionales de la filière bétail viande du Mali, le président de la filière bétail viande, l’honorable Aboubacar Ba  vous engage à prendre toutes les dispositions pour empêcher tout chargement, tout convoyage du bétail en direction des pays de la CEDEAO», ordonne la décision. 

Poursuivant, M. Ba a indiqué que les responsables des marchés à bétail de Fassou, Kayes, Kati, Fana, Nara, Niamana, Bougouni, Niena, Koury, Zegoua, Koutiala, Boussin, Yolo, Fatinè, Niono, Ségou,  Konombougou, Kona, Fatoma, Djenné et Sofara prendront toutes les dispositions pour empêcher tous les commerçants de bétails ressortissants des pays membres de la CEDEAO de venir s’approvisionner sur leur marché. 

« Il est aussi demandé aux services techniques des ministères de l’élevage et du commerce de ne délivrer aucun certificat d’exportation de bétail jusqu’à la levée de l’embargo sur notre pays », a conclu la décision. 

Jeudi dernier, les  chefs d’État et de gouvernement de la CEDEAO réunis en sommet extraordinaire par visioconférence, ont demandé le rétablissement du président Ibrahim Boubacar Kéïta (IBK), renversé par des militaires putschistes. 

« Nous décidons de la fermeture de toutes les frontières terrestres, aériennes ainsi que l’arrêt des flux et transactions économiques, commerciales, financières entre les pays membres de la CEDEAO et le Mali, à l’exception des denrées de première nécessité, l’électricité et le carburant et demandons à tous les partenaires de faire de même», a également fait savoir à l’issue de ce conclave, Mahamadou Issoufou, le président du Niger et président en exercice de cette institution. 

Election du président de la FIF: la FIFA s’oppose à la recomposition de la Commission électorale

La Fédération internationale de football association (FIFA) l’instance internationale de football, a estimé dans un courrier adressé à la Fédération ivoirienne de football (FIF) avec ampliation à la Confédération africaine de football (CAF) que l’Assemblée générale extraordinaire (AGE) convoquée par le bureau exécutif sortant de la FIF « n’est pas compétente » pour recomposer la Commission électorale mise en place pour l’élection à la présidence de cette instance nationale du football. La FIFA soutient  que le Comité d’urgence mis en place par le bureau exécutif sortant, « n’est pas compétent pour suspendre le processus électoral de la FIF. Que ce dernier est donc toujours en place et qu’il doit reprendre sans délai».

« (…) A la lumière de ce qui précède, l’AGE prévue le 29 août 2020 ne serait donc pas compétente pour élire de nouveaux membres de la Commission électorale… La FIFA estime que le Comité d’urgence n’est pas compétent pour suspendre le processus électoral de la FIF, que ce dernier est toujours en place et qu’il doit reprendre sans délai », a tranché la FIFA dans ce communiqué se fondant sur l’article 4 alinéa 3 du code électoral de la FIF, l’article 100 des statuts de la FIF et l’article 42 alinéa 8 des statuts de la FIF.

 « Après analyse minutieuse des documents que vous nous avez envoyés nous estimons que l’article 100 des statuts de la FIF n’est pas applicable au cas d’espèce étant donné que nous ne sommes pas en présence d’un cas non prévu par les statuts ou d’un cas typique de force majeure», a indiqué auparavant la FIFA dans ce courrier adressé à Jean-Baptiste Sam Etiassé, le secrétaire général de la Commission électorale et directeur exécutif de la FIF.

« La FIFA est d’avis que la Commission électorale devrait se réunir le plus tôt afin d’entériner toute décision nécessaire pour un vote conformément aux dispositions pertinentes du code électoral et en particulier en ses articles 7 et 8. Afin d’éviter tout malentendu et confirmer la validité du vote, nous vous recommandons de faire signer le procès-verbal par tous les membres de la Commission électorale ayant pris part à la réunion concernant la décision en question», a proposé la FIFA.

Le 12 août dernier, le Comité exécutif sortant de la Fédération ivoirienne de football ( FIF) présidé par Augustin Sidy Diallo a suspendu le processus électoral qui devait aboutir à l’élection du nouveau président de cette institution et a convoqué une assemblée générale extraordinaire prévue le 29 août prochain estimant avoir remarqué des « violations graves et répétées du code électoral ».

Cette assemblée générale extraordinaire, vise notamment à recomposer la Commission électorale et poursuivre le processus électoral qui est bloqué.

Cette décision du comité exécutif de la FIF de suspendre le processus électoral est intervenu après les divergences entre les membres de la Commission électorale de la FIF  sur l’éligibilité des candidats à cette élection.

Quatre candidats ont déposé leur dossier de candidature pour l’élection à la présidence de la FIF qui devrait se tenir le 05 septembre prochain. Il s’agit de MM. Idriss Diallo, Sory Diabaté, Didier Drogba et Paul Koffi Kouadio.

Le Pdci se réjouit d’une « forte mobilisation » pour la candidature de Bédié

Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci, ex-allié au pouvoir) se réjouit d’une « forte mobilisation » pour la candidature de son président, Henri Konan Bédié, à l’élection présidentielle du 31 octobre 2020, à un peu plus d’une semaine de la fin du dépôt des candidatures, selon une note de la direction de la formation politique transmise samedi à APA.« La direction du Pdci se réjouit de cette forte mobilisation des Ivoiriens pour la candidature du Président Aimé Henri Konan Bédié », indique une note du parti signée du secrétaire exécutif en chef, Kakou Guikahué.  

Dans cette note, le parti « remercie » les militants qui ont « spontanément » accepté de parrainer la candidature de M. Bédié « dans les 31 régions de Côte d’Ivoire et dans les districts d’Abidjan et de Yamoussoukro ».

Le parrainage électoral est une caution donnée par des élus ou par des citoyens à un candidat à l’élection présidentielle afin de lui permettre d’être candidat. Cette caution est notamment matérialisée par une signature de l’électeur. 

Selon le Code électoral, le candidat doit avoir 1% de l’électorat local dans chacune des 17 régions du pays.   Le parrainage citoyen qui prend fin le 31 août 2020, est une condition d’éligibilité à l’élection présidentielle ivoirienne du 31 octobre 2020. 

L’élection présidentielle du 31 octobre 2020 s’annonce épique. Le président Alassane Ouattara, après le décès de son dauphin, Gon Coulibaly, a décidé de se porter candidat pour répondre à l’appel du peuple ivoirien. 

M. Ouattara a annoncé samedi, lors de son investiture par son parti le Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (Rhdp) à Abidjan, avoir obtenu 1 million de parrainages pour l’élection présidentielle du 31 octobre 2020. 

Sa candidature est contestée par l’opposition qui estime que la Constitution ne lui permet pas de se présenter à nouveau après son mandat en 2010 et 2015. De son côté, le Rhdp soutient qu’il s’agit de son premier mandat de la 3e République selon la loi fondamentale qui remet le compteur à zéro. 

Depuis le 13 octobre 2020, l’on enregistre une vague de protestations dans le pays, de personnes se réclamant notamment de l’opposition. Les heurts ont déjà fait six morts, mais les manifestants ne débordent pas cependant.

Vendredi, des femmes proches de l’opposition ont battu le pavé à travers le pays. Suite à cela, des Groupements et partis politiques de l’opposition ivoirienne (CDRP,EDS, GPS, LIDER et URD), ont dans une déclaration dénoncé « une répression de la part des forces de l’ordre ».

La plateforme de l’opposition évoque des arrestations et des « détentions arbitraires, empêchant certaines de ces braves femmes, éprises de justice  (…) d’exprimer publiquement à la face du monde leur farouche opposition à toute candidature pour la troisième fois du président » Ouattara. 

M. Ouattara a annoncé le dépôt de sa candidature la semaine prochaine. Selon M. Mamadou Touré, un porte-parole du Rhdp, le parti présidentiel, le chef de l’Etat sortant déposera son dossier de candidature « très probablement lundi ».

Les hôpitaux de Rabat et Casablanca retenus pour les essais cliniques du vaccin anti-COVID-19

L’hôpital militaire et l’hôpital Avicenne de Rabat, ainsi que l’hôpital Ibn Rochd de Casablanca ont été retenus pour les essais cliniques du vaccin anti-Covid-19, qui devront démarrer lundi prochain, rapporte samedi la presse marocaine.Selon le journal +L’Economiste+ dans sa version électronique, près de 5.000 volontaires devraient participer à ces essais. Ils resteraient sous suivi médical durant une période d’au moins 40 jours.

Cette opération s’inscrit dans le cadre d’une collaboration maroco-chinoise qui permettra au Royaume d’assurer au citoyen marocain d’être parmi les premiers servis en matière de vaccination contre le Coronavirus.

En cas de succès, le Maroc produira lui-même le vaccin, avait déclaré le ministre de la Santé, Khalid Aït Taleb, à l’issue de la cérémonie signature jeudi via vidéo-conférence, simultanément à Rabat et à Pékin, de ces accords.

Maroc : Adoption de l’enseignement à distance au début de l’année scolaire 2020-2021 (ministère)

L’enseignement à distance sera adopté comme modèle pédagogique au début de l’année scolaire 2020-2021 qui commence le 7 septembre, tous cycles et niveaux confondus, dans l’ensemble des établissements publics et privés ainsi que dans les écoles des missions étrangères, a annoncé samedi le ministère de l’Éducation nationale, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.Le ministère a affirmé que l’enseignement en présentiel sera assuré pour les apprenants dont les parents optent pour ce modèle, sachant qu’un mécanisme sera établi pour permettre aux familles de faire un tel choix. Cette décision, a-t-il expliqué, trouve son fondement dans la situation épidémiologique inquiétante que vit actuellement le pays, marquée par une augmentation sensible des cas de contamination, du nombre de cas critiques et de décès.

Dans le souci de préserver la santé et la sécurité des élèves, des cadres pédagogiques et administratifs, le ministère veillera à réunir les conditions appropriées en prévision de la rentrée, en instaurant un protocole sanitaire strict prenant en compte les mesures préventives prises par les autorités sanitaires. Il s’agit notamment du port obligatoire des masques à partir de la cinquième année du primaire, le lavage régulier des mains, le respect de la distanciation physique par la réduction du nombre d’élèves en classes, la désinfection des différentes structures et dépendances scolaires.

Il a en outre relevé que dans le cadre des mesures proactives visant à lutter contre la propagation de la pandémie de Covid19, un plan intégré 2020 a été élaboré selon l’évolution de la situation épidémiologique, soulignant que le modèle pédagogique pourrait, à tout moment de la prochaine année scolaire, faire l’objet d’adaptation au niveau local, provincial ou régional à la lumière de l’évolution de cette situation, et ce en coordination avec les autorités locales et sanitaires.

Le département de tutelle affirme qu’il veillera dans les prochains jours à informer la famille de l’éducation, les élèves et leurs parents ainsi que l’ensemble des citoyens des diverses actions liées à la gestion de l’année scolaire 2020-2021 dans le contexte exceptionnel marqué par la pandémie.

Covid-19: 64 nouveaux cas enregistrés portant à 2 155 cas actifs en Côte d’Ivoire

Avec 64 nouveaux cas de la Covid-19 et un décès enregistrés le 22 août 2020 en Côte d’Ivoire, le pays compte 17 374 cas confirmés dont 15 106 personnes guéries, 113 décès et 2 155 cas actifs, selon le ministère de la Santé et de l’hygiène publique.Ce samedi 22 août 2020, 64 nouveaux cas de la Covid-19 ont été enregistrés sur 1 101 échantillons prélevés soit 5,8 % de cas positifs, 286 guéris et un décès, notamment une patiente de 65 ans décédée dans un établissement sanitaire public, indique le bilan journalier du ministère de la Santé et de l’hygiène publique. 

« A la date du 22 août, la Côte d’Ivoire compte donc 17 374 cas confirmés dont 15 106 personnes guéries, 113 décès et 2 155 cas actifs », précise le texte du ministère de la Santé et de l’hygiène publique qui souligne que « le nombre total d’échantillons est de 119 166 ». 

La Côte d’Ivoire connaît,  en ce mois d’août, une baisse significative du taux de positivité de la Covid-19 et une augmentation appréciable du nombre total de personnes déclarées guéries ainsi qu’un fléchissement du nombre cas actifs.  

Ces résultats sont, entre autre, consécutifs au reflet de la qualité de la prise en charge sanitaire, mais surtout dus aux campagnes de sensibilisation et aux mesures barrières édictées par le Conseil national de sécurité (CNS), présidé par le chef de l’Etat, Alassane Ouattara.