Togo : Tsévié au cœur d’une nation qui reboise en grand !

Togo : la 48e journée nationale de l’arbre, un élan vertueux pour un avenir durable

Tsévié, 2 juin 2025 – Sous un ciel paré d’azur, le Togo a célébré avec une ferveur renouvelée la 48ᵉ édition de la Journée Nationale de l’Arbre, une tradition désormais bien ancrée, instaurée en 1977 par feu le Président Gnassingbé Eyadéma. Plus précisément, à Tsévié, le 1ᵉʳ juin, sur le site annexe de l’Office National des Aménagements Forestiers (ONAF), le Ministère des Ressources Animales, Halieutiques et de la Réglementation de la Transhumance a marqué l’événement d’un sceau particulièrement mémorable. En effet, menés par le Ministre d’État, les agents du ministère ont enfoncé dans la terre fertile une véritable mosaïque d’essences végétales, scellant ainsi un pacte vital et renouvelé avec la nature. Ce geste, loin d’être anodin, s’inscrit de surcroît dans une ambition nationale audacieuse : faire du Togo un bastion de résilience écologique face aux défis climatiques.

Tsévié en effervescence verte : bêches en main pour un avenir florissant !

Dans la quiétude matinale de Tsévié, localité située à une trentaine de kilomètres de Lomé, le site de l’ONAF s’est métamorphosé en un vibrant théâtre d’engagement environnemental. Effectivement, sous l’égide éclairé du Ministre d’État, Dr Bankolé Anani Adéniran, les agents du ministère ont manié la bêche avec une détermination palpable, plantant avec soin des essences rigoureusement sélectionnées pour leur résilience et leur apport écologique significatif. Parmi celles-ci, figuraient des espèces telles que le teck, le cèdre ou encore le manguier, dont les racines promettent non seulement de stabiliser les sols, mais aussi de nourrir la précieuse biodiversité locale. De plus, ce rituel, empreint d’une solennité inspirante, a vu la participation active de techniciens forestiers, de pépiniéristes locaux et de membres enthousiastes de la communauté, tous unis par une même et noble aspiration : redonner à la terre togolaise sa magnifique parure d’émeraude.

Déforestation : le Togo contre-attaque avec l’ambition d’un milliard d’arbres !

Il convient de souligner que cette initiative s’inscrit dans un contexte où le Togo, confronté à une déforestation chronique évaluée à 0,42 % par an entre 1990 et 2015, selon les données du premier Inventaire Forestier National, redouble d’efforts pour inverser cette tendance préoccupante. Ainsi, avec un objectif ambitieux de porter la couverture forestière à 25 % dès cette année 2025, le gouvernement togolais, sous l’impulsion de la Feuille de Route 2025, a fait du reboisement une priorité stratégique nationale. La campagne de reboisement 2025, lancée officiellement le 1ᵉʳ juin, vise par conséquent à mettre en terre deux millions de plants à travers l’ensemble du pays.

Ceci constitue un jalon important dans la quête encore plus vaste d’un milliard d’arbres d’ici à 2030, conformément à l’engagement pris par le Togo dans le cadre de l’initiative AFR100 de l’Union Africaine. À Tsévié, les plantations orchestrées par le ministère illustrent parfaitement cette dynamique, en mêlant habilement espèces ornementales et essences à forte capacité de séquestration de carbone, dans une alchimie réussie entre esthétique paysagère et utilité écologique.

Au-delà des pâturages : un ministère en première ligne pour la planète !

Le Ministère des Ressources Animales, Halieutiques et de la Réglementation de la Transhumance, créé en 2024 afin de structurer les filières de l’élevage et de la pêche, s’affirme également comme un acteur clé de la préservation environnementale. En effet, en intégrant le reboisement à ses priorités d’action, il reconnaît le lien indissoluble qui existe entre la santé des écosystèmes et la durabilité des ressources animales et halieutiques. « Chaque arbre planté est une sentinelle pour nos pâturages, nos rivières et notre avenir commun », a d’ailleurs déclaré un haut responsable du ministère lors de la cérémonie, soulignant ainsi l’importance cruciale d’un couvert végétal robuste pour limiter l’érosion des sols et préserver les habitats aquatiques, essentiels notamment à l’aquaculture togolaise en plein essor.

De Lomé aux villages : quand tout un peuple se met au vert !

L’élan observé à Tsévié n’est en réalité qu’un écho d’une mobilisation nationale d’une ampleur sans précédent. Par exemple, à Lomé, l’Université a vibré au diapason de cette campagne nationale, avec des acteurs de la société civile et des partenaires internationaux de renom, comme le Global Green Growth Institute (GGGI), unissant leurs forces pour planter des milliers de jeunes pousses prometteuses. Simultanément, dans les préfectures de Kozah, de l’Avé ou encore de Vo, des communautés entières se sont jointes à l’effort collectif, des écoliers aux agriculteurs, faisant de cette journée un véritable creuset de solidarité écologique. Les Nations Unies au Togo, fortement impliquées dans cette dynamique positive, ont d’ailleurs réaffirmé leur engagement à soutenir la plantation de deux millions d’arbres d’ici à la fin de l’année, un objectif ambitieux relayé avec enthousiasme par Mme Coumba Sow, coordinatrice résidente des Nations Unies.

 Engagé dans une lutte accrue contre la déforestation, le Togo a célébré sa 48ᵉ Journée de l'Arbre par une mobilisation nationale visant à planter des millions d'arbres, semant ainsi l'espoir d'un avenir écologique résilientHéritage visionnaire, ambition présente : l’arbre, pilier de l’identité togolaise !

Depuis son institution, il y a près d’un demi-siècle, la Journée Nationale de l’Arbre s’est imposée comme un rendez-vous cardinal de l’identité togolaise. Initialement pensée en réponse à une sécheresse dévastatrice, elle incarne aujourd’hui une réponse proactive et résolue aux défis urgents du changement climatique et de la dégradation des terres. À Tsévié, l’engagement du ministère illustre parfaitement cette évolution notable : planter un arbre n’est plus seulement un geste symbolique, mais bel et bien un acte de gouvernance éclairée, un investissement stratégique dans la résilience future d’un pays tout entier. Comme l’a si bien souligné le ministre Katari Foli-Bazi lors d’une conférence préparatoire à Lomé, « la Journée de l’Arbre est désormais une campagne continue, où planter, entretenir et faire grandir deviennent des réflexes citoyens essentiels ».

Le pari de l’espoir : le Togo sème aujourd’hui les forêts de demain !

En définitive, en ce 1ᵉʳ juin 2025, le Togo ne s’est pas contenté de planter des arbres ; il a semé avec conviction les graines d’un avenir où la nature et l’homme dialoguent en harmonie. À Tsévié, les plants enracinés avec soin par le Ministère des Ressources Animales, Halieutiques et de la Réglementation de la Transhumance symbolisent puissamment cet espoir : celui d’un Togo où les forêts renaissent, où les rivières chantent à nouveau, et où chaque citoyen devient le gardien vigilant de son patrimoine vert. Alors que le soleil déclinait doucement sur le site de l’ONAF, les jeunes pousses, encore frêles, mais pleines de vie, semblaient déjà murmurer une promesse : celle d’un pays qui, par la force de ses racines, défie le temps et les éléments pour s’élever, toujours plus vert, plus fort et plus uni.

Togo : L’Assemblée nationale sème l’avenir, un arbre à la fois !

L’Assemblée nationale du Togo sème des graines d’espoir lors de la Journée nationale de l’arbre

Lomé, le 2 juin 2025 – Ce dimanche 1ᵉʳ juin 2025, une vague verte a déferlé sur l’Assemblée nationale du Togo. En effet, l’institution a marqué d’une pierre blanche la Journée nationale de l’arbre, affirmant son rôle de pionnière dans la croisade écologique du pays. Ainsi, avec la plantation symbolique et significative de 200 jeunes plants au sein et aux abords de l’enceinte parlementaire, cette initiative s’inscrit résolument dans une ambition nationale : la restauration du précieux couvert végétal togolais. De plus, sous l’impulsion des plus hautes autorités et grâce au soutien indéfectible des institutions républicaines, cet acte fort témoigne d’une volonté inébranlable de léguer aux générations futures un Togo verdoyant et résilient.

L'Assemblée nationale togolaise mène une initiative de reboisement massive, plantant 200 arbres et visant un milliard d'ici à 2030 Coup d’envoi magistral : quand le geste devient symbole national !

C’est sous le regard attentif des membres du bureau, de la conférence des présidents, des députés et du personnel administratif que Son Excellence Monsieur Sevon-Tépé Kodjo Adédzé, Président de l’Assemblée nationale, a insufflé l’élan. Effectivement, en mettant en terre un araucaria heterophylla, arbre au port altier et majestueux, il a incarné la mobilisation collective d’une nation déterminée à allier beauté naturelle et impératif environnemental. Autour de lui, des essences telles que le Khaya senegalensis, réputé pour sa robustesse et sa remarquable capacité à capturer le carbone, ont été sélectionnées avec le plus grand soin, illustrant une approche à la fois réfléchie et visionnaire.

Pragmatisme écologique : embellir aujourd’hui, protéger demain !

L’Honorable Nadjo N’ladon, président de la Commission de l’environnement, a d’ailleurs salué cette démarche empreinte de sagesse : « Nous avons privilégié des espèces qui allient l’ornement au mérite écologique. » « Le Khaya senegalensis, par exemple, grâce à sa faculté à séquestrer le carbone, unit l’esthétisme à la lutte contre les périls climatiques. » Par conséquent, ce choix judicieux illustre une ambition qui transcende la simple plantation : il s’agit fondamentalement de bâtir un avenir où la nature et l’homme cohabitent en parfaite harmonie.

L’Écologie en action : des racines parlementaires aux terroirs citoyens

Loin de se cantonner à un geste symbolique confiné à la capitale, l’engagement parlementaire s’irradie à travers tout le pays. En effet, chaque député s’est vu confier une mission d’envergure : planter 500 arbres dans sa circonscription respective. Cette stratégie décentralisée, véritable levier d’action communautaire, traduit une aspiration profonde à faire de l’écologie une cause partagée, solidement enracinée au plus près des citoyens. Ainsi, l’édition 2025 de la Journée nationale de l’arbre ambitionne de voir éclore deux millions de nouveaux arbres, prélude à un dessein encore plus grandiose : atteindre le milliard d’arbres d’ici à 2030.

Héritage précieux, défi actuel : le Togo face à son destin climatique

Initiée en 1977 par feu le Président Gnassingbé Eyadéma, la Journée nationale de l’arbre s’est imposée comme un jalon incontournable de l’engagement environnemental togolais. Née dans le sillage d’une sécheresse dévastatrice, cette tradition a su admirablement évoluer pour répondre aux défis contemporains, notamment la déforestation et le réchauffement planétaire. Aujourd’hui, elle mobilise une nation entière autour d’un idéal de renouveau écologique, avec, en première ligne, l’Assemblée nationale.

Appel vibrant de l’Assemblée Nationale à la nation : chaque arbre, un acte de résistance climatique !

Pour l’Honorable Nadjo N’ladon, planter un arbre transcende largement le geste individuel : « C’est un devoir civique, une offrande précieuse à la nature, une riposte indispensable aux menaces qui pèsent sur notre climat. » « Que cette journée devienne une vaste entreprise de refondation écologique, portée par l’élan de tout un peuple. » Cet appel vibrant résonne comme une invitation pressante à transcender les frontières du symbolique pour faire de chaque arbre planté une sentinelle vigilante de l’avenir.

Cap sur un horizon verdoyant : L’Assemblée Nationale, fer de lance du Togo de demain !

En ce 1ᵉʳ juin 2025, l’Assemblée nationale ne s’est pas contentée de planter des arbres ; elle a semé avec conviction les germes d’une conscience collective durable. En effet, sous la houlette éclairée de Son Excellence Sevon-Tépé Kodjo Adédzé, cette institution affirme avec force son rôle de pionnière dans la quête d’un Togo plus vert et plus sain. Alors que le pays s’élance avec audace vers l’objectif d’un milliard d’arbres d’ici à 2030, cet élan parlementaire incarne une promesse solennelle : celle d’un legs durable, où la terre togolaise, enfin reverdie, continuera de prospérer pour les siècles à venir.

 

 

Lomé : l’ambassadeur de Chine fêté, Un Partenariat Sino-Togolais Plus Fort que jamais !

Lomé : Un adieu diplomatique scelle un partenariat sino-togolais florissant

Lomé, 30 mai 2025 – Dans la chaleur vibrante de Lomé, le Palais de la Présidence s’est drapé, ce vendredi, d’une atmosphère de solennité et de camaraderie. Le Président du Conseil, Faure Essozimna Gnassingbé, a reçu l’Ambassadeur de la République Populaire de ChineM. Chao Weidong, pour une audience d’adieu marquant la fin de sept années d’une mission diplomatique féconde. En effet, cette rencontre a célébré l’essor d’un partenariat sino-togolais érigé en modèle de coopération Sud-Sud, tout en traçant les contours d’un avenir encore plus ambitieux.

Un mandat fructueux : infrastructures, agriculture et formation au cœur des réussites

Dans une allocution empreinte de gratitude, M. Chao, dont le mandat a débuté en 2018, a loué l’hospitalité togolaise et l’élan impulsé par le Forum sur la Coopération Sino-Africaine (FOCAC) de septembre 2024. « Le Togo et la Chine ont ouvert un nouveau chapitre, où l’amitié s’entrelace avec des projets concrets », a-t-il déclaré, évoquant des initiatives en cours dans les infrastructures, l’agriculture et la formation professionnelle, ainsi que des chantiers en gestation. Selon des sources diplomatiques, les échanges ont mis en lumière des projets phares, comme la modernisation du port de Lomé, soutenue par des investissements chinois, et des programmes agricoles visant à renforcer la sécurité alimentaire dans les régions rurales des Plateaux et de la Kara.

Le FOCAC 2024 : vers un partenariat stratégique global

Le FOCAC 2024, tenu à Pékin du 4 au 6 septembre, a marqué un tournant décisif en élevant la relation bilatérale, initiée en 1972, au rang de partenariat stratégique global, le plus haut degré dans la diplomatie chinoise. M. Chao a transmis les vœux chaleureux du Président Xi Jinping et du Premier ministre Li Qiang, réaffirmant l’engagement de Pékin à approfondir la confiance mutuelle et à élargir la coopération multilatérale. Ce partenariat, ancré dans une vision partagée de la paix, de la sécurité et de la durabilité environnementale, s’illustre également par des initiatives comme les bourses d’études pour des étudiants togolais et la construction d’écoles techniques, qui ont formé plus de 500 jeunes en 2024.

L'audience d'adieu de l'Ambassadeur chinois à Lomé célèbre sept ans de coopération fructueuse, renforçant le partenariat stratégique

Un adieu diplomatique : Une convergence d’intérêts pour un avenir partagé

En somme, les discussions, qui se sont conclues par un échange de présents, ont également souligné une convergence sur les enjeux globaux. Le Togo, acteur clé dans les forums régionaux comme la CEDEAO, partage avec la Chine une approche non interventionniste et un plaidoyer pour une gouvernance mondiale plus équitable, comme l’a souligné le FOCAC 2024 dans son Plan d’Action 2025-2027. Alors que M. Chao s’apprête à quitter Lomé, il emporte aussi avec lui la certitude d’un legs durable : un Togo et une Chine unis par des ambitions communes, prêts à écrire, ensemble, une nouvelle page de prospérité partagée.

Lomé : une alliance numérique et citoyenne pour l’avenir du Togo

Togo : L’Assemblée Nationale et l’ONU scellent un pacte pour la gouvernance et l’innovation 

Lomé, 30 mai 2025 – Dans l’enceinte majestueuse de l’Assemblée nationale togolaise, à Lomé, une rencontre d’une portée capitale a réuni, ce vendredi 30 mai 2025, deux figures déterminées à façonner l’avenir du Togo : Son Excellence Kodjo Sévon-Tépé Adédzé, Président de l’Assemblée nationale, et Mme Coumba Sow, Coordonnatrice résidente du Système des Nations Unies au Togo. En effet, cet échange a incarné une volonté commune de renforcer la coopération entre le Parlement togolais et les Nations Unies, avec pour boussole la gouvernance éclairée, l’innovation institutionnelle et l’inclusion des citoyens dans le sillage de la Vᵉ République.

Un leadership salué pour une démocratie renforcée

Dès l’entame des discussions, Mme Sow, forte de son expérience de vingt ans dans le développement et l’humanitaire, a salué l’élan démocratique qui anime le Togo. « La consolidation de vos institutions sous votre leadership est un modèle pour la région », a-t-elle affirmé, félicitant M. Adédzé pour son rôle dans l’édification d’une Assemblée nationale plus robuste et proche du peuple. Élu le 14 juin 2024 avec une majorité écrasante de 106 voix, le Président Adédzé, ancien ministre et haut fonctionnaire, incarne  aussi une vision de modernité ancrée dans les réalités togolaises.

La digitalisation du Parlement : vers une transparence et une célérité accrues de gouvernance 

Au cœur des échanges, la dématérialisation des processus parlementaires a émergé comme une priorité stratégique. Mme Sow a souligné l’urgence d’embrasser la digitalisation pour doter les députés d’outils modernes, capables d’accélérer l’examen des textes législatifs et d’optimiser la gestion des sessions. « Un Parlement numérisé, c’est un Parlement qui gagne en célérité et en transparence », a-t-elle plaidé, réaffirmant ainsi l’engagement du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) à fournir expertise et ressources pour concrétiser cette ambition. Ce projet s’inscrit dans la continuité des réformes numériques du Togo, qui a amélioré son classement dans l’indice « Trading across borders » grâce à la digitalisation des procédures d’import-export.

L'Assemblée nationale togolaise et les Nations Unies renforcent leur coopération pour une gouvernance éclairée, la digitalisation parlementaire et l'inclusion des jeunes au Togo.Impliquer la jeunesse : un levier pour l’avenir démocratique du Togo

La conversation s’est ensuite tournée vers un enjeu tout aussi crucial : l’implication des jeunes dans la vie politique. Dans un pays où la jeunesse représente plus de 60 % de la population, leur participation active aux processus législatifs et à la gouvernance est un levier fondamental pour enraciner la démocratie. M. Adédzé a aussi partagé des initiatives visant à créer des espaces de dialogue, comme des forums citoyens et des commissions jeunesse au sein de l’Assemblée, pour capter les aspirations des nouvelles générations. En écho, Mme Sow a proposé des programmes onusiens de formation pour outiller les jeunes leaders, renforçant ainsi leur rôle dans la consolidation de la citoyenneté.

Cette rencontre, qui s’est achevée par un engagement mutuel à intensifier la collaboration, marque un jalon dans la modernisation du Togo. À l’heure où Lomé ambitionne de devenir un hub logistique et financier régional, l’alliance entre l’Assemblée nationale et les Nations Unies, scellée, promet de faire du Togo un modèle de gouvernance inclusive et numérique, où la voix des citoyens, jeunes en tête, résonne au cœur des institutions.

Togo : les Gardiens de la tradition forgent la Paix à Atakpamé

Togo : les chefs traditionnels, gardiens de la paix, s’unissent contre l’extrémisme et gèrent la transhumance !

Atakpamé, 30 mai 2025 – Dans la verdoyante cité d’Atakpamé, nichée au cœur des régions Centrale et des Plateaux, un souffle d’unité a rassemblé, du 27 au 29 mai 2025, 250 chefs traditionnels sous l’égide de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM Togo) et avec le soutien des opérations de maintien de la paix des Nations Unies. En effet, cette rencontre, inaugurée le mardi 27 mai dans la salle comble du Centre Culturel d’Atakpamé, a marqué un tournant dans la quête d’une cohésion sociale renforcée, d’une prévention de l’extrémisme violent et d’une gestion apaisée de la transhumance, défi ancestral de la région.

Les chefs traditionnels, sentinelles de la Paix face à la menace extrémiste

Dès l’ouverture, le représentant de l’OIM Togo, en présence d’autorités locales et de délégués onusiens, a salué le rôle cardinal des chefs traditionnels, dépositaires des coutumes et pivots de leurs communautés. « Vous êtes les sentinelles de la paix, les médiateurs d’un vivre-ensemble harmonieux », a-t-il déclaré, soulignant leur influence cruciale dans des zones où la proximité avec le Burkina Faso expose le nord du Togo à des incursions extrémistes. En outre, des ateliers interactifs ont exploré activement les dynamiques de l’extrémisme violent, nourri par la pauvreté et les tensions autour des ressources, notamment dans la région des Savanes, où des attaques ont frappé en 2024.

À Atakpamé, 250 chefs traditionnels togolais se sont réunis avec l'OIM pour renforcer la cohésion sociale, prévenir l'extrémisme violent Transhumance : des solutions traditionnelles pour des conflits modernes

Le 28 mai, les discussions se sont tournées vers la transhumance, pratique séculaire souvent source de conflits entre pasteurs et agriculteurs. Les chefs, issus des préfectures d’Ogou, d’Est-Mono et de Tchamba, ont partagé leurs expériences, évoquant des heurts ayant causé, en 2020, des pertes humaines et des déplacements dans la région. Face à cela, des stratégies concrètes ont émergé, telles que la création de comités locaux de médiation et la délimitation concertée des corridors de transhumance. Ces initiatives ont été appuyées par l’expertise de l’OIM et de partenaires comme le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).

À Atakpamé, 250 chefs traditionnels togolais se sont réunis avec l'OIM pour renforcer la cohésion sociale, prévenir l'extrémisme violent La Tradition au service de l’avenir : un plan d’action pour la jeunesse

Le dernier jour, un plaidoyer vibrant a appelé à amplifier le rôle des leaders traditionnels dans la sensibilisation des jeunes, souvent vulnérables au recrutement par des groupes extrémistes. « La tradition n’est pas un vestige, mais un levier pour bâtir un avenir pacifique », a insisté une cheffe de canton de la région des Plateaux, dont les propos ont résonné auprès des participants. En conséquence, la rencontre s’est conclue par l’adoption d’un plan d’action incluant des formations continues et des dialogues intercommunautaires prévus pour juillet 2025.

Dans l’ombre des collines d’Atakpamé, ces trois jours ont incarné une alliance entre tradition et modernité. En mobilisant ces gardiens de l’héritage togolais, le Togo trace une voie audacieuse vers la paix, prouvant que la force des racines peut apaiser les tumultes d’un monde en mutation.

Togo : une croisade verte s’ouvre à Tsévié

Togo : une vague verte déferle ! La campagne nationale de reboisement prête à transformer le pays !

Tsévié, 30 mai 2025 – Dans la lumière matinale de Tsévié, à une trentaine de kilomètres de Lomé, une ferveur écologique a pris racine ce vendredi 30 mai 2025. À 10 h 00 précises, le Ministre de l’Environnement et des Ressources Forestières, Katari Foli-Bazi, a convié la presse dans les locaux de l’Office de Développement et d’Exploitation des Forêts (ODEF) pour dévoiler les préparatifs d’un double événement d’envergure : la Campagne nationale de reboisement, qui s’élancera le 1ᵉʳ juin, et la Quinzaine de l’environnement, qui s’étendra du 3 au 17 juin 2025. Face à un parterre de journalistes, le ministre a donné le ton d’une mobilisation sans précédent pour reverdir le Togo et fortifier son écosystème.

Le Togo lance une ambitieuse campagne nationale de reboisement et une Quinzaine de l'environnement, visant à atteindre 25% de couverture forestière d'ici fin 2025 grâce à une mobilisation collective et des partenariats internationaux.Objectif 25% : le Togo s’engage pour un avenir durable avec une campagne nationale de reboisement

Dans une allocution vibrante, M. Foli-Bazi a martelé l’urgence d’une action concertée face à la dégradation des forêts togolaises, un fléau exacerbé par les aléas climatiques et les pressions humaines. « Chaque arbre planté est un rempart contre l’érosion, un souffle pour nos générations futures », a-t-il proclamé, rappelant l’ambition nationale de porter la couverture forestière à 25 % du territoire d’ici à la fin de l’année, un objectif ancré dans la Feuille de route Togo 2025. Ainsi, cette campagne, qui débutera officiellement dimanche à 8 h 00 avec la mise en terre de 300 000 plants à travers le pays, s’étendra jusqu’à septembre, portée par la saison des pluies et l’élan collectif des communautés.

La Quinzaine de l’environnement : sensibiliser pour agir

Le ministre a détaillé la Quinzaine de l’environnement, un rendez-vous de deux semaines destiné à galvaniser les consciences. Du 3 juin au 3 septembre, des conférences, expositions et ateliers pédagogiques sillonneront les cinq régions du Togo, mobilisant écoles, associations et entreprises autour de la préservation des écosystèmes. « Il ne s’agit pas seulement de planter des arbres, mais de tisser une culture de responsabilité partagée », a insisté M. Foli-Bazi, évoquant des initiatives comme l’interdiction de l’exportation de produits forestiers et le soutien du Programme Alimentaire Mondial pour intégrer le reboisement dans les écoles.

Le Togo lance une ambitieuse campagne nationale de reboisement et une Quinzaine de l'environnement, visant à atteindre 25% de couverture forestière d'ici fin 2025 grâce à une mobilisation collective et des partenariats internationaux.

Reboisement : des partenariats internationaux au service de l’écologie togolaise

La rencontre a également permis d’évoquer des partenariats internationaux, notamment avec la FAO et Expertise France, qui appuieront ces efforts à travers des financements et des expertises techniques. Tsévié, ville carrefour de la région Maritime, s’est ainsi muée en épicentre d’un élan vert, symbolisé par l’engagement d’un ministre dont le parcours – de juriste à architecte de la durabilité – incarne une vision audacieuse.

Alors que le soleil culminait sur les terres fertiles de Davié, ce 30 mai a marqué le prélude d’une saison d’espoir. Avec des millions de plants prêts à enraciner un avenir durable, le Togo, sous l’égide de Katari Foli-Bazi, s’apprête à écrire un chapitre décisif de son histoire écologique.

Nigeria : « Ezeani » arrêté à la frontière !

 Le multimillionnaire naturiste derrière les meurtres rituels de femmes enceintes démasqué !

Badagry, 30 mai 2025 – Dans la moiteur oppressante de la frontière de Badagry-Seme, un drame aux accents macabres a trouvé son dénouement. À 14h00 précises, le 29 mai 2025, les officiers du Service de l’Immigration nigérian (NIS), vigilants gardiens des confins du pays, ont intercepté Obi Levi Obieze, un naturothérapeute multimillionnaire connu sous les sobriquets flamboyants d’« Ezeani » et « E-Dey-Play-E-Dey-Show ». Ce dernier, tentant de s’évanouir dans la République du Bénin à bord d’une motocyclette, a été rattrapé par la justice alors qu’il fuyait les accusations d’enlèvements et de meurtres rituels qui ont secoué le Nigeria.

Horreur révélée : une fillette sauvée, des corps découverts

L’affaire, qui a éclaté comme un coup de tonnerre dans la communauté d’Umumba Ndiagu, dans l’État d’Enugu, a débuté le 27 mai 2025. Une fillette de 13 ans, arrachée à son père sous un prétexte fallacieux, a été enlevée par trois complices présumés. L’alerte donnée par le père a mobilisé les vigiles locaux, dont l’intervention héroïque, vers 18 h 00 ce même jour, a permis de libérer la jeune captive d’un sanctuaire sinistre attribué à Obieze. Cependant, ce n’était que le prélude d’une découverte effroyable : dans des fosses septiques scellées par du béton, sur la propriété du naturothérapeute, gisaient les corps décomposés de femmes enceintes, certaines inhumées vivantes, selon les premiers témoignages.

« Ezeani » : la fureur populaire s’abat, le fugitif traqué

Le lendemain, 28 mai, la fureur de la communauté s’est abattue sur la résidence opulente d’Obieze, réduite en cendres par des habitants révoltés. En effet, les images, relayées sur les réseaux sociaux, montrent un homme jadis célébré pour ses largesses ostentatoires – jets d’argent lors de fêtes publiques – traîné nu par une foule indignée. Fuyant avec ses quatre épouses, Obieze a tenté une ultime évasion par la route de Badagry-Seme. Néanmoins, la vigilance des officiers de l’immigration, agissant sur des renseignements précis, a mis fin à sa cavale.

Le multimillionnaire nigérian Obi Levi Obieze, surnommé "Ezeani", a été arrêté à la frontière pour enlèvements et meurtres rituels de femmes enceintes, provoquant la fureur publique et une enquête nationale.Les aveux d’un criminel : l’enquête s’intensifie à « Ezeani »

Lors de son interrogatoire initial le 29 mai à 15h30, Obi Levi Obieze, dont un document du National Identity Management Commission a confirmé l’identité, a avoué ses crimes. Cependant, certaines sources affirment qu’il rejette ces accusations, dénonçant un complot orchestré par des rivaux locaux. Le NIS, sous l’égide de la Contrôleuse générale Kemi Nandap, a transféré le suspect à la police de l’État de Lagos ce 30 mai à 10h00, comme l’a confirmé Benjamin Hundeyin, porte-parole de la police, dans une déclaration publique. Par ailleurs, le 28 mai à 16h00, la police a arrêté trois complices présumés – Uche Kingsley Agumba (33 ans), Ilo Nweze Onyedikachi (36 ans) et Ejike Odinwankpa (38 ans) – à Enugu, resserrant ainsi l’étau autour de ce réseau macabre.

Ce scandale, qui ébranle les consciences, met en lumière les zones d’ombre d’une société dans laquelle la quête de richesse peut basculer dans l’horreur. Alors que l’enquête se poursuit, le Nigeria retient son souffle, espérant que la justice, inflexible, rendra raison aux victimes et à une communauté trahie par celui qui se drapait d’une aura de bienfaiteur.

La CEDEAO fête ses 50 ans à Lagos : un appel vibrant à l’unité ouest-africaine !

Lagos célèbre l’épopée de la CEDEAO : un demi-siècle d’unité ouest-africaine

Lagos, 28 mai 2025 – La métropole frémissante du Nigeria s’est parée de solennité pour accueillir les festivités du cinquantenaire de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO). En effet , dans le cadre majestueux du Nigerian Institute of International Affairs (NIIA), où fut scellé le Traité de Lagos en 1975, et sous les lustres élégants de l’Eko Hotel and Suites, cet anniversaire a transcendé la simple commémoration pour devenir un vibrant plaidoyer pour l’unité et la prospérité régionales. Le président togolais, Faure Essozimna Gnassingbé, aux côtés de ses homologues, a incarné l’attachement indéfectible du Togo, membre fondateur, à cette vision d’une Afrique de l’Ouest solidaire.

La CEDEAO célèbre ses 50 ans à Lagos, réaffirmant son engagement pour l'intégration et la prospérité régionale, malgré les défis d'unité

50 ans de la CEDEAO: un acte symbolique pour raviver la flamme de l’intégration

La journée s’est ouverte par une réactualisation émouvante de la signature du Traité de Lagos, un geste symbolique orchestré dans la salle historique du NIIA. Sous les yeux de dignitaires tels que le président nigérian Bola Ahmed Tinubu, président en exercice de l’Autorité des chefs d’État de la CEDEAO, et le général Yakubu Gowon, dernier signataire vivant du traité originel, cet acte a aussi réaffirmé la pérennité des idéaux fondateurs : intégration économique, paix et coopération. Gowon, honoré pour son rôle pionnier, a rappelé avec ferveur : « L’unité est notre force ; elle doit guider notre avenir. »

Par ailleurs, les célébrations se sont poursuivies à l’Eko Hotel and Suites, où une cérémonie officielle a réuni Chefs d’État, Ministres et Représentants de l’Union africaine. Les présidents du Libéria, Joseph Boakai, et de la Guinée-Bissau, Umaro Sissoco Embaló, ont joint leur voix à celle du Togo pour saluer les avancées de la CEDEAO : la libre circulation des personnes, les corridors routiers comme Lagos-Badagry-Sémé, et les efforts de maintien de la paix, notamment au Libéria et en Sierra Leone. Cependant, l’absence notable des délégations du Mali, du Burkina Faso et du Niger, retirées en janvier 2025, a rappelé les défis d’une unité fragilisée.

La CEDEAO célèbre ses 50 ans à Lagos, réaffirmant son engagement pour l'intégration et la prospérité régionale, malgré les défis d'unité Une table ronde pour l’avenir : défis et perspectives

Une table ronde de haut niveau, intitulée « CEDEAO, un modèle africain à 50 ans : résilience et perspectives d’avenir », a captivé l’auditoire. Anciens dirigeants et partenaires stratégiques, dont l’Union européenne et les Nations Unies, ont disséqué les succès – comme le Protocole de libre-échange, bénéficiant à plus de 15 000 entreprises – et les enjeux à venir : sécurité, infrastructures et inclusion des jeunes. Le président de la Commission, Omar Alieu Touray, a appelé à « recalibrer notre communauté » pour libérer le potentiel d’un marché de 400 millions de citoyens.

La CEDEAO célèbre ses 50 ans à Lagos, réaffirmant son engagement pour l'intégration et la prospérité régionale, malgré les défis d'unité 50 ans de la CEDEAO : le Togo, pilier de la solidarité régionale

La présence du président Gnassingbé, fervent défenseur de l’intégration, a souligné le rôle clé du Togo dans cette odyssée régionale. Depuis 1975, Lomé n’a cessé de promouvoir une CEDEAO des peuples, comme en témoigne son engagement dans des projets tels que le corridor Abidjan-Lagos, prévu pour 2026. « Nous célébrons un héritage, mais nous bâtissons aussi un avenir », a-t-il déclaré, réaffirmant l’adhésion du Togo à une communauté résiliente face aux crises politiques et climatiques.

Un jubilé d’espoir et de défis

En somme, Lagos a envoyé un message clair : la CEDEAO, malgré ses écueils, demeure un phare d’espoir pour l’Afrique de l’Ouest. Ce cinquantenaire, entre hommages au passé et ambitions pour 2050, a ravivé la flamme d’une région unie, prête à surmonter ses fractures pour écrire un nouveau chapitre de prospérité collective.

USA : la suspension des visas étudiants crée l’émoi mondial !

Une onde de choc académique : les États-Unis suspendent les visas étudiants sous l’égide de Rubio

Washington, 28 mai 2025 – Un télégramme signé hier par le secrétaire d’État américain Marco Rubio a ébranlé le monde académique mondial ! Depuis Washington, l’Administration Trump a ordonné la suspension immédiate du traitement des nouvelles demandes de visas étudiants (F, M et J) dans toutes les ambassades et consulats des États-Unis. En effet, cette mesure radicale, visant à intensifier l’examen des profils numériques des candidats, s’inscrit dans une offensive plus large contre certaines universités américaines, avec Harvard particulièrement dans la ligne de mire. Elle soulève une vague d’incertitudes pour des milliers d’étudiants étrangers et redessine les contours de la mobilité académique.

suspensions des visas étudiants: une décision aux accents politiques qui fait vague

Dans les couloirs feutrés du département d’État, Rubio a justifié cette initiative par des impératifs de « sécurité nationale » et une volonté de filtrer les candidats soupçonnés d’activités contraires aux intérêts américains, notamment ceux ayant exprimé des positions pro-palestiniennes sur les réseaux sociaux. Ce tour de vis, effectif dès le 27 mai à midi, intervient dans un contexte où l’Administration Trump accentue sa pression sur Harvard, accusée de laxisme face aux manifestations sur son campus. Près de 27 % des étudiants de cette institution prestigieuse, soit environ 6 000 âmes, viennent de l’étranger, et cette mesure menace de bouleverser leurs parcours académiques et professionnels.

Une tempête pour les étudiants internationaux : inquiétude et colère

La suspension, bien que présentée comme temporaire, a semé l’émoi parmi les aspirants à l’enseignement supérieur américain. Les consulats, déjà engorgés, ont cessé de programmer de nouveaux entretiens, laissant des candidats dans un limbe administratif des plus angoissants. À Harvard, où la rentrée académique 2025-2026 se profile, les étudiants admis pour la promotion 2029 risquent de voir leurs projets brutalement entravés. Des voix s’élèvent, dénonçant une atteinte aux libertés académiques et une stigmatisation des étudiants pour leurs opinions. Le 27 mai, une manifestation baptisée « Harvard Stand United » a réuni des centaines d’étudiants sur le campus de Cambridge, Massachusetts, brandissant des drapeaux multicolores en soutien à leurs pairs internationaux, victimes de cette décision.

Un écho mondial et des alternatives émergentes

L’onde de choc dépasse les frontières américaines. Hong Kong et le Japon, flairant une opportunité, ont d’ores et déjà exprimé leur volonté d’accueillir les étudiants recalés, mettant en avant leurs universités de rang mondial. « Nous sommes prêts à offrir un refuge académique à ces talents », a déclaré un représentant de l’Université de Hong Kong lors d’une conférence le même jour. Pendant ce temps, des recours juridiques s’organisent : Harvard a déposé une plainte pour contester les restrictions imposées par le département de la Sécurité intérieure, qui avait tenté, sans succès, d’interdire à l’université d’accueillir des étudiants étrangers.

Un avenir incertain, mais un défi clair : la résilience face à l’obstacle

Alors que l’administration Rubio promet de nouvelles directives « dans les jours à venir », l’incertitude plane sur les campus et au-delà. Cette mesure, qui s’ajoute à la révocation de plus de 1 680 visas étudiants depuis mars, selon des estimations, redessine les contours de l’attractivité académique des États-Unis. À Lomé, où des partenariats éducatifs avec des institutions américaines comme Oakton College se renforcent, cette décision pourrait freiner les ambitions de nombreux Togolais rêvant d’étudier outre-Atlantique. Pourtant, dans cette tempête, une lueur de résilience persiste : celle d’une jeunesse déterminée à défendre son droit à l’éducation, quel qu’en soit le prix.

Université de Lomé : un pont inédit entre le Togo et les États-Unis s’érige !

Lomé et l’Illinois tissent des ponts savants : une rencontre pour l’excellence académique

Lomé, 28 mai 2025 L’Université de Lomé, joyau académique du Togo, s’est muée en un carrefour d’échanges transatlantiques, accueillant une délégation de l’ambassade des États-Unis et le Dr. JoAnne Schuster, émissaire d’Oakton College, établissement renommé de l’Illinois. En effet, dans les salles feutrées du campus loméen, cette rencontre, orchestrée par l’équipe de diplomatie publique de l’ambassade, a célébré une collaboration naissante, conjuguant ainsi savoirs professionnels et dialogues culturels. Ce rendez-vous, loin d’être anodin, s’inscrit dans une ambition commune : élever l’enseignement supérieur par des passerelles inédites entre deux continents.

Université de Lomé : une Alliance audacieuse pour l’avenir de l’éducation

Sous le ciel éclatant de Lomé, les discussions ont porté sur un partenariat audacieux entre l’Université de Lomé et Oakton College, visant à enrichir les horizons pédagogiques et culturels. Par ailleurs, les échanges ont exploré des initiatives concrètes : des programmes de mobilité professorale, des ateliers conjoints sur l’innovation pédagogique et des immersions culturelles pour les étudiants. « Cette synergie est une promesse d’ouverture, un levier pour former des esprits agiles et citoyens du monde », a déclaré un responsable de l’université togolaise, le regard porté vers un avenir où l’éducation transcende les frontières.

Le Dr. Schuster, figure éminente d’Oakton College, a partagé sa vision d’une coopération ancrée dans le respect mutuel et l’enrichissement réciproque. Cette institution, basée à Des Plaines et Skokie, est reconnue pour son excellence communautaire. Par conséquent, elle voit dans ce partenariat une opportunité d’infuser des perspectives africaines dans ses programmes, tout en offrant aux étudiants togolais un accès à des méthodologies éducatives novatrices.

Université de Lomé : la diplomatie culturelle au service de l’Éducation Globale

Cette rencontre, soutenue activement par l’ambassade des États-Unis, illustre la puissance de la diplomatie douce. En favorisant des échanges qui marient rigueur académique et dialogue interculturel, elle répond aussi à l’appel de l’UNESCO pour une éducation inclusive et globale. Les deux institutions, unies par un même idéal, entendent non seulement former des professionnels compétents, mais aussi des passeurs de cultures, capables de naviguer avec aisance dans un monde de plus en plus complexe.

Une vision partagée pour un demain connecté

En somme, alors que les délégués quittaient le campus à l’issue de cette journée féconde, une certitude flottait dans l’air : ce partenariat n’est que le prélude d’une collaboration durable et fructueuse. L’Université de Lomé, forte de ses 50 000 étudiants et de son rayonnement régional, et Oakton College, pilier de l’innovation éducative, posent les jalons d’un avenir où l’éducation devient un vecteur puissant d’unité. À Lomé, un pont savant s’est érigé, prêt à porter les aspirations d’une jeunesse avide de savoir et de connexion.