Coronavirus : 07 enseignants d’universités envoyé en confinement

La pandémie du coronavirus (COVID 19) fait peur. Tous les Etats se préparent. Le Togo aussi. A l’Université de Lomé, le professeur Dodji Komla Kokoroko fait la loi à travers un plan d’actions. Le président de ce temple du savoir a renvoyé 7 enseignants revenus de l’extérieur du pays à l’auto confinement.

Il s’agit de Pepevi Kpakpo-Lodonou, Prof Koffi Ayena, Prof Essowe Essizewa, Prof Kodjo Evlo, Kossi Atchonouglo, Bahamas Bahoutou et Hoinsoude Segniagbeto.

La mesure leur a été signifiée à travers une note de service. « Conformément au plan d’actions pour réduire la propagation du COVID19 dans le milieu de travail… les enseignants chercheurs en question qui reviennent de missions à l’extérieur du Togo, sont invités à un auto-confinement », dit la note.

L’auto-isolement obligatoire de 14 jours pour toute personne arrivant au Togo et ayant séjourné dans un pays à haut risque est l’une des 8 mesures prises en conseil des ministres lundi par le gouvernement togolais.

« En cas de non-respect de l’auto-isolement, des sanctions fortes sont prévues », indique même le gouvernement.

Avec Global Actu

La lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme : le Togo mauvais élève que le Bénin

La lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme est un fait que les gouvernements des pays de la sous-région ne comptent pas négliger. Le Togo fait d’énormes efforts en ce qui concerne cette lutte avec les entités comme la Cellule nationale de traitement des informations financières du Togo (CENTIF Togo) en collaboration avec le Comité interministériel de suivi des activités de lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. En décembre dernier, ces deux entités ont validé le Rapport général de l’Évaluation nationale sur les risques (ENR) liés à cette pratique.

Outre le rapport de l’ENR, qu’ils ont étudié et amendé, les participants vont également travailler à parfaire le plan d’actions mis en place, en vue de sa mise en œuvre effective. A cet effet, un projet de loi est dans les tuyaux, afin de conformer le pays aux standards internationaux.

Mais il reste beaucoup de chemin à parcourir comparé au voisin de l’Est, le Bénin. Pour faire un état des lieux de la lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme au Bénin aujourd’hui, on peut dire que globalement, le Bénin s’est résolument inscrit parmi les pays engagés à éradiquer toutes les infractions ou crimes sous-jacents qui génèrent des flux financiers illicites. Le dispositif de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme se révèle un excellent outil de bonne gouvernance et de lutte contre toutes les infractions sous-jacentes, notamment la corruption et ses infractions connexes, la fraude fiscale ou douanière, la contrebande ou tout autre trafic illicite.

Le rapport d’activités au titre de 2018 du Groupe Intergouvernemental d’Action contre le Blanchiment d’Argent en Afrique de l’Ouest, le GIABA, a d’ailleurs identifié le Bénin comme le 2ème pays en matière de déclaration de soupçons sur les 17 pays qu’il compte. Par contre au niveau des assujettis non financiers, notamment, les notaires, les avocats, les experts comptables, les huissiers de justice, les casinos et jeux, les hôtels, …, etc., beaucoup de choses restent à faire.

Le Togo en pleine progression concernant les droits de l’homme selon Le département d’Etat américain

Le département d’Etat américain a rendu public le 11 Mars dernier par le département d’Etat américain sur les pratiques des Droits de l’Homme au Togo au cours de l’année 2019. Ce rapport de 23 pages relève des progrès réalisés par le gouvernement pour assurer la liberté aux populations togolaises.

Entre autres aspects affirmatifs, aucune disparition de personnes humaines, l’exercice paisible de la société civile à suivre de près les détenus sans les injonctions des autorités togolaise.

Le rapport fait état de la liberté d’expression où depuis quelques années les médias indépendants sont actifs et expriment une grande variété de points de vue. A noter, à cet effet, que l’accès à l’internet n’a été restreint ou perturbé, le contenu des médias en ligne n’a pas connu de censure.

En matière de la liberté d’expression, personne n’a été arrêtée pour ses opinions. La liberté de la presse est garantie par la loi et le Togo est l’un des rares pays à avoir opté pour la «dépénalisation » des délits de presse, notamment en ce qui concerne le délit de « diffamation », et le délit « d’offense » de personnalités publiques.

Par ailleurs, ni la liberté académique ni les événements n’ont connu de restriction au Togo sur la période sous revue.

Le Togo a fait des réformes relatives à la promotion de l’équité genre car il n’existe aucune restriction pour les femmes. Le nouveau code des personnes et de la famille rétablit l’égalité entre fille et garçon en matière de mariage, en fixant l’âge nuptial pour les deux sexes à 18 ans (art 43).

L’inclusion financière fait partie des avancées positives par exemple en matière de signature des contrats, d’ouverture des comptes bancaires ou de possession des biens. Les femmes togolaises ne subissent pas de discrimination économique dans le secteur formel dans l’accès à l’emploi, au crédit ou à la gestion des entreprises.

En ce qui concerne le droit des enfants, on note des efforts louables réalisés par le gouvernement. Il a été mis une ligne téléphonique pour signaler les cas de maltraitance d’enfants et de demander de l’aide, de fournir des informations sur les droits de l’enfant, les procédures légales. Avec son partenaire l’UNICEF, le gouvernement a pu former les enseignants aux droits des enfants et a inclus l’éducation aux droits de l’Homme dans les programmes des écoles élémentaires.

Si, néanmoins, ce rapport note des carences dans un certain nombre de domaines et critique l’attitude des forces de l’ordre dans la gestion des manifestations, il manque de relever que pendant la crise politique au Togo en août 2017, les manifestants surexcités ont dépouillé violemment les forces de l’ordre de trois armes après les avoir volontairement blessées, d’autres par contre ont arraché leurs armes et minutions et ensuite ils les ont égorgés.

Il est judicieux de rappeler qu’en novembre 2019, des violences armées ont été perpétrées à Lomé et à Sokodé par un groupe dénommé ‘Tigre Révolution’. Un gendarme est décédé des suites de ses blessures et des 4 armes AK47 ont été emportées.

Egalement, c’est à préciser qu’à travers les forces spéciales électorales mises en place par le gouvernement depuis les élections présidentielles de 2015, la police et la gendarmerie n’ont pas interféré dans le vote ou dans d’autres aspects du processus électoral.

Autre avancée, les autorités togolaises se sont engagées aussi dans la lutte contre la corruption en mettant une ligne directe (8277) pour les dénonciations d’abus.

Tout récemment en décembre 2019, l’Assemblée Nationale a adopté la loi fixant les conditions de déclaration des biens et avoirs des hautes personnalités, des hauts fonctionnaires et autres agents publics professionnellement exposés à des risques de corruption et d’infractions assimilées.

En tout cas, le gouvernement togolais reconnait humblement, que des insuffisances existent car aucune œuvre humaine n’est parfaite au monde, et des efforts continueront d’être fournis pour une amélioration des Droits de l’Homme au Togo.

 

Avec Horizon-news

Le Football togolais atteint par le Coronavirus

La propagation du Covid-19 dans le monde inquiète plus d’un et au Togo, la cellule de crise liée à ce virus a pris des mesures pour lutter contre l’arrivée et la propagation sur le sol togolais. Parmi ces mesures, se retrouve l’interdiction des rassemblements de plus 100 personnes. Ainsi, les championnats nationaux de football de première et deuxième division et toutes les autres compétitions de football sont suspendues jusqu’à nouvel ordre. Ainsi en a décidé mardi la Fédération togolaise de football (FTF).

« Suite aux mesures prises en conseil des ministres de ce lundi, notamment celle interdisant tout regroupement de plus de 100 personnes, le comité exécutif, après avis de son comité d’urgence, a décidé, à compter de ce jour jusqu’à nouvel ordre, de la suspension de toutes les compétitions nationales de football », lit-on dans la note de la FTF.

Les dirigeants de la FTF exhortent les acteurs du football national à s’associer aux efforts du gouvernement pour juguler la crise sanitaire du coronavirus, en respectant scrupuleusement les mesures et consignes.

Les autorités togolaises ont pris au total 8 mesures pour éviter la propagation du virus au Togo. Un numéro vert 111 est également activé pour communiquer les informations concernant le Coronavirus.

L’immunité d’Agbéyomé Kodjo « finalement » levée

Nous vous l’annoncions dans nos précédents articles que la levée d’immunité parlementaire de Kodjo Agbéyomé était en examen au parlement. Après les maintes reports, c’est finalement ce lundi 16 mars 2020 que l’Assemblée nationale togolaise est passée à l’acte lundi en levant l’immunité du député Agbéyomé Kodjo.

Le président du Mouvement patriotique pour la démocratie et le développement (MPDD) est accusé de coup d’Etat par le pouvoir et de troubles aggravés à l’ordre public pour s’être autoproclamé Président. 80 sur 90 députés ont voté pour la levée de l’immunité de leur collègue. Huit (8) députés se sont abstenus alors que 2 autres ont voté contre cette levée.

Le vote est intervenu après une suspension des travaux pour permettre à chaque groupe parlementaire de donner sa consigne de vote.

« Nous avons juste à répondre à la question, est-ce qu’il faut arriver à donner à la Justice et au collègue Agbéyomé Kodjo, la possibilité d’aller se défendre? La justice a souhaité que l’immunité soit levée pour que les poursuites soient engagées, le député aussi a besoin de cette levée pour se défendre face à la justice. Donc nous ne faisons que ce qui est requis par l’Assemblée Nationale en tant qu’institution au regard de la Constitution et de notre règlement intérieur pour permettre à la justice de faire son travail », a indiqué Yawa Tsegan, la présidente de l’Assemblée nationale.

L’instruction portant la levée de l’immunité du député entre en vigueur dès son adoption, selon le rapport final de la commission spéciale chargé du dossier.

Droits de l’enfant au Togo : il faut impliquer suffisamment les associations d’enfants et jeunes

C’est ce à quoi s’est attelée une rencontre organisée dans le cadre du projet de renforcement de la société civile pour la gouvernance des droits de l’enfant au Togo (CRG), démarré depuis le 1er juillet 2019 et mise en œuvre par Plan International Togo. Initiative de l’Association des enfants et jeunes du Togo pour les droits de l’enfant (AEJT-DE), l’atelier a été organisé vendredi 13 et samedi 14 mars 2020 à l’intention d’une vingtaine d’Organisation de la société civile adultes.

Le CRG se veut la contribution au renforcement des organisations de la société civile, y compris les organisations d’enfants et jeunes du Togo sur les questions de légitimité, de diversité et de redevabilité pour pouvoir mieux accompagner l’État en vue du respect des droits de l’enfant et l’égalité pour les filles.

La  rencontre initiée par l’AEJT-DE se situe dans ce sens. Elle visait à permettre aux OSC adultes de maitriser les techniques pour développer des relations de collaboration avec les enfants et jeunes.

« Nous attendons de cet atelier, une bonne collaboration avec les adultes, la création d’un espace d’échanges pour faciliter la communication et le dialogue entre les enfants et les adultes pour que le travail sur le terrain soit vraiment une synergie d’actions, et que les objectifs poursuivis soient atteints », explique Benjamin FAGBEDZI, chargé de projet à l’AEJT-DE, déplorant le manque de collaboration entre OSC adultes et celles des enfants dans le passé.

Par ailleurs, au-delà de permettre aux OSC adultes de développer de bonnes collaborations avec celles des enfants, il s’agit aussi d’impliquer ces derniers dans les processus de décision les concernant et d’arrêter de décider à leur place comme l’a malheureusement constaté le projet dénommé Child Right Monitoring (CRM 2015-2018), mis en œuvre avant le CRG.

« Dans l’élaboration du CRG, les questions de participation et d’implication des enfants et des jeunes ont été prises en compte. C’est pour cela que l’une des organisations de mise en œuvre est une association d’enfants et jeunes (AEJT-DE). Cette organisation d’enfants a le lead d’organiser les activités de renforcement des plateformes des groupes d’enfants et jeunes sur toutes les questions les concernant en matière de légitimité, de responsabilité et de gouvernance et de diversité etc », a expliqué Emilie SAMBOE, coordinatrice du CRG.

Financé par l’Agence suédoise de développement international (ASDI) à travers Plan international Suède, le CRG prévoit de toucher, d’ici 2024, 1200 enfants et jeunes âgés de 14 à 24 ans dont 60 % de filles. Il est mis en œuvre par 4 partenaires, notamment le Forum des organisations de défense des droits de l’enfant au Togo (FODDET), la Fédération des ONG du Togo (FONGTO), le Réseau de lutte contre la traite des enfants au Togo (RELUTET) et l’Association des enfants et jeunes du Togo pour les droits de l’enfant (AEJT-DE).

 

Source : Societecivilemedia.com

« Il revient au président de la République élu de décider de quand il va prêter serment »

Le président du parti Union pour la République, Faure Gnassingbé, vainqueur de la présidentielle 2020 est libre, légalement, de choisir la date de sa prestation de serment. C’est ce qu’a annoncé la Cour constitutionnelle présidée par Aboudou Assouma.

Après la proclamation des résultats définitives du premier tour de la présidentielle du 22 février dernier avec la victoire de Faure Gnassingbé dès le premier tour, au-delà de la contestation de des résultats, l’autre polémique était celle de la date de prestation de serment du président nouvellement réélu. Pour mettre fin à cette polémique, la Cour Constitutionnelle a rendu en date du 11 mars 2020, un arrêt dans lequel elle donne son avis sur la date possible de prestation de serment de Faure Gnassingbé, président réélu tout en faisant une importante précision.

L’article 63, alinéa 2 de la Constitution togolaise dispose que : « Le président de la République entre en fonction dans les quinze (15) jours qui suivent la proclamation des résultats de l’élection présidentielle (…) ». Seul, « il revient au président de la République élu de décider de quand il va prêter serment ».

Cette partie de la Constitution togolaise oblige le président élu à entrer en fonction près de deux (02) semaines après les résultats définitifs mais ne définit aucun délai pour la prestation de serment : « Considérant que dans l’hypothèse où un candidat à l’élection présidentielle est élu dès le premier tour de scrutin, en prêtant serment dans les quinze (15) jours qui suivent la proclamation des résultats définitifs de l’élection présidentielle, son entrée en fonction abrégerait le mandat du président sortant ; que ladite disposition remettrait donc en cause  l’article 51, alinéa 1 de la Constitution qui dispose que « le président de la République est élu au suffrage universel, libre, direct, égal et secret pour un mandat de cinq (05) ans renouvelable une seule fois », estime la Cour constitutionnelle.

Précisément, l’article 63 alinéa 2 n’a pas prévu l’hypothèse d’une victoire au premier tour de l’élection. De fait, elle ne peut trouver application.

Ainsi en définitif, il ressort de cet arrêt de la Cour constitutionnelle que : « Article 1er : Le président de la République sortant peut rester en fonction jusqu’au terme de son mandat qui est le 03 mai 2020 à minuit. Article 2 : Le président de la République élu prête serment, conformément aux dispositions de la Constitution, au plus tard le 04 mai 2020 à partir 00 heure, pour un mandat de cinq (05) ans. »

En outre, la Cour constitutionnelle fait une précision importante dans le cas d’espèce où le président élu, est le président sortant. A cet effet, pour la Cour constitutionnelle, il revient selon sa convenance du président réélu de décider de la date de la prestation de serment avant la fin de son mandat « Considérant que si le président de la République élu dès le premier tour est le Président sortant, il lui revient, à lui seul, de décider de la date de prestation de serment avant la fin du mandat » précise l’arrêt de la Cour constitutionnelle.

Mort tragique de 04 jeunes élèves à Akoumapé

Les populations d’Akoumapé Atchanvé Nyita (Préfecture de Vo) sont dans le désarroi, ce matin de Samedi 14 Mars 2020.

Et pour cause, quatre (4) jeunes élèves partis depuis hier Vendredi après les classes pour pêcher des poissons dans un étang d’eau abandonné après l’extraction de phosphate, ont été repêchés ce matin. Ils ont perdu la vie, noyés dans les eaux.

Selon les détails donnés par le MMLK (Mouvement Martin Luther King) du pasteur Edoh Komi, il s’agit de trois (3) garçons et une (1) fille.

Avec T228

Les relations s’intensifient entre le Togo à l’Autriche

Le ministre togolais des affaires étrangères M. Dussey a échangé avec le patron de l’Agence internationale de l’énergie atomique AIEA, Rafael Mariano Grossi pour donner une nouvelle perspective aux relations et à la coopération entre l’Agence et le Togo.

Le ministre togolais des affaires étrangères, Robert Dussey a effectué un voyage dans la capitale autrichienne à cet effet.

Et, c’est par le biais de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) à Vienne que le diplomate togolais est passé.

L’Agence pourrait appuyer le Togo dans le domaine de la santé, de formation ou encore, d’agriculture.

Le chef de la diplomatie togolaise a aussi signé avec Dazhu Yang, Directeur de la Coopération technique, signé le Programme-Cadre National 2020-2025.

Ce Programme définit, avec la loi sur le nucléaire, la gestion, l’utilisation des matières nucléaires et l’application de la technologie nucléaire et radiologique au plan national pour la promotion du développement économique et social.

Agbéyomé Kodjo appelle à la conscience de ses collègues députés

La plénière de l’Assemblée nationale qui devrait être consacrée à l’examen de la demande de levée de l’immunité parlementaire du député Gabriel Agbéyomé Kodjo, accusé d’atteinte à la sûreté de l’État, a été encore reportée ce vendredi. C’est finalement ce lundi que le cas d’Agbéyomé serait tranché.

Le candidat malheureux de la dynamique Kpodjro a lancé un appel à ses collègues députés qui seront appelés à voter pour la levée de son immunité parlementaire.

« Je lutte pour le peuple togolais. Si ceux qui sont là-bas et représentent le peuple togolais peuvent envoyer leur collègue en prison pour des faits politiques, chacun a son tour. Je fais confiance aux députés et à leur sagesse. Nous avons une cause commune », a déclaré ce vendredi Agbéyomé Kodjo.

A ses collègues députés, Agbéyomé Kodjo adresse un message. Tout le monde au sein de ce parlement peut se retrouver dans la même situation que lui. « Aujourd’hui, c’est mon tour. Demain, à qui le tour ?….», s’interroge-t-il.

« Je prie Dieu qui touche le cœur de chacun pour que chacun comprenne que nous sommes tous enfants d’une même nation. Je demande que nous puissions travailler la main dans la main et laisser à la génération future, un Togo réconcilié et de paix, de progrès qui intègre les mutations », a-t-il ajouté.