Cedeao : un accord de 2 milliards pour développer l’industrie pharmaceutique

La Banque africaine de développement (Bad) et la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao) ont signé un protocole d’accord de 3,56 millions de dollars, soit plus de deux milliards de FCFA, pour développer l’industrie pharmaceutique en Afrique de l’ouest.La partie occidentale du continent veut prendre son indépendance dans le domaine pharmaceutique. Mercredi dernier à Abuja, siège de l’institution sous-régionale, un protocole d’accord dudit montant a été paraphé par Lamin Barrow, directeur général de la banque pour le Nigéria et par Mamadou Traoré, commissaire de la Cedeao chargé de l’Industrie et du Secteur privé.

L’objectif des deux organisations panafricaines est de mettre en œuvre le Projet d’appui au développement de l’industrie pharmaceutique en Afrique de l’Ouest. Selon le communiqué reçu à APA, le projet soutiendra la mise en œuvre de la réglementation relative à l’application d’une franchise de droits de douane sur les matières premières pharmaceutiques.

D’un coût total de 3,77 millions de dollars, le Projet de développement de l’industrie pharmaceutique dans la région de la Cedeao sera financé non seulement par ce don de 3,56 millions de dollars du Fonds africain de développement, le guichet concessionnel du Groupe de la Banque, mais aussi par une contribution de 200.000 dollars en espèces et 400.000 dollars  en nature de la Commission de la Cedeao, explique la même source.

« La production locale de produits pharmaceutiques et biologiques est devenue un impératif et une priorité régionale ainsi que la fourniture de services de prestation de soins de santé pour lesquels le soutien de la Banque africaine de développement aidera la CEDEAO à atteindre ses objectifs de développement », souligne Mamadou Traoré.

« La crise du Covid-19 a davantage exposé la fragilité de nos systèmes de santé nationaux et a provoqué des perturbations importantes dans le secteur sanitaire et pharmaceutique mondial et des chaînes d’approvisionnement. Cela souligne l’urgence d’accélérer les efforts pour assurer un niveau minimum d’approvisionnement en produits de santé », a de son côté indiqué Lamin Barrow.

Outre les objectifs à propos de la réglementation douanière, le projet vise également à mettre en place un écosystème régional de réglementation pharmaceutique efficace en proposant des programmes d’assistance technique et de renforcement des capacités des autorités régionales de réglementation des médicaments.

Togo : Débo-K’mba Barandao nommé directeur de la CEET

Il a été nommé vendredi 25 mars 2022 par le conseil d’Administration de la compagnie énergie électrique du Togo.

Débo-K’mba Barandao  va désormais occuper le poste de directeur général de la compagnie énergie électrique du Togo, en remplacement de M. Degla Essenouwa, nommé par intérim le mois de novembre 2021.

Débo-K’mba Barandao, a auparavant occupé plusieurs postes dans le secteur de l’énergie notamment, directeur de l’Énergie pour le ministère de tutelle, et ancien Directeur général de l’Autorité du Gazoduc de l’Afrique de l’Ouest (AGAO, ou WAGPA, West African Gas Pipeline Authority).

Cette nomination vient après une manifestation des  employés de la Direction de la CEET pour protester contre le non-respect des contrats par le conseil d’administration et les mauvaises conditions de travail ainsi que l’absence du payement de certaines primes.

Notons qu’il est la troisième personne à être nommé à ce poste en espace de deux ans.

La Cedeao maintient ses sanctions contre le Mali

La décision a été prise à l’issue d’un sommet extraordinaire des chefs d’État de la Cedeao.La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a décidé de maintenir ses sanctions contre Bamako.

Réunis en sommet extraordinaire, vendredi soir à Accra (Ghana), les présidents ouest africains ont maintenu le gel des avoirs maliens au sein de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), sa suspension des aides financières, la fermeture des frontières entre le pays et les États membres de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao), la suspension des transactions avec Bamako à l’exception des produits médicaux et de première nécessité et le retrait des ambassadeurs de tous les pays membres au Mali.

Pourtant jeudi dernier, la Cour de justice de l’Union économique et monétaire ouest africaine (Uemoa) a suspendu les sanctions de l’instance régionale contre le Mali.

La Cedeao a menacé de sanctionner la junte guinéenne si elle ne présente pas un «calendrier acceptable pour la transition» avant fin avril 2022. Pour les militaires au pouvoir au Burkina Faso, ils sont demandés de liberer l’ex-président Roch Marc Christian Kaboré d’ici au 31 mars 2022.

Le togolais Gilbert Fossoun élu a la tête du Bureau International de Travail

Il vient d’être élu ce vendredi 25 mars 2022 au cours d’une réunion à Genève, par le conseil d’administration de l’organisation international du travail.

Patron du fonds international de développement agricole (Fida), Gilbert Fossoun va désormais occuper une nouvelle fonction en tant que directeur général du bureau international de travail(BIT).

En effet, l’organisation internationale du travail est un organe composé de représentants des gouvernements, des travailleurs et des employeurs.

Selon le site Togo Officiel, la décision a été actée au second tour du scrutin effectué par les membres du Conseil d’administration représentant les Etats et les organisations d’employeurs et d’employés.

Gilbert Fossoun Houngbo devient donc le premier africain à occuper ce poste qui va s’étendre de 2022 à 2027. Le togolais entent occuper ses fonctions en octobre 2022 en remplacement de Britannique Guy Ryder.

La deuxième édition du Miato promeut le made in Togo

Le coup d’envoi de la deuxième édition du marché international de l’artisanat du Togo (Miato),  a été donné hier jeudi 24 mars 2022 par le premier ministre Victoire Dogbé, à Lomé.

C’est parti pour le grand rendez-vous de ce marché artisanal qui réunit  une présence de 26 pays venus pour prendre part à cet évènement culturel. Notamment les pays de la sous-région et de ceux du Comité de coordination pour le développement et la promotion de l’artisanat africain (CODEPA).

Au cours de cet évènement qui fait  la promotion des produits et services artisanaux made in Togo. Plusieurs œuvres seront présentés les artisans vont exposer leurs produits sur  un total de 300 stands.  Des rencontres seront également à l’ordre du jour et les visiteurs assisteront aussi à des concours dotés de prix réservés exclusivement aux exposants.

Notons que l’ouverture officielle a été faite mercredi 22 mars 2022 et va durer pendant 13 jours à Lomé.

Togo : les ministres signent la convention de Malabo sur la cyber sécurité

Ils ont décidé de mettre à jour cette convention hier mercredi 23 mars 2022 lors de l’ouverture de cette grande conférence sur la cyber sécurité qui a rassemblé plusieurs ministres venus de différents pays d’Afrique.

Ce sont des ministres en charge du numérique et de la transformation digitale dans les pays tels que le Benin, république démocratique du Congo, la Somalie la Namibie, le Togo et biens d’autres pays d’Afrique qui ont pris part à cet évènement qui se déroule pour la première fois au Togo dans la ville de Lomé.

Ces derniers ont décidé d’adopter déclaration sur la cyber sécurité et la lutte contre la cybercriminalité il s’agit  selon le site Togo officiel,  de la convention de Malabo sur la cyber sécurité et la protection des données à caractère personnel.

Ces ministres du numérique vont donc  mettre en place un cadre légal et réglementaire spécifique à la cyber sécurité et à la lutte contre la cybercriminalité, ainsi que des organes de régulation, et surtout, renforcer la coopération africaine en la matière.

Il faut rappeler que ce sommet qui réuni dix sept dirigeants africains,  va s’achever ce jeudi 24 mars 2022 à Lomé.

Togo : grève annoncée du syndicat des Enseignants ce jour

Le syndicat des enseignants du Togo confirme la tenu des manifestations, contre certains maux qui minent le système éducatif dés ce jeudi 24 mars 2022 jusqu’au 25 mars 2022.

Lors de son passage sur la radio Avulete, le secrétaire général du SET,  Katale Korayema a invité les enseignants à maintenir les dates du 24 et 25 mars 2022,  comme date de déroulement de la  grève contre tous les maux qui minent le système éducatif au Togo.

En effet,  parmi leurs revendications,  ces enseignants souhaitent se faire entendre afin d’exiger une prime mensuelle de logement (50.000 f au moins),  pour tout enseignant sans distinction en conformité avec la réforme de l’enseignement de 1975   et aussi d’une  prime annuelle d’éloignement d’au moins 300 Fcfa/km.

Ils ont par la suite, demandé  le recrutement des enseignants volontaires exerçant ou ayant exercé dans un établissement public pendant au moins  3 ans.

Et ces derniers doivent disposer d’une  qualification professionnelle requise et d’une allocation de mutation (au moins 100.000 f pour l’interrégional et 60 000 f pour l’intrarégional).

Notons que cette manifestation a été rejetée par le gouvernement qui évoque que,  le Syndicat n’a pas une existence légal. Face a cette sortie du gouvernement, le secrétaire a rappeler que, le SET est né sous la loi 2006 et non celle de  2021.

Togo : le prix  champion d’Afrique de la cyber sécurité décerné au chef de l’Etat

Le président de la république a été distingué champion d’Afrique de la cyber sécurité ce mercredi 23 mars 2022, lors de la conférence sur la cyber sécurité organisée dans la ville de Lomé.

L’ouverture de la conférence sur la cyber sécurité a été marqué par la remise d’un prix au chef de l’Etat président Faure Gnassingbé ce mercredi. Il a été désigné « champion d’Afrique de la cyber sécurité».

Lors de son discours de circonstance, le président a tenu de précise que cette distinction conforte la position du Togo dans la lutte contre la cybercriminalité.

Selon le site Togo first, le Chef d’Etat togolais s’est engagé aussi à motiver les Etats africains à ratifier la Convention de Malabo (Guinée Equatoriale) relative à la cyber sécurité et à la lutte contre la cybercriminalité en Afrique adoptée en juin 2014. Il faut rappeler que la conférence s’achevé demain, jeudi  24 mars 2022.

Togo : la FTF organise un tournoi en prélude à l’indépendance du 27 avril

La Fédération togolaise de football (FTF), souhaite apportée une touche spéciale à l’occasion de la fête de l’indépendance du Togo le 27 avril avec l’organisation d’un championnat.

 

Suspendu à cause de la crise sanitaire mondiale, la fête de l’indépendance du 27 avril sera organisée cette année avec une compétition spéciale. A cette occasion, un championnat sera organisé en prélude à cette grande fête du Togo.

En effet, le tournoi va rassembler plusieurs clubs de première et de deuxième division. Notamment huit clubs feront partie de cette compétition. A savoir 6 clubs de la première division,  avec les équipes tels que : ASCK de Kara, ASKO de Kara, As Binah de Pagouda, As Togo Port de Lomé, Dyto de Lomé, Gomido de Kpalimé.

Et ceux de la deuxième division à savoir, Étoile Filante de Lomé et Foadan de Dapaong. Notons que les éliminations se font directement, et la finale se jouera le 27 avril 2022 à l’occasion de la fête de l’indépendance du Togo.

 

La conférence sur la cyber sécurité réunie plus de 700 participants à Lomé

Le premier sommet sur la cyber sécurité débute ce mercredi 23 mars 2022 dans la ville de Lomé.

 

Ils sont nombreux à prendre part à cette conférence qui réunissant plusieurs intervenants venus des différents pays d’Afrique. En effet, plusieurs dirigeants du secteur privé et des leaders de la société civile se sont inscrits pour prendre part à cet événement.

Au cours de cet évènement présidé par le président de la république Faure Gnassingbé, les participants vont échanger sur la cybersécurité. Il est également  prévu plusieurs activités. Notamment des conversations et des keynotes, Une série de démonstrations de cyber attaque devrait avoir lieu, afin de sensibiliser aux enjeux de la cyber sécurité et initier aux bonnes pratiques numériques.

Notons que le sommet sur la cyber sécurité organisé dans la ville de Lomé va durer pendant deux jours.

 

Dakar accueille les dialogues du centre Koffi Annan de maintien de la paix

La conférence est axée sur le thème « Contribuer à la mise en œuvre du Cadre de prévention des conflits de la CEDEAO : Promouvoir le partenariat avec les organisations de la société civile dans le domaine de la paix et de la sécurité en Afrique de l’Ouest ».Le Centre international Kofi Annan de formation au maintien de la paix (KAIPTC, sigle anglais), basé à Accra (Ghana) tient dans la capitale sénégalaise, Dakar, sa deuxième édition de la série de dialogues avec les parties prenantes en partenariat en collaboration avec le Réseau ouest Africain pour l’Edification de la Paix (WANEP) et l’Agence allemande de coopération internationale (GIZ). 

En 2008, la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cedeao) a adopté un Cadre de prévention des conflits (CPCC) qui sert de cadre stratégique pour améliorer la prévention des conflits et la sécurité des individus. 

« Pour satisfaire les dispositions du CPCC, les organisations de la société civile (OSC) constituent des acteurs clés qui ont un rôle essentiel à jouer.  Ainsi, l’objectif de la série de dialogues est de créer un forum pour les OSC, les organisations nationales et internationales concernées afin de dialoguer sur leurs rôles respectifs dans la mise en œuvre du CPCC », a dit le général de Brigade, George Arko-Dadzie, commandant adjoint du KAIPTC

Pour Aseye Nani, conseillère technique au programme GIZ-KAIPTC, « la société civile constitue l’un des trois éléments essentiels d’une nation et d’une région libres, avec des gouvernements représentatifs et une économie qui fonctionne correctement ».

« Le nombre croissant de coups d’État militaires et de changements anticonstitutionnels en Afrique de l’Ouest depuis 2019 constitue un défi important pour l’ordre démocratique et le développement pacifique de la sous-région. Le poids de l’insécurité en Afrique de l’Ouest et dans la région du Sahel reste une source de préoccupation pour la bonne gouvernance régionale et les interventions extérieures, et c’est là que la société civile devrait jouer un rôle », a dit Mme Nani.

De l’avis de sa directrice, le WANEP, en tant que membre de la société civile, a joué un rôle central dans la résolution des multiples défis auxquels la région ouest-africaine est confrontée. 

« Nous avons contribué à modeler l’architecture de sécurité régionale vers la prévention des conflits, la consolidation de la paix, la reconstruction post-conflit, l’alerte précoce au niveau régional, la gouvernance et divers instruments de politique. Notre organisation a également collaboré avec la Cedeao pour renforcer la résilience des communautés et développer les capacités à répondre aux défis de paix et de sécurité auxquels la région est confrontée », a-t-elle dit.

Togo : installation du câble sous-marin Equiano

Le Togo deviendra le premier pays africain à accueillir ce câble sous-marin, Equiano, une place qui était réservée au Nigeria.

 

 Selon le site Togo first,  Nitin Gajria, Directeur général de la branche Afrique sub-saharienne chez Google est attendu à Lomé ce vendredi 18 mars pour lancer le câble Equiano, ont confirmé à Togo First, plusieurs sources proches du dossier.

Le Togo deviendra ainsi le premier pays africain à accueillir ce câble sous-marin, Equiano, une place qui était réservée au Nigeria.

Vaste projet d’infrastructure réseau du géant de l’internet pour connecter l’Europe à l’Afrique, le déploiement de ce câble sous-marin était attendu pour 2021, mais le calendrier a connu plusieurs perturbations en raison de la due diligence. Le câble dont la construction a été confié au Français Alcatel Submarine Networks, filiale de Nokia, partira de Lisbonne au Portugal pour aller rejoindre Cape Town en Afrique du Sud.

«Equiano un câble internet sous-marin de nouvelle génération financé par Google ira du Portugal à l’Afrique du Sud, le long de la côte africaine de l’océan Atlantique. En 2022, il devrait atterrir à Sesimbra (Portugal), Lomé (Togo), Lagos (Nigéria), Swakopmund (Namibie) et Le Cap (Afrique du Sud), avec des branchements en place pour les phases suivantes du projet. L’année dernière, le câble a atterri à Ruperts Bay (Sainte-Hélène) », a confié à Togo First, une source chez Google.

Baptisé en l’honneur d’ Olaudah Equiano, un écrivain, ancien esclave d’origine nigériane, le câble Equiano est une infrastructure qui devrait offrir environ 20 fois plus de capacité de réseau que les derniers câbles construits pour desservir le continent.

Avec l’arrivée d’Equiano, le Togo sera désormais alimenté par deux câbles sous-marins, le premier étant le câble sous-marin ouest africain (WACS) inauguré en 2012. Par ailleurs, Maroc Télécom qui détient Moov Africa a reçu depuis l’an passé, le feu vert du gouvernement togolais pour déployer aussi son câble sous-marin. Celui-ci devrait relier Casablanca à Lomé.

Source: Togo First

Can féminine 2022 : 5 millions de Fcfa pour chaque épervier dame

Les éperviers dames ont reçu de la part du président de la république,  une prime de 5 millions de FCFA afin de les motiver et les encourager face à leur qualification à la coupe d’Afrique féminine au Maroc.

 

L’annonce a été faite mardi 15 mars par  la ministre en charge des sports Lidi Bessi Kama. En effet, c’est grâce à leur qualification à la coupe d’Afrique des Nations 2022 au Maroc, que  les éperviers dames ont reçu chacune une prime de 5 millions de FCFA. Ainsi que les membres du staff techniques.

Qualifiées pour la première fois dans une compétition de coupe d’Afrique, le président Faure Gnassingbé  a tenu à leur encourager et leur motiver afin qu’elles aient plus confiance en elle lors de cette grande édition  de football en Afrique.

Il faut rappeler que leur qualification survient après leur victoire sur l’équipe du Gabon  lors de leur  dernier tour de qualification sur un score de 2-1 en aller et retour.

Togo : Faure Gnassingbé visite le chantier de la nationale Lomé- Kpalimé

Le président de la république accompagné d’une délégation a effectué dimanche 13 mars dernier une visite sur la nationale n°5 afin de vérifier l’avancement des travaux.

 

Lors de cette visite effectuée par le président de la république Faure Gnassingbé, qui était accompagné de la Présidente de l’Assemblée nationale, Yawa Tsegan, de la Ministre des Travaux publics, Zourehatou Kassah-Traoré, de la Ministre Secrétaire Générale de la Présidence togolaise, Sandra Ablamba Johnson et du Maire de la ville de Kpalimé Winny Dogbatsè.

L’objectif était de vérifier que les travaux avancent de ce côté sur la construction de cette route distante de 120 km. Financés à hauteur de 214 milliards FCFA, les travaux sur cette route vont  durer 36 mois. Notons que l’exécution de ces travaux sur la route est confiée au BTP Ebomaf.

Corridor Abidjan-Lagos: la Cedeao en quête d’investisseurs

La Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest préside un Forum pour le financement du corridor Abidjan-Lagos.Le président de la Commission de la CEDEAO, M. Jean-Claude Kassi Brou, co-préside ce mercredi 16 mars 2022, une réunion virtuelle pour attirer les investisseurs devant financer la construction du projet d’autoroute du corridor Abidjan-Lagos en compagnie de Solomon Quaynor, vice-président de la Banque africaine de développement (BAD), pour le secteur privé, les infrastructures et l’industrialisation.

L’autoroute Abidjan-Lagos couvre quelque 1 028 km et huit postes frontières est un projet qui vise à construire une autoroute supranationale à six voies avec des composantes pour la transformer en un corridor de développement économique qui interconnecte cinq Etats membres de la Cedeao (Côte d’Ivoire, Ghana, Togo, Bénin et Nigeria), et huit postes frontières.

Il va faciliter les liaisons de transport, la libre circulation et l’amélioration des échanges économiques transfrontaliers entre les cinq pays concernés.L’importance stratégique de ce projet tient au fait que l’axe Abidjan-Lagos pèse pour près de 75 % des activités commerciales sous-régionales.

Les enjeux pour la région sont importants car ce corridor connectera également les ports maritimes d’Afrique de l’Ouest à tous les pays enclavés de la région, à savoir le Burkina Faso, le Mali et le Niger. Il a l’avantage de relier non seulement les zones les plus densément peuplées et économiquement actives de la sous-région ouest africaine, mais il croise également un réseau ferroviaire et rejoint les principaux ports et aéroports.

Selon la déclaration de la Commission de la Cedeao, la réunion vise à présenter ce projet d’infrastructure phare de la Cedeao dans le secteur des transports (le projet de développement de l’autoroute du corridor Abidjan-Lagos) aux investisseurs potentiels, avec un accord pour demander un financement d’investissement.

Elle a ajouté que le projet d’autoroute du corridor Abidjan-Lagos, qui est entièrement mis en œuvre en collaboration avec les pays du corridor, est un élément clé du 2ème Plan d’action prioritaire du Programme de développement des infrastructures en Afrique (PIDA-PAP II).

Il s’agit également d’une priorité dans le cadre de la nouvelle Vision 2050 de la Cedeao, qui, entre autres objectifs, vise à « faire de la Cedeao une région économique totalement intégrée et interconnectée ».

Une fois achevé, le corridor stimulera le commerce (catalyseur pour la Zlecaf), encouragera les investissements dans d’autres secteurs économiques et créera des opportunités d’emploi pour les citoyens des Etats membres.

« Le corridor fait également partie du corridor Dakar-Lagos et constitue une partie importante du réseau routier transafricain et une priorité clé dans le plan directeur de développement des infrastructures régionales de la Cedeao sur 25 ans », indique le communiqué.

Togo/Covid-19 : reprise des activités culturelles et sportives

La décision, qui fait suite à l’allègement des mesures anti-Covid-19, a été communiquée via un arrêté, par les ministres des Sports et du Tourisme.
Officiellement suspendues il y a deux ans, avant d’être tour à tour réaménagées au gré de l’évolution de la situation sanitaire, les activités culturelles, physiques et sportives de masse peuvent désormais reprendre au Togo avec la participation du public.

Si elles sont soumises à un régime de simple déclaration, il faudra néanmoins se munir d’une preuve de vaccination ou d’un test PCR négatif de moins de 72h. Du reste, les responsables de fédérations, gérants d’espaces hôteliers et de restauration, ou encore les organisateurs d’événements sont tenus de veiller au respect des mesures édictées et à l’installation de dispositifs de vaccination.

Au Togo, la vie reprend progressivement après deux ans de lutte contre la covid-19. La semaine dernière, aucun malade n’avait été recensé dans les centres de prise en charge, une première.

Le Togo reprend avec ses activités culturelles et sportives de masse

Les ministres des sports et du tourisme ont à travers un communiqué annoncé la reprise des  activités culturelles, physiques et sportives de masse, avec la participation du public dans les différentes villes du Togo.

 

Les activités reprennent peu à peu après une longue période de suspension marquée,  par la pandémie du Corona virus. l’annonce a été faite par les ministres de sport et de tourisme. Désormais, les activités de masse vont refaire surface, avec la présence du grand public.

Le communiqué précise que, si ces activités  sont soumises à un régime de simple déclaration, il faudra néanmoins se munir d’une preuve de vaccination ou d’un test PCR négatif de moins de 72h.

Pour mieux veiller aux respects de cette décision,  les responsables de fédérations, gérants d’espaces hôteliers et de restauration, ou encore les organisateurs d’événements sont tenus de veiller au respect des mesures édictées et à l’installation de dispositifs de vaccination.

Notons que le gouvernement allègent certaines mesures vu l’évolution de la situation sanitaire dans le pays qui depuis est en baisse.

Blockchain: une Crypto académie pour l’Afrique francophone

Le programme de quatre semaines vise à fournir une introduction à une gamme de sujets liés à cette nouvelle technologie et à présenter diverses opportunités pour les passionnés de monnaie virtuelle.La multinationale américaine IBM définit la blockchain comme étant un grand livre partagé et inaltérable qui facilite le processus d’enregistrement des transactions et de suivi des actifs dans un réseau commercial. Un  actif, précise-t-elle, peut être matériel (une maison, une voiture, de l’argent, un terrain) ou immatériel (propriété intellectuelle, brevets, droits d’auteur, marque).

Pratiquement, ajoute l’entreprise présente dans les domaines de l’informatique et du logiciel, tout ce qui a de la valeur peut être suivi et échangé dans un réseau de blockchain. Cela réduit, selon IBM, les risques et les coûts pour toutes les parties concernées.

Les avantages qu’offre cette nouvelle technologie attirent de plus en plus de monde. Face à l’engouement qu’elle suscite, surtout auprès des jeunes, Binance, premier fournisseur mondial d’écosystème de blockchain et d’infrastructure de crypto-monnaie, lance la Crypto Académie pour les Africains Francophones.

L’objectif de cette initiative est « de fournir une formation, des ressources et des outils aux débutants en crypto en Afrique francophone », lit-on dans le communiqué parvenu lundi à APA.

Pour Binance, « l’importance de l’éducation ne peut être surestimée » dans ce secteur où de plus en plus de personnes cherchent à gagner un revenu, à créer des applications, à élargir leur base de connaissances ou à trouver un emploi dans l’industrie de la blockchain.

La Crypto Académie, en collaboration avec des partenaires de formation dans la zone cible, se tiendra à partir du 19 mars prochain dans 7 lieux distincts à travers 4 pays : le Bénin, le Cameroun, la Côte d’Ivoire et le Togo.

Pour participer à la formation, les inscriptions se poursuivent actuellement sur le site : https://bit.ly/3MHgolo.

Selon les initiateurs du programme, celui-ci devrait permettre à ses bénéficiaires d’apprendre les bases de la blockchain et de comprendre ses applications réelles, de découvrir comment utiliser la crypto dans la vie quotidienne, de comment stocker de la valeur avec la crypto et générer des revenus passifs avec elle.

Par ailleurs, elle les aidera à comprendre le trading de crypto et son fonctionnement en termes simples et à accéder à des opportunités de réseautage.

Une nouvelle mission du FMI au Togo

Une équipe dirigée par Jaroslaw Wieczorek séjourne à Lomé.Après les consultations virtuelles de juin dernier pour une nouvelle facilité élargie de crédit (FEC), le Fonds monétaire international (FMI) descend sur le terrain. Ainsi, une équipe dirigée par Jaroslaw Wieczorek, le nouveau chef de mission pour le pays, est au Togo depuis ce lundi 14 mars 2022.

Au cours de cette visite d’une semaine, des discussions auront lieu avec les autorités togolaises afin de parvenir à un accord. Le Togo avait déjà mis en œuvre entre 2018 et 2020 ce programme soutenu de l’institution de Bretton Woods, soldé par une enveloppe globale de 244 millions $ (131 milliards FCFA).

La Facilité élargie de crédit du FMI soutient les programmes économiques des pays qui visent à rétablir la stabilité et la viabilité macroéconomiques, tout en favorisant une croissance durable et la réduction de la pauvreté. Elle peut aussi servir de catalyseur pour mobiliser de l’aide étrangère.

Le Togo organise une table ronde sur la promotion des investissements étrangers en Afrique de l’Ouest

Lomé va accueillir le 15 mars 2022, une table ronde sur la promotion des investissements étrangers en Afrique de l’Ouest, qui va permettre de discuter avec des investisseurs étrangers.

 

C’est une initiative du gouvernement et de l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), qui va servir de cadre d’échanges avec des investisseurs étrangers et des représentants des gouvernements de la sous-région.

En effet, selon le site Togo Officiel, cette table ronde multi-pays réunira des investisseurs internationaux et des représentants des gouvernements de la sous-région en commençant par le Togo.

Sont également attendus, des participants du secteur privé parmi lesquels Axian, Engie, Qair, ou encore la plateforme d’investissement Africa 50.

Le 15 mars 2022, plusieurs entreprises du Togo, soit une  quinzaine d’entreprises nationales vont participer à ces assises.

La BCEAO dément une dévaluation du franc CFA

L’information diffusée le 9 mars sur les réseaux sociaux est fausse,
annonce la Banque centrale.La Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) dément fermement à travers un communiqué, une information diffusée sur les réseaux sociaux annonçant la dévaluation du franc CFA.

L’information diffusée  le 9 mars 2022 sur les réseaux sociaux est fausse, annonce la Banque centrale qui précise que le taux de change entre l’Euro et le FCFA demeure inchangé, à savoir 1 euro = 655,957 FCFA.

Elle rappelle également que les taux de change officiels des principales devises sont publiés quotidiennement sur son site internet consultable sur www.bceao.int dans la rubrique Statistiques – « Cours des devises contre Franc CFA ».

La BCEAO invite par conséquent les populations à la plus grande vigilance et à ne se référer qu’aux seules voies de communication officielles usuelles de l’Institut d’émission.

A cet égard, elle rappelle que tous ses communiqués sont publiés sur son site internet, ainsi que dans la presse écrite et audiovisuelle officielle des Etats membres de l’Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA).

La BCEAO, affirme qu’elle, se réserve le droit d’engager des poursuites judiciaires à l’encontre des auteurs et complices des actes et messages de nature à porter atteinte aux signes monétaires ayant cours légal dans les Etats membres de l’UMOA.

Créée par la France alors puissance coloniale en 1945, le franc Cfa s’appelait initialement Franc des Colonies Françaises d’Afrique. Quinze ans plus tard, à la faveur des indépendantistes de ces colonies, il devient le Franc de la Communauté financière africaine en Afrique de l’Ouest et Franc de la Coopération financière en Afrique centrale dans la région du même nom.

En plus des Comores, le Franc Cfa est utilisé par les citoyens de douze autres pays africains de l’Ouest et du Centre du continent.

Les premiers réunis au sein d’une Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) sont le Bénin, le Burkina Faso, la Côte d’Ivoire, la Guinée-Bissau, le Mali, le Niger, le Sénégal et le Togo. Leur Institut d’émission est la Banque centrale des États d’Afrique de l’Ouest (BCEAO), créée en 1962 et dont le siège est à Dakar.

Les seconds organisés dans le cadre d’une Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC) sont le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, le Gabon, la Guinée équatoriale et le Tchad. Eux aussi disposent d’un l’institut d’émission : la Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC), créée en 1972 et dont le siège est à Yaoundé.

Togo : les opérateurs économiques à l’école des impôts

Des opérateurs économiques togolais se sont réunis hier jeudi 10 mars 2022, afin de se former sur les bases taxables des impôts.

Maitriser les différentes bases taxables des impôts est l’un des objectifs de cette formation. Les enseignements ont été donnés par le cabinet E2A Consulting, il était question pour les opérateurs économiques du Togo de mieux comprendre les bases fiscales.

A cet effet, les cours tels que, les informations indispensables relatives à la mise en place d’un système de gestion comptable, à la détermination de la base taxable de la TVA et de l’impôt sur le revenu des salariés ont été revisité par ces operateurs.

Il faut rappeler que, cette formation intervient alors que des entreprises se préparent à déposer leurs états financiers, au plus tard le 31 mars 2022 en ce qui concerne des entreprises de personnes physiques et le 30 avril pour des sociétés, conformément au Code Général des Impôts.  

2.000.000 de Fcfa pour la  construction du centre de prise en charge de cancer chez l’enfant

Il a été inauguré le 08 mars 2022 à Lomé par le ministre délégué auprès du ministre de la santé, de l’hygiène publique et de l’Accès universel aux soins, Dr Mamissilé Akla Agba-Assih.

 

Le Togo a désormais  son  premier centre de prise en charge de cancer chez l’enfant.  Le Centre de traitement est installé au Centre Hospitalier Universel,  (CHU) Sylvanus Olympio de Lomé.

Ce centre va prendre en charge tous les enfants qui présentent des symptômes des différents types de  cancer. Les spécialistes vont suivre l’état de la maladie et pourront les consulter en les traitant.

Notons que la construction de ce joyeux sanitaire a été mis en place et financé par le gouvernement togolais et ses différents partenaires.

Togo : un sommet africain sur la cybersécurité en mars

Le premier Sommet de la cybersécurité au Togo rassemblera, du 23 au 24 mars prochain dans la capitale Lomé, des gouvernements du continent, des entreprises et des acteurs de la société civile qui réfléchiront ensemble sur comment faire de cette thématique « une priorité absolue des États africains ».Cet événement veut pousser ces différents acteurs à « engager un dialogue de haut niveau » sur la question. L’objectif est « d’établir un diagnostic sans complaisance du phénomène, de proposer des pistes de coopération et de coordination pour répondre aux défis et enjeux pressants auxquels tous les acteurs africains sont confrontés en matière de cybersécurité », explique un communiqué reçu jeudi à APA, notant que le sommet sera présidé par le président togolais Faure Gnassingbé en présence de la secrétaire exécutive de la Commission économique des Nations Unies pour l’Afrique (CEA), Vera Songwe.

« Maintenant que les cadres réglementaires ont largement été mis en place, nous souhaitons proposer des idées innovantes en matière de coopération opérationnelle, pour faire face aux menaces de façon concrète et décisive. Comme l’espace numérique ne tient pas compte des frontières de nos États, nous n’avons d’autre choix que de renforcer la collaboration et la coopération internationale », a déclaré Cina Lawson, ministre togolaise de l’Économie numérique et de la Transformation digitale.

Les organisateurs du sommet remarquent que, depuis deux décennies, les pays africains connaissent une « profonde mutation liée à l’adoption rapide des technologies numériques ». Pour eux, « cette transformation digitale, dont l’accélération se confirme ces dernières années – notamment des suites de la pandémie COVID-19 – métamorphose nos sociétés tant elle révolutionne tous les secteurs d’activités et remodèle le quotidien des populations à travers le continent ».

A cet effet, le recours massif au numérique « expose, de façon accrue, les gouvernements, les entreprises et les citoyens africains aux cybermenaces, toutes choses qui constituent une situation inquiétante pour la florissante économie numérique en Afrique qui devrait générer 180 milliards de dollars US d’ici 2025 soit 5,02% du PIB continental et atteindra 712 milliards en 2050, soit 8,5% du PIB de la région », indique le document.

Par ailleurs, cette situation présente des défis « immenses », allant de la protection des données à la résilience des systèmes aux attaques. Ils « exigent donc la collaboration étroite de l’ensemble des parties prenantes et la plus grande mobilisation à tous les niveaux : local, national, sous-régional, régional, continental et mondial », ajoute la même source.

Togo: prés de 24 milliards FCFA pour la construction de cinq ponts sur les pistes rurales

Le  ministère du désenclavement et des pistes rurales (MDPR), a annoncé à travers un communiqué le lancement de la construction de 05 ponts repartis dans les cinq régions du Togo.

 

Les cinq ponts seront construits sur les  pistes rurales dans les cinq (5) régions du Togo. Parmi ceux-ci, on a la construction d’un pont en acier mixte de 80m de long sur le tronçon Agbélouvé (Route Nationale No 1) – Zafi – Ahépé (RN 4) ;

ainsi qu’un pont de 60 m de long, sur le Tronçon Ogou Agrani – Kamina ; d’un pont de 60m sur le tronçon Tchamba – Dagmagouloudè (12 Km) ;

Et enfin  de deux ponts (40 et 30m de long), sur le tronçon Gouloungoussi-Zoubiékou. Ce projet de construction, financé par le Budget d’Investissement de l’Etat (BIE), concerne le gouvernement suivant la feuille de route gouvernementale 2020-2025.

Notons  que des travaux d’aménagement des pistes rurales, à savoir ouverture, dégagement et débroussaillage de voies d’accès, seront également  faits.

 

Droits de la femme : Faure Gnassingbé garanti aux femmes un environnement propice à leur plein épanouissement

Le président de  la république a à travers  un message posté sur sa page twitter, réitérer sa détermination  et celle du gouvernement à maintenir les efforts pour garantir aux femmes un environnement propice à leur plein épanouissement.

En cette commémoration de la journée internationale de la femme, le président de la république Faure Gnassingbé,  invite tous les citoyens à s’engager pour bâtir une société égalitaire où hommes et femmes œuvrent ensemble à l’essor du Togo.

Ce message du chef de l’Etat qui,  va en droite ligne avec le thème de cette année, à savoir : « l’égalité des sexes aujourd’hui pour un avenir durable ».  À cette occasion, plusieurs femmes du gouvernement ont adressées  de nombreux messages à l’endroit des femmes.

Notamment le message du premier ministre Victoire Dogbé : « L’opportunité nous est donnée d’accomplir des choses extraordinaires avec les femmes courageuses, travailleuses, déterminées et résilientes pour la transformation de notre pays. Saisissons-la! ». Révèle –t-elle sur son post twitter.

Notons que le Togo est l’un des pays en Afrique où plusieurs femmes occupent des grands postes au gouvernement. On a par exemple, le premier ministre Victoire Dogbé, Sandra Johnson Ablamba, la Secrétaire générale de la Présidence de la République, Marguerite Essossimna Gnakade, ministre des armées, Lidi Bessi-Kama, ministre des sports et des loisirs et biens d’autres.

Rappelons que, le Togo a connu de réelles avancées sur la question, d’égalité des genres. Le président de la république a d’ailleurs été honoré dans ce sens en 2021.

Togo : le Conseil des ministres défini la loi sur  le Télétravail et l’Intérim

Les conditions et modalités de mise en œuvre du travail à distance ont été définies  lors du Conseil des ministres lundi 07 mars 2022.

 

Le conseil de ministre qui s’est tenu lundi 07 mars 2022 a permis l’adoption de deux décrets ont été adoptés dont le premier sur les conditions et modalités de mise en œuvre du télétravail ou du travail à distance.

Selon un communiqué du conseil des ministres, cette loi tient compte des évolutions technologiques, des conjonctures internationales de toute nature et en application du nouveau code du travail, le présent décret détermine les principes, les conditions et modalités régissant le télétravail ou le travail à distance.

Selon le site d’information Togo First, le texte, adopté par l’exécutif, « encadre les possibilités d’aménagement des modes de travail lorsque les circonstances l’exigent et que les moyens technologiques le permettent ».

Le site Togo First ajoute que, il a été adopté un projet de décret fixant les conditions de mise en œuvre du travail intérimaire. « Le présent décret, pris conformément aux dispositions du nouveau code du travail, a pour objet de fixer les conditions de mise en œuvre du travail intérimaire. », sachant que le contrat de travail intérimaire est un contrat qui lie un travailleur à une entreprise d’intérim ou de mise à disposition de travailleurs.

Pour le gouvernement Tomegah Dogbé, ce texte constitue une mise à jour « qui prend en compte l’émergence et le développement des entreprises et structures d’intérim. », en garantissant notamment aux employés, aux entreprises et aux sociétés d’intérim, « une protection juridique adéquate ».

Source: Togofirst

Togo : Robert Dussey organise un Colloque international sur la gestion des transitions politiques

Une rencontre préparatoire à la conférence des chefs d’Etats qui se tiendra à Lomé le mois d’avril a eu lieu samedi 05 mars dernier présidée par le ministre des affaires étrangères.

 

Apporter des nouveaux défis en ce qui concerne la gestion des transitions politiques dans les Etats est une grande priorité pour les Etats. En effet, la réunion préparatoire qui s’est tenue samedi dernier avait pour but de parler de la gestion des transitions politiques et le renforcement de la résilience face aux extrémismes.

Le ministre des affaires étrangères professeur Robert Dussey a donc profiter de l’occasion pour la gestion des transitions politiques et le renforcement de la résilience face aux extrémismes.

Notons que de nombreux intervenants venus de la France, de la Suisse, de la Guinée, de l’Éthiopie, du Nigeria, du Burkina Faso, du Sénégal et du Bénin, ont pris part à ce colloque.

Il faut rappeler que, la conférence des chefs d’Etats se tiendra à Lomé le 21 avril 2022 sur le thème: « Quelles solutions aux processus complexes de retour à la paix dans le Sahel et à l’ordre constitutionnel dans les pays en transitions politiques ? ».

Togo: flambée du prix de la farine dans les marchés

Le directeur général de la société des moulins modernes du Togo (SMMT), a à travers une note informé  ces grossistes de l’augmentation du prix de la farine de blé.

Dans les marchés des différentes villes du Togo, le sac de farine de  50 kg est passé de 19 200 F CFA à 21 700 F CFA et celui de 25 kg de 9 600 à 10 850.

Selon le site l’Elite d’Afrique, cette nouvelle n’est pas très surprenante d’en plus que ces derniers temps, le prix de certains produits de première nécessité ne cesse d’augmenter tel que le sac du sucre que l’on achète à 17 000 F CFA est passé à 20 500 F CFA (prix en gros) et à 21500 F CFA chez les détaillants.

Les Togolais, qui ne savent plus à quel saint se vouer,  face à cette augmentation des prix qui survient chaque fois dans les marchés.

 

Togo: la loi sur la création des régions adoptée par l’Assemblée Nationale

Lors de la première Assemblée Nationale de la session de 2022, le projet sur la loi portant création des régions a été créée par les députés mercredi 2 mars 2022.

 

 Encore appelée la loi de « Kara », elle vise selon le pouvoir législatif, à doter le pays d’un arsenal juridique qui renforce le processus de décentralisation.

Selon le site Togo First, ce vote est intervenu dans la dynamique du processus de décentralisation enclenché depuis quelques années et qui a connu son point d’orgue en 2019, avec l’organisation des élections locales. Cette loi, apprend-on, servira en effet d’instrument juridique et pragmatique pour parachever le processus de décentralisation. Elle favorisera également une meilleure exécution et coordination des actions de développement économique et social.

L’adoption de la loi sur la création des régions balise également la voie à l’organisation des élections régionales. « Cette étape permettra à la CENI et aux autres institutions impliquées dans le processus électoral de démarrer les activités de préparation des élections régionales. Il en est de même pour les partis politiques. », a indiqué le ministre d’Etat, ministre de l’administration territoriale, de la décentralisation et du développement des territoires, Payadowa Boukpéssi.

Notons que dans le cadre de la tenue de ces élections régionales, l’exécutif togolais avait, l’année dernière, créé un cadre de discussion avec des représentants des partis politiques, duquel sont sorties des recommandations.

Source: Togo First