Le processus de transition de l’Uemoa vers l’Eco rejeté par des pays de la Cedeao

Les réformes monétaires annoncées le 21 décembre 2019 par l’Ivoirien Alassane Ouattara, le président en exercice de la Conférence des chefs d’Etat de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) n’est pas du goût des pays anglophones de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’ouest (CEDEAO) et de la Guinée, réunis au sein de la Zone monétaire ouest-africaine (ZMAO). Ce qu’ils ont fait savoir en marge d’une réunion extraordinaire des ministres des finances et des gouverneurs des banques centrales des six Etats, tenue jeudi 16 janvier à Abuja.

Ces pays indiquent avoir « noté avec préoccupation la déclaration visant à renommer unilatéralement le franc CFA en Eco d’ici juillet 2020». Il s’agit, pour eux, d’une « action » qui « n’est pas conforme aux décisions » de la CEDEAO en vue de « l’adoption de l’Eco comme nom de la monnaie unique » de toute la région. Une décision « unilatérale », soulignent-ils.

Par ailleurs, le Nigeria, le Ghana, le Liberia, la Sierra Leone, la Gambie et la Guinée (Conakry) « réitèrent l’importance pour tous les membres de la CEDEAO d’adhérer aux décisions de l’autorité des chefs d’État et de gouvernement de la CEDEAO concernant la mise en œuvre de la feuille de route révisée du programme de monnaie unique ». D’ailleurs,  ils annoncent pour « bientôt », un sommet réunissant leurs chefs d’État pour, indique un communiqué, décider de la conduite à tenir.

Pourtant le Ghana, deuxième économie de la région après le Nigeria, avait annoncé avec enthousiasme fin décembre 2019, sa détermination à rejoindre la zone monétaire « Eco » de l’UEMOA, saluant les réformes monétaires annoncées quelques jours plus tôt par les pays de la région francophone.

Source : togobusinessnews.com

UEMOA : l’AJEF, une association de journalistes économiques voit le jour

Des journalistes spécialisés en économie et en finance issus des pays de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) ont créé le 10 janvier 2020 à Dakar (Sénégal), une association régionale destinée à servir de cadre d’échanges, de formation et de discussion sur les questions économiques et financières.

Dénommée « Association des Journalistes Economiques et Financiers (AJEF)/UEMOA », cette plateforme, selon un communiqué de presse, vise à doter ses membres « d’outils nécessaires devant leur permettre de mieux traiter les actualités ayant trait à l’économie et aux finances ».  Sa mise en place, indique-t-on, fait suite à un séminaire de formation et de renforcement de capacités des professionnels de l’information de l’espace communautaire sur le fonctionnement du marché des titres, organisé les 8 et 9 janvier 2020 dans la capitale sénégalaise par l’Agence Umoa-titres en marge de la deuxième édition des Rencontres du marché des titres publics (REMTP).

Au Togo, la nouvelle entité est représentée par le journaliste Rachidou Zakari du quotidien ‘Togo Matin’, en sa qualité et Responsable de la branche togolaise. Pour lui, l’association « s’emploiera à donner à ses membres les clés d’un meilleur traitement en profondeur de l’information économique et financière afin d’accompagner la dynamique de développement économique des pays de l’Union ». Et d’inviter ses confrères « qui s’intéressent à l’actualité économique à faire partie de l’association, afin de relever le niveau de la presse économique et financière togolaise dans la sous-région et dans le monde ».

En rappel, l’association est présidée par le journaliste Abdou Diaw du quotidien national sénégalais ‘Le Soleil’.

Source : www.togobusinessnews.com

Mobilisation de ressources pour le 5è Recensement Général de la Population au Togo

L’Institut national des Statistiques et des Etudes Economiques et démographiques (INSEED) a organisé hier jeudi à Lomé, une réunion de mobilisation des ressources, afin d’organiser  le 5è Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH-5) au Togo.

Cette réunion a été organisée à l’attention des partenaires techniques et financiers par l’Institut National. Elle a pour objectif d’inviter ces derniers  à adhérer davantage au processus de financement, à s’engager et à se positionner par rapport au budget de l’opération.

Le RGPH-5 s’inscrit dans la série 2020 initiée par le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA). Il marque le retour du Togo à la périodicité décennale des recensements généraux de la population et de l’habitat, conformément à la recommandation des Nations Unies et à l’une des dispositions de la loi statistique togolaise adoptée en 2011.

Le budget du RGPH-5 est estimé à 8 189 901 930 FCFA. A ce jour, 57% de ce budget ont été mobilisés.

Jean-Pierre Fabre mobilise l’électorat d’Agoè-Nyivé

Le maire de la commune de Golfe 4, candidat de l’élection présidentielle de février 2020 se trouve  actuellement dans la préfecture d’Agoè-Nyivé où il échange avec les populations de la localité.

Cette sortie de terrain de l’ancien chef de file de l’opposition se place surement dans le cadre des actions de communication de son parti pour   la présidentielle de 2020. Selon l’un des responsables de la cellule communication du président de l’ANC, Jean Pierre FABRE a conféré avec les fédérations du Golfe, d’Agoè-Nyivé, les femmes des marchés, les Zémidjans (taxis-motos)  et la jeunesse du parti.

« Il s’agit pour le Président FABRE de procéder comme d’habitude à informer et à former les premiers responsables des fédérations, les jeunes et les femmes des marchés. Il n’a pas manqué d’informer sur le dépôt de sa candidature à la CENI », informe-t-il.

Affrontements entre forces de sécurité et populations à Anié, explications du ministre de la Sécurité

Le ministre de la Sécurité et de la protection civile, le général Yark Damehame s’est expliqué sur l’incident entre des forces de l’ordre et civils qui a lieu il y a quelques jours à Anié et qui a fait plusieurs blessés et un mort.

Dans le communiqué du ministre publié hier lundi 13 janvier, l’incident a fait des blessés graves dont cinq du côté des gendarmes et un par balle du côté des paysans. Ce dernier succombera plus tard des suites de ses blessures après son évacuation au Centre hospitalier préfectorale. Selon le communiqué signé par le générale Yark, l’affaire est née suite à un cas de dévastation de leurs cultures par des bœufs dans ladite localité. Certains habitants du village ont malgré la tentative de conciliation menée en vue d’un règlement à l’amiable, exercé de violentes représailles sur un peuhl dont ils exigent en plus le départ du milieu. L’employeur de ce dernier, a alors porté plainte à la brigade de la gendarmerie d’Anié pour violences volontaires.

Afin d’écouter les deux parties et de faire la lumière, le Commandant de Brigade a envoyé une convocation invitant les deux parties à comparaître le lundi 13 janvier. « Bien qu’ayant reçu la convocation, les mis en cause ont refusé de se présenter à la brigade. C’est alors que le commandant a envoyé sur place deux gendarmes pour comprendre les motivations de ce refus de comparaître.

Une fois arrivés dans le village de Tchakpalakopé, les deux agents de la gendarmerie ont été pris à partie et molestés par les habitants, qui ont déchiré leur uniforme, retiré leurs portables et cassé leur motos », selon le communiqué du ministre. Informé, le commandant de compagnie de de la gendarmerie d’Anié et une équipe de gendarmes ont effectué une descente sur les lieux dans le but de calmer la situation. À leur arrivée, ils ont été à leur tour aussi pris en partie par les habitants du village de Tchakpalakopé, renforcés par ceux du village voisin de Palakoko, selon toujours le communiqué.

Tous armés de coupe-coupe, de gourdins et autres objets et face à l’ampleur des violences exercées sur eux, les gendarmes ont dû faire usage de grenades lacrymogènes et de tirs de sommation en l’air pour s’exfiltrer des lieux.

Gilchrist Olympio : « Une alternance politique pacifique verra le jour au Togo dans un futur proche »

Comme annoncé il y a quelques jours, le chef de file de l’opposition et président de l’Union des Forces de Changement s’est prononcé par rapport à l’actualité politique, notamment l’élection présidentielle de 2020.

le Chef de file de l’opposition a formulé au nom de son parti et en son personnel, les vœux les plus « sincères et chaleureux » pour un Togo démocratique et solidaire.

« À chacun de vous et à vos familles, je souhaite que 2020 soit une année d’espoir, de paix, de stabilité, de bonheur et de prospérité. Cette nouvelle année marquera les 60 ans de notre accession à la souveraineté internationale et les 30 ans de notre apprentissage démocratique. Elle sera aussi l’occasion pour les Togolais de choisir de nouveau, celui qui sera pour cinq ans aux commandes de notre pays. Que ces prochaines échéances électorales soient l’occasion d’un débat d’idées, de programmes pour le bien-être des Togolais et non une occasion d’attaques personnelles et d’incitations à la haine et à la violence », a exhorté Dr Gilchrist OLYMPIO.

 

Occasion pour lui d’appeler les acteurs politiques à œuvrer pour une élection apaisée.

« Je lance un appel solennel à la classe politique de tout mettre en œuvre pour éviter à notre pays, les douloureux évènements passés, surtout en cette période où la situation sécuritaire de notre sous-région est précaire. L’UFC reste convaincue qu’aucune formation politique ne peut à elle seule gagner les élections et gérer convenablement le pays. Après ses multiples consultations avec les principaux partis de l’opposition depuis les législatives de décembre 2018 et compte tenu du contexte politique actuel du Togo, notre parti ne présente pas de candidat cette année pour la conquête de la magistrature suprême », a-t-il précisé.

L’opposant a, en outre exhorté, le gouvernement et la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), à tout mettre en œuvre pour organiser des élections transparentes, démocratiques, crédibles et dont les résultats seront acceptés par tous.

L’UFC, dit se réserver le droit de donner des consignes de vote au moment opportun et demande à tous les citoyens en âge de voter de se rendre aux urnes pour le choix du Président de la République. « Une alternance politique pacifique verra le jour au Togo dans un futur proche et lorsqu’elle viendra, au-delà de son importance symbolique, elle ne marquera que la continuation d’un renouveau politique, économique, et social tel que l’ont rêvé et voulu les pères de l’indépendance », a lancé Dr OLYMPIO.

Pour assurer l’avènement de cet idéal, le président de l’UFC demande aux acteurs de continuer leur combat avec conviction. Il a saisi l’occasion pour inviter tous les démocrates togolais à s’unir pour travailler ensemble à l’émergence d’un cadre institutionnel solide dans le souci d’enraciner la démocratie au Togo.

L’UFC, selon son président s’engage à nouveau à reprendre son bâton de pèlerin pour continuer à essayer de rassembler les forces démocratiques du pays, afin, dit-il, d’améliorer la gouvernance et servir d’alternative crédible à même d’influencer le cours des événements en cette période de l’histoire du Togo et contribuer à bâtir un cadre nouveau pour l’avenir.

La date du 13 janvier choisie par le président de l’UFC pour délivrer ce message solennel, n’est pas un hasard. Elle marque la commémoration du 47e anniversaire de l’assassinat de premier président démocratiquement élu, Sylvanus OLYMPIO.

« Ce jour dramatique nous ramène chaque année à la douloureuse question du pourquoi ? Et nous convie à l’espérance d’un jour nouveau qui mettra fin à la sombre nuit du 12 au 13 janvier 1963. Le meilleur hommage à rendre au feu Président Sylvanus E. OLYMPIO et à ses compagnons de lutte, c’est de marcher dans la ligne de sa vision politique », a rappelé Gilchrist OLYMPIO, son fils.

Tout en appelant le peuple togolais à garder espoir pour un avenir meilleur, le Chef de file de l’opposition a souhaité que l’année 2020 soit une année de progrès, de sérénité, et de confiance renouvelée pour tous les togolais.

Journal du Togo avec Afreepress

Fulbert Sassou Attisso va coordonner la campagne du candidat de la dynamique Mgr Kpodzro

Le président de MPDD, Agbéyomé Messan Kodjo choisi par le comité de Monseigneur Kpodzro  comme candidat unique de l’opposition  a désormais un directeur de campagne.  Il s’agit de Fulbert Sassou ATTISO, le président du parti Togo Autrement.

« Il est porté à la connaissance de toutes les militantes et militants des organisations et partis politiques membres et sympathisants de la dynamique de Monseigneur KPODZRO engagée pour l’alternance en 2020  ainsi que toute la population togolaise que Monsieur Fulbert Sassou Attisso est nommé Coordinateur Général de la campagne du candidat Agbéyomé Messan KODJO », peut-on lire dans un communiqué que vient de publier la cellule communication de la dynamique.

« Le Candidat Agbeyomé Messan KODJO demande à tous les partis et associations et toutes les forces vives du pays à apporter leurs  soutiens et leurs contributions pour aider Monsieur Fulbert Sassou ATTISSO à réussir sa mission de mobilisation et d’organisation des citoyens pour une écrasante victoire des forces au soir du 22 février 2020 », ajoute le communiqué.

A fin mars 2019, 2,6 millions de Togolais ont eu accès aux services financiers

La stratégie d’inclusion financière mise en place par le Togo il y a quelques années, commence à porter ses fruits, selon le Secrétaire d’Etat auprès de la présidence de la République, chargée de l’Inclusion financière. Mme Mazamaesso Assih, qui a accordé une interview au quotidien Togo Matin paru ce matin a partagé le bilan que son institution a fait sur la situation de l’Inclusion financière au Togo.

Selon Mme Assih, le gouvernement togolais a mobilisé  87 milliards de FCFA qui ont servi à financer des activités génératrices de revenus (AGR) de 1 millions de togolais. Ces derniers selon le Secrétaire d’Etat ont presque remboursé les prêts dont ils ont bénéficié.   Le taux de remboursement, note-elle, est de 95 %. «  1,6 million en 2015, le nombre de personnes bénéficiant directement des services des structures de microfinance s’est accru à plus de 2,6 millions à fin mars 2019. La preuve que l’inclusion financière est une réussite au Togo. Cette performance est reconnue par les instances sous régionales et internationales », in forme le secrétaire d’Etat.

« Le rapport 2019 de la Banque  centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), le Togo est d’ailleurs le deuxième pays de l’Uemoa en matière d’inclusion financière. Le gouvernement togolais est donc sur la bonne voie et veut encore aller plus loin. C’est possible », a-t-elle ajouté.

Les Profs Kpodar et Kokoroko rendent hommage à leur aîné le Prof  Ahadzi-Nonou  

Le Professeur Koffi Ahadzi-Nonou a donné des cours à plusieurs étudiants dont la pluparts sont aujourd’hui devenus Professeurs comme lui.  Les profs Adama kpodar, vice-président de l’Université de Kara et Dodzi Kokoroko, président de l’Université de Lomé qui sont deux de ses anciens élèves lui ont rendu hommage hier mercredi au cours d’une cérémonie solennelle à l’auditorium de l’Université de Lomé.  

Au cours de la cérémonie, les deux professeurs ont remis à leur ainé des « Mélanges » édités en son honneur.  Selon Pr. Dodzi Kokoroko,  ces « Mélanges » sont une œuvre collective, faite d’articles, coordonnée par les premières élèves du Pr. Koffi Ahadzi-Nonou, autour de l’idée fondamentale chère à leur maître. Il s’agit, a-t-il dit, de la finalité de droit et de la science politique, une problématique éternelle qui justifie l’existence même des disciplines et de leurs enseignements, mais qui ne sauraient se réduire à un questionnement réducteur des objectifs. Il a précisé que l’idée de finalité fait remonter à la conception, à la qualité, à l’exécution et à l’évaluation de l’instrument qui doit atteindre sa cible.

Pour le président de l’UL, les « Mélanges » remis au Pr. Ahadzi-Nonou ont été conçus pour immortaliser son parcours exceptionnel et lui témoigner amour, admiration et amitié. Selon lui, les « mélanges » sont une sorte de dévotion intellectuelle manifestée sous forme d’hommage des collègues et amis, en récompense à l’éminent professeur pour tout ce qu’il a apporté à la communauté universitaire.

Aussi, de tous les éloges qui lui ont été faits hier, l’on retiendra-t-il que Pr. Koffi Ahadzi-Nonou est le symbole de la rigueur, de l’engagement et de la fidélité : « Cet éminent personnage se distingue par sa pluridisciplinarité et par sa complétude universitaire avec en toile de fond « une passion  » hors pair dans ce qu’il entreprend », a déclaré Pr. Kokoroko.

Un parcours exceptionnel

De l’avis de nombreuses personnalités à la cérémonie d’hommage, Pr. Ahadzi-Nonou fait partie des icônes du droit public et de la science politique. En effet, après l’obtention de son Diplôme d’Etude Approfondie en Droit public (DEA) à l’Université de Poitiers en 1979, il s’est engagé pour un autre en Analyse politique et institutionnelle dans la même institution en 1980. Il soutient en 1989 sa thèse « Essai de réflexion  sur les régimes de fait : le cas du Togo », thèse qui lui a valu le prix de thèse de l’Université de Poitiers. Par cette récompense, il devient ainsi un intellectuel célèbre.

De 1986 à 1987, il enseigne à l’Université Nationale du Bénin, puis de 1987 à 1992, à  celle de Niamey, au Niger. Pr. Ahadzi-Nonou commence sa carrière universitaire au Togo en 1992 et devient le premier agrégé en Droit public et sciences politiques en 1997, puis professeur titulaire de Droit public en 2003.

L’homme que beaucoup présentent comme un passeur entre les universités draine derrière lui des doctorants, des docteurs, des agrégés et des professeurs titulaires. Membres du jury d’agrégation du concours de droit public en 2005 et président du jury en 2013, 2015 et 2017, Pr. Ahadzi-Nonou continue de former une génération d’enseignants de haut rang.

Chef de département de Droit public de 1995 à 2003, il a été vice-président de l’Université de Kara (2003-2006) et président de l’UL (2006-2014). Sur le plan régional, il fut président du comité consultatif général du CAMES (2009-2014). Membre du Comité Technique spécialisé des sciences juridiques et politiques de 1996 à 2006. Attaché à la paix et à la réconciliation, il fut le premier rapporteur de la Commission Vérité, Justice et Réconciliation du Togo (2009-2012) et juge à la Cour constitutionnelle en 2014. Prof Koffi Ahadzi-Nonou entame sa retraite administrative en juin prochain, fier d’avoir préparé sa succession, qui n’entend  point parler de parricide.

Source: Togo Presse

Voici la liste des candidats à la présidentielle 2020

Hier 8 janvier était la date limite du dépôt des candidatures pour la présidentielle de 2020 dont le premier tour est prévu en février. L’on note au totale 10 candidatures dont celle d’une femme, candidate indépendante.

 

La liste des candidats

Jean-Pierre FABRE

Faure GNASSINGBE

Aubin THON

Agbéyomé KODJO

Dr William KOUESSAN

Komi WOLOU

Aimé GOGUE

Me Traoré TCHASSONA

Innocent KAGBARA

Mme KPETIGO Afiwa