L’ambassadeur sud-africain Emmanuel Mthethwa retrouvé mort, un drame qui interroge

Paris sous le choc : l’ambassadeur sud-africain Emmanuel Mthethwa retrouvé mort, une disparition tragique qui bouleverse les relations diplomatiques et soulève de nombreuses interrogations.

 

Paris, 30 septembre 2025 – Dans l’ombre élégante des boulevards parisiens, une nouvelle sombre a jeté un voile de stupeur sur les relations franco-africaines. Ce mardi, un passant a retrouvé le corps sans vie d’Emmanuel Nkosinathi Mthethwa, dit Nathi Mthethwa, ambassadeur d’Afrique du Sud en France, au pied de l’hôtel Hyatt, dans le 17ᵉ arrondissement, près de la porte Maillot. Âgé de 58 ans, cet homme politique de premier plan, pilier de l’ANC et proche de Jacob Zuma, avait été signalé disparu par son épouse la veille, après un dernier signalement au bois de Boulogne.

Dès lors, le parquet de Paris a ouvert une enquête sur les circonstances de cette chute du 22ᵉ étage, évoquant pour l’heure un possible suicide. Ce drame laisse planer un mystère qui émeut au-delà des frontières. Dans un monde où les diplomates tissent des ponts fragiles, la perte de Mthethwa rappelle que derrière les protocoles se cachent des âmes, et que la vérité, souvent, réside dans les silences.

 

Un signalement alarmant : la disparition d’Emmanuel Mthethwa ouvre l’enquête

 

Tout commence le lundi 29 septembre, vers midi, lorsque l’épouse de l’ambassadeur alerte les autorités françaises : Emmanuel Mthethwa, introuvable depuis le matin, a été localisé pour la dernière fois au bois de Boulogne, ce poumon verdoyant de l’ouest parisien. En réaction, les autorités lancent immédiatement des recherches – patrouilles, appels à témoins, mobilisation des services diplomatiques sud-africains –, dans une urgence qui traduit l’inquiétude d’une famille et d’une nation.

De plus, Mthethwa, nommé à ce poste stratégique en 2023, incarnait les liens historiques entre Pretoria et Paris, nations unies par l’histoire et les défis contemporains. Ainsi, cette disparition soudaine, dans la capitale des Lumières, n’était pas qu’un fait divers ; elle soulignait la vulnérabilité et le poids des responsabilités qui pèsent sur les épaules des émissaires.

 

La découverte : un corps au pied de l’hôtel, l’hypothèse de la chute

 

Le lendemain matin, vers 9 heures, un promeneur anonyme aperçoit un corps inerte à l’aplomb de l’hôtel Hyatt, établissement luxueux prisé des diplomates et voyageurs d’affaires. Les secours confirment rapidement l’identité : c’est bien Mthethwa, dont la chambre au 22ᵉ étage révèle une fenêtre ouverte, malgré les dispositifs de sécurité.

Le parquet de Paris ouvre une enquête en recherche des causes de la mort, confiée au 2ᵉ district de police judiciaire, afin d’écarter toute intervention extérieure. Les premiers éléments ne montrent pas de traces de violence apparente ni de message d’adieu formel, mais un contexte personnel rapporté comme trouble – rumeurs de tensions conjugales, poids des responsabilités – oriente les investigations. De ce fait, Paris, ville de splendeurs et de secrets, devient le théâtre d’un chapitre funèbre, où la Ville Lumière semble soudain plus ombreuse.

 

Un portrait d’un homme engagé : Emmanuel Mthethwa de l’ANC à la diplomatie

 

Pour mieux saisir la profondeur de cette perte, il faut plonger dans l’itinéraire de Nathi Mthethwa, figure emblématique de la lutte sud-africaine. Né en 1967 dans le KwaZulu-Natal, il rejoint l’ANC dès les années 1980, militant contre l’apartheid aux côtés de figures comme Jacob Zuma, dont il deviendra un fidèle.

Ensuite, ministre de la Police de 2019 à 2021, il a navigué dans les eaux tumultueuses de la politique post-Mandela, avant que le gouvernement ne le nomme ambassadeur à Paris en 2023, un rôle où il défendait avec ferveur les positions sud-africaines, notamment la plainte historique que l’Afrique du Sud a déposée contre Israël à la Cour internationale de justice pour génocide à Gaza.

Au-delà de ses fonctions, Mthethwa était un diplomate au charisme discret, convaincu que le dialogue franco-africain pouvait guérir les plaies du passé. Sa mort prématurée laisse un vide, un écho à ces héros discrets qui forgent l’Afrique d’aujourd’hui.

 

Des réactions unanimes : un choc qui unit Pretoria et Paris

 

Dès l’annonce officielle, confirmée par le ministère sud-africain des Affaires étrangères, une onde de choc immédiate se propage. Cyril Ramaphosa, président, rend hommage à « un patriote infatigable », tandis que l’ambassade sud-africaine à Paris annule ses événements pour une période de deuil. Du côté français, le Quai d’Orsay exprime sa « profonde tristesse » et offre son soutien à la famille, soulignant les « liens indéfectibles » entre les deux pays. Ainsi, cette unité, au-delà des spéculations, rappelle que la diplomatie est tissée de vies, de pertes qui soulignent notre humanité commune.

 

Un mystère persistant : l’enquête en cours appelle à la prudence.

 

Pendant ce temps, les enquêteurs scrutent les caméras de surveillance, l’autopsie et les témoignages – dont celui de l’épouse, qui évoquait un « message troublant » reçu la veille. Le dossier reste ouvert, écartant pour l’instant l’hypothèse criminelle mais invitant à la prudence. En somme, cette attente, suspendue comme un voile sur la Seine, interroge les ombres intimes des puissants.

Emmanuel Mthethwa, gardien des rêves arc-en-ciel sud-africains, s’en va ainsi, laissant un héritage. Paris pleure un frère d’Afrique ; le monde, un artisan de paix.

 

CETEF : rêver pour performer

À Lomé, le personnel du CETEF se forme à l’excellence : un atelier inspiré par l’IYF Togo transforme les rêves en leviers de performance, à l’approche de la FIL20 et des 40 ans du centre.

 

Lomé, 30 septembre 2025 – Dans l’effervescence créative de la salle Africa du Centre Togolais des Expositions et Foires (CETEF TOGO 2000), un vent de motivation a soufflé ce mardi, transformant des aspirations en carburant pour l’excellence. Animé par M. Young Sam Kim, représentant résident de l’International Youth Fellowship (IYF) au Togo, un atelier de formation sur le thème « Le rêve au service de la performance » a réuni le personnel du CETEF, ces artisans discrets d’événements grandioses.

À l’heure où la 20e Foire Internationale de Lomé (FIL20), du 28 novembre au 14 décembre, et le 40e anniversaire du centre se profilent, cette session était un appel attachant à l’ambition collective, où chaque rêve partagé devient un levier pour propulser Lomé sur la scène mondiale des échanges et des rencontres. Dans ce contexte, où le Togo connaît une renaissance économique, cet atelier nous persuade que la performance naît d’une vision claire, portée par des cœurs unis.

À Lomé, l’IYF Togo a animé un atelier de formation sur le thème « Le rêve au service de la performance » pour le personnel du CETEF.

Un lancement inspirant : Young Sam Kim, le catalyseur des visions partagées

 

Dès les premières heures de la matinée, la salle Africa s’est emplie d’une énergie palpable. M. Young Sam Kim, avec son charisme et son accent sud-coréen teinté d’enthousiasme togolais, a ouvert les hostilités en posant l’essentiel : établir une vision claire et la rédiger comme un serment gravé.

De manière significative, cet atelier, initié par IYF Togo, cible précisément le personnel du CETEF – ces gardiens des coulisses qui font pulser la vie des foires. En partageant des anecdotes de jeunes leaders mondiaux transformés par l’IYF, Kim a su captiver, rendant tangible cette idée que rêver n’est pas un luxe, mais au contraire, le premier pas vers une performance durable, attachante par sa simplicité humaine.

 

L’essence du thème : fixer des objectifs précis pour des rêves concrétisés

 

Au fil des échanges interactifs, l’atelier s’est penché sur le cœur battant du thème : fixer des objectifs précis, alignés sur la vision de la direction, pour que les rêves ne restent pas des nuages éthérés. Des exercices pratiques – rédaction de déclarations personnelles, brainstorming en petits groupes – ont fleuri, où chaque participant, du technicien à l’organisateur, a cartographié son chemin vers l’excellence.

Ainsi, cette approche a révélé une vérité : dans le tourbillon d’une foire comme la FIL20, où des milliers d’exposants et de visiteurs convergeront, une ambition bien cadrée transforme les défis en triomphes. Kim, avec son éloquence qui touche l’âme, a insisté : « Rêvez grand, mais marchez avec discipline », un mantra qui résonne comme un écho bienveillant dans les couloirs du CETEF.

À Lomé, l’IYF Togo a animé un atelier de formation sur le thème « Le rêve au service de la performance » pour le personnel du CETEF.

Une préparation stratégique : la FIL20 et ses 40 ans sous les étoiles de l’ambition

 

Dans la continuité de cette dynamique, cet atelier s’inscrit dans une série de formations orchestrées par IYF Togo, un partenariat fructueux qui prépare le terrain pour un événement doublement festif : la 20e FIL, vitrine éclatante de l’économie togolaise, coïncidant avec le quarantième anniversaire du CETEF.

Autrement dit, du 28 novembre au 14 décembre, Lomé deviendra un carrefour bouillonnant d’innovations, de cultures et d’opportunités, où la vision partagée du personnel sera le fil d’or reliant stands et scènes.

En encourageant l’imagination et l’ambition, cette initiative ne vise pas seulement l’efficacité opérationnelle ; elle ambitionne également de forger une culture d’excellence, où le CETEF aspire à être reconnu comme le meilleur centre d’expositions au monde, un rêve audacieux mais si attachant dans sa quête d’élévation collective.

 

Des éléments clés pour le succès : vision, discipline et rêves élargis

 

Au-delà des modules structurés, l’atelier a mis en lumière trois piliers indissociables : la vision comme boussole, la discipline comme ancre, et la capacité à rêver grand comme voile gonflé par les vents du possible. Des témoignages émouvants de participants – un organisateur confessant comment un objectif clair a boosté sa motivation, une hôtesse visualisant déjà les sourires des visiteurs – ont humanisé ces concepts, rendant ainsi  l’expérience persuasive par son authenticité.

Dans une conjoncture où l’économie togolaise pulse au rythme des initiatives locales, comme les investissements florissants en zones franches, cet apport de l’IYF Togo infuse en fait une fraîcheur internationale, renforçant le statut du CETEF comme hub panafricain d’innovation et de convivialité.

 

Un horizon lumineux : inspirer pour briller, unis vers une FIL 20 légendaire.

 

En refermant les portes de la salle Africa, cet atelier laissera un legs vibrant : un personnel revigoré, prêt à incarner le slogan implicite de l’IYF – transformer les rêves en performances collectives. Pour la FIL20, cet engagement à former et inspirer n’est pas un détail ; bien au contraire, c’est le socle d’un succès qui rayonnera bien au-delà de Lomé, célébrant 40 ans d’un centre qui a su grandir avec le Togo.

M. Young Sam Kim, en semant ces graines d’ambition, nous rappelle avec une tendresse que la vraie performance naît d’un rêve partagé, d’une discipline joyeuse et d’une vision qui unit. Si cette étincelle allumée aujourd’hui illumine les allées de la foire, ce sera vraiment exceptionnel.

Elle le fera surement, car en définitive, dans le ballet des nations en mouvement, chaque atelier comme celui-ci est aussi une note d’espoir, un appel attachant à oser plus grand, ensemble.

 

Awooyo célébrée au Grand Rex

À Lomé, BB célèbre Awooyo : une soirée festive et intergénérationnelle rend hommage à la bière brune emblématique du Togo, symbole d’audace, de tradition et de convivialité.

 

Lomé, 30 septembre 2025 – Sous les feux de la rampe du Grand Rex, Lomé a vibré au rythme d’une bière qui transcende les verres pour toucher l’âme togolaise. Vendredi dernier, la Brasserie BB Lomé a levé son toast à Awooyo, sa perle ambrée, lors d’une soirée festive et fraternelle. L’événement a réuni un parterre éclectique : grossistes, consommateurs passionnés, partenaires loyaux et figures publiques rayonnantes.

En présence du directeur général Diogo Victoria, cet hommage n’était pas qu’une célébration ; bien au contraire, c’était une déclaration d’amour collective à une boisson qui, depuis des décennies, unit les cœurs autour d’un goût d’audace et de tradition. Dans ce contexte, où les saveurs locales forgent l’identité, Awooyo brille comme un phare convivial, invitant chacun à trinquer à la vie.

 

Une ambiance électrique : rythmes et couleurs pour un hommage vibrant

 

Dès les premières notes, le Grand Rex s’est transformé en un kaléidoscope de bonheur togolais. Prestations artistiques envoûtantes, animations musicales endiablées et danses traditionnelles gracieuses ont enflammé la salle, où l’odeur maltée d’Awooyo flottait comme une promesse de partage. En fait, le public a rendu un hommage spontané à cette bière intergénérationnelle, symbole d’un Togo qui danse avec son passé tout en embrassant l’avenir.

« J’ai toujours consommé Awooyo depuis ma jeunesse. C’est une bière vraiment particulière, unique en son genre », confie Modeste, un invité ému, les yeux pétillants de souvenirs.

Cette soirée a capturé l’essence d’une culture où la bière n’est pas qu’une boisson, mais un fil rouge entre les âges.

 

La voix de la marque : un serment d’allégeance aux consommateurs

 

Au cœur de cette effervescence, Ahmed Ayandedji, responsable marketing de BB Lomé, a pris la parole pour un discours qui a résonné comme un serment.

« Awooyo connaît un plébiscite de Lomé à Cinkassé… Nous avons souhaité dédier cette soirée à nos consommateurs et à nos partenaires, véritables artisans de la vitalité de la marque. »

En plus, il a affirmé que la bière incarne une identité forte et a conquis toutes les régions du Togo. En plaçant les fidèles au centre de la scène, Ayandedji a transformé l’événement en un cercle vertueux : la marque honore ceux qui, verre après verre, en font une légende vivante.

 

Le charme d’Awooyo : une brune audacieuse qui défie les modes

 

Ambrée et affirmée, couronnée d’une mousse généreuse et d’un goût raffiné, Awooyo se dresse fièrement comme « la bière des audacieux ». Contrairement à la marée blonde dominante, elle a su démocratiser la bière brune au Togo par la force de son caractère.

« Ses amateurs sont passionnés, fidèles et courageux », ajoute Ayandedji avec un sourire enjôleur, soulignant comment cette boisson a su s’infiltrer dans les veillées familiales et les fêtes villageoises. Ainsi, dans un pays où la résilience est une vertu quotidienne, Awooyo est un trait de caractère, un élixir qui murmure à l’oreille des braves.

 

Des étoiles pour éclairer la nuit : invités d’honneur et moments inoubliables

 

La magie de la soirée s’est accrue avec l’arrivée de personnalités qui ont ajouté leur éclat à cette toile vivante. L’ex-international de football Emmanuel Adébayor, charismatique et accessible, a multiplié les toasts ; la Miss Togo et ses dauphines, resplendissantes, ont illuminé la piste de danse. Des influenceurs, miroirs des tendances jeunes, ont aussi capturé l’instant en stories enflammées.

D’ailleurs, ces présences ont tissé un lien indéfectible entre la marque et son public, confirmant qu’Awooyo n’appartient plus à BB Lomé seule : elle est l’héritage collectif d’un Togo fier.

 

Un legs de fraternité : Awooyo, slogan vivant d’une nation conviviale

 

Plus qu’une fête éphémère, cette soirée au Grand Rex s’est imposée comme un hymne vibrant à une boisson qui traverse les générations sans une ride. Fidèle à son slogan du « trait de caractère », Awooyo incarne audace, convivialité et tradition, reliant ainsi les anciens aux jeunes. Par ailleurs, Diogo Victoria, en maître de cérémonie discret mais omniprésent, a su orchestrer ce moment pour qu’il résonne au-delà des murs : une invitation à redécouvrir les joies simples.

 

Awooyo, trait d’union d’un Togo audacieux

 

En définitive, la soirée du Grand Rex n’a pas seulement célébré une bière ; elle a révélé un symbole vivant de la convivialité togolaise. À travers Awooyo, c’est tout un pays qui se raconte : ses saveurs, ses audaces, ses fidélités. De la mousse à la mémoire, chaque gorgée devient une promesse de lien, une invitation à l’unité.

BB Lomé, en honorant ses consommateurs, a aussi réaffirmé que les marques les plus fortes sont celles qui écoutent, qui partagent, et qui vibrent au rythme de leur peuple. Awooyo n’est plus une simple boisson : elle est une signature nationale, un toast à la fraternité, un écho de ce que le Togo a de plus précieux – sa capacité à célébrer ensemble.

 

Le Togo mobilisé contre la rage

À Lomé, le Togo lance une campagne nationale de vaccination gratuite contre la rage : un bouclier collectif pour protéger enfants, familles et animaux, avec l’ambition d’éradiquer la maladie d’ici 2030.

 

Lomé, 30 septembre 2025 – Sous un soleil matinal radieux, Lomé s’est éveillée en sentinelle de la santé le 27 septembre, Journée mondiale de lutte contre la rage. Sur le terrain du Lycée d’Agoè, le gouvernement togolais a donné le coup d’envoi d’une campagne nationale de vaccination gratuite, un bouclier collectif contre cette maladie insidieuse. Chiens, chats, et même singes – ces compagnons fidèles de nos foyers – ont été les premiers à recevoir leur dose protectrice. Impulsée par le Président Faure Essozimna Gnassingbé, cette initiative vise à vacciner plus de 60 000 animaux et à sensibiliser un demi-million de citoyens. Autrement dit, une promesse attachante : un Togo où les enfants, premières victimes, grandissent sans la peur d’une morsure fatale, et où la santé animale et humaine s’entrelacent en un pacte indéfectible.

Un lancement festif et solennel : mobilisation totale de l’État

 

Dès l’aube, le Lycée d’Agoè s’est transformé en hub de vie et de vigilance, où vétérinaires, agents de santé et volontaires ont déployé tentes et seringues. La campagne, étendue à toute l’étendue du territoire – de Cinkassé à Sokodé, en passant par Kpalimé et Aného –, a été présidée par le ministre d’État chargé des ressources animales, M. Yark Damehame, flanqué de ses homologues de l’Environnement et des Forêts, M. Katari Foli Bazi, et de la Santé publique.

En ce sens, « Cette opération gratuite lève la barrière du coût, protégeant enfants, familles et voisins », a déclaré avec ferveur le ministre Bazi, soulignant l’urgence d’un rempart accessible à tous. L’air vibrait d’une énergie persuasive : celle d’une nation qui refuse de laisser la rage dicter son destin.

À l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre la rage, le gouvernement togolais a lancé à Lomé une campagne nationale

Objectifs ambitieux : 60 000 animaux, un demi-million d’âmes éveillées

 

Au cœur de cette offensive, se niche une vision claire et mesurable : vacciner au moins 60 000 animaux de compagnie d’ici la fin de la campagne, tout en touchant plus de 500 000 citoyens par des messages de prévention. Chiens errants ou domestiques, chats espiègles et singes curieux – tous sont conviés à ce bouclier immunitaire, gratuit et sans rendez-vous, dans les centres de santé, marchés et villages reculés.

Dans cette optique, « Zéro rage d’ici 2030 », clame le slogan, aligné sur les engagements mondiaux de l’OMS et de l’OIE. La stratégie s’inscrit dans une trajectoire durable, combinant aussi ateliers interactifs, spots radio et caravanes mobiles pour promouvoir les gestes salvateurs.

L’engagement présidentiel : un souci bienveillant pour les plus vulnérables

 

C’est pourquoi, sous l’égide du Président Gnassingbé, cette vague protectrice déferle, un geste politique qui touche au cœur des Togolais. En rendant la vaccination gratuite, le chef de l’État brise les chaînes économiques qui retenaient tant de familles, priorisant les enfants – ces anges exposés aux morsures.

Par ailleurs, les ministres, unis en un front tripartite, incarnent cette synergie : Damehame orchestre les ressources animales, Bazi veille à l’harmonie environnementale, et le ministre de la Santé infuse l’expertise médicale. Cette action collective transforme l’État en gardien bienveillant, rappelant que la santé n’est pas un luxe, mais un droit fondamental.

L’approche One Health : une santé globale pour un Togo uni

 

Au-delà des piqûres salvatrices, cette campagne embrasse pleinement le paradigme One Health (Une Seule Santé), où la santé animale, humaine et environnementale fusionnent en un écosystème harmonieux. La rage, zoonose impitoyable transmise par morsure, ne connaît pas de frontières entre espèces ; dès lors, vacciner un chien protège un enfant.

De surcroît, soutenue par des partenaires internationaux, l’initiative togolaise rayonne comme un modèle africain, intégrant formations croisées et protocoles intégrés contre les épidémies. Dans ce Togo résilient, One Health n’est pas un concept abstrait ; c’est une philosophie persuasive, qui unit l’homme à sa bête dans une danse de prévention.

 

Appel à la mobilisation : ensemble vers un horizon sans morsure

Tandis que la campagne s’étend comme une marée bienfaisante, elle nous convie tous à l’action. L’éradication de la rage d’ici 2030 est notre horizon commun, un rêve attachant où chaque vie sauvée est une victoire collective. Le Togo, terre de solidarité instinctive, montre la voie : ainsi, avec audace et tendresse, nous vaincrons cette ombre ancienne.

En définitive, si un simple vaccin peut changer un destin, imaginez ce que notre unité peut accomplir. À vos côtés, pour un Togo protégé, pour une Afrique invincible.

 

Lomé : droits humains et alerte précoce

À Lomé, l’Afrique de l’Ouest renforce ses défenses : un atelier régional place les droits humains au cœur des mécanismes d’alerte précoce pour anticiper les conflits et bâtir une paix durable. 

 

Lomé, 29 septembre 2025 – Dans un monde où les ombres des conflits persistent, l’Afrique de l’Ouest s’apprête à allumer une lumière nouvelle. Du 29 septembre au 3 octobre, la capitale togolaise, Lomé, devient le cœur battant d’un atelier régional ambitieux : un renforcement des capacités dédié à l’intégration des droits humains dans les mécanismes d’alerte précoce. Cette initiative, soutenue par un front uni d’organisations internationales, marque une rupture bienvenue avec les approches traditionnelles. En effet, elle invite les acteurs de la paix à anticiper plutôt qu’à guérir.

Du 29 septembre au 3 octobre 2025, Lomé accueille un atelier régional sur l’intégration des droits humains dans les systèmes d’alerte précoce. Soutenu par l’Union Africaine, la CEDEAO, le HCDH, la GIZ et UNITAR, l’événement vise à anticiper les crises et renforcer la stabilité en Afrique de l’Ouest.

Un front uni pour un défi régional

 

À l’origine de cette dynamique se trouve une alliance stratégique et inspirante, regroupant les acteurs clés de la stabilité et des droits humains. Ensemble, ces forces convergent vers un objectif clair : équiper les décideurs régionaux d’outils pour une vigilance accrue, ancrée dans les principes universels des droits humains.

Concrètement, l’initiative est menée par :

  • Le Département de la Paix et de la Sécurité de l’Union Africaine (AUC_PAPS)
  • Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH)
  • La Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO)
  • La Coopération allemande (GIZ, en partenariat avec l’Union Africaine)
  • L’Institut des Nations Unies pour la formation et la recherche (UNITAR)

Ainsi, cette synergie institutionnelle traduit une volonté commune de dépasser les cloisonnements habituels pour instaurer une culture de prévention partagée.

Le cœur de l’initiative : passer de la réaction à la prévention

 

Au-delà des partenariats, l’essence de cet atelier réside dans sa vision transformative. Son objectif principal est de renforcer les systèmes d’alerte précoce en plaçant les droits humains au centre de l’équation. Dès lors, fini le temps des réponses réactives, ces feux de paille qui épuisent les ressources sans éteindre les braises sous-jacentes. À la place, une prévention proactive s’impose, où chaque signal d’alarme – une détention arbitraire, une discrimination flagrante – devient un levier pour désamorcer les tensions avant qu’elles n’explosent.

Par conséquent, l’atelier propose une approche holistique, articulée autour de l’écoute, de l’analyse et de l’action anticipée.

 

Une réponse aux racines profondes des conflits

 

Mais pourquoi cette fusion entre droits humains et alerte précoce ? Tout simplement parce que l’histoire de l’Afrique de l’Ouest le crie haut et fort : les violations systémiques des droits – exactions contre les civils, marginalisation ethnique, injustices socio-économiques – sont les semences invisibles des tempêtes à venir.

C’est pourquoi, à Lomé, les participants, venus des quatre coins de la région, apprendront non seulement à identifier ces signaux subtils, mais aussi à les transformer en actions concrètes. Grâce à des modules interactifs sur l’analyse des risques humains et à des simulations de scénarios réels, cet atelier devient un appel à l’empathie stratégique, où la paix se forge dans la compréhension des souffrances individuelles.

Du 29 septembre au 3 octobre 2025, Lomé accueille un atelier régional sur l’intégration des droits humains dans les systèmes d’alerte précoce. Soutenu par l’Union Africaine, la CEDEAO, le HCDH, la GIZ et UNITAR, l’événement vise à anticiper les crises et renforcer la stabilité en Afrique de l’Ouest.

Un horizon de paix et de sécurité durables

 

En conclusion, cet événement promet un legs durable. En intégrant les droits humains comme boussole éthique, l’Afrique de l’Ouest pourrait bien redessiner sa carte de la stabilité, évitant ainsi les cycles vicieux qui ont trop souvent marqué son histoire récente. Lomé, ville de ponts et de dialogues, incarne à merveille ce renouveau : un espace où la vigilance collective tisse un filet de sécurité pour des millions d’âmes.

En définitive, cet atelier n’est pas qu’un rendez-vous technique ; c’est un pari sur l’avenir, un murmure persuasif que la paix n’est pas un don du ciel, mais une conquête quotidienne, tissée de droits respectés et d’alertes entendues. L’Afrique de l’Ouest, terre de résilience, mérite cette chance – et, ensemble, la saisit.

UNGA80 : Dussey réclame justice à l’ONU

À l’UNGA80 , Robert Dussey plaide pour la réparation coloniale et érige le Togo en modèle de résilience africaine : un appel vibrant à la justice historique et à l’équité globale.

 

 New York, 29 septembre 2025—   Au cœur de l’Assemblée générale des Nations Unies, 80ᵉ session, une voix africaine résonne avec une force tranquille et implacable. Robert Dussey, ministre togolais des Affaires étrangères, n’a pas seulement prononcé un discours ; il a lancé un appel vibrant à la justice, écho d’un continent qui refuse l’oubli. L’Afrique, dit-il, réclame réparation pour un siècle de colonialisme qui a dévié sa trajectoire, pillé ses ressources et dispersé son âme. Dans ce plaidoyer poignant, le Togo émerge non comme une simple porte-parole, mais comme un modèle vivant de résilience et de progrès, sous la vision du président Faure Essozimna Gnassingbé. Une intervention qui, au-delà des mots, dessine les contours d’une Afrique décolonisée, fière et prospère.

 

Un cri pour la justice à UNGA80 : décoloniser l’histoire et les âmes

 

À l’UNGA80, Dussey pose les fondations d’un réquisitoire historique sans concession. L’Afrique, affirme-t-il, a payé de son sang et de ses richesses la prospérité d’autres continents, subissant près d’un siècle de colonialisme qui l’a profondément désorientée. Entre 80 et 90 % de son patrimoine culturel gisent aujourd’hui dans des musées étrangers, tandis que des restes humains africains, en violation des lois sacrées de l’humanité, demeurent hors du continent.

Pire encore : la contribution décisive de l’Afrique à la victoire contre le fascisme en 1945 a été occultée lors de la fondation des Nations Unies, excluant le continent des instances décisionnelles pendant 80 ans. Le Conseil de sécurité, assiégé par cette injustice, nie aux peuples africains une représentativité juste et équitable. « Il faut décoloniser la géographie », tonne Dussey, appelant ainsi à une nouvelle cartographie politique qui rende à l’Afrique sa place centrale sur l’échiquier mondial.

 

Une Vision Transformatrice à UNGA80  : redessiner les frontières de la dignité

 

Ensuite, au-delà de ce constat amer, l’intervention togolaise trace un horizon d’espoir concret. Décoloniser ne signifie pas seulement restituer des artefacts ou des os ; c’est repenser les structures du pouvoir global pour inclure l’Afrique dans les décisions qui la concernent. Dussey, avec une éloquence qui captive l’assemblée, insiste sur la nécessité d’une réforme profonde des Nations Unies, où la voix du Sud ne soit plus une supplique, mais un droit inaliénable. Le Togo, en tant que nation pont, incarne cette urgence : un pays qui, loin de se lamenter, agit pour transformer ses plaies en forces, démontrant que la justice historique pave la voie à une souveraineté retrouvée.

Le Togo en exemple : une renaissance multisectorielle sous Gnassingbé

 

Et c’est ici que le discours de Dussey s’ancre dans le réel, illuminant les avancées fulgurantes du Togo sous la présidence de Faure Gnassingbé. En santé, 90,7 % d’accessibilité géographique aux soins en 2023 – une hausse de 19,3 % depuis 2020 – couplée au lancement de l’assurance maladie universelle couvrant près de 3 millions de personnes, y compris les élèves via School AMU.

Des investissements massifs, à hauteur de 150 milliards de FCFA, animent des projets phares comme ELIPSE, SSECQU et un centre de technologies médicales. L’accès à l’eau potable atteint 86 % en 2024 (+26 % depuis 2020), tandis que l’électricité touche 74,5 % de la population, avec une dépendance énergétique extérieure réduite de 64 % à 50 %. La pauvreté recule drastiquement : 24,8 % de la population sous le seuil en 2025, contre 51,1 % en 2020.

 

Une explosion agricole et infrastructurelle : semer les graines de l’autonomie

 

D’ailleurs, cette dynamique se poursuit dans l’agriculture et les infrastructures, piliers d’une économie togolaise en pleine effervescence. Les rendements ont bondi de 11 % pour le maïs, 7 % pour le riz, 17 % pour le manioc et 32 % pour le soja entre 2020 et 2025, soutenus par 9,8 milliards de FCFA accordés à 176 000 producteurs. Les superficies cultivées s’étendent à 2 462 995 hectares en 2024 (+12,21 % depuis 2020).

Au Port autonome de Lomé, 30,6 millions de tonnes de marchandises en 2024 contre 25,9 millions en 2020 ; 4 472 km de pistes rurales aménagées et 485 km de routes bitumées ; 1,5 million de passagers à l’aéroport Gnassingbé Eyadéma. La plateforme industrielle d’Adétikopé (PIA), sur 800 hectares, opérationnalise 10 unités, tandis que 346 milliards de FCFA sont investis en zone franche.

 

Un bilan éclatant : inclusion, numérique et durabilité pour un avenir radieux

 

Enfin, le tableau se complète par des avancées sociétales et environnementales qui inspirent. L’inclusion financière culmine à 85,7 %, avec 197 916 crédits octroyés pour 18,32 milliards de FCFA. La couverture internet fixe et mobile atteint 90 % (+15 % depuis 2020), la capacité réseau multipliée par 20 grâce au câble Equiano.

Les recettes budgétaires explosent de 67,6 % (de 655,2 milliards en 2020 à 1 098,1 milliards en 2024), permettant le recrutement de 25 000 agents publics. La digitalisation touche près de 200 services, le ratio recettes fiscales/PIB passe de 12,4 % à 14,4 %, et 3,4 % des immatriculations sont des véhicules électriques neufs en 2025.

Côté environnement, 60 % des côtes sont protégées contre l’érosion (18 km d’ouvrages), et 40 millions de plants ont été mis en terre sur 48 000 hectares. La croissance économique vise 7 % en 2025, confirmée par le rapport 2024/2025 du PNUD sur l’IDH : le Togo, seul pays ouest-africain classé « développement humain moyen » avec la 2ᵉ place en UEMOA et la 4ᵉ en CEDEAO, excelle aussi en revenu, scolarisation et espérance de vie.

En somme, ces résultats, fruit d’une détermination farouche, conjuguent résilience économique, stabilité sociale et ambition durable face aux tempêtes mondiales. Par l’exemple du Togo, mené par Faure Gnassingbé, Dussey délivre un message à l’UNGA80 : l’Afrique n’est plus seulement en quête de réparation, elle prouve qu’elle aussi peut s’épanouir et invite le monde à s’associer à sa quête inéluctable d’équité.

Le Togo renforce son appui au G7+

À l’ONU, le Togo réaffirme son engagement envers le G7+ : une diplomatie de résilience au service des États fragiles et du développement partagé.

 

New York, 29 septembre 2025 – Dans les couloirs feutrés de la diplomatie togolaise, une rencontre discrète mais lourde de sens s’est tenue le 27 septembre, illuminant les voies d’une Afrique résiliente. Le Secrétariat du G7+, sous la houlette visionnaire du Dr. Helder da Costa, Secrétaire général, a serré la main de Son Excellence Robert Dussey, Ministre des Affaires étrangères du Togo.

Ensemble, ils ont décortiqué les fruits du Sommet du G7+ – un événement pivotal tenu en marge de la 80ᵉ session de l’Assemblée générale des Nations Unies (UNGA80) –, tout en tissant les fils d’un soutien politique togolais inébranlable pour leur concrétisation. Au-delà des mots échangés, cette entrevue résonne comme un serment : dans un monde fracturé, le G7+ – ce cercle des États fragiles et affectés par les conflits – trouve en Lomé un allié fidèle, prêt à transformer les engagements en actes palpables.

Le ministre  Robert Dussey a rencontré le Secrétaire général du G7+, Dr. Helder da Costa, pour réaffirmer le soutien politique du Togo

Le Sommet G7+ à l’UNGA80 : un écho des fragilités partagées

 

Rappelons le décor enfiévré de New York, du 22 au 30 septembre, où le Secrétariat du G7+ a déployé ses bannières lors de l’UNGA80. Ce Sommet, marquant un jalon décennal pour des nations comme la Sierra Leone – qui y a vu son président Julius Maada Bio prononcer un keynote vibrant sur la transition de la fragilité post-conflit à une influence globale –, a cristallisé les appels à une solidarité renouvelée.

Le Dr. da Costa et le ministre Dussey, dans leur dialogue togolais, ont revisité ces moments : les résolutions pour une paix durable, les stratégies contre les chocs climatiques et sécuritaires, et l’urgence d’une voix unie pour les États vulnérables. Une réflexion qui ancre le G7+ dans le concret des vies quotidiennes, des terres arides du Sahel aux côtes battues par les vagues en Afrique de l’Ouest.

 

Un soutien politique inébranlable pour la mise en œuvre

 

Au fil de l’échange, le ministre Dussey a réitéré, avec cette fermeté chaleureuse qui le caractérise, l’engagement indéfectible du Togo. Non seulement pour les retombées du Sommet G7+, mais aussi pour celles de la 6ᵉ réunion ministérielle, ces forums où les fragilités se muent en forces collectives.

« Le gouvernement togolais est résolu à transformer ces résultats en réalités tangibles », a-t-il assuré, évoquant ainsi  un accompagnement politique qui transcende les frontières. Sous la présidence du Conseil  Son Excellence  Faure Gnassingbé, le Togo se positionne comme un catalyseur, infusant dans le G7+ une énergie pragmatique forgée par ses propres avancées en santé, agriculture et infrastructures. Une promesse qui séduit, car elle porte aussi en elle l’écho d’une Afrique qui ne mendie plus, mais qui co-crée.

Consolidation de l’adhésion : vers une ratification imminente

 

Par ailleurs, une partie essentielle de cette réunion a traité des progrès institutionnels du G7+. Le Dr. da Costa a partagé avec vivacité les efforts en cours pour ancrer l’adhésion des membres via la ratification de la Charte du G7+, ce document fondateur qui définit les règles d’un engagement partagé.

De son coté , le ministre Dussey a répondu par une assurance solennelle : la ratification togolaise interviendra « en temps voulu », scellant ainsi un cap décisif. Cette Charte, approuvée lors d’une session historique à Lomé même, est le socle d’une gouvernance inclusive, où chaque État fragile trouve sa place pour anticiper les crises. En la ratifiant, le Togo ne fait pas qu’honorer un engagement : il pave également  le chemin pour d’autres.

 

Le Togo en acteur clé : héritage d’une réunion ministérielle inoubliable

 

D’ailleurs, impossible de dissocier cette actualité de l’héritage togolais au sein du G7+. Membre actif et engagé, le pays a gravé son nom dans les annales en accueillant la 3ᵉ réunion ministérielle à Lomé, un rendez-vous historique où la Charte a été adoptée et est entrée en vigueur officielle.

Cette fierté nationale illustre une vision holistique : le Togo, passé maître dans l’art des dialogues régionaux, infuse dans le G7+ son expertise en résilience. Des pistes rurales bitumées aux investissements agricoles florissants, en passant par une inclusion financière à 85,7 %, ces succès domestiques irriguent en effet les ambitions collectives du groupe, prouvant que la fragilité n’est qu’un chapitre, non une fatalité.

Le ministre  Robert Dussey a rencontré le Secrétaire général du G7+, Dr. Helder da Costa, pour réaffirmer le soutien politique du Togo

Un horizon d’action collective : le G7+ fortifié par des alliés comme le Togo

 

En somme, cette rencontre, bien plus qu’un bilan, est un tremplin. Elle trace les contours d’une mise en œuvre concertée, où le soutien togolais – ferme, stratégique et humain – propulse les résultats de l’UNGA80 vers des impacts durables.

Dans un monde où les ombres des conflits s’allongent, le Dr. da Costa et le ministre Dussey nous rappellent une vérité attachante : la paix des fragiles est l’affaire de tous. Le Togo, avec sa trajectoire ascendante et son cœur diplomatique, n’est pas qu’un membre ; c’est un phare, invitant le G7+ à naviguer ensemble vers des eaux plus calmes. Et si cette alliance inspire ? Elle le fera, car dans la danse des nations, chaque pas compté vers l’unité est une victoire pour l’humanité entière.

 

Le Togo et les Philippines se lient à l’ONU

À l’ONU, le Togo et les Philippines scellent un pacte de dialogue : une alliance diplomatique inédite entre Lomé et Manille pour promouvoir la paix et le développement durable.

 

New York, 29 septembre 2025 – Au milieu du tourbillon diplomatique de la 80ᵉ Assemblée générale des Nations Unies, une étincelle de convivialité illumine les couloirs du pouvoir mondial. Son Excellence Robert Dussey, Ministre togolais des Affaires étrangères, a partagé un moment d’une rare chaleur avec son homologue philippine, Maria Theresa Lazaro, lors de la cérémonie de signature d’un protocole d’accord sur les consultations politiques bilatérales.

Ce geste, survenu en marge de l’UNGA80, n’est pas qu’un protocole formel : c’est un hymne au dialogue, un fil tendu entre l’Afrique de l’Ouest et l’Archipel du Pacifique, pour tisser ensemble paix et développement durable. Dans un monde où les tensions géopolitiques grondent, cette alliance surprenante rappelle aussi  que la diplomatie vraie naît de rencontres humaines, sincères et visionnaires.

Une rencontre emblématique : la signature d’un accord historique

 

Sous les lumières tamisées d’une salle discrète des Nations Unies, Dussey et Lazaro ont apposé leur plume sur les pages d’un document vert et or, symbole d’engagement partagé. Vêtue d’une robe fleurie aux tons vifs, évoquant les jardins tropicaux de Manille, la Secrétaire philippine aux Affaires étrangères a serré la main du Ministre togolais, impeccablement en tailleur bleu, un sourire radieux illuminant son visage.

Autour d’eux, les drapeaux des deux nations – le vert-jaune-rouge du Togo et le bleu-blanc-rouge des Philippines – flottaient en harmonie sur une table bleue. Cette scène, capturée en images vibrantes, capture l’essence d’une diplomatie vivante : non des discours lointains, mais des gestes concrets qui rapprochent Lomé et Manille comme jamais auparavant.

 

Le cœur du protocole entre le Togo et les Philippines : des consultations politiques pour un monde connecté

 

Au-delà de la solennité de la signature, cet accord institutionnalise des consultations régulières, un cadre fluide pour échanger sur les défis globaux qui touchent les deux nations.

Pour le Togo, pilier de la résilience africaine sous la vision du Président du Conseil Faure Gnassingbé, c’est une ouverture vers l’Asie du Sud-Est, riche en expériences de croissance inclusive et de gestion des catastrophes naturelles. Par ailleurs, du côté philippin, représenté par une Lazaro engagée dans les forums maritimes, il s’agit d’un pont vers l’Afrique, continent émergent où le dialogue Sud-Sud peut amplifier les voix marginalisées. Ensemble, ils forgent un mécanisme où les questions de sécurité, de commerce et de droits humains sont tissées en une tapisserie commune.

en marge de l’Assemblée générale des Nations Unies, le Togo et les Philippines ont signé un protocole d’accord sur les consultations politiques bilatérales, renforçant leur coopération diplomatique autour des enjeux de sécurité, commerce et développement durable.

Un message fondamental : le dialogue comme clé de la paix et du développement

 

De fait, Dussey l’a dit avec cette éloquence philosophique qui le caractérise : cet accord porte « un message fondamental : l’importance du dialogue pour promouvoir la paix et le développement ».

Dans l’effervescence de l’UNGA80, où les leaders plaident pour une ONU plus juste et efficace, cette initiative togolo-philippine résonne comme un contrepoint attachant aux grandes batailles idéologiques. Elle nous rappelle que la paix n’est pas un slogan, mais une pratique quotidienne : des échanges qui apaisent les tensions, des idées qui irriguent l’innovation. Pour des pays comme le Togo, en pleine renaissance économique avec une croissance visée à 7 % en 2025, ce dialogue est un levier persuasif pour un développement partagé.

 

Un horizon d’opportunités : vers une coopération renforcée et inclusive entre le Togo et les Philippines

 

Enfin, cette signature n’est qu’un premier pas, mais quel pas ! Elle ouvre la porte à des collaborations futures – échanges culturels entre Lomé la vibrante et Manille la cosmopolite, partenariats en agriculture durable ou en formation diplomatique.

Lazaro trouve en Dussey un allié naturel pour aborder les flux migratoires et climatiques qui lient océan Indien et Pacifique. Par ailleurs, le Togo infuse dans ce pacte son esprit de pont entre continents. Et si cette alliance inspirait d’autres ? Elle le fera, car dans la danse des nations, chaque poignée de main est une note d’espoir, un appel attachant à ce que le monde choisisse enfin le chemin du dialogue. Lomé et Manille, main dans la main, illustrent une leçon essentielle : la véritable puissance naît du dialogue et du rapprochement, socles d’un avenir où la paix et le progrès sont en fait  indissociables de la proximité.

 

Le Togo renforce son arsenal contre les flux financiers illicites

À Lomé, le Togo muscle sa riposte contre les flux financiers illicites : juges, enquêteurs et experts affûtent leurs outils pour une sécurité économique durable.

 

Lomé, 26 septembre 2025 – Dans l’ombre des flux numériques qui irriguent l’économie mondiale, où un virement anonyme peut financer l’ombre ou l’avenir, le Togo érige des remparts discrets mais impitoyables. En effet, à l’issue d’une session de deux jours de renforcement des capacités tenue les 25 et 26 septembre au cœur de la capitale, les acteurs de la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme ont affûté leurs outils.

Portée par le ministère de l’Économie et des Finances, cette initiative n’est pas un simple exercice théorique : elle vise à affiner les mécanismes nationaux pour une riposte plus coordonnée, protégeant un système financier qui, malgré les défis régionaux, s’impose comme un modèle d’exemplarité en Afrique de l’Ouest.

 

 Sanctions financières : un levier stratégique pour la sécurité

 

Au fil de ces échanges intenses, impliquant juges, enquêteurs et responsables de la Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières (CENTIF), les débats ont cristallisé autour de l’application des sanctions financières. Cet arsenal, essentiel pour geler des avoirs suspects et étouffer les circuits occultes, constitue un pilier de la stratégie nationale.

Ainsi, l’objectif est de clarifier les rôles institutionnels, harmoniser les procédures et booster la coordination interservices, afin d’assurer une mise en œuvre plus fluide et réactive du cadre national.

« Les sanctions sont un outil indispensable pour protéger notre système financier et prévenir le financement du terrorisme. Leur efficacité dépend de la rapidité et de la coordination de nos actions », a déclaré Tchaa Bignonsi Aquiteme, président de la CENTIF.

 

 Des progrès reconnus à l’échelle régionale

 

Cette session s’inscrit dans une offensive continue du Togo contre ces fléaux hybrides. Le pays, évalué positivement par le Groupe d’Action Financière (GAFI) et le Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l’Ouest (GIABA), multiplie les réformes législatives et réglementaires pour aligner son arsenal sur les normes globales.

D’ailleurs, le 3ᵉ rapport de suivi renforcé du GIABA, publié en 2025, atteste de progrès notables dans la supervision des institutions financières et la traçabilité des transactions, avec un taux de conformité en hausse de 20 % depuis l’évaluation mutuelle de 2020.

 

 Un bouclier contre les financements terroristes au Sahel

 

À l’heure où le Sahel fait face à une recrudescence des financements jihadistes — estimés à 100 millions de dollars annuels en Afrique de l’Ouest selon le GIABA — les efforts togolais ne relèvent pas de la simple formalité. Bien au contraire, ils forgent un bouclier qui protège l’économie locale, estimée à 8 milliards de dollars de PIB, contre les infiltrations criminelles.

 

 Former pour agir : la vigilance commence par l’humain

 

Sous l’égide du gouvernement, ces formations — qui ont réuni plus de 50 experts — rappellent que la vigilance commence par l’humain. Des ateliers pratiques sur la détection des flux suspects aux simulations de gel d’avoirs, tout est conçu pour une application terrain immédiate.

« Le Togo est déterminé à faire de son système financier un rempart régional », a réaffirmé un haut responsable du ministère, évoquant des partenariats renforcés avec la BAD et le GIABA pour des outils numériques avancés.

 

Une sécurité financière au service du citoyen

 

Pour le grand public togolais — ces commerçants de Lomé ou ces agriculteurs de Kara qui dépendent d’un système bancaire sain — cette actualité n’est pas un jargon élitiste. C’est l’assurance que l’argent circule pour bâtir, non pour détruire.

À la fin de cette session, alors que les participants regagnaient leurs postes, Lomé réaffirme sa place de pionnier ouest-africain dans la lutte contre les flux financiers illicites et la protection de son économie.

 

 Togo – Autriche : un accord visionnaire pour une migration inclusive

À l’ONU, le Togo et l’Autriche signent un accord stratégique sur la migration : un modèle de coopération sud-nord pour la jeunesse et l’emploi.

New York, 26 septembre 2025 – Au milieu des discours enflammés sur la gouvernance mondiale qui animent la 80ᵉ Assemblée générale des Nations Unies, un accord discret mais porteur d’avenir a émergé des coulisses diplomatiques : la signature d’un mémorandum d’entente (MoU) entre le Togo et l’Autriche, axé sur le développement, la mobilité et la migration.

Paraphé avec enthousiasme par le ministre togolais des Affaires étrangères, Robert Dussey, et son homologue autrichienne, Beate Meinl-Reisinger, ce document dépasse le cadre protocolaire. Il incarne un partenariat stratégique pour canaliser l’énergie des jeunes vers des opportunités mutuellement bénéfiques, dans un monde où les flux migratoires exigent des réponses innovantes et humaines.

Togo – Autriche : un engagement bilatéral pour la jeunesse et l’emploi

 

Cette rencontre bilatérale, survenue en marge de l’UNGA, a permis au ministre Dussey d’exprimer un « grand plaisir » à conclure cet accord avec Mme Meinl-Reisinger, ministre fédérale des Affaires européennes et internationales.

« Ce mémorandum démontre formellement l’engagement commun de Vienne et de Lomé à promouvoir l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes dans le cadre d’une migration sûre et régulière », a-t-il déclaré sur les réseaux sociaux.

Ainsi, cette initiative élève les liens d’amitié entre les deux nations à un niveau opérationnel concret. Pour l’Autriche, qui accueille une communauté togolaise dynamique estimée à plusieurs milliers d’individus, ce MoU représente une extension logique de sa politique migratoire équilibrée, favorisant les voies légales tout en renforçant les échanges culturels et économiques.

 

 Structurer la mobilité, investir dans les compétences

 

Au cœur de cet engagement, la jeunesse togolaise trouve un allié européen prêt à investir dans des formations qualifiantes et des programmes d’échange. En effet, le document vise explicitement à structurer la mobilité :

  • des bourses pour des études en Autriche,
  • des incubateurs conjoints pour startups togolaises,
  • des mécanismes de retour pour que les compétences acquises irriguent l’économie nationale.

« Il s’agit d’une étape majeure dans le renforcement des liens d’amitié et de coopération qui unissent l’Autriche et le Togo », a ajouté M. Dussey.

Ce cadre s’aligne sur les ambitions des deux pays en matière d’Objectifs de développement durable, notamment l’objectif 8 relatif au travail décent et à la croissance inclusive.

Togo – Autriche : une approche migratoire proactive et équilibrée

Dans un contexte où l’Europe fait face à des défis migratoires complexes, ce partenariat illustre une approche proactive : non pas une fermeture des frontières, mais une ouverture sélective qui valorise les talents. Pour le Togo, pays de transit et d’origine pour de nombreux migrants, cet accord pourrait atténuer les flux irréguliers en offrant des alternatives viables.

De plus, il pourrait renforcer les remises de fonds — qui représentent déjà 5 % du PIB togolais — tout en consolidant les liens entre les diasporas et les économies locales. Mme Meinl-Reisinger, récemment nommée à la tête de la diplomatie autrichienne, y voit un modèle pour d’autres collaborations sud-nord, aligné sur la stratégie de l’UE pour une migration circulaire.

 

 Une migration pensée comme opportunité partagée

 

À l’heure où New York bourdonne des appels à une coopération globale, ce MoU togolais-autrichien résonne comme un contrepoint optimiste : une migration non comme crise, mais comme opportunité partagée. Pour les jeunes de Lomé ou de Vienne, c’est l’assurance que leurs aspirations trouveront un écho institutionnel.

Reste à suivre comment cet accord sera mis en œuvre dans les mois à venir, et si cette diplomatie de la mobilité pourra inspirer d’autres partenariats équitables. Car dans les signatures d’aujourd’hui, se profile la mobilité de demain.