Le président togolais,  participe à la conférence des chefs d’Etats de l’Ua pour l’élimination des violences faites aux femmes et aux filles

La conférence a débuté jeudi 25 novembre 2021 à Kinshasa au Congo en présence des chefs de l’Etats de l’union africaine (l’Ua).

 

Selon l’article publié sur le site officiel de la république togolaise Togo officiel, Cette rencontre de haut niveau, qui est une première, doit mobiliser l’engagement des dirigeants africains, en vue d’accélérer la prévention et l’éradication de ces violences à tous les niveaux sur le continent.

Dans la capitale congolaise, le n°1 togolais et ses pairs doivent réfléchir sur les principaux écueils à l’épanouissement des femmes : violences sexuelles en période de conflits, mariages et grossesses précoces, mutilations génitales, ainsi que l’accès limité aux ressources aux postes décisionnels.

Une déclaration politique sera adoptée à la fin des travaux, pour soutenir la promotion de la lutte systématique contre les violences basées sur le genre (VBG), conformément à l’Agenda 2063 de l’UA.

Le choix de cette date pour la tenue de cette conférence n’est pas anodin. Le 25 novembre marque en effet chaque année la célébration de la Journée internationale de la lutte contre les VBG. L’événement est également le point de départ de la campagne annuelle de 16 jours des Nations Unies au cours de laquelle la communauté internationale est appelée à “oranger le monde”, et agir pour la prise de conscience. Le thème mondial retenu cette année est justement : “Orangez le monde : mettre fin dès maintenant à la violence à l’égard des femmes”.

Notons que le président du Togo Faure Gnassingbé a récemment été distingué à Lomé,  pour sa politique d’égalité et d’équité.