Un Voyage dans les Profondeurs du Temps : L’Hommage du Gouverneur Atcha-Dedji aux Grottes de Nok

Tandjouare 2, 4 avril 2025 — Dans les replis escarpés de Tandjouare 2, au sein de la Région des Savanes au Togo, se dressent les grottes de Nok, un sanctuaire d’une valeur archéologique et culturelle hors du commun. En effet, découvertes au tournant du XXe siècle, ces cavités séculaires, creusées dans la roche par le temps et les mains humaines, auraient accueilli le peuple Nok, une civilisation ancienne dont les sculptures en terre cuite et la maîtrise précoce du fer continuent de fasciner les érudits. Ces grottes, véritable dédale de galeries ornées de gravures rupestres, dévoilent les murmures d’une époque révolue, incarnant avec éloquence le génie et la ténacité des aïeux togolais.

Les grottes de Nok, trésor archéologique du Togo, ont accueilli une visite officielle soulignant leur rôle clé dans l’identité culturelle Une visite de haut rang pour célébrer l’héritage togolais

C’est dans cet écrin chargé de mémoire qu’Affoh Atcha-Dedji, figure éminente de la gouvernance de la Région des Savanes et pilier du parti UNIR en tant que vice-président pour la Région Centrale, a récemment posé ses pas. Lors de cette visite empreinte de solennité, il a eu l’insigne privilège de fouler ce lieu emblématique, dont la renommée dépasse les frontières locales. Loin d’être une simple formalité, ce déplacement s’est révélé une ode vibrante à l’héritage togolais, une reconnaissance publique de la place centrale qu’occupent les grottes de Nok dans le récit national.

Face à la beauté de ce paysage, le gouverneur, charmé, a exalté la nécessité impérieuse de protéger ce patrimoine, soulignant que ces cavernes ne se réduisent pas à un amas de pierres et de poussière, mais constituent un miroir de l’âme collective du Togo. « Ce site emblématique, riche en histoire et en culture, témoigne de notre patrimoine inestimable et de la résilience de nos ancêtres », a-t-il affirmé, insistant sur le devoir sacré de transmettre intact ce legs aux générations montantes. Ses mots, portés par une conviction palpable, ont résonné comme un appel à l’éveil des consciences.

Les grottes de Nok, symboles vivants de l’identité togolaise

Cette visite, bien plus qu’un événement isolé, met en lumière une vérité fondamentale : les grottes de Nok transcendent leur statut de vestige archéologique pour s’ériger en symboles vivants de l’identité togolaise. En plus, elles incarnent un pont entre les époques, un lien tangible avec ceux qui, jadis, ont façonné les contours de cette terre. Pourtant, leur pérennité n’est pas acquise. Entre les assauts du temps et les défis de la modernité, leur sauvegarde exige une mobilisation sans faille, une synergie entre les volontés politiques et l’élan populaire.

Les grottes de Nok, trésor archéologique du Togo, ont accueilli une visite officielle soulignant leur rôle clé dans l’identité culturelle En quittant les lieux, Affoh Atcha-Dedji a laissé derrière lui une interrogation essentielle, suspendue dans l’air comme une invitation au sursaut. Comment conjuguer l’élan du progrès avec la fidélité à nos racines ? La réplique, encore en développement, revient à ceux qui portent actuellement la flamme de cet héritage en eux. Les grottes de Nok, impassibles et majestueuses, attendent silencieusement que nous écrivions la suite de leur histoire. Ce legs, suspendu entre la mémoire et l’avenir, repose désormais entre nos mains.

 

Les meilleures stratégies de génération de leads pour les entreprises de services financiers

Attirer de nouveaux clients représente un défi majeur pour les entreprises de services financiers. Les méthodes traditionnelles perdent en efficacité, rendant la génération de leads plus complexe. Quelles stratégies adopter pour capter des prospects qualifiés dans ce secteur concurrentiel ? Découvrez des approches éprouvées pour optimiser votre acquisition de clients.​

Cibler précisément les besoins pour maximiser l’impact commercial

Les entreprises de services financiers font face à une audience exigeante. Chaque décision repose sur des critères objectifs et sur une recherche de valeur. Dans ce contexte, identifier les besoins réels des prospects devient un passage obligé. Une stratégie efficace commence toujours par une compréhension fine du marché et des segments à adresser. Sans cette base, aucune campagne ne pourra générer de leads qualifiés sur la durée. Et pour vous aider dans cette tâche, l’aide d’une agence de génération de leads s’avère indispensable.

La segmentation joue alors un rôle clé. Un cabinet de gestion de patrimoine ne s’adresse pas à une entreprise de courtage comme à une banque privée. Chaque cible possède des attentes différentes, des cycles d’achat distincts et des motivations spécifiques. Définir des profils-types permet d’adapter les messages sans disperser les efforts. Cette étape simplifie aussi le choix des canaux à privilégier pour chaque typologie de prospect.

Une fois les segments définis, la mise en place d’un lead scoring devient indispensable pour la génération de leads B2B. Ce système classe les contacts selon leur engagement et leur pertinence commerciale. Un directeur financier qui télécharge un guide a plus de valeur qu’un simple visiteur. Le scoring permet donc de prioriser les leads en fonction de leur potentiel de conversion. Les entreprises de services financiers peuvent ainsi concentrer leurs ressources sur les opportunités les plus prometteuses. Grâce à cette approche, le cycle de vente s’écourte et le coût d’acquisition diminue.

Créer du contenu à forte valeur ajoutée pour gagner la confiance

Dans un secteur dominé par la crédibilité et la rigueur, le contenu joue un rôle stratégique. Les services financiers requièrent une approche pédagogique pour démontrer l’expertise. Un article, un guide ou une étude de cas permettent de capter l’attention sans avoir recours à la sollicitation directe. Le prospect découvre une solution sans pression commerciale, ce qui renforce la relation.

Le contenu doit répondre à des préoccupations concrètes. Une entreprise cherchant à optimiser sa trésorerie ne réagira pas à un discours générique. Elle attend des éléments chiffrés, des cas concrets et des pistes d’action claires. En misant sur des formats riches comme les livres blancs ou les webinaires, les prestataires financiers peuvent s’imposer comme des interlocuteurs de confiance. Ce positionnement augmente naturellement le volume de leads qualifiés.

Ce type de stratégie repose aussi sur une logique de lead nurturing. Tous les prospects ne sont pas prêts à s’engager immédiatement. Certains auront besoin de plusieurs interactions avant de passer à l’action. En maintenant un lien via des contenus réguliers, l’entreprise garde son audience active. Les contacts progressent alors dans le tunnel de conversion, étape après étape. Cette relation continue améliore nettement les performances commerciales à long terme.

Exploiter les bons outils pour transformer les efforts en résultats

L’utilisation d’outils performants devient un levier décisif dans la génération de leads B2B. Les entreprises de services financiers doivent pouvoir piloter chaque interaction, suivre les comportements et automatiser certaines actions. Un outil comme HubSpot ou ActiveCampaign permet justement de gérer ces différentes dimensions avec précision.

L’automatisation permet d’envoyer des messages personnalisés sans intervention manuelle. Lorsqu’un prospect télécharge un document, le système déclenche une série d’emails adaptés à son profil. Cette réactivité améliore l’expérience utilisateur tout en renforçant l’image de professionnalisme. Les outils de scoring intégrés simplifient le tri entre prospects froids et contacts chauds. Les commerciaux gagnent ainsi du temps et augmentent leur efficacité.

Les CRM comme Salesforce assurent la coordination entre marketing et ventes. Chaque interaction est historisée, ce qui évite les doublons et permet de mieux contextualiser les relances. Les données collectées servent également à affiner les campagnes futures. Plus l’entreprise apprend des comportements de ses prospects, plus elle peut optimiser ses actions. En s’appuyant sur ces solutions, les sociétés financières disposent de toutes les clés pour transformer leurs efforts en opportunités concrètes.

Togo Propre : un souffle d’élan civique ranime la lutte contre l’insalubrité

Lomé, 3 avril 2025 – L’opération « Togo Propre » s’apprête à renaître de ses cendres avec une vigueur retrouvée. En effet, dès le samedi 5 avril, cette initiative, portée par une ambition limpide de juguler l’insalubrité et d’éveiller les consciences à une gestion vertueuse des déchets, déploiera ses ailes sur l’ensemble du territoire togolais. Sous l’impulsion du ministre Pacôme Adjourouvi, chargé de la formation à la citoyenneté, ce retour promet de fédérer citoyens, entreprises et institutions dans une croisade collective pour la propreté des espaces publics.

Togo Propre : une renaissance soigneusement orchestrée

Par ailleurs, ce grand nettoyage, qui reprendra ses droits chaque premier samedi du mois, ne se limite pas à un simple coup de balai. Il s’agit d’une entreprise d’envergure visant à redonner éclat aux rues, aux marchés, aux places publiques et autres lieux de convergence. Interrompue en 2020 face à la menace pandémique, l’opération avait laissé un vide que les amas de détritus n’ont pas tardé à combler. Aujourd’hui, son retour s’annonce comme une bouffée d’air pur dans un paysage parfois terni par l’incivisme et le laisser-aller. En plus, pour préparer ce renouveau, Pacôme Adjourouvi a convié récemment les artisans de la salubrité publique – municipalités, associations et acteurs privés – à une séance de concertation. L’objectif était clair : affiner les contours de cette reprise et galvaniser une mobilisation à la hauteur des enjeux.

Lors de cette rencontre, tenue à Lomé en début de semaine, le ministre a insisté sur l’importance d’une synergie sans faille. « La propreté de notre nation est un miroir de notre civisme ; il nous appartient à tous de la polir », a-t-il déclaré, son propos résonnant comme un appel à l’unité. Les modalités pratiques, du déploiement des équipes de nettoyage à la sensibilisation des populations, ont été minutieusement esquissées, témoignant d’une volonté de ne rien laisser au hasard dans cette reconquête de l’hygiène publique.

Un élan porté par tous

L’opération « Togo Propre » se distingue par son caractère inclusif. Elle convie chaque Togolais, qu’il soit habitant d’un quartier populaire de Lomé, commerçant d’un marché grouillant de Dapaong ou employé d’une institution à Kara, à saisir balais, pelles et sacs pour redonner lustre à son environnement. Les entreprises, souvent sollicitées pour leur capacité logistique, et les établissements publics, dépositaires d’un devoir d’exemplarité, sont également conviés à cette fête du civisme. L’initiative, née sous l’égide du gouvernement en 2017, avait su, avant sa suspension, fédérer des milliers de mains autour d’une cause commune, transformant les premiers samedis du mois en un rituel de purification collective.

Ce retour s’accompagne d’une ambition renouvelée : non seulement assainir, mais aussi enraciner des pratiques durables. À Kovié, où le riz vient d’être auréolé d’une Indication Géographique Protégée par l’OAPI ce 3 avril, des voix s’élèvent déjà pour lier cette distinction à un environnement préservé, signe que la propreté pourrait devenir un levier de valorisation économique. À Lomé, les habitants des quartiers comme Bè ou Tokoin, où les caniveaux débordants racontent une histoire d’oubli, accueillent cette reprise avec un mélange d’espoir et d’impatience.

Un défi aux multiples visages

La tâche, toutefois, n’est pas exempte d’écueils. L’insalubrité, héritage d’années de gestion approximative des déchets et d’un urbanisme galopant, exige plus qu’un sursaut ponctuel. Les quelque 1,2 million de tonnes de déchets produits annuellement au Togo, selon les estimations récentes, appellent une réponse structurelle que « Togo Propre » ne peut, à elle seule, incarner. Pourtant, en rallumant cette flamme citoyenne, l’initiative pose une pierre précieuse dans l’édifice d’une nation plus saine. Les campagnes de sensibilisation, promises en marge des opérations de nettoyage, devront redoubler d’ardeur pour transformer les gestes d’un jour en habitudes de toujours.

Une promesse suspendue au vent

En somme, le 5 avril, lorsque les premiers rayons du soleil caresseront les équipes de volontaires déployées à travers le pays, une question flottera dans l’air encore frais : ce réveil de « Togo Propre » saura-t-il purifier durablement les artères du Togo, ou restera-t-il une éclaircie fugace dans un ciel d’incertitudes ? La réponse, portée par le souffle des balais et la volonté des âmes mobilisées, demeure une page blanche que l’avenir écrira à son gré.

Le riz de Kovié du Togo obtient son Indication géographique protégée sous l’égide de l’OAPI

Lomé, 3 avril 2025 – En ce jour mémorable, la ville de Lomé, vibrant carrefour de l’âme togolaise, s’est drapée d’une nouvelle fierté. Monsieur Denis Bohoussou, directeur général de l’Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI), a présidé une cérémonie empreinte de solennité pour remettre le certificat d’enregistrement en Indication Géographique Protégée (IGP) au riz de Kovié, joyau agricole du Togo. Ce précieux sésame, accompagné d’un logo distinctif, consacre désormais ce produit comme un étendard de qualité, un gage d’authenticité et un rempart contre les contrefaçons, prêt à s’épanouir sur les marchés du monde.

L’OAPI : un couronnement longuement mûri

En plus, sous un ciel clément, la remise de cette distinction a marqué l’aboutissement d’un cheminement patient et résolu. Le riz de Kovié, cultivé dans les terres fertiles de cette localité située à une trentaine de kilomètres de Lomé, incarne un savoir-faire ancestral marié à une ambition contemporaine. Par ailleurs, L’obtention de l’IGP, première du genre pour le Togo au sein de l’OAPI, n’est pas un simple fait administratif : elle scelle la reconnaissance d’une identité unique, forgée par le labeur des agriculteurs et le génie d’un terroir béni par la nature. Ce certificat, remis en mains propres par Denis Bohoussou, offre aux producteurs un outil précieux pour l’étiquetage, le contrôle qualité et la commercialisation, tout en leur conférant une armure juridique contre les usurpations.

En outre, L’événement, qui s’est déroulé sur deux jours entre Lomé et Kovié du 2 au 4 avril, a mobilisé une kyrielle d’acteurs : autorités togolaises, représentants de l’OAPI, membres de la filière rizicole et partenaires internationaux. Denis Bohoussou, figure tutélaire de cette consécration, a salué l’engagement des producteurs et l’appui du gouvernement togolais dans cette quête d’excellence. « Cette IGP est une ode au travail acharné et à la richesse des terroirs africains », a-t-il déclaré, son verbe résonnant comme une promesse d’avenir radieux pour les communautés locales.

L’OAPI remet au riz de Kovié du Togo son certificat d’Indication Géographique Protégée, première distinction de ce genre pour le pays,L’OAPI  : une distinction aux multiples éclats

Le riz de Kovié, avec ses grains d’une finesse reconnue et son goût subtil façonné par les sols sablonneux et les eaux généreuses de la région, s’élève désormais au rang d’ambassadeur gastronomique. L’IGP, en plus de valoriser cette spécificité, ouvre des perspectives économiques alléchantes. En estampillant leurs produits du logo officiel, les riziculteurs pourront non seulement conquérir des marchés exigeants, mais aussi prétendre à une juste rémunération de leur art. Cette reconnaissance s’inscrit dans une dynamique plus vaste portée par l’OAPI, qui, sous la houlette de Bohoussou, multiplie les initiatives pour protéger et promouvoir les trésors agroalimentaires du continent.

Le Togo, pionnier en la matière parmi ses pairs, rejoint ainsi le cercle restreint des nations africaines dotées d’une IGP enregistrée à l’OAPI, à l’image du poivre de Penja au Cameroun ou du chapeau de Saponé au Burkina Faso. Ce pas inaugural, fruit d’un partenariat entre l’OAPI, le gouvernement togolais et les acteurs de la filière, illustre une volonté partagée de hisser les productions locales au pinacle de la reconnaissance internationale. Les échos de cette réussite ont déjà franchi les frontières de Kovié, suscitant l’admiration et, peut-être, l’émulation dans d’autres contrées de l’espace OAPI.

Une célébration ancrée dans la terre et tournée vers l’horizon

La cérémonie, empreinte d’une liesse contenue, a vu défiler discours inspirés et gestes symboliques. À Lomé, les bases de cet événement historique ont été posées avec des échanges entre experts et décideurs, prélude à la remise officielle du lendemain. Ce jeudi, Denis Bohoussou, entouré de dignitaires togolais, a remis le certificat aux représentants des producteurs sous les regards émerveillés d’une foule venue célébrer son patrimoine. La journée du 4 avril, prévue à Kovié même, promet une immersion dans le cœur battant de cette aventure : les rizières sur lesquelles naît ce produit d’exception.

Ce triomphe ne se limite pas à une médaille honorifique. Il porte également en germe une transformation profonde pour les agriculteurs de Kovié, souvent confrontés aux aléas climatiques et aux défis de la concurrence. Avec l’IGP, ils disposent désormais d’un levier pour négocier de meilleurs prix, attirer des investisseurs et préserver leur héritage face aux imitations. L’OAPI, fidèle à sa mission, entend accompagner cette dynamique en renforçant les capacités des producteurs et en veillant à la pérennité de cette labellisation.

Une porte entrebâillée sur demain

Le riz de Kovié, dorénavant paré de son blason IGP, s’apprête à écrire un nouveau chapitre de son histoire. Mais au-delà des grains qui dansent dans les sacs estampillés, c’est une interrogation plus vaste qui se profile : cette distinction sera-t-elle le ferment d’une prospérité durable pour les riziculteurs togolais ou un simple éclat dans le tumulte des marchés mondiaux ? La réponse, telle un riz qui mûrit sous le soleil, appartient aux saisons futures, laissant à chacun le soin d’imaginer la moisson à venir.

Gaza : un massacre à l’école Dar al-Arqam révèle l’ampleur d’une tragédie sans fin

Gaza, 3 avril 2025 – Une abomination sans nom a brisé le silence de la bande de Gaza, déjà meurtrie : les forces d’occupation israéliennes ont bombardé l’école Dar al-Arqam, un refuge précaire pour des milliers de personnes déplacées, situé dans le quartier d’Al-Tuffah, à l’est de la ville de Gaza. Par ailleurs, ce crime, d’une violence inouïe, s’inscrit dans une série de raids aériens dévastateurs qui ont secoué la région, transformant des lieux de vie en champs de ruines et de désolation. Alors que les flammes ravageaient les murs de l’école, des corps carbonisés gisaient sous les décombres, et les survivants, hagards, fuyaient une fois encore, traînant derrière eux le poids d’une souffrance indicible.

L’école Dar al-Arqam :une vague de violence implacable

Les frappes, menées avec une précision froide, ont visé plusieurs cibles dans la ville. À l’école Fahd Al-Sabah, également dans le quartier d’Al-Tuffah, quatre martyrs ont été recensés après un bombardement qui a semé la terreur parmi les familles déjà éprouvées par des mois de guerre. Plus au sud, à Khan Younis, une tente abritant des déplacés a été réduite en cendres par une attaque aérienne, ajoutant un nouveau chapitre à la litanie des pertes humaines. Ces assauts, d’une brutalité méthodique, témoignent d’une escalade dans la stratégie israélienne, marquée par des expulsions forcées, une politique de famine imposée et la fermeture hermétique des points de passage, privant la population des besoins les plus élémentaires.

Le directeur de l’hôpital baptiste de Gaza, submergé par l’afflux de blessés, a lancé un cri d’alarme désespéré : « La situation sanitaire est catastrophique, hors de tout contrôle. » « Les massacres successifs engloutissent notre capacité à soigner. » « Nous implorons une pression internationale pour rouvrir les passages et sauver ce qui reste de notre système de santé. » Ses mots résonnent comme un écho tragique dans un territoire dans lequel les infrastructures médicales, déjà exsangues, s’effondrent sous le poids de l’horreur.

Un génocide sous les yeux du monde

Ce massacre à l’école Dar al-Arqam ne constitue pas un acte isolé, mais forme un maillon d’une chaîne de crimes odieux qui, d’après les définitions du droit international, présentent les caractéristiques d’un génocide. Sous la houlette de Benjamin Netanyahu et de son gouvernement, qualifié de fasciste par de nombreuses voix dans la région, ces exactions bénéficient d’une couverture politique et militaire américaine que les critiques n’hésitent plus à juger criminelle. L’incapacité de la communauté internationale à enrayer cette spirale de violence constitue une faillite retentissante, un effondrement des valeurs et des lois qu’elle prétendait défendre. Face à l’horreur perpétrée sous les regards impuissants ou complices, le silence devient une trahison.

Les acteurs internationaux, en particulier les pays arabes et islamiques, se trouvent aujourd’hui à un carrefour moral. Briser l’omerta, exiger des mesures immédiates pour stopper les massacres, mettre fin à la catastrophe humanitaire et traduire les responsables en justice ne sont plus des options, mais des impératifs. Car chaque jour qui passe sans action consacre l’impunité des criminels de guerre et aggrave la tragédie d’un peuple livré à l’abandon.

Gaza dans l’abîme

Au milieu des décombres fumants de l’école Dar al-Arqam, une scène saisissante a figé le temps : une fillette, à peine âgée de cinq ans, errait seule, les mains couvertes de cendres, cherchant en vain sa famille engloutie par les flammes. Ses pleurs, étouffés par le vacarme des drones qui sillonnaient encore le ciel, n’ont trouvé aucun écho. Autour d’elle, les secours, débordés, ne pouvaient que constater l’ampleur du désastre. Cette enfant, orpheline d’un instant, incarne désormais l’âme brisée de Gaza, un symbole vivant d’une humanité sacrifiée sur l’autel de la guerre. Et tandis que le monde détourne les yeux, une question lancinante demeure : combien de Dar al-Arqam faudra-t-il encore pour que l’indifférence cède à l’action ? Pour l’heure, seule la fumée répond, s’élevant comme un linceul sur une terre dans laquelle la vie, peu à peu, s’éteint.

Une célébration éclatante du courage féminin au cœur de Washington

Hier, mercredi, le Département d’État américain a solennellement rendu hommage aux lauréates du prix International Women of Courage (IWOC) à Washington. En effet, lors d’une cérémonie empreinte de gravité et d’élégance, le secrétaire d’État, Marco Rubio a exalté la vaillance et la ténacité de femmes d’exception, dont les vies, jalonnées de périls et d’abnégation, incarnent une quête ardente pour l’émancipation des femmes et des filles à travers le globe. Sous les lustres scintillants de la salle de réception, deux figures africaines ont été élevées au pinacle de cette reconnaissance : Henrietta Da, du Burkina Faso, et Zabib Musa Loro Bakhit, du Soudan, toutes deux saluées pour leur intrépidité dans la défense des droits féminins.

Le Département d’État honore Henrietta Da et Zabib Musa Loro Bakhit pour leur courage exceptionnel dans la défense des droits des femmesLa Première Dame des États-Unis, figure de soutien à l’émancipation féminine

Par ailleurs, la présence de la Première Dame des États-Unis (FLOTUS), dont le port altier a rehaussé l’éclat de l’événement, a conféré à cette célébration une aura particulière. Devant un parterre de diplomates, de dignitaires et de fervents défenseurs des libertés, Rubio a déployé une rhétorique empreinte de conviction : « Au Département d’État, et sous l’égide de la présidence Trump, nous nous évertuons à saisir chaque opportunité pour ériger en étendard les aspirations des femmes et des filles, où qu’elles se trouvent. » Ces mots, prononcés avec une fermeté mesurée, ont résonné comme une promesse solennelle, un engagement à porter haut les idéaux d’égalité dans un monde encore trop souvent marqué par l’iniquité.

Henrietta Da et Zabib Musa Loro Bakhit, icônes africaines du courage

Henrietta Da, issue d’une terre burkinabè où les défis s’entrelacent aux espoirs, s’est illustrée par son labeur infatigable pour ainsi offrir aux femmes une voix dans une société où elles sont parfois reléguées aux marges. Son parcours, semé d’embûches, témoigne d’une résilience qui force l’admiration. De son côté, Zabib Musa Loro Bakhit, née sous le ciel tourmenté du Soudan, a bravé les tumultes d’un pays fracturé pour faire jaillir des lueurs d’autonomie et de dignité parmi les femmes de sa communauté. L’assistant secrétaire d’État aux affaires africaines, avec une éloquence sobre, a loué leurs mérites : « Leurs combats, menés avec une audace sans faille, édifient un rempart qui nous rend plus robustes, plus sécurisés, plus florissants. »

Une cérémonie qui transcende le protocole pour célébrer la résilience

D’ailleurs, au-delà du protocole, l’événement, méticuleusement préparé, a rendu hommage à la ténacité. Dans une atmosphère de dignité, les lauréates ont reçu leurs prix sous les applaudissements, une reconnaissance internationale qui a transcendé les frontières. Leurs récits, tissés de sacrifices personnels et d’un dévouement rare, ont captivé l’assistance, rappelant que le courage n’est pas l’apanage des puissants, mais bien souvent l’apanage de ceux qui, dans l’ombre, osent défier l’ordre établi.

Des honneurs, mais quel impact durable pour ces héroïnes ?

Pourtant, au-delà de cette célébration fastueuse, une interrogation subtile flotte dans l’air, tel un murmure que nul n’ose encore formuler à voix haute : ces hommages, aussi grandioses soient-ils, suffiront-ils à infléchir les réalités brutales auxquelles ces femmes font face au quotidien ? La lumière projetée sur Henrietta et Zabib ne risque-t-elle pas de s’évanouir une fois les projecteurs éteints, laissant leurs combats reprendre dans une obscurité que les discours, si éloquents soient-ils, peinent à dissiper ?

 

Le Sénat togolais s’érige en pilier : Barry Moussa Barqué porté à sa tête

Ce mercredi 2 avril, le Palais des Congrès de Lomé a vibré d’une solennité peu commune, accueillant la consécration d’un jalon historique pour la démocratie togolaise. Lors de la reprise des travaux de la session de droit, les sénateurs, dans un élan unanime, ont hissé Barry Moussa Barqué au faîte de la seconde chambre parlementaire, lui confiant la présidence de cette institution naissante. Figure éminente de l’appareil étatique, récemment auréolé de la distinction de Grand-Croix de l’Ordre du Mono, cet homme d’expérience s’apprête à guider le Sénat pour un mandat de six ans, dans une mission où l’équilibre entre tradition et renouveau sera scruté avec acuité.

Un bureau diversifié : le Curie reflète la mosaïque sociale et politique du Togo

Autour de lui, les sénateurs ont soigneusement désigné un aréopage de huit personnalités pour constituer le bureau du Sénat, reflétant une mosaïque sociale et politique qui cherche à incarner la diversité du Togo. Amoko Holadem Kouvahey, élevée au rang de première vice-présidente, se tient aux côtés de Koudjolou Dogo et Adeblewo Kossi Olympio, respectivement deuxième et troisième vice-présidents, formant un triumvirat chargé d’épauler le président dans ses hautes fonctions. La gestion des ressources de l’institution revient à Komlan Mally et Afiwavi Vicenzia Banybah, investis comme première et deuxième questeurs, tandis que Molgah Abougnima, Mohamed Tchassona Traoré et Amelete Bawoumondom, en qualité de secrétaires parlementaires, complètent cette assemblée dirigeante. Ensemble, ils portent l’ambition d’une chambre haute à la fois ancrée et visionnaire.

 Barry Moussa Barqué est élu président du Sénat togolais lors d’une session historique au Palais des Congrès de Lomé, Fondations solides : le Sénat adopte son règlement intérieur

Ce mercredi n’a pas seulement marqué l’élection d’un président et de son état-major. Le Sénat, dans une dynamique d’affirmation, a également entériné son règlement intérieur, posant ainsi les fondations de son fonctionnement. Dès le lendemain, jeudi 3 avril, les sénateurs se retrouveront pour inaugurer leur première session ordinaire de l’année, un rendez-vous qui promet de dévoiler les premières inflexions de cette institution dans le paysage politique togolais. Ce faisant, le Sénat achève sa genèse, passant d’une idée constitutionnelle à une réalité palpable, prête à peser dans les débats qui façonneront l’avenir du pays.

Barry Moussa Barqué, dont le parcours s’entrelace avec les grandes heures de l’histoire nationale, hérite d’une charge aussi prestigieuse qu’exigeante. Sa présidence s’ouvre sous le sceau d’une légitimité incontestée, fruit d’un vote sans fissure, mais aussi sous le regard attentif d’une nation en quête de repères.

Le bicamérisme, désormais pleinement opérationnel, offre au Togo un nouvel échiquier institutionnel, où le Sénat pourrait devenir le gardien des équilibres ou, à l’inverse, l’épicentre de tensions insoupçonnées. Alors que les premiers signes de cette législature apparaissent à l’horizon, une question persiste, à la fois légère et persistante : cette chambre haute parviendra-t-elle à dépasser les attentes pour devenir un phare d’une nouvelle gouvernance, ou se limitera-t-elle à jouer un rôle en retrait, dans l’ombre de l’Assemblée ? Le rideau s’ouvre, et le temps, seul juge, commence déjà à murmurer ses promesses.

 

Une session parlementaire sous le signe de l’unité au Togo

Hier, mardi 1ᵉʳ avril, Lomé s’est parée d’une solennité rare pour accueillir l’ouverture de la première session ordinaire de l’année au Parlement togolais, un rituel inscrit dans les sillons de l’article 12 de la Constitution promulguée le 6 mai 2024. En effet, sous les ors d’une cérémonie empreinte de gravité, la présidente de l’Assemblée nationale a donné le coup d’envoi de cette nouvelle ère législative, en présence d’invités dont la stature rehausse l’éclat de l’événement.

Solidarité régionale : des figures emblématiques de la CEDEAO et du Ghana à l’honneur à cette première session ordinaire 

Parmi eux, Mme Memounatou I, présidente du Parlement de la CEDEAO, et l’honorable Ben Ahiafor, vice-président du Parlement ghanéen, ont incarné, par leur venue, la trame d’une solidarité régionale que le président Faure Essozimna Gnassingbé ne cesse de tisser avec une patience d’orfèvre. Ces figures, accompagnées d’un cortège de dignitaires, ont porté haut l’étendard d’une Afrique aspirant à l’harmonie et à la prospérité.

L'inauguration de la session parlementaire togolaise, marquée par l'unité régionale et l'instauration du bicaméralisme, Dans une allocution ciselée, la présidente a déroulé un éloge vibrant au bicamérisme désormais ancré dans le marbre de la Vᵉ République togolaise, saluant l’entrée en scène du Sénat comme une borne milliaire dans l’édification démocratique du pays. Ce tournant, loin d’être une simple formalité, érige un rempart supplémentaire contre les vents contraires qui pourraient ébranler l’équilibre institutionnel. Elle a, dans un souffle d’exhortation, convié ses pairs à faire preuve d’une unité sans faille, d’une responsabilité inébranlable et d’une exemplarité qui transcende les querelles partisanes. « Que nos différences deviennent le creuset d’une nation robuste et tournée vers demain », a-t-elle lancé, comme un appel à sublimer les divergences au profit d’un dessein collectif.

L'inauguration de la session parlementaire togolaise, marquée par l'unité régionale et l'instauration du bicaméralisme, Un Parlement au défi : textes fondamentaux et attentes populaires au cœur des débats

Par ailleurs, cette session, qui s’ouvre sous des auspices prometteurs, s’annonce comme un carrefour décisif. Les députés auront la charge d’examiner des textes fondamentaux destinés à enraciner la démocratie dans les profondeurs du vécu togolais, tout en scrutant avec une vigilance accrue la gestion des deniers publics. La désignation du Président du Conseil et l’élection du Président de la République, deux jalons majeurs prévus par la nouvelle architecture constitutionnelle, planeront comme des défis à la hauteur des attentes populaires. En outre, la présidente n’a pas manqué de réitérer la vocation du Parlement à rayonner au-delà des frontières, par une présence assidue aux cénacles interparlementaires, faisant du Togo un acteur qui compte dans le concert des nations.

L'inauguration de la session parlementaire togolaise, marquée par l'unité régionale et l'instauration du bicaméralisme, Un appel à l’action : écrire une nouvelle page de l’histoire togolaise

Sous les voûtes de l’hémicycle, l’écho de ses mots a résonné comme une prière : que la divine lumière guide les travaux de cette assemblée pour un Togo plus uni, plus démocratique, plus éclatant. Mais au-delà des vœux pieux, c’est une invitation pressante à l’action qui a été lancée, un défi à relever pour restaurer la foi d’un peuple dans ceux qu’il a mandatés. Et tandis que les regards se tournent vers les mois à venir, une question demeure en suspens, vibrante d’incertitude et de possibles : ce Parlement saura-t-il, par ses choix, écrire une page d’histoire qui échappe aux ombres du passé pour s’élancer vers un avenir audacieux ? L’encre est prête, la plume tremble encore.

Une ambition verte pour le bassin de l’Oti : le Togo face au défi climatique

Dans les contrées septentrionales du Togo, là où les eaux de l’Oti tracent leur sillon à travers les terres arides des Savanes et les vallons de la Kara, un dessein d’envergure se profile à l’horizon. Porté par une coalition d’acteurs résolus – le gouvernement togolais, le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), la Banque africaine de développement (BAD), le Programme alimentaire mondial (PAM) et l’Unicef –, un projet novateur s’apprête à insuffler une nouvelle résilience aux communautés éprouvées par les caprices du climat.

Annoncé avec ferveur par le ministre de l’Environnement et des Ressources forestières, Foli-Bazi Katari, ce programme ambitionne de métamorphoser les pratiques agricoles, de ressusciter des écosystèmes exsangues et d’ouvrir les vannes d’une eau potable trop longtemps parcimonieuse, tout en hissant femmes et jeunes au rang d’artisans de leur propre adaptation.

Un projet ambitieux au Togo, soutenu par la BAD et ses partenaires, vise à renforcer la résilience des communautés du bassin de l’Oti Oti : un dessein aux contours pluriels

Ce projet, dont les prémices vibrent déjà dans les préfectures de Kpendjal, Kpendjal-Ouest, Oti et Oti-Sud dans les Savanes, ainsi que Kéran et Dankpen dans la Kara, se déploie en quatre axes d’une limpidité souveraine. D’abord, il s’agit de doter l’agriculture d’une armure face aux aléas climatiques, en promouvant des techniques durables capables de défier sécheresses et pluies diluviennes. Ensuite, la restauration des services écosystémiques, ces bienfaits invisibles que la nature prodigue, vise à redonner vie aux sols éreintés et aux forêts clairsemées. L’accès à l’eau potable, ce nectar vital dont la rareté pèse sur les épaules des villageois, constitue le troisième pilier, tandis que l’autonomisation des femmes et des jeunes, souvent relégués aux marges des décisions, scelle cette entreprise d’un sceau d’équité.

Financé à hauteur de 9,3 millions de dollars par la BAD, ce chantier d’avenir bénéficie d’une mission d’évaluation qui, jusqu’au 4 avril 2025, scrute les besoins des communautés et affine les contours d’une note conceptuelle. Sous la houlette de Bicaba Aimé, chef de cette délégation, les échanges avec le ministre Foli-Bazi Katari ont permis de poser les jalons d’une exécution irréprochable. « Nous allons sonder les intentions, disséquer les détails, juguler les coûts et, si besoin, réagencer l’édifice de la mise en œuvre », a-t-il déclaré, témoignant d’une rigueur qui se veut garante de succès.

Foli-Bazi Katari : un ministre au cœur de l’action

À la barre de cette initiative, Foli-Bazi Katari incarne une figure d’autorité autant que de médiation. Haut fonctionnaire aguerri, il s’est illustré par son engagement indéfectible pour la préservation des ressources naturelles togolaises. Ancien cadre du ministère de l’Environnement, il a gravi les échelons avec une constance remarquable, porté par une vision avec laquelle l’écologie rime avec la justice sociale.  Lors de sa rencontre avec la BAD, il n’a pas manqué de louer cette synergie internationale, tout en plaidant pour une gestion méticuleuse des fonds, afin que chaque franc investi germe en bienfaits tangibles.

Une terre à l’épreuve du climat

Le bassin de l’Oti, avec ses paysages oscillant entre savane aride et vallées verdoyantes, n’échappe pas aux soubresauts d’un climat devenu imprévisible. Les inondations, qui noient les récoltes, alternent avec des sécheresses qui fissurent la terre, mettant à rude épreuve la subsistance des habitants. Dans ce contexte, le projet ne se contente pas de panser les plaies ; il aspire à bâtir une forteresse de résilience, où l’agriculture ne ploie plus sous les éléments, où l’eau coule à flots maîtrisés et où les écosystèmes, tels des phénix, renaissent de leurs cendres.

Un avenir en suspens, mais vibrant d’élan

Si les contours de cette entreprise se précisent, son succès demeure suspendu à l’alchimie entre volonté politique, expertise technique et adhésion populaire. Les regards convergent désormais vers ces terres du Nord, où chaque forage creusé, chaque arbre replanté, chaque femme formée pourrait écrire une nouvelle page dans le grand livre de la lutte climatique. Loin de s’éteindre dans l’attente, l’élan insufflé par Foli-Bazi Katari et ses partenaires invite à l’audace : et si, de ce bassin jadis vulnérable, jaillissait un modèle pour l’Afrique entière ? L’histoire, encore en gestation, ne demande qu’à s’épanouir sous les mains de ceux qui oseront la façonner.

 

Le FNFI ravive l’élan des ambitions : Une renaissance par l’apprentissage

Lomé, le 1ᵉʳ avril 2025 – Sous l’impulsion du Fonds national de la finance inclusive (FNFI), une vague d’initiatives éducatives déferle à nouveau sur le Togo, insufflant une vigueur renouvelée aux bénéficiaires de ses crédits. Effectivement, dans les contrées de Yoto et de Sotouboua, ces séances de renforcement des capacités, loin d’être de simples formalités, se muent en creusets où s’éveillent les consciences, se façonnent les savoirs et s’épanouissent les aspirations. En effet, à travers un programme méticuleusement orchestré, le FNFI s’attache à doter ses protégés des outils nécessaires pour transcender leurs projets et les ériger en piliers du développement national.

Au Togo, le FNFI relance des initiatives éducatives à Yoto et Sotouboua, dotant les bénéficiaires de crédits des outils nécessaires FNFI : une leçon de vie à Tabligbo

Dans la préfecture de Yoto, la ville de Tabligbo s’est métamorphosée en un théâtre d’apprentissage vibrant. En ce lieu, au cœur du centre culturel, lieu empreint d’une symbolique forte, les bénéficiaires se sont rassemblés pour absorber des enseignements précieux. Par ailleurs, les images capturées en ce lieu témoignent d’une effervescence palpable : visages concentrés, regards pétillants d’espoir, mains griffonnant des notes qui deviendront peut-être les fondements de lendemains prospères. Ici, on ne se contente pas d’écouter ; on s’imprègne, on questionne, on imagine. Ainsi, les formateurs, tels des passeurs de lumière, distillent des notions d’éducation financière et de gestion, préparant ces âmes entreprenantes à naviguer dans les eaux parfois tumultueuses de l’économie.

De plus, l’enthousiasme y est tangible, presque contagieux. Chaque participant, qu’il soit artisan, commerçant ou agriculteur, semble porter en lui une flamme que ces séances ravivent. Loin de se limiter à des chiffres ou des théories arides, ces rencontres insufflent une vision : celle d’un Togo où l’innovation individuelle devient le levain d’une croissance collective. Le centre culturel, habituellement voué aux arts et à la mémoire, s’est ainsi paré d’une nouvelle vocation, celle d’un sanctuaire du progrès.

Au Togo, le FNFI relance des initiatives éducatives à Yoto et Sotouboua, dotant les bénéficiaires de crédits des outils nécessaires Sotouboua : la fiscalité au cœur d’une ambiance fraternelle

Plus au nord, dans la préfecture de Sotouboua, la Maison de la Femme sert de refuge à une autre cohorte de bénéficiaires. Là, sous un toit dédié à l’émancipation féminine, des leçons d’éducation financière et de fiscalité ont pris vie dans une atmosphère empreinte de camaraderie. Ensuite, les rires fusent, les échanges s’animent, mais l’attention ne faiblit pas. En effet, ces hommes et femmes, unis par un même désir d’élévation, scrutent avec sérieux les arcanes de la gestion budgétaire et les subtilités des obligations fiscales. Cependant, l’ambiance bon enfant, loin de diluer la gravité des enjeux, agit comme un baume, rendant l’apprentissage plus doux, plus humain.

À Sotouboua, le FNFI ne se borne pas à transmettre un savoir technique ; il tisse des liens, forge une communauté. De fait, les bénéficiaires, souvent issus de milieux modestes, trouvent dans ces séances un écho à leurs rêves : transformer un microcrédit en une entreprise florissante, faire d’une idée embryonnaire un moteur économique. Par conséquent, les formateurs, patients et inspirés, s’érigent en guides, éclairant des chemins jusque-là obscurcis par l’ignorance ou l’incertitude.

Au Togo, le FNFI relance des initiatives éducatives à Yoto et Sotouboua, dotant les bénéficiaires de crédits des outils nécessaires Une mission plus large, un horizon à dessiner

Ces sessions, relancées avec une nouvelle vigueur, ne sont pas un simple sursaut passager. En réalité, elles s’inscrivent dans la mission originelle du FNFI : offrir aux Togolais les moyens de leur autonomie. Depuis sa création, ce fonds a accompagné des milliers d’entrepreneurs, leur octroyant des crédits là où les institutions traditionnelles fermaient leurs portes. Aujourd’hui, il va plus loin, armant ses bénéficiaires d’un savoir qui dépasse la seule quête du profit pour embrasser une vision durable du développement. À Tabligbo comme à Sotouba, un constat s’impose : la motivation des participants est une force vive, un terreau fertile où germent innovation et résilience.

Cependant, ce tableau, aussi lumineux soit-il, n’échappe pas aux interrogatoires. Combien de ces apprenants parviendront à métamorphoser leurs acquis en réussites tangibles ? Le FNFI, dans sa quête d’impact, saura-t-il accompagner ces ambitions au-delà des salles de formation ? Car, si l’apprentissage est une semence, son éclosion dépendra des vents qui souffleront demain sur ces terres togolaises. Finalement, entre espoir et défi, le destin de ces bénéficiaires reste une page à écrire, un récit dont la plume repose entre leurs mains.