Politique et football en vedette dans la presse sénégalaise

Les quotidiens sénégalais parvenus mardi à APA traitent d’une diversité de sujets dominés par la controverse autour de l’organisation des élections locales et le match de l’équipe nationale face à l’Eswatini, cet après-midi.L’AS titre sur le désaccord à propos de la date des prochaines élections locales, constituant « l’autre bombe à désamorcer » après la tension sociopolitique vécue ces derniers jours par le pays. Pour Sud Quotidien, « Macky +plombe+ le dialogue politique » avec ce report des locales après un non consensus des acteurs.

Le journal note que « le pouvoir impose 2022, année des Législatives ». A l’inverse, l’opposition et les non-alignés « indexent… un agenda secret ». Mais pour lever toute équivoque, la société civile et les experts électoraux « votent fin 2021 ».

Le Soleil titre sur l’emploi des jeunes, « l’éternel défi ». Le quotidien national illustre son article par le président Macky Sall, au milieu de jeunes lors du lancement de la deuxième phase des financements de la Délégation générale à l’entreprenariat rapide (Der), au Cicad de Diamniadio.

Walf Quotidien titre sur le secteur de la santé qui vit une « épidémie de grogne » suite au non-respect des accords et l’inégalité de traitement des agents.

Sur l’impact social de la pandémie de Covid-19, L’Observateur constate une « terrible détresse » avec des chefs de famille licenciés qui racontent les pires moments de leur vie. « Je ne parviens plus à effectuer mes dépenses intimes ; Je suis hébergé, avec ma famille, par mon oncle ; On m’offre du poisson que je vends pour nourrir ma famille », sont entre autres témoignages rapportés par le quotidien.

Le Quotidien rapporte « le sermon de Oumar Diène », le nouveau président de la Commission nationale de concertation sur le croissant lunaire (Conacoc), après la sortie de l’imam de la Grande mosquée de Dakar. Pour lui, « la voix de Alioune Moussa Samb ne dépasse pas la Grande mosquée ». Il confie d’ailleurs avoir « un vieux contentieux » avec lui.

De son côté, Serigne Modou Kara, un autre dignitaire religieux de Touba (centre), « tance tout le monde » dans Vox Populi après les violences nées dans le pays en début mars. « On doit tous avoir honte », a-t-il dit.

Libération titre sur le célèbre activiste Guy Marius Sagna, « l’homme aux +trois libertés provisoires+ ». Le journal souligne que tous les dossiers sont au niveau du doyen des juges. L’activiste a été « placé en garde à vue plus de 30 fois ». Aujourd’hui, « des millions sont récoltés en quelques jours après le lancement d’une cagnotte pour lui acheter une voiture ».

En football : « Offrez-nous du jeu et des buts », demande en Une Record aux Lions du Sénégal qui affrontent cet après-midi (16h) l’équipe nationale d’Eswatini pour la sixième et dernière journée des éliminatoires de la Can 2022. Pour exaucer ce vœu, le sélectionneur Aliou Cissé promet de mettre « une bonne équipe pour finir en beauté ».

D’ailleurs, informe le journal, l’entraineur sénégalais « maintient son 3-5-2 », le système qu’il avait expérimenté vendredi dernier face au Congo (0-0). « Réussir le coup tactique en 3-5-2 », titre pour sa part Stades, un autre quotidien sportif.

« Nous avons envie de répéter le 3-5-2 », fait savoir l’ancien capitaine des Lions de 2002, également conforté par Badara Sarr, un technicien local. « C’est le moment de bien huiler 3-5-2 », a-t-il exhorté.

Le Parlement a voté deux nouvelles lois portant sur l’industrie maritime et portuaire

Le parlement togolais a voté le 25 mars dernier, au siège de l’hémicycle à Lomé, deux lois, l’une autorisant l’adhésion du Togo à l’annexe VI de la convention internationale pour la prévention de la pollution par les navires et l’autre autorisant l’adhésion du Togo à la convention visant à faciliter le trafic maritime  international (Convention FAL).

Le parlement a voté lors de la 3ème séance plénière de la première session ordinaire de l’année 2021, sous la présidence de Mme Tségan Yawa Djigbodi.

La loi relative à la convention internationale pour la prévention de la pollution par les navires permettra au Togo de participer à la lutte mondiale contre la pollution de l’environnement marin. Elle lui permettra également de délivrer des certificats Internationaux de prévention de la pollution de l’air (IAPPC) à la grande flotte de navires battant pavillon togolais. En effet, l’annexe VI fixe des limites aux émissions d’oxyde de soufre (SOx) et d’oxyde d’azote (NOx) provenant des gaz d’échappement des navires et interdit les émissions délibérées des substances qui appauvrissent la couche d’ozone. Elle régit de plus, l’incinération à bord et les émissions des Composés organiques volatiles (COV) imputables aux navires citernes.

Celle ayant trait à la Convention FAL a pour objectif principal de rendre les transports maritimes plus accessibles, en simplifiant, notamment les formalités, les documents requis et les procédures liées à l’arrivée, au séjour et au départ des navires effectuant des voyages internationaux. Cette loi renforcera également l’attractivité du Togo, compte tenu de sa position géographique et des potentialités qu’offre son port en eau profonde et mobilisera davantage les partenaires dans la mise en œuvre du Plan national de développement (PND), notamment son axe 1.

Selon le ministre de l’Economie maritime, de la Pêche et de la Protection côtière, Edem Kokou Tengué, la recherche de l’efficacité et de la performance du système logistique des transports et du maillon portuaire en particulier, constitue une préoccupation majeure et un objectif constant pour le gouvernement et les parties prenantes du secteur maritime. « Cette loi est un instrument attractif pour tous les opérateurs économiques intéressés par l’industrie maritime et portuaire togolaise, marquée ces dernières années par des projets de digitalisation du Port autonome de Lomé », a conclu le ministre.

Peu avant le vote des deux lois, les députés ont élu le président du groupe parlementaire de l’Union des forces du changement (UFC), Sénanou Alipui, 3ème vice-président de l’Assemblée nationale. Il remplace ainsi feu député André Johnson.

De nouvelles mesures pour endiguer la pandémie Covid-19 au Togo

Le gouvernement en conseil des ministres, ce mercredi 24 mars, a édicté 18 nouvelles mesures visant à endiguer la propagation de la Covid-19.

A travers ces nouvelles mesures, « le gouvernement appelle l’ensemble de la population à une extrême vigilance et à un respect scrupuleux des mesures édictées et invite la population cible à se faire massivement vacciner afin d’atteindre rapidement le seuil nécessaire à l’acquisition d’une immunité collective », a indiqué le communiqué du conseil des ministres.

Les mesures portent, entre autres, sur la redynamisation du groupe mixte de surveillance Covid-19 (GMS) par un renforcement d’au moins 1000 personnels issus de la composante force de défense et de sécurité ; l’accélération de la campagne de vaccination avec la mise en place d’une stratégie mobile ; l’interdiction de tous les rassemblements de masse ; le respect de la limitation stricte à quinze (15) du nombre de personnes pour les enterrements et le renforcement du contrôle au niveau des points de passage des frontières.

Le renforcement de la surveillance des lieux de cultes et « interdiction des prestations des chorales et groupes musicaux, avec fermeture immédiate en cas de non-respect des mesures édictées » ainsi que le renforcement de la surveillance des bars avec fermeture immédiate en cas de non-respect des gestes barrières, sont entre autres mesures prises par le gouvernement sur recommandation du conseil scientifique.

Au 29 mars, le Togo a totalisé 9992 cas et 107 décès.

Le Ministre de l’économie tire la sonnette d’alarme au sujet de la prolifération des sociétés de placement au Togo

Dans ce communiqué daté du 29 mars, le ministre de l’Economie et des Finances informe que les sociétés de placement  « exercent en toute illégalité et ne sont pas autorisées à collecter des fonds auprès du public contre des titres de capital ou de placement« .

COMMUNIQUÉ

Il m’a été donné de constater une prolifération de sociétés qui exercent l’activité de collecte de fonds du public et d’octroi de crédit ou proposent des services financiers en ligne et d’e-commerce, de marketing de réseau, des transactions de crypto­monnaies, de courtage, de conseils en investissements boursiers, de trading et des produits de placement avec la promesse de rendements surréalistes allant jusqu’à 300% du capital souscrit ainsi que des taux d’intérêts annuels sans commune mesure avec ceux servis par le système financier classique.

Il s’agit, entre autres, de Global Trade Corporation S.A.S., CACESPIC-IF Togo Sari, Prosperity Investment Corporation (PIC) S.A, la Société de Négoce et de Courtage en Banque (SNCB), Leader Bureau Chymall-Sairui Groupe Togo, Alliance in Motion Global, Chy Century Heng Hue, QNET, J-Global Capital International S.A.U, TIENS, TIMEX TRADING, Aladin Groupe, Petronpay Togo, Black empire, High Life International, Global Building Investment and Trade (GLOBIT), Global Investment Trading (LIYEPLIMAL).

Je tiens à informer la population que ces structures exercent en toute illégalité et ne sont pas autorisées à collecter des fonds auprès du public contre des titres de capital ou de placement. Elles proposent des gains mirobolants et flatteurs pour susciter l’engouement de la population à ces produits, l’exposant ainsi à un risque élevé de perte de l’épargne constituée durant tant d’années d’efforts.

Je rappelle que « l’exercice de toute activité en lien avec l’appel public à l’épargne et les instruments financiers, est soumis à l’agrément obligatoire ou à l’autorisation préalable de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), du Conseil Régional de l’Epargne Publique et des Marchés Financiers (CREPMF) de l’UMOA ou du Ministère de l’Economie et des Finances.

Aussi, il est fait interdiction à toute entreprise ou personne autre qu’une structure ou un intervenant agréé d’utiliser une dénomination, une raison sociale, une publicité ou d’une façon générale des expressions faisant croire qu’elle est agréée en tant que structure de gestion du marché ou intervenant commercial.

A cet effet, j’invite les médias à faire preuve de la plus grande rigueur et d’objectivité en matière de communication concernant les activités qui sont susceptibles de mettre en danger l’avenir de nos concitoyens et de cesser d’être le relai de ces structures.

Du reste, des lettres de mise en demeure ont été adressées aux structures illicites susvisées leur demandant de cesser dès réception des courriers, toute activité financière et monétaire, ainsi que de conseil sur toute l’étendue du territoire et de procéder aux remboursements, sans délai, des sommes collectées auprès des adhérents, sous peine de poursuite pénale.

Ces opérations sont donc illicites dans la mesure où aucune des entités n’a obtenu l’autorisation requise aux fins d’exercer ces activités, fournir ces prestations ou initier ces opérations.

Cet acte est constitutif d’infraction à la réglementation et expose les auteurs/promoteurs à des sanctions à la fois pécuniaires et pénales.

J’invite les promoteurs véreux et récidivistes des structures concernées à cesser immédiatement ces activités irrégulières, sous peine des sanctions prévues par la loi, et à prendre l’attache avec les autorités compétentes pour toutes fins utiles.

Ainsi, l’activité des structures suscitées et toutes autres structures non autorisées qui exercent une activité se rapportant à celles décrites est interdite sur toute l’étendue du territoire national.

J’appelle, par ailleurs, l’attention du public sur la nécessité d’observer une grande prudence et de la vigilance face à ces cas d’escroquerie grandissants et lui demande de n’entrer en relation d’affaires qu’avec les acteurs légalement autorisés en la matière.

Pour d’amples informations, bien vouloir contacter la Direction Générale des Etudes et Analyses Economiques aux numéros de téléphone : 22 21 02 50 et 22 22 56 58

Côte d’Ivoire: 6 personnes tuées dans une attaque terroriste

Trois soldats ivoiriens et trois terroristes ont été tués dans la nuit de dimanche à lundi après l’attaque de deux positions de l’armée ivoirienne à Kafolo (Kong) et à Kolobougou ( Téhini, Bouna ) dans l’extrême nord ivoirien, a appris APA de source officielle.

Selon un communiqué du général de corps d’armées Lassina Doumbia, le chef d’état-major général des forces armées de Côte d’Ivoire, la première attaque est survenue à Kafolo et est le fait d’une soixantaine de terroristes « lourdement armées » venant du Burkina Faso. 

« Les forces armées de Côte d’Ivoire ont repoussé les assaillants au terme d’une heure de combat intense et mis en œuvre une opération de ratissage  », a expliqué le général Doumbia.

Dressant un bilan provisoire pour cette première attaque, l’officier général ivoirien a noté deux soldats tués et quatre blessés du côté de l’armée ivoirienne, trois terroristes tués et quatre interpellés du côté de l’ennemi. Du matériel logistique a été également saisi.

 Quant à la deuxième attaque survenue à Kolobougou ( 60km au nord-ouest de Téhini faisant frontière avec le Burkina Faso) où un poste de gendarmerie a été la cible d’individus non identifiés, un gendarme ivoirien a été tué et un autre a été blessé.

En juin dernier, rappelle-t-on, une attaque d’une position de l’armée ivoirienne à Kafolo dans l’extrême nord du pays avait causé la mort d’une dizaine de soldats ivoiriens.

Madagascar : deuil national après le décès Didier Ratsiraka

La Grande Ile a décrété ce lundi une journée de deuil national pour saluer la mémoire de l’ancien président de la République Didier Ratsiraka décédé dimanche.Les hommages à cette figure emblématique de la vie politique malgache se sont succédé depuis l’annonce de sa disparition. Les drapeaux seront en berne sur toute l’étendue du territoire national et dans toutes les missions diplomatiques, annonce le gouvernement.

Surnommé « l’Amiral rouge », Ratsiraka, 84 ans, président du pays de 1975 à 1991 puis de 1997 à 2002, a succombé à une crise cardiaque après avoir été hospitalisé depuis mardi pour une grippe selon ses proches. « Les Malgaches ont perdu un illustre patriote », a déclaré l’actuel président Andry Rajoelina qui a rendu hommage au défunt.

Côte d’Ivoire: Abdourahmane Cissé nommé secrétaire général de la présidence (officiel)

Le ministre ivoirien du Pétrole, de l’Énergie et des énergies renouvelables, Abdourahmane Cissé, a été nommé lundi secrétaire général de la présidence de la République, selon un décret lu par le directeur de Cabinet du chef de l’Etat, Fidèle Sarassoro.

Le président de la République a procédé ce lundi 29 mars 2021 à la signature d’un décret portant nomination de M. Abdourahmane Cissé en qualité de ministre, secrétaire général de la présidence de la République », a déclaré M. Fidèle Sarassoro, devant la presse.

Il remplace M. Patrick Achi, précédemment ministre d’Etat, secrétaire général de la présidence de la République de Côte d’Ivoire, nommé Premier ministre vendredi, à la suite du décès du Premier ministre Hamed Bakayoko, le 10 mars 2021.

Ingénieur de formation, Abdourahmane Cissé est diplômé de l’École polytechnique de France et de l’Institut français du Pétrole. Ce trader, dans la banque d’Affaires Goldman Sachs International, a été nommé en novembre 2013 ministre auprès du Premier ministre chargé du Budget. Il devient à 32 ans le plus jeune ministre du gouvernement ivoirien. 

Covid-19 : «Ne laissez pas Pâques créer la 3e vague» (Ramaphosa)

Les communautés religieuses sud-africaines devraient faire preuve de plus d’innovation lors des prochaines fêtes de Pâques afin d’endiguer une possible « troisième vague » de la pandémie de coronavirus, a déclaré lundi le président Cyril Ramaphosa.S’exprimant dans son message hebdomadaire à la nation, Ramaphosa a donné des conseils, suite aux mises en garde des experts médicaux sur une possible troisième vague imminente d’infections à Covid-19 dans le pays pendant le culte en congrégation qui a lieu à cette période de l’année parmi les groupes religieux.

« Les grands rassemblements, qu’ils soient religieux ou non, ont le potentiel de propager le virus, malgré l’application de mesures de distanciation sociale et d’assainissement », a rappelé Ramaphosa à ses compatriotes, alors que des millions d’entre eux se préparent à se joindre à d’autres à travers le monde pour ces trois rassemblements religieux importants.

Ramaphosa a noté que dans un pays qui consacre le droit à la liberté religieuse, « tous les efforts doivent être faits pour soutenir notre peuple dans l’exercice de ce droit ».

« En exerçant ce droit, nous devons nous assurer de ne pas mettre en danger les droits ou la vie d’autrui. C’est un principe que les chefs religieux que j’ai rencontrés soutiennent et apprécient pleinement », a-t-il dit.

Parmi les trois religions importantes du pays figurent le judaïsme dont les fidèles célèbrent la Pâque, le christianisme qui observe Pâques et l’islam dont les fidèles observent le mois sacré du Ramadan.

Pour la deuxième année consécutive, les communautés religieuses sud-africaines marqueront ces occasions sur fond de pandémie mondiale qui a coûté la vie à plus de 52.000 Sud-Africains et à 2,5 millions de personnes dans le monde depuis son déclenchement en Chine en décembre 2019.

Côte d’Ivoire: lancement d’une opération pour débarrasser Abobo des déchets plastiques

Une opération eco-citoyenne visant à débarrasser la commune d’Abobo (nord d’Abidjan) des déchets plastiques a été lancée, lundi, a constaté APA sur place dans la capitale économique.

Cette activité qui est mise en œuvre grâce au concours de collecteurs indépendants, est réalisée à la faveur de la journée mondiale de l’eau qui a été célébrée le 22 mars dernier.  Dénommé « Tous pour une gestion efficace des déchets plastiques», ce programme est initié par le groupe agro-alimentaire Nestlé Côte d’Ivoire.

« Nous adoptons au quotidien un mode de production responsable afin que nos produits, au-delà de déployer tout leur pouvoir pour le bien-être de nos consommateurs, soient utilisés en prenant en compte les questions d’environnement et de salubrité », a dit dans une adresse Sehene Dermolo qui s’exprimait à cette occasion, au nom de la direction générale de Nestlé Côte d’Ivoire.

Poursuivant, elle a rappelé l’ambition de son groupe à rendre 100% de ses emballages recyclables ou réutilisables d’ici 2025.  Sur ce projet initié au niveau de la commune d’Abobo,  a également fait savoir Mme Dermolo, « nous travaillons avec des collecteurs issus de la commune qui ont été formés et accompagnés aux techniques de collecte  ».

 Elle a conclu en réaffirmant l’engagement de son entreprise à  jouer pleinement son rôle  « de locomotive et de leader » en montrant l’exemple afin que d’autres entreprises  se mobilisent pour trouver des solutions innovantes aux défis liés aux déchets plastiques.

 Avant elle, Dr Alain Kouadio, le directeur de l’économie verte et de la responsabilité sociétale a estimé que les sachets plastiques constituent un problème de santé publique et d’assainissement.

En outre, il a assuré à son tour, l’engagement du ministère ivoirien de l’environnement et du développement durable qu’il représentait à soutenir ce projet de gestion rationnelle des déchets plastiques. 

« Depuis quelques années, le sachet plastique a intégré notre mode de vie créant un problème crucial de salubrité. Il convient donc de sensibiliser les populations », a soutenu pour sa part, Anne Marie Zoulou au nom de Envipur, une société partenaire de ce projet.

Assemblée nationale ivoirienne: 4 candidats briguent la présidence

Quatre candidats sont en lice pour la présidence de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, dont le président sortant de l’institution, Amadou Soumahoro (Rhdp, pouvoir), selon une note de l’institution transmise lundi à APA.

M. Amadou Soumahoro, cadre du Rassemblement des Houphouëtistes pour la démocratie et la paix (Rhdp) a déposé son dossier de candidature, ainsi que deux autres membres du parti au pouvoir, Konaté Vassiriki et Mme Mariam Traoré.

L’opposition a, elle, présenté un seul candidat pour la présidence de l’Assemblée nationale ivoirienne, Mme Eliane Nzi Nda Affoué, issue du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci). L’on note cependant aucun candidat indépendant en lice. 

L’élection du nouveau président de l’Assemblée nationale ivoirienne pour la législature 2021-2025 est fixée à mardi suivie de l’ouverture solennelle de la première session ordinaire le 1er avril 2021. 

Sur 255 députés que compte l’Assemblée nationale ivoirienne, 249 participeront à la séance inaugurale le 30 mars 2021 et à l’ouverture solennelle de la première session ordinaire, du fait que six sièges ne sont pas encore pourvus.

Le président sortant, Amadou Soumahoro, a remplacé en mars 2019 Guillaume Soro, à la suite de sa démission le 8 février. M. Soro avait rendu le tablier après avoir refusé d’intégrer le Rhdp, coalition au pouvoir, lors de sa constitution.